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- 1. L'enquête internationale auprès des jeunes ArchivéMicrodonnées à grande diffusion : 89M0024XGéographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
L'enquête internationale auprès des jeunes (EIJ) constitue le volet canadien de l'Étude internationale de la délinquance autodéclarée (EIDA), qui examine le comportement et les écarts de conduite des élèves de la septième à la neuvième année dans une trentaine de pays européens, aux États Unis et au Canada. Le Centre national de prévention du crime du ministère fédéral de la Sécurité publique parrainait l'enquête canadienne. La ville de Toronto a été retenue comme la ville où Statistique Canada a réalisé l'enquête et sur laquelle port l'analyse des résultats.
L'enquête est représentative de chacune des trois années scolaires (septième à la neuvième) des deux sexes. En avril de 2006 environ 3 200 élèves dans 176 écoles ont complété l'EIJ.
Date de diffusion : 2007-09-25 - Articles et rapports : 82-003-X20020026436Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
Cette étude porte sur la corrélation entre le faible revenu et l'inégalité du revenu au sein des quartiers et l'état de santé des personnes vivant à Toronto, soit la plus importante région métropolitaine de recensement du Canada.
Date de diffusion : 2003-02-12 - 3. L'homicide au Canada, 2000 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X20010098395Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Les statistiques déclarées par la police en 2000 révèlent que le taux de criminalité au Canada a fléchi pour la neuvième année consécutive, atteignant son point le plus bas depuis 1978. En outre, des données extraites d’études comme l’Enquête sociale générale (ESG) de 1999 laissent entendre qu’un grand nombre de Canadiens ont l’impression que la criminalité est demeurée stable depuis cinq ans et craignent moins d’être victime d’un crime dans leur quartier. En dépit des ces indicateurs positifs, le taux de crimes de violence a augmenté de 3 % en 2000, soit la première hausse en sept ans. Dans le présent Juristat, on examine les tendances et les caractéristiques du crime de violence le plus grave — l’homicide.
Date de diffusion : 2001-10-31 - 4. L'homicide au Canada, 1999 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X20000098382Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Selon les dernières statistiques déclarées par la police, le taux de criminalité au Canada a fléchi pour la huitième année consécutive, étant le plus faible depuis 1979. Les statistiques des États-Unis et d’un grand nombre d’autres pays révèlent des tendances semblables. Toutefois, des données extraites d’études comme l’Enquête sociale générale (ESG) de 1993, l’Enquête internationale sur les victimes de la criminalité (EIVC) de 1996, et des sondages nationaux laissent entendre qu’un grand nombre de Canadiens ont l’impression que la criminalité augmente et craignent d’être victime d’un crime dans leur quartier. Les crimes qui inspirent le plus de crainte sont les crimes de violence, surtout l’homicide — le fait pour un être humain d’en tuer un autre — qui ont tendance à attirer davantage l’attention des médias que tout autre acte criminel. En dépit de cette préoccupation chez les Canadiens face à la violence, le taux d’homicides diminue depuis le milieu des années 70.
Date de diffusion : 2000-10-18 - Revues et périodiques : 85F0031XGéographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensement, Agglomération de recensementDescription :
Les données sur le statut d'Autochtone que renferme ce rapport sont fondées sur des données autodéclarées (recensement) et sur des données d'observation (criminalité). Elles fournissent des renseignements sur la nature et l'étendue de la criminalité chez les Autochtones en milieu urbain, en milieu rural et dans les réserves, ainsi que le profil socio-démographique de la population de la Saskatchewan.
Selon les données du Recensement de 1996, la population autochtone de la Saskatchewan a tendance à être plus jeune, à avoir des niveaux de scolarité plus faibles, des taux de chômage plus élevés, ainsi que des revenus sensiblement moindres que la population non autochtone. Les taux de criminalité dans les réserves étaient deux fois plus élevés que les taux dans les régions rurales ou urbaines de la province. Dans le cas des infractions avec violence, ils étaient près de cinq fois supérieurs à ceux des régions urbaines ou rurales. Dans les trois territoires (réserves, régions urbaines et régions rurales), une proportion plus importante d'adultes que d'adolescents étaient accusés d'une infraction avec violence ou d'une autre infraction au Code criminel. Par contraste, les adolescents étaient plus souvent inculpés d'une infraction contre les biens que de tout autre type d'infraction. Dans les régions urbaines, les personnes autochtones sont surreprésentées dans le système de justice pénale. En 1997, plus de la moitié (52 %) des personnes accusées à Prince Albert, Regina et Saskatoon étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 9 % dans la population de ces villes.
