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Tout (4)

Tout (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 88-003-X200800110581
    Géographie : Canada
    Description :

    Lorsqu'une entreprise existante choisit de ne pas mettre en marché une découverte, des entrepreneurs pleins d'initiative peuvent choisir d'établir une organisation dérivée pour le faire. Des 532 entreprises de biotechnologie au Canada en 2005, 179 ont rapporté qu'elles étaient des entreprises dérivées d'une autre organisation.

    Date de diffusion : 2008-05-22

  • Articles et rapports : 88F0006X2007007
    Description :

    Les résultats de l'Enquête sur l'innovation de 2003 ont permis de faire ressortir quelques points intéressants. Premièrement, contrairement aux attentes, le tiers des entreprises de services R-D ne faisait pas d'innovations. Selon les lignes directrices du Manuel d'Oslo, les entreprises innovatrices sont celles qui ont mis en marché un produit nouveau ou notablement amélioré, ou qui ont mis en oeuvre un procédé nouveau ou notablement amélioré au cours d'une période précise. Deuxièmement, un grand nombre d'entreprises non-innovatrices ont fait savoir que la « satisfaction de la clientèle existante » ne « jouait aucun rôle » dans leur succès. Cette réponse est très différente de celle de tous les autres types d'entreprises.

    Ce document de travail donne une explication possible de ces résultats inattendus de même qu'un aperçu des données sur les entreprises de services R-D (SCIAN 5417) qui sont disponibles, dans le contexte des services professionnels en général. Le document regroupe des données descriptives pour montrer que les entreprises non-innovatrices de l'industrie des services R-D diffèrent considérablement des autres entreprises non-innovatrices et qu'elles sont très « inventives » malgré leur « manque d'innovation ». Le document présente quelques données qui semblent indiquer qu'il s'agit d'« entreprises à risque » (entreprises misant sur l'injection de capitaux d'investissement plutôt que sur les recettes tirées des ventes pour soutenir leurs activités) et il propose une série bien précise d'indicateurs qui aideraient à déterminer la nature des entreprises de ce groupe d'industries.

    Date de diffusion : 2007-12-20

  • Articles et rapports : 11F0019M2000123
    Géographie : Canada
    Description :

    Des études récentes ont démontré l'importance quantitative de la création et de la disparition d'entreprises ainsi que de la croissance et du déclin de la population industrielle. C'est ce processus de renouvellement qui récompense l'activité innovatrice et contribue à la croissance de la productivité.

    Bien que la taille de la population de nouveaux venus soit impressionnante - particulièrement lorsqu'on examine l'effet cumulatif dans le temps, l'importance de la création d'entreprises se mesure en fin de compte par son incidence sur l'innovation au sein de l'économie. Dans une économie dynamique, axée sur le marché, il est important de faire des expériences. Or, les jeunes entreprises jouent sur ce plan un rôle essentiel. Les nouveaux entrepreneurs offrent constamment aux consommateurs des nouveautés-tant pour ce qui est des produits de base que du niveau de service qui les accompagnent.

    Ce tâtonnement se traduit par des coûts considérables, car un bon nombre de jeunes entreprises disparaissent. Les jeunes entreprises courent davantage le risque de disparaître; des données tirées d'un fichier longitudinal de jeunes entreprises canadiennes tant dans le secteur des biens que dans celui des services révèlent que plus de la moitié des nouvelles entreprises qui ferment leurs portes le font au cours de leurs deux premières années d'existence. La plupart des jeunes entreprises ont une durée de vie brève. En fait, seulement une nouvelle entreprise sur cinq célèbre un dixième anniversaire.

    Comme un bon nombre de jeunes entreprises abandonnent en cours de route, on est désireux de comprendre les conditions qui sont associées à la réussite, celles qui permettent aux nouveaux entrepreneurs de réaliser leur potentiel. Les jeunes entreprises qui réussissent sont celles qui ont choisi la bonne combinaison de stratégies et d'activités. Pour comprendre comment ces éléments contribuent à la croissance, il est nécessaire d'étudier les relations entre la performance des jeunes entreprises et les différences en ce qui a trait aux stratégies et aux activités mises en oeuvre.

