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Tout (3)

Tout (3) ((3 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2002195
    Géographie : Canada
    Description :

    De nombreuses études ont traité du succès relatif des hommes immigrants au sein de la main-d'oeuvre salariée. Même s'ils représentent environ le sixième de la main-d'oeuvre immigrante, les travailleurs autonomes immigrants constituent un groupe relativement peu étudié. Les données de cette étude sont tirées des recensements de 1981, 1986, 1991 et 1996, afin d'évaluer le succès des hommes immigrants qui sont travailleurs autonomes (par rapport aux travailleurs autonomes nés au Canada), en se servant du succès relatif des hommes immigrants faisant partie de la main-d'oeuvre salariée comme point de référence.

    Après avoir examiné d'autres facteurs déterminants, nous constatons que les nouveaux immigrants (arrivants des cinq dernières années) sont aussi susceptibles d'être travailleurs autonomes que les hommes nés au pays, mais au fur et à mesure que les années passent, leurs chances de le devenir augmentent. Au cours des années 1990, les nouveaux immigrants étaient beaucoup plus susceptibles de travailler de façon autonome que les Canadiens nés au pays. À la longue, des cohortes successives de nouveaux immigrants ont connu de moins bons résultats sur le marché du travail rémunéré, en comparaison des travailleurs rémunérés nés au Canada. Cela n'est toutefois pas le cas pour les travailleurs autonomes. Même si les nouveaux travailleurs autonomes immigrants déclarent généralement un revenu net plus faible que ceux qui sont nés au pays, l'écart n'a pas augmenté. Il a plutôt suivi un mouvement cyclique : diminuant à son apogée et s'élargissant en période d'activité économique plus faible.

    Date de diffusion : 2002-12-09

  • Articles et rapports : 81-003-X20010036215
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans ce document de recherche, on présente les caractéristiques du travail indépendant chez les diplômés des études postsecondaires (classés selon le niveau de scolarité) pendant les cinq années qui ont suivi la remise des diplômes.

    Date de diffusion : 2002-06-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2002183
    Géographie : Canada
    Description :

    On présume souvent que les changements sur le marché du travail tels qu'un accroissement de l'incidence du travail à temps partiel ou saisonnier, du cumul de plusieurs emplois ou du travail indépendant sont régis par des variations de la demande, c'est-à-dire qu'ils résultent d'un manque de débouchés pour les emplois plus traditionnels plutôt que d'un changement des préférences des travailleurs. Pourtant, malgré l'intérêt et l'importance de la question du travail non classique, on dispose à son sujet de relativement peu de données empiriques.

    L'objectif général du présent rapport est d'exposer les résultats d'une étude empirique qui utilise l'indicateur de statut du travail indépendant disponible dans les bases de données de l'Enquête nationale auprès des diplômés (et les enquêtes de suivi). Il présente et analyse les modes de travail indépendant dans plusieurs cohortes de diplômés d'études supérieures au Canada au cours des cinq premières années suivant l'obtention de leur diplôme. Plus précisément, il fournit de solides données empiriques sur l'incidence du travail indépendant (niveaux, configurations, tendances) parmi les diplômés récents des secteurs collégial et universitaire, dans leur ensemble et selon le sexe, l'année et le niveau du diplôme. Ce document aborde aussi la question de savoir si le travail indépendant tend à être l'option privilégiée par ceux qui s'y engagent ou s'il découle d'un manque de débouchés dans les emplois dits « conventionnels », ou encore d'une combinaison des deux.

    Deux grandes conclusions se dégagent de cette analyse. Premièrement, pour les trois premières cohortes étudiées, l'incidence du travail indépendant est relativement stable. Les taux globaux se situent entre 6,5 % et 11,1 % chez les hommes et entre 3,2 % et 6,7 % chez les femmes. Les taux tendent à être supérieurs chez certains diplômés (mais pas tous) de la cohorte la plus récente (1995).

    Deuxièmement, le travail indépendant semble généralement représenter un statut professionnel relativement attrayant en moyenne : Dans chaque cohorte, les taux de travail indépendant augmentent de la première entrevue (deux ans après l'obtention du diplôme) à la seconde (cinq ans après), un intervalle durant lequel les débouchés s'améliorent généralement beaucoup pour les diplômés.Il ressort de simples comparaisons ponctuelles (transversales) des rémunérations, de l'adéquation entre emplois et qualifications scolaires ainsi que des niveaux de satisfaction au travail que, malgré des résultats un peu inégaux, le travail indépendant ne se caractérise généralement pas par des résultats moins favorables et se démarque peut-être par des niveaux de satisfaction au travail habituellement supérieurs (plutôt qu'inférieurs).Finalement, tant le modèle transversal conventionnel des rémunérations que les équations en différences premières, dans lesquelles sont neutralisés différents effets fixes susceptibles d'être corrélés avec le statut professionnel, confirment que le travail indépendant offre de meilleures rémunérations (et est donc plus attrayant) que le statut de salarié conventionnel.