On a constaté une forte différence dans le ratio hommes-femmes entre les accusés autochtones et les accusés non autochtones. Même si la majorité de tous les accusés étaient de sexe masculin, une proportion plus élevée de femmes autochtones que de femmes non autochtones étaient accusées. Les accusés autochtones avaient tendance à être plus jeunes que les accusés non autochtones. Près du tiers (31 %) des accusés autochtones étaient âgés de 12 à 17 ans, contre 23 % des accusés non autochtones. Dans les deux villes où des données sur les victimes étaient disponibles (Regina et Prince Albert), la proportion de victimes d'infractions avec violence était plus forte chez les Autochtones que chez les non-Autochtones compte tenu de la proportion que représentent les Autochtones dans la population globale de ces villes. En 1997, 42 % des victimes à Prince Albert et à Regina étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 10 % dans la population de ces deux villes.
Date de diffusion : 2000-01-31 - Articles et rapports : 85-002-X19990118305Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Le Juristat sur la conduite avec facultés affaiblies, diffusé tous les deux ans, présente des données sur les tendances à la baisse aux niveaux national, provincial et des régions métropolitaines de recensement (RMR), ainsi que sur les caractéristiques des personnes mises en accusation. L'analyse est faite à partir des données policières ainsi que des données provenant des tribunaux et des services correctionnels. D'autres sources d'information ont été utilisées telles que des données sur les conducteurs décédés dans des accidents de la route, sur la consommation d'alcool ainsi que de l'information sur les interventions policières tels que les retraits immédiats de permis de conduire et les barrages routiers.
Date de diffusion : 1999-11-17 - 7. L'homicide au Canada, 1998 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X19990108304Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Selon les dernières statistiques déclarées par la police, le taux de criminalité au Canada a régressé pour la septième année consécutive, étant le plus faible depuis 1979. Les statistiques des États-Unis et d’un grand nombre de pays européens révèlent des tendances semblables. Toutefois, des données extraites d’études comme l’Enquête sociale générale (ESG) de 1993, l’Enquête internationale sur les victimes de la criminalité (EIVC) de 1996, et des sondages nationaux laissent entendre que les Canadiens ont l’impression que la criminalité augmente et craignent d’être victime d’un crime dans leur quartier. Les crimes qui inspirent le plus de crainte sont les crimes de violence, surtout l’homicide - le fait pour un être humain d’en tuer un autre – qui ont tendance à attirer davantage l’attention des médias que tout autre acte criminel. En dépit de cette inquiétude croissante des Canadiens face à la violence, le taux d’homicides a progressivement diminué depuis le milieu des années 70.
Date de diffusion : 1999-10-07 - 8. L'homicide au Canada, 1997 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X19980128231Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Les homicides - le fait pour un être humain d’en tuer un autre - sont plus susceptibles d'attirer l’attention des médias que tout autre acte criminel. Les administrations publiques, les organismes de justice pénale et le grand public ont tout intérêt à surveiller l’ampleur et la nature de ces infractions. En dépit d’une préoccupation croissante chez les Canadiens concernant des attaques de violence, le taux d’homicides a diminué de façon graduelle depuis le milieu des années 1970.
Date de diffusion : 1998-10-27 - 9. L'homicide au Canada, 1996 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X19970098284Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Les homicides sont plus susceptibles de mériter l’attention des médias et par conséquent, font l’objet d’un examen plus minutieux de la part du public que tout autre acte criminel. L’acte même inspire la peur au sein du grand public, en particulier s’il s’accompagne de cruauté ou si ses victimes sont des membres de la société qui sont sans défense. En dépit d’une préoccupation croissante chez les Canadiens concernant des menaces ou des attaques de violence, le taux d’homicide a diminué de façon graduelle depuis le milieu des années 1970.
Date de diffusion : 1997-07-30 - 10. L'homicide au Canada, 1995 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X19960118283Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Le nombre de crimes de violence signalés par la police au Canada n’a pas cessé d’augmenter entre le début des années 1970 et le début des années 1990. Les médias ont tendance à faire une large place aux homicides, surtout à ceux qui sont de nature brutale ou dont les victimes sont les membres les plus vulnérables de la société. L’Enquête sociale générale de 1993 a révélé une préoccupation de plus en plus grande chez les Canadiens au sujet des menaces d’attaque ou de violence. Pourtant, le taux d’homicides diminue graduellement depuis le milieu des années 1970.
