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- Articles et rapports : 85-002-X20000128385Géographie : Province ou territoireDescription :
En 1999, dans le cadre de son programme d'Enquête sociale générale (ESG), Statistique Canada a effectué une enquête sur la victimisation et sur les perceptions du public au sujet de la criminalité et du système de justice. Il s'agissait de la troisième fois que l'ESG examinait la victimisation, les cycles précédents ayant été menés en 1993 et 1988.
Pour l'enquête de 1999, des interviews téléphoniques ont été menées auprès d'environ 26 000 personnes de 15 ans et plus qui vivaient dans les 10 provinces. On a demandé à tous les répondants leur opinion sur le niveau de criminalité dans leur quartier, on les a interrogés sur leur crainte d'être victimes d'un crime et on leur a demandé leur opinion sur la performance du système de justice. On a également cherché à connaître leurs attitudes face à la détermination des peines à imposer aux contrevenants adultes et adolescents. De façon aléatoire, les répondants devaient se prononcer sur une situation hypothétique, de quatre possibles, pour laquelle ils devaient indiquer s'ils préféraient « une sanction privative de liberté » ou « non privative de liberté ». Les répondants qui choisissaient une peine d'emprisonnement devaient répondre à une question de suivi, à savoir si une peine de probation d'un an et de 200 heures de travaux communautaires serait une solution de rechange à l'incarcération acceptable.
Dans le présent Juristat, on examine les attitudes du public face à la détermination des peines à imposer aux contrevenants adultes et adolescents. On y analyse également les attitudes du public face à quatre secteurs du système de justice, y compris les services policiers, les tribunaux de juridiction criminelle et les systèmes carcéral et de libération conditionnelle.
Date de diffusion : 2000-12-04 - 2. La victimisation criminelle au Canada, 1999 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X20000108383Géographie : Province ou territoireDescription :
En 1999, dans le cadre de son programme d'Enquête sociale générale, Statistique Canada a effectué une enquête sur la victimisation et les perceptions du public au sujet de la criminalité et du système de justice. Il s'agissait de la troisième fois que l'Enquête sociale générale (ESG) examinait la victimisation, les cycles précédents ayant été menés en 1993 et 1988.
Pour l'enquête de 1999, des interviews téléphoniques ont été menées auprès d'environ 26 000 personnes de 15 ans et plus qui vivaient dans les 10 provinces. On a demandé à tous les répondants leur opinion au sujet du niveau de criminalité dans leur quartier, on les a interrogés au sujet de leur crainte d'être victimes d'un crime et on leur a demandé leur opinion au sujet de la performance du système de justice. On les a aussi interrogé sur leurs expériences de victimisation criminelle. On a demandé aux répondants qui avaient été victimes d'un crime au cours des 12 mois précédents de fournir des précisions sur chaque incident, y compris le moment et l'endroit où il était survenu, si l'incident avait été signalé à la police et l'impact que cette expérience avait eu sur eux.
Le présent Juristat fournit un aperçu des résultats de l'Enquête sociale générale de 1999 et une comparaison de ces résultats avec ceux des enquêtes menées en 1993 et 1988.
Date de diffusion : 2000-11-02 - 3. L'homicide au Canada, 1999 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X20000098382Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Selon les dernières statistiques déclarées par la police, le taux de criminalité au Canada a fléchi pour la huitième année consécutive, étant le plus faible depuis 1979. Les statistiques des États-Unis et d’un grand nombre d’autres pays révèlent des tendances semblables. Toutefois, des données extraites d’études comme l’Enquête sociale générale (ESG) de 1993, l’Enquête internationale sur les victimes de la criminalité (EIVC) de 1996, et des sondages nationaux laissent entendre qu’un grand nombre de Canadiens ont l’impression que la criminalité augmente et craignent d’être victime d’un crime dans leur quartier. Les crimes qui inspirent le plus de crainte sont les crimes de violence, surtout l’homicide — le fait pour un être humain d’en tuer un autre — qui ont tendance à attirer davantage l’attention des médias que tout autre acte criminel. En dépit de cette préoccupation chez les Canadiens face à la violence, le taux d’homicides diminue depuis le milieu des années 70.
Date de diffusion : 2000-10-18 - Revues et périodiques : 85F0031XGéographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensement, Agglomération de recensementDescription :
Les données sur le statut d'Autochtone que renferme ce rapport sont fondées sur des données autodéclarées (recensement) et sur des données d'observation (criminalité). Elles fournissent des renseignements sur la nature et l'étendue de la criminalité chez les Autochtones en milieu urbain, en milieu rural et dans les réserves, ainsi que le profil socio-démographique de la population de la Saskatchewan.