    Ce document a pour objectif de décrire le contexte et les caractéristiques propres aux jeunes entreprises qui réussissent à survivre et à prospérer. Pour ce faire, il examine deux questions : premièrement, l'aptitude à innover des jeunes entreprises et la mesure dans laquelle leur croissance en dépend; deuxièmement, le fait de mettre l'accent sur les compétences des travailleurs-élément qui est relié en partie à la formation qui est complémentaire à l'innovation et contribue à la croissance.

    Date de diffusion : 2000-12-08

  • Articles et rapports : 11F0019M1999121
    Géographie : Canada
    Description :

    L'entrée et la sortie sont des phénomènes importants. Ce document présente des données démontrant l'ampleur de ce processus et sa contribution à la productivité et à l'innovation. Il dresse ensuite un bilan détaillé des caractéristiques des nouvelles entreprises qui survivent et de celles qui échouent. Ce faisant, il décrit le type de compétences qui sont mises en oeuvre dans l'une et l'autre catégorie d'entreprises. Il s'interroge quant aux compétences mises en valeur par les nouvelles entreprises. Plus particulièrement, il s'attarde sur les aptitudes à l'innovation de ces entreprises. Il démontre que les petites entreprises en général et les jeunes entreprises en particulier sont hétérogènes du point de vue de leur activité novatrice. Le type d'activité novatrice auquel elles s'adonnent varie grandement. Certaines se concentrent sur la recherche et développement (R et D), sur les nouveaux produits et d'autres sur les nouvelles technologies. D'autres encore mettent l'accent sur l'amélioration du capital humain. En outre, ce document examine l'environnement concurrentiel dans lequel évoluent les nouvelles entreprises ainsi que le lien entre la croissance et l'innovation. Il cerne également les compétences complémentaires dont font montre les innovateurs. Enfin, il analyse les causes d'échec au sein de la population d'entreprises. Il étend la portée des conclusions de travaux antérieurs selon lesquelles les entreprises qui échouent diffèrent de celles qui survivent du point de vue de leurs compétences fondamentales-en gestion, en gestion financière et en marketing.

    Date de diffusion : 1999-02-25
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Analyses (4)

Analyses (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 88-003-X200800110581
    Géographie : Canada
    Description :

    Lorsqu'une entreprise existante choisit de ne pas mettre en marché une découverte, des entrepreneurs pleins d'initiative peuvent choisir d'établir une organisation dérivée pour le faire. Des 532 entreprises de biotechnologie au Canada en 2005, 179 ont rapporté qu'elles étaient des entreprises dérivées d'une autre organisation.

    Date de diffusion : 2008-05-22

  • Articles et rapports : 88F0006X2007007
    Description :

    Les résultats de l'Enquête sur l'innovation de 2003 ont permis de faire ressortir quelques points intéressants. Premièrement, contrairement aux attentes, le tiers des entreprises de services R-D ne faisait pas d'innovations. Selon les lignes directrices du Manuel d'Oslo, les entreprises innovatrices sont celles qui ont mis en marché un produit nouveau ou notablement amélioré, ou qui ont mis en oeuvre un procédé nouveau ou notablement amélioré au cours d'une période précise. Deuxièmement, un grand nombre d'entreprises non-innovatrices ont fait savoir que la « satisfaction de la clientèle existante » ne « jouait aucun rôle » dans leur succès. Cette réponse est très différente de celle de tous les autres types d'entreprises.

    Ce document de travail donne une explication possible de ces résultats inattendus de même qu'un aperçu des données sur les entreprises de services R-D (SCIAN 5417) qui sont disponibles, dans le contexte des services professionnels en général. Le document regroupe des données descriptives pour montrer que les entreprises non-innovatrices de l'industrie des services R-D diffèrent considérablement des autres entreprises non-innovatrices et qu'elles sont très « inventives » malgré leur « manque d'innovation ». Le document présente quelques données qui semblent indiquer qu'il s'agit d'« entreprises à risque » (entreprises misant sur l'injection de capitaux d'investissement plutôt que sur les recettes tirées des ventes pour soutenir leurs activités) et il propose une série bien précise d'indicateurs qui aideraient à déterminer la nature des entreprises de ce groupe d'industries.