Date de diffusion : 1996-07-30
Données (1)
Données (1) ((1 résultat))
- 1. L'enquête internationale auprès des jeunes ArchivéMicrodonnées à grande diffusion : 89M0024XGéographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
L'enquête internationale auprès des jeunes (EIJ) constitue le volet canadien de l'Étude internationale de la délinquance autodéclarée (EIDA), qui examine le comportement et les écarts de conduite des élèves de la septième à la neuvième année dans une trentaine de pays européens, aux États Unis et au Canada. Le Centre national de prévention du crime du ministère fédéral de la Sécurité publique parrainait l'enquête canadienne. La ville de Toronto a été retenue comme la ville où Statistique Canada a réalisé l'enquête et sur laquelle port l'analyse des résultats.
L'enquête est représentative de chacune des trois années scolaires (septième à la neuvième) des deux sexes. En avril de 2006 environ 3 200 élèves dans 176 écoles ont complété l'EIJ.
Date de diffusion : 2007-09-25
Analyses (9)
Analyses (9) ((9 résultats))
- Articles et rapports : 82-003-X20020026436Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
Cette étude porte sur la corrélation entre le faible revenu et l'inégalité du revenu au sein des quartiers et l'état de santé des personnes vivant à Toronto, soit la plus importante région métropolitaine de recensement du Canada.
Date de diffusion : 2003-02-12 - 2. L'homicide au Canada, 2000 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X20010098395Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Les statistiques déclarées par la police en 2000 révèlent que le taux de criminalité au Canada a fléchi pour la neuvième année consécutive, atteignant son point le plus bas depuis 1978. En outre, des données extraites d’études comme l’Enquête sociale générale (ESG) de 1999 laissent entendre qu’un grand nombre de Canadiens ont l’impression que la criminalité est demeurée stable depuis cinq ans et craignent moins d’être victime d’un crime dans leur quartier. En dépit des ces indicateurs positifs, le taux de crimes de violence a augmenté de 3 % en 2000, soit la première hausse en sept ans. Dans le présent Juristat, on examine les tendances et les caractéristiques du crime de violence le plus grave — l’homicide.
Date de diffusion : 2001-10-31 - 3. L'homicide au Canada, 1999 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X20000098382Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Selon les dernières statistiques déclarées par la police, le taux de criminalité au Canada a fléchi pour la huitième année consécutive, étant le plus faible depuis 1979. Les statistiques des États-Unis et d’un grand nombre d’autres pays révèlent des tendances semblables. Toutefois, des données extraites d’études comme l’Enquête sociale générale (ESG) de 1993, l’Enquête internationale sur les victimes de la criminalité (EIVC) de 1996, et des sondages nationaux laissent entendre qu’un grand nombre de Canadiens ont l’impression que la criminalité augmente et craignent d’être victime d’un crime dans leur quartier. Les crimes qui inspirent le plus de crainte sont les crimes de violence, surtout l’homicide — le fait pour un être humain d’en tuer un autre — qui ont tendance à attirer davantage l’attention des médias que tout autre acte criminel. En dépit de cette préoccupation chez les Canadiens face à la violence, le taux d’homicides diminue depuis le milieu des années 70.
Date de diffusion : 2000-10-18 - Revues et périodiques : 85F0031XGéographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensement, Agglomération de recensementDescription :
Les données sur le statut d'Autochtone que renferme ce rapport sont fondées sur des données autodéclarées (recensement) et sur des données d'observation (criminalité). Elles fournissent des renseignements sur la nature et l'étendue de la criminalité chez les Autochtones en milieu urbain, en milieu rural et dans les réserves, ainsi que le profil socio-démographique de la population de la Saskatchewan.
Selon les données du Recensement de 1996, la population autochtone de la Saskatchewan a tendance à être plus jeune, à avoir des niveaux de scolarité plus faibles, des taux de chômage plus élevés, ainsi que des revenus sensiblement moindres que la population non autochtone. Les taux de criminalité dans les réserves étaient deux fois plus élevés que les taux dans les régions rurales ou urbaines de la province. Dans le cas des infractions avec violence, ils étaient près de cinq fois supérieurs à ceux des régions urbaines ou rurales. Dans les trois territoires (réserves, régions urbaines et régions rurales), une proportion plus importante d'adultes que d'adolescents étaient accusés d'une infraction avec violence ou d'une autre infraction au Code criminel. Par contraste, les adolescents étaient plus souvent inculpés d'une infraction contre les biens que de tout autre type d'infraction. Dans les régions urbaines, les personnes autochtones sont surreprésentées dans le système de justice pénale. En 1997, plus de la moitié (52 %) des personnes accusées à Prince Albert, Regina et Saskatoon étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 9 % dans la population de ces villes.
