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Enquête ou programme statistique

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  • Articles et rapports : 11F0019M2001180
    Géographie : Province ou territoire
    Description :

    La présente étude examine les différences de productivité (PIB par emploi) entre les provinces au moyen d'une analyse de décomposition et d'une analyse de régression. Dans un premier temps, nous établissons l'ordre de grandeur des différences de productivité entre les provinces, puis nous décomposons ces différences en deux éléments, à savoir, les différences de composition industrielle et les différences de productivité « réelle » au niveau des branches d'activité. Nous examinons aussi le rôle que jouent les « nouveau » et « ancien » secteurs de l'économie dans les différences de productivité entre les provinces. Enfin, nous procédons à une analyse de régression afin de déterminer la signification statistique des différences de productivité entre les provinces. Nous en arrivons à la conclusion que la Colombie-Britannique, l'Alberta, la Saskatchewan, l'Ontario et le Québec ne diffèrent pas sensiblement pour ce qui est du PIB par emploi si l'on tient compte des différences de composition. Le Manitoba et les provinces de l'Atlantique, pour leur part, accusent un retard sur les autres provinces. L'écart est attribuable surtout aux différences « réelles » au niveau des branches plutôt qu'aux différences de composition. La forte performance de l'Alberta et de la Saskatchewan doit beaucoup au secteur des ressources naturelles.

    Date de diffusion : 2001-12-06

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 81-588-X
    Description :

    L'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) est une enquête longitudinale visant à recueillir des renseignements utiles pour l'élaboration des politiques relativement aux transitions école-travail et aux facteurs influant sur les cheminements. L'EJET servira d'outil pour des recherches et des analyses ultérieures sur les transitions majeures dans la vie des jeunes, principalement entre l'école, la formation et le travail. Les renseignements provenant de l'enquête et les recherches fondées sur l'enquête permettront de clarifier la nature et les causes des défis à court et à long terme auxquels sont confrontés les jeunes dans les transitions école-travail et contribueront à la planification des politiques et à la prise de décision en vue de prévenir ou de résoudre ces problèmes.

    Les objectifs de l'Enquête auprès des jeunes en transition ont été établis après une vaste consultation auprès des parties qui s'intéressent aux jeunes et aux transitions école-travail. Le contenu comprend l'évaluation des transitions majeures dans la vie des jeunes, notamment la quasi totalité de leurs expériences scolaires et la plupart de leurs expériences de travail. Les facteurs ayant une incidence sur les transitions, inclus notamment les antécédents familiaux, les expériences scolaires, la réussite, les aspirations et les attentes face à l'école, ainsi que les expériences de travail.

    Le plan de mise en oeuvre prévoit une enquête longitudinale devant être réalisée tous les deux ans pour chacune des deux cohortes d'âge. Les données de la cohorte de 15 ans permettront d'analyser les répercussions à long terme des transitions école-travail. Les données de la cohorte de 18-20 ans permettront d'obtenir des renseignements immédiats, utiles pour l'élaboration des politiques en ce qui a trait aux jeunes adultes sur le marché du travail.

    Le Cycle 1 pour la cohorte de 15 ans permettra de recueillir des données auprès des jeunes, de leurs parents et des directeurs d'école. Le plan d'échantillonnage prévoit un cadre axé sur l'école et permettant la sélection des écoles, et ensuite des individus dans les écoles. Ce plan permettra l'analyse de l'influence de l'école, domaine de recherche qui n'est pas pris en considération dans d'autres enquêtes de Statistique Canada. Les méthodes de collecte des données comprennent un questionnaire rempli par les jeunes et par les directeurs d'école, une entrevue téléphonique auprès des parents et l'évaluation des compétences des jeunes pour la lecture, les sciences et les mathématiques, comme il est prévu avec l'intégration de l'EJET au Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) de l'OCDE. Une enquête pilote a été réalisée en avril 1999 et l'enquête principale a été réalisée en avril et mai 2000. Un échantillon de 30 000 élèves âgés de 15 ans fut prélevé dans environ 1 000 écoles du Canada.

    Le plan d'échantillonnage pour la cohorte de 18-20 ans est celui d'une enquête-ménage. Les données sont recueillies par entrevue téléphonique assistée par ordinateur. L'enquête pilote a été réalisée en janvier 1999. Durant les mois de janvier à février 2000, 23 000 jeunes ont participé à la collecte des données de l'enquête principale.