Selon les données du Recensement de 1996, la population autochtone de la Saskatchewan a tendance à être plus jeune, à avoir des niveaux de scolarité plus faibles, des taux de chômage plus élevés, ainsi que des revenus sensiblement moindres que la population non autochtone. Les taux de criminalité dans les réserves étaient deux fois plus élevés que les taux dans les régions rurales ou urbaines de la province. Dans le cas des infractions avec violence, ils étaient près de cinq fois supérieurs à ceux des régions urbaines ou rurales. Dans les trois territoires (réserves, régions urbaines et régions rurales), une proportion plus importante d'adultes que d'adolescents étaient accusés d'une infraction avec violence ou d'une autre infraction au Code criminel. Par contraste, les adolescents étaient plus souvent inculpés d'une infraction contre les biens que de tout autre type d'infraction. Dans les régions urbaines, les personnes autochtones sont surreprésentées dans le système de justice pénale. En 1997, plus de la moitié (52 %) des personnes accusées à Prince Albert, Regina et Saskatoon étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 9 % dans la population de ces villes.
On a constaté une forte différence dans le ratio hommes-femmes entre les accusés autochtones et les accusés non autochtones. Même si la majorité de tous les accusés étaient de sexe masculin, une proportion plus élevée de femmes autochtones que de femmes non autochtones étaient accusées. Les accusés autochtones avaient tendance à être plus jeunes que les accusés non autochtones. Près du tiers (31 %) des accusés autochtones étaient âgés de 12 à 17 ans, contre 23 % des accusés non autochtones. Dans les deux villes où des données sur les victimes étaient disponibles (Regina et Prince Albert), la proportion de victimes d'infractions avec violence était plus forte chez les Autochtones que chez les non-Autochtones compte tenu de la proportion que représentent les Autochtones dans la population globale de ces villes. En 1997, 42 % des victimes à Prince Albert et à Regina étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 10 % dans la population de ces deux villes.
Date de diffusion : 2000-01-31
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- Articles et rapports : 85-002-X20000128385Géographie : Province ou territoireDescription :
En 1999, dans le cadre de son programme d'Enquête sociale générale (ESG), Statistique Canada a effectué une enquête sur la victimisation et sur les perceptions du public au sujet de la criminalité et du système de justice. Il s'agissait de la troisième fois que l'ESG examinait la victimisation, les cycles précédents ayant été menés en 1993 et 1988.
Pour l'enquête de 1999, des interviews téléphoniques ont été menées auprès d'environ 26 000 personnes de 15 ans et plus qui vivaient dans les 10 provinces. On a demandé à tous les répondants leur opinion sur le niveau de criminalité dans leur quartier, on les a interrogés sur leur crainte d'être victimes d'un crime et on leur a demandé leur opinion sur la performance du système de justice. On a également cherché à connaître leurs attitudes face à la détermination des peines à imposer aux contrevenants adultes et adolescents. De façon aléatoire, les répondants devaient se prononcer sur une situation hypothétique, de quatre possibles, pour laquelle ils devaient indiquer s'ils préféraient « une sanction privative de liberté » ou « non privative de liberté ». Les répondants qui choisissaient une peine d'emprisonnement devaient répondre à une question de suivi, à savoir si une peine de probation d'un an et de 200 heures de travaux communautaires serait une solution de rechange à l'incarcération acceptable.
Dans le présent Juristat, on examine les attitudes du public face à la détermination des peines à imposer aux contrevenants adultes et adolescents. On y analyse également les attitudes du public face à quatre secteurs du système de justice, y compris les services policiers, les tribunaux de juridiction criminelle et les systèmes carcéral et de libération conditionnelle.
Date de diffusion : 2000-12-04 - 2. La victimisation criminelle au Canada, 1999 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X20000108383Géographie : Province ou territoireDescription :
En 1999, dans le cadre de son programme d'Enquête sociale générale, Statistique Canada a effectué une enquête sur la victimisation et les perceptions du public au sujet de la criminalité et du système de justice. Il s'agissait de la troisième fois que l'Enquête sociale générale (ESG) examinait la victimisation, les cycles précédents ayant été menés en 1993 et 1988.