On a constaté une forte différence dans le ratio hommes-femmes entre les accusés autochtones et les accusés non autochtones. Même si la majorité de tous les accusés étaient de sexe masculin, une proportion plus élevée de femmes autochtones que de femmes non autochtones étaient accusées. Les accusés autochtones avaient tendance à être plus jeunes que les accusés non autochtones. Près du tiers (31 %) des accusés autochtones étaient âgés de 12 à 17 ans, contre 23 % des accusés non autochtones. Dans les deux villes où des données sur les victimes étaient disponibles (Regina et Prince Albert), la proportion de victimes d'infractions avec violence était plus forte chez les Autochtones que chez les non-Autochtones compte tenu de la proportion que représentent les Autochtones dans la population globale de ces villes. En 1997, 42 % des victimes à Prince Albert et à Regina étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 10 % dans la population de ces deux villes.
Date de diffusion : 2000-01-31 - Articles et rapports : 85-002-X19990118305Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Le Juristat sur la conduite avec facultés affaiblies, diffusé tous les deux ans, présente des données sur les tendances à la baisse aux niveaux national, provincial et des régions métropolitaines de recensement (RMR), ainsi que sur les caractéristiques des personnes mises en accusation. L'analyse est faite à partir des données policières ainsi que des données provenant des tribunaux et des services correctionnels. D'autres sources d'information ont été utilisées telles que des données sur les conducteurs décédés dans des accidents de la route, sur la consommation d'alcool ainsi que de l'information sur les interventions policières tels que les retraits immédiats de permis de conduire et les barrages routiers.
Date de diffusion : 1999-11-17 - 6. L'homicide au Canada, 1998 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X19990108304Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Selon les dernières statistiques déclarées par la police, le taux de criminalité au Canada a régressé pour la septième année consécutive, étant le plus faible depuis 1979. Les statistiques des États-Unis et d’un grand nombre de pays européens révèlent des tendances semblables. Toutefois, des données extraites d’études comme l’Enquête sociale générale (ESG) de 1993, l’Enquête internationale sur les victimes de la criminalité (EIVC) de 1996, et des sondages nationaux laissent entendre que les Canadiens ont l’impression que la criminalité augmente et craignent d’être victime d’un crime dans leur quartier. Les crimes qui inspirent le plus de crainte sont les crimes de violence, surtout l’homicide - le fait pour un être humain d’en tuer un autre – qui ont tendance à attirer davantage l’attention des médias que tout autre acte criminel. En dépit de cette inquiétude croissante des Canadiens face à la violence, le taux d’homicides a progressivement diminué depuis le milieu des années 70.
Date de diffusion : 1999-10-07 - 7. L'homicide au Canada, 1997 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X19980128231Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Les homicides - le fait pour un être humain d’en tuer un autre - sont plus susceptibles d'attirer l’attention des médias que tout autre acte criminel. Les administrations publiques, les organismes de justice pénale et le grand public ont tout intérêt à surveiller l’ampleur et la nature de ces infractions. En dépit d’une préoccupation croissante chez les Canadiens concernant des attaques de violence, le taux d’homicides a diminué de façon graduelle depuis le milieu des années 1970.
Date de diffusion : 1998-10-27 - 8. L'homicide au Canada, 1996 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X19970098284Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Les homicides sont plus susceptibles de mériter l’attention des médias et par conséquent, font l’objet d’un examen plus minutieux de la part du public que tout autre acte criminel. L’acte même inspire la peur au sein du grand public, en particulier s’il s’accompagne de cruauté ou si ses victimes sont des membres de la société qui sont sans défense. En dépit d’une préoccupation croissante chez les Canadiens concernant des menaces ou des attaques de violence, le taux d’homicide a diminué de façon graduelle depuis le milieu des années 1970.
Date de diffusion : 1997-07-30 - 9. L'homicide au Canada, 1995 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X19960118283Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Le nombre de crimes de violence signalés par la police au Canada n’a pas cessé d’augmenter entre le début des années 1970 et le début des années 1990. Les médias ont tendance à faire une large place aux homicides, surtout à ceux qui sont de nature brutale ou dont les victimes sont les membres les plus vulnérables de la société. L’Enquête sociale générale de 1993 a révélé une préoccupation de plus en plus grande chez les Canadiens au sujet des menaces d’attaque ou de violence. Pourtant, le taux d’homicides diminue graduellement depuis le milieu des années 1970.
Date de diffusion : 1996-07-30
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