    Les données pour les deux cohortes devraient être disponibles en 2001. Après la publication du premier rapport international portant sur le projet PISA de l'OCDE et le premier rapport national, les données seront accessibles au public, ce qui permettra l'examen détaillé des divers aspects du contenu.

    Date de diffusion : 2001-04-11

  • Articles et rapports : 11F0019M2001155
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude chercher à vérifier si les tendances émergentes et celles déjà bien visibles du marché du travail des années 90 se sont inversées sous la pression de la robuste croissance économique de 1997-1999. Plus particulièrement, elle analyse la montée spectaculaire du travail indépendant, les tendances de la stabilité de l'emploi et le faible taux d'emploi des jeunes dans les années 90. La solide croissance économique de 1997-1999 ne semble pas avoir ralenti la progression du travail indépendant, ni ébranlé la stabilité de l'emploi, ni propulsé les taux d'emploi des jeunes. Pour le travail indépendant, cela amène à conclure que la progression observée dans les années 90 n'était pas d'abord et avant tout le fait d'un relâchement de la demande de main-d'oeuvre qui aurait forcé les travailleurs à créer leur propre emploi. La stabilité de l'emploi a augmenté pendant une bonne partie des années 90, sous la poussée d'un faible taux de cessation volontaire, associé à une faible embauche. Les meilleures données actuellement disponibles révèlent que les taux de cessation volontaire en particulier sont demeurés relativement bas (compte tenu du stade d'avancement du cycle économique), et que la durée de conservation des emplois est demeurée élevée. Il y a peu d'indices de détérioration de la stabilité de l'emploi chez les travailleurs rémunérés dans les années 90. Le retard qu'ont pu accuser les taux d'emploi des jeunes vient dans une large mesure de la plus grande propension des jeunes à demeurer aux études. Les étudiants ont un taux d'emploi moins élevé et, lorsque les jeunes commencent à former une plus grande proportion des travailleurs, le taux d'emploi d'ensemble pour les jeunes diminue. Cette propension des jeunes à demeurer aux études n'a pas diminué en 1997-1999, si bien que les taux d'emploi des jeunes demeurent faibles, comparativement au passé.

    Date de diffusion : 2001-04-04

  • Articles et rapports : 81-003-X20000025524
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans cette étude, on examine la mesure dans laquelle les diplômés de l'enseignement postsecondaire font usage des compétences qu'ils ont acquises et la correspondance entre leurs années de scolarité et les exigences du poste qu'ils occupent.

    Date de diffusion : 2001-03-01

  • Articles et rapports : 11F0019M2001157
    Géographie : Canada
    Description :

    À partir des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR), nous avons tenté de déterminer dans quelle mesure des facteurs qui n'avaient pas encore été étudiés dans le contexte canadien contribuent aux différences salariales entre les hommes et les femmes. Comme d'autres études qui emploient et les techniques de décomposition standard et tiennent compte de l'effet d'une gamme de caractéristiques liées à la productivité, la présente étude démontre que les hommes sont toujours avantagés sur le plan salarial par rapport aux femmes : le taux horaire moyen des femmes est d'environ 84 %, soit 89 % du taux moyen des hommes. Contrairement à d'autres études, nous avons tenu compte de l'effet de l'expérience de travail et des responsabilités professionnelles. Les différences entre les sexes pour ce qui est des équivalents d'années complètes de travail à temps plein expliquent au plus 12 % de l'écart entre les salaires des hommes et des femmes. Par ailleurs, les différences entre les sexes quant à la possibilité d'occuper des postes de supervision et d'exercer certaines fonctions expliquent environ 5 % de l'écart salarial. Pourtant, malgré la longue liste de facteurs liés à la productivité, une fraction considérable de l'écart entre les salaires des hommes et des femmes demeure inexpliquée.

    Nombreuses sont les études qui s'appuient sur des mesures de l'âge ou de l'expérience possible (années d'âge diminuées des années de scolarité et de six ans) comme variable de substitution décrivant l'expérience du marché du travail. Ni l'une ni l'autre de ces mesures ne tient compte des passages complets à l'inactivité, ni des restrictions sur le plan du nombre d'heures de travail par semaine ou du nombre de semaines travaillées par an à cause d'obligations familiales. Les résultats indiquent que les variables de substitution donnent de plus grands écarts salariaux rajustés entre les sexes que la variable de l'expérience effective.