    Date de diffusion : 2002-03-21
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Analyses (3)

Analyses (3) ((3 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2002195
    Géographie : Canada
    Description :

    De nombreuses études ont traité du succès relatif des hommes immigrants au sein de la main-d'oeuvre salariée. Même s'ils représentent environ le sixième de la main-d'oeuvre immigrante, les travailleurs autonomes immigrants constituent un groupe relativement peu étudié. Les données de cette étude sont tirées des recensements de 1981, 1986, 1991 et 1996, afin d'évaluer le succès des hommes immigrants qui sont travailleurs autonomes (par rapport aux travailleurs autonomes nés au Canada), en se servant du succès relatif des hommes immigrants faisant partie de la main-d'oeuvre salariée comme point de référence.

    Après avoir examiné d'autres facteurs déterminants, nous constatons que les nouveaux immigrants (arrivants des cinq dernières années) sont aussi susceptibles d'être travailleurs autonomes que les hommes nés au pays, mais au fur et à mesure que les années passent, leurs chances de le devenir augmentent. Au cours des années 1990, les nouveaux immigrants étaient beaucoup plus susceptibles de travailler de façon autonome que les Canadiens nés au pays. À la longue, des cohortes successives de nouveaux immigrants ont connu de moins bons résultats sur le marché du travail rémunéré, en comparaison des travailleurs rémunérés nés au Canada. Cela n'est toutefois pas le cas pour les travailleurs autonomes. Même si les nouveaux travailleurs autonomes immigrants déclarent généralement un revenu net plus faible que ceux qui sont nés au pays, l'écart n'a pas augmenté. Il a plutôt suivi un mouvement cyclique : diminuant à son apogée et s'élargissant en période d'activité économique plus faible.

    Date de diffusion : 2002-12-09

  • Articles et rapports : 81-003-X20010036215
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans ce document de recherche, on présente les caractéristiques du travail indépendant chez les diplômés des études postsecondaires (classés selon le niveau de scolarité) pendant les cinq années qui ont suivi la remise des diplômes.

    Date de diffusion : 2002-06-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2002183
    Géographie : Canada
    Description :

    On présume souvent que les changements sur le marché du travail tels qu'un accroissement de l'incidence du travail à temps partiel ou saisonnier, du cumul de plusieurs emplois ou du travail indépendant sont régis par des variations de la demande, c'est-à-dire qu'ils résultent d'un manque de débouchés pour les emplois plus traditionnels plutôt que d'un changement des préférences des travailleurs. Pourtant, malgré l'intérêt et l'importance de la question du travail non classique, on dispose à son sujet de relativement peu de données empiriques.

    L'objectif général du présent rapport est d'exposer les résultats d'une étude empirique qui utilise l'indicateur de statut du travail indépendant disponible dans les bases de données de l'Enquête nationale auprès des diplômés (et les enquêtes de suivi). Il présente et analyse les modes de travail indépendant dans plusieurs cohortes de diplômés d'études supérieures au Canada au cours des cinq premières années suivant l'obtention de leur diplôme. Plus précisément, il fournit de solides données empiriques sur l'incidence du travail indépendant (niveaux, configurations, tendances) parmi les diplômés récents des secteurs collégial et universitaire, dans leur ensemble et selon le sexe, l'année et le niveau du diplôme. Ce document aborde aussi la question de savoir si le travail indépendant tend à être l'option privilégiée par ceux qui s'y engagent ou s'il découle d'un manque de débouchés dans les emplois dits « conventionnels », ou encore d'une combinaison des deux.

    Deux grandes conclusions se dégagent de cette analyse. Premièrement, pour les trois premières cohortes étudiées, l'incidence du travail indépendant est relativement stable. Les taux globaux se situent entre 6,5 % et 11,1 % chez les hommes et entre 3,2 % et 6,7 % chez les femmes. Les taux tendent à être supérieurs chez certains diplômés (mais pas tous) de la cohorte la plus récente (1995).

    Deuxièmement, le travail indépendant semble généralement représenter un statut professionnel relativement attrayant en moyenne : Dans chaque cohorte, les taux de travail indépendant augmentent de la première entrevue (deux ans après l'obtention du diplôme) à la seconde (cinq ans après), un intervalle durant lequel les débouchés s'améliorent généralement beaucoup pour les diplômés.Il ressort de simples comparaisons ponctuelles (transversales) des rémunérations, de l'adéquation entre emplois et qualifications scolaires ainsi que des niveaux de satisfaction au travail que, malgré des résultats un peu inégaux, le travail indépendant ne se caractérise généralement pas par des résultats moins favorables et se démarque peut-être par des niveaux de satisfaction au travail habituellement supérieurs (plutôt qu'inférieurs).Finalement, tant le modèle transversal conventionnel des rémunérations que les équations en différences premières, dans lesquelles sont neutralisés différents effets fixes susceptibles d'être corrélés avec le statut professionnel, confirment que le travail indépendant offre de meilleures rémunérations (et est donc plus attrayant) que le statut de salarié conventionnel.

    Date de diffusion : 2002-03-21
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