    Date de diffusion : 2007-12-20

  • Articles et rapports : 11F0019M2000123
    Géographie : Canada
    Description :

    Des études récentes ont démontré l'importance quantitative de la création et de la disparition d'entreprises ainsi que de la croissance et du déclin de la population industrielle. C'est ce processus de renouvellement qui récompense l'activité innovatrice et contribue à la croissance de la productivité.

    Bien que la taille de la population de nouveaux venus soit impressionnante - particulièrement lorsqu'on examine l'effet cumulatif dans le temps, l'importance de la création d'entreprises se mesure en fin de compte par son incidence sur l'innovation au sein de l'économie. Dans une économie dynamique, axée sur le marché, il est important de faire des expériences. Or, les jeunes entreprises jouent sur ce plan un rôle essentiel. Les nouveaux entrepreneurs offrent constamment aux consommateurs des nouveautés-tant pour ce qui est des produits de base que du niveau de service qui les accompagnent.

    Ce tâtonnement se traduit par des coûts considérables, car un bon nombre de jeunes entreprises disparaissent. Les jeunes entreprises courent davantage le risque de disparaître; des données tirées d'un fichier longitudinal de jeunes entreprises canadiennes tant dans le secteur des biens que dans celui des services révèlent que plus de la moitié des nouvelles entreprises qui ferment leurs portes le font au cours de leurs deux premières années d'existence. La plupart des jeunes entreprises ont une durée de vie brève. En fait, seulement une nouvelle entreprise sur cinq célèbre un dixième anniversaire.

    Comme un bon nombre de jeunes entreprises abandonnent en cours de route, on est désireux de comprendre les conditions qui sont associées à la réussite, celles qui permettent aux nouveaux entrepreneurs de réaliser leur potentiel. Les jeunes entreprises qui réussissent sont celles qui ont choisi la bonne combinaison de stratégies et d'activités. Pour comprendre comment ces éléments contribuent à la croissance, il est nécessaire d'étudier les relations entre la performance des jeunes entreprises et les différences en ce qui a trait aux stratégies et aux activités mises en oeuvre.

    Ce document a pour objectif de décrire le contexte et les caractéristiques propres aux jeunes entreprises qui réussissent à survivre et à prospérer. Pour ce faire, il examine deux questions : premièrement, l'aptitude à innover des jeunes entreprises et la mesure dans laquelle leur croissance en dépend; deuxièmement, le fait de mettre l'accent sur les compétences des travailleurs-élément qui est relié en partie à la formation qui est complémentaire à l'innovation et contribue à la croissance.

    Date de diffusion : 2000-12-08

  • Articles et rapports : 11F0019M1999121
    Géographie : Canada
    Description :

    L'entrée et la sortie sont des phénomènes importants. Ce document présente des données démontrant l'ampleur de ce processus et sa contribution à la productivité et à l'innovation. Il dresse ensuite un bilan détaillé des caractéristiques des nouvelles entreprises qui survivent et de celles qui échouent. Ce faisant, il décrit le type de compétences qui sont mises en oeuvre dans l'une et l'autre catégorie d'entreprises. Il s'interroge quant aux compétences mises en valeur par les nouvelles entreprises. Plus particulièrement, il s'attarde sur les aptitudes à l'innovation de ces entreprises. Il démontre que les petites entreprises en général et les jeunes entreprises en particulier sont hétérogènes du point de vue de leur activité novatrice. Le type d'activité novatrice auquel elles s'adonnent varie grandement. Certaines se concentrent sur la recherche et développement (R et D), sur les nouveaux produits et d'autres sur les nouvelles technologies. D'autres encore mettent l'accent sur l'amélioration du capital humain. En outre, ce document examine l'environnement concurrentiel dans lequel évoluent les nouvelles entreprises ainsi que le lien entre la croissance et l'innovation. Il cerne également les compétences complémentaires dont font montre les innovateurs. Enfin, il analyse les causes d'échec au sein de la population d'entreprises. Il étend la portée des conclusions de travaux antérieurs selon lesquelles les entreprises qui échouent diffèrent de celles qui survivent du point de vue de leurs compétences fondamentales-en gestion, en gestion financière et en marketing.

    Date de diffusion : 1999-02-25
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