    Date de diffusion : 2001-01-30
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Analyses (4)

Analyses (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2001180
    Géographie : Province ou territoire
    Description :

    La présente étude examine les différences de productivité (PIB par emploi) entre les provinces au moyen d'une analyse de décomposition et d'une analyse de régression. Dans un premier temps, nous établissons l'ordre de grandeur des différences de productivité entre les provinces, puis nous décomposons ces différences en deux éléments, à savoir, les différences de composition industrielle et les différences de productivité « réelle » au niveau des branches d'activité. Nous examinons aussi le rôle que jouent les « nouveau » et « ancien » secteurs de l'économie dans les différences de productivité entre les provinces. Enfin, nous procédons à une analyse de régression afin de déterminer la signification statistique des différences de productivité entre les provinces. Nous en arrivons à la conclusion que la Colombie-Britannique, l'Alberta, la Saskatchewan, l'Ontario et le Québec ne diffèrent pas sensiblement pour ce qui est du PIB par emploi si l'on tient compte des différences de composition. Le Manitoba et les provinces de l'Atlantique, pour leur part, accusent un retard sur les autres provinces. L'écart est attribuable surtout aux différences « réelles » au niveau des branches plutôt qu'aux différences de composition. La forte performance de l'Alberta et de la Saskatchewan doit beaucoup au secteur des ressources naturelles.

    Date de diffusion : 2001-12-06

  • Articles et rapports : 11F0019M2001155
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude chercher à vérifier si les tendances émergentes et celles déjà bien visibles du marché du travail des années 90 se sont inversées sous la pression de la robuste croissance économique de 1997-1999. Plus particulièrement, elle analyse la montée spectaculaire du travail indépendant, les tendances de la stabilité de l'emploi et le faible taux d'emploi des jeunes dans les années 90. La solide croissance économique de 1997-1999 ne semble pas avoir ralenti la progression du travail indépendant, ni ébranlé la stabilité de l'emploi, ni propulsé les taux d'emploi des jeunes. Pour le travail indépendant, cela amène à conclure que la progression observée dans les années 90 n'était pas d'abord et avant tout le fait d'un relâchement de la demande de main-d'oeuvre qui aurait forcé les travailleurs à créer leur propre emploi. La stabilité de l'emploi a augmenté pendant une bonne partie des années 90, sous la poussée d'un faible taux de cessation volontaire, associé à une faible embauche. Les meilleures données actuellement disponibles révèlent que les taux de cessation volontaire en particulier sont demeurés relativement bas (compte tenu du stade d'avancement du cycle économique), et que la durée de conservation des emplois est demeurée élevée. Il y a peu d'indices de détérioration de la stabilité de l'emploi chez les travailleurs rémunérés dans les années 90. Le retard qu'ont pu accuser les taux d'emploi des jeunes vient dans une large mesure de la plus grande propension des jeunes à demeurer aux études. Les étudiants ont un taux d'emploi moins élevé et, lorsque les jeunes commencent à former une plus grande proportion des travailleurs, le taux d'emploi d'ensemble pour les jeunes diminue. Cette propension des jeunes à demeurer aux études n'a pas diminué en 1997-1999, si bien que les taux d'emploi des jeunes demeurent faibles, comparativement au passé.

    Date de diffusion : 2001-04-04

  • Articles et rapports : 81-003-X20000025524
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans cette étude, on examine la mesure dans laquelle les diplômés de l'enseignement postsecondaire font usage des compétences qu'ils ont acquises et la correspondance entre leurs années de scolarité et les exigences du poste qu'ils occupent.

    Date de diffusion : 2001-03-01

  • Articles et rapports : 11F0019M2001157
    Géographie : Canada
    Description :

    À partir des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR), nous avons tenté de déterminer dans quelle mesure des facteurs qui n'avaient pas encore été étudiés dans le contexte canadien contribuent aux différences salariales entre les hommes et les femmes. Comme d'autres études qui emploient et les techniques de décomposition standard et tiennent compte de l'effet d'une gamme de caractéristiques liées à la productivité, la présente étude démontre que les hommes sont toujours avantagés sur le plan salarial par rapport aux femmes : le taux horaire moyen des femmes est d'environ 84 %, soit 89 % du taux moyen des hommes. Contrairement à d'autres études, nous avons tenu compte de l'effet de l'expérience de travail et des responsabilités professionnelles. Les différences entre les sexes pour ce qui est des équivalents d'années complètes de travail à temps plein expliquent au plus 12 % de l'écart entre les salaires des hommes et des femmes. Par ailleurs, les différences entre les sexes quant à la possibilité d'occuper des postes de supervision et d'exercer certaines fonctions expliquent environ 5 % de l'écart salarial. Pourtant, malgré la longue liste de facteurs liés à la productivité, une fraction considérable de l'écart entre les salaires des hommes et des femmes demeure inexpliquée.