Pour l'enquête de 1999, des interviews téléphoniques ont été menées auprès d'environ 26 000 personnes de 15 ans et plus qui vivaient dans les 10 provinces. On a demandé à tous les répondants leur opinion au sujet du niveau de criminalité dans leur quartier, on les a interrogés au sujet de leur crainte d'être victimes d'un crime et on leur a demandé leur opinion au sujet de la performance du système de justice. On les a aussi interrogé sur leurs expériences de victimisation criminelle. On a demandé aux répondants qui avaient été victimes d'un crime au cours des 12 mois précédents de fournir des précisions sur chaque incident, y compris le moment et l'endroit où il était survenu, si l'incident avait été signalé à la police et l'impact que cette expérience avait eu sur eux.
Le présent Juristat fournit un aperçu des résultats de l'Enquête sociale générale de 1999 et une comparaison de ces résultats avec ceux des enquêtes menées en 1993 et 1988.
Date de diffusion : 2000-11-02 - 3. L'homicide au Canada, 1999 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X20000098382Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Selon les dernières statistiques déclarées par la police, le taux de criminalité au Canada a fléchi pour la huitième année consécutive, étant le plus faible depuis 1979. Les statistiques des États-Unis et d’un grand nombre d’autres pays révèlent des tendances semblables. Toutefois, des données extraites d’études comme l’Enquête sociale générale (ESG) de 1993, l’Enquête internationale sur les victimes de la criminalité (EIVC) de 1996, et des sondages nationaux laissent entendre qu’un grand nombre de Canadiens ont l’impression que la criminalité augmente et craignent d’être victime d’un crime dans leur quartier. Les crimes qui inspirent le plus de crainte sont les crimes de violence, surtout l’homicide — le fait pour un être humain d’en tuer un autre — qui ont tendance à attirer davantage l’attention des médias que tout autre acte criminel. En dépit de cette préoccupation chez les Canadiens face à la violence, le taux d’homicides diminue depuis le milieu des années 70.
Date de diffusion : 2000-10-18 - Revues et périodiques : 85F0031XGéographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensement, Agglomération de recensementDescription :
Les données sur le statut d'Autochtone que renferme ce rapport sont fondées sur des données autodéclarées (recensement) et sur des données d'observation (criminalité). Elles fournissent des renseignements sur la nature et l'étendue de la criminalité chez les Autochtones en milieu urbain, en milieu rural et dans les réserves, ainsi que le profil socio-démographique de la population de la Saskatchewan.
Selon les données du Recensement de 1996, la population autochtone de la Saskatchewan a tendance à être plus jeune, à avoir des niveaux de scolarité plus faibles, des taux de chômage plus élevés, ainsi que des revenus sensiblement moindres que la population non autochtone. Les taux de criminalité dans les réserves étaient deux fois plus élevés que les taux dans les régions rurales ou urbaines de la province. Dans le cas des infractions avec violence, ils étaient près de cinq fois supérieurs à ceux des régions urbaines ou rurales. Dans les trois territoires (réserves, régions urbaines et régions rurales), une proportion plus importante d'adultes que d'adolescents étaient accusés d'une infraction avec violence ou d'une autre infraction au Code criminel. Par contraste, les adolescents étaient plus souvent inculpés d'une infraction contre les biens que de tout autre type d'infraction. Dans les régions urbaines, les personnes autochtones sont surreprésentées dans le système de justice pénale. En 1997, plus de la moitié (52 %) des personnes accusées à Prince Albert, Regina et Saskatoon étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 9 % dans la population de ces villes.
On a constaté une forte différence dans le ratio hommes-femmes entre les accusés autochtones et les accusés non autochtones. Même si la majorité de tous les accusés étaient de sexe masculin, une proportion plus élevée de femmes autochtones que de femmes non autochtones étaient accusées. Les accusés autochtones avaient tendance à être plus jeunes que les accusés non autochtones. Près du tiers (31 %) des accusés autochtones étaient âgés de 12 à 17 ans, contre 23 % des accusés non autochtones. Dans les deux villes où des données sur les victimes étaient disponibles (Regina et Prince Albert), la proportion de victimes d'infractions avec violence était plus forte chez les Autochtones que chez les non-Autochtones compte tenu de la proportion que représentent les Autochtones dans la population globale de ces villes. En 1997, 42 % des victimes à Prince Albert et à Regina étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 10 % dans la population de ces deux villes.
Date de diffusion : 2000-01-31
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