    Nombreuses sont les études qui s'appuient sur des mesures de l'âge ou de l'expérience possible (années d'âge diminuées des années de scolarité et de six ans) comme variable de substitution décrivant l'expérience du marché du travail. Ni l'une ni l'autre de ces mesures ne tient compte des passages complets à l'inactivité, ni des restrictions sur le plan du nombre d'heures de travail par semaine ou du nombre de semaines travaillées par an à cause d'obligations familiales. Les résultats indiquent que les variables de substitution donnent de plus grands écarts salariaux rajustés entre les sexes que la variable de l'expérience effective.

    Date de diffusion : 2001-01-30
Références (1)

Références (1) ((1 résultat))

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 81-588-X
    Description :

    L'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) est une enquête longitudinale visant à recueillir des renseignements utiles pour l'élaboration des politiques relativement aux transitions école-travail et aux facteurs influant sur les cheminements. L'EJET servira d'outil pour des recherches et des analyses ultérieures sur les transitions majeures dans la vie des jeunes, principalement entre l'école, la formation et le travail. Les renseignements provenant de l'enquête et les recherches fondées sur l'enquête permettront de clarifier la nature et les causes des défis à court et à long terme auxquels sont confrontés les jeunes dans les transitions école-travail et contribueront à la planification des politiques et à la prise de décision en vue de prévenir ou de résoudre ces problèmes.

    Les objectifs de l'Enquête auprès des jeunes en transition ont été établis après une vaste consultation auprès des parties qui s'intéressent aux jeunes et aux transitions école-travail. Le contenu comprend l'évaluation des transitions majeures dans la vie des jeunes, notamment la quasi totalité de leurs expériences scolaires et la plupart de leurs expériences de travail. Les facteurs ayant une incidence sur les transitions, inclus notamment les antécédents familiaux, les expériences scolaires, la réussite, les aspirations et les attentes face à l'école, ainsi que les expériences de travail.

    Le plan de mise en oeuvre prévoit une enquête longitudinale devant être réalisée tous les deux ans pour chacune des deux cohortes d'âge. Les données de la cohorte de 15 ans permettront d'analyser les répercussions à long terme des transitions école-travail. Les données de la cohorte de 18-20 ans permettront d'obtenir des renseignements immédiats, utiles pour l'élaboration des politiques en ce qui a trait aux jeunes adultes sur le marché du travail.

    Le Cycle 1 pour la cohorte de 15 ans permettra de recueillir des données auprès des jeunes, de leurs parents et des directeurs d'école. Le plan d'échantillonnage prévoit un cadre axé sur l'école et permettant la sélection des écoles, et ensuite des individus dans les écoles. Ce plan permettra l'analyse de l'influence de l'école, domaine de recherche qui n'est pas pris en considération dans d'autres enquêtes de Statistique Canada. Les méthodes de collecte des données comprennent un questionnaire rempli par les jeunes et par les directeurs d'école, une entrevue téléphonique auprès des parents et l'évaluation des compétences des jeunes pour la lecture, les sciences et les mathématiques, comme il est prévu avec l'intégration de l'EJET au Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) de l'OCDE. Une enquête pilote a été réalisée en avril 1999 et l'enquête principale a été réalisée en avril et mai 2000. Un échantillon de 30 000 élèves âgés de 15 ans fut prélevé dans environ 1 000 écoles du Canada.

    Le plan d'échantillonnage pour la cohorte de 18-20 ans est celui d'une enquête-ménage. Les données sont recueillies par entrevue téléphonique assistée par ordinateur. L'enquête pilote a été réalisée en janvier 1999. Durant les mois de janvier à février 2000, 23 000 jeunes ont participé à la collecte des données de l'enquête principale.

    Les données pour les deux cohortes devraient être disponibles en 2001. Après la publication du premier rapport international portant sur le projet PISA de l'OCDE et le premier rapport national, les données seront accessibles au public, ce qui permettra l'examen détaillé des divers aspects du contenu.

    Date de diffusion : 2001-04-11
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