Recherche par mot-clé

Filtrer les résultats par

Aide à la recherche
Currently selected filters that can be removed

Mot(s)-clé(s)

Type

1 facets displayed. 0 facets selected.

Année de publication

1 facets displayed. 1 facets selected.

Géographie

2 facets displayed. 0 facets selected.
Aide à l'ordre
entrées

Résultats

Tout (7)

Tout (7) ((7 résultats))

  • Articles et rapports : 11-010-X20050108758
    Géographie : Canada
    Description :

    L'essor présent du secteur du logement n'est pas seulement attribuable au bas niveau des taux d'intérêt, mais aussi à un certain nombre d'autres facteurs comme les changements démographiques, la migration et la formation des ménages. Ces facteurs continueront de soutenir le marché même si les taux d'intérêt se mettent à augmenter.

    Date de diffusion : 2005-10-13

  • Articles et rapports : 11-008-X20050028451
    Géographie : Canada
    Description :

    L'âge entraîne certaines restrictions qui influent sur le lieu de résidence, le mode d'habitation et les personnes qui partagent un logement. Le logement à prix abordable peut être un sujet de préoccupation pour les aînés. Cette préoccupation peut revêtir une importance particulière aux yeux des personnes âgées qui perdent leur conjoint et dont le revenu du ménage est réduit alors que les coûts d'habitation demeurent inchangés. À l'aide des données du Recensement de la population de 2001 et de l'Enquête sociale générale (ESG) de 2002, on examine, dans le présent article, la situation des personnes âgées afin de déterminer avec qui elles vivent et l'abordabilité de leur logement.

    Date de diffusion : 2005-09-13

  • Articles et rapports : 75F0002M2005010
    Description :

    Depuis un certain temps, la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) utilise les données du Recensement de la population sur les caractéristiques du logement et les dépenses liées au logement. Bien que la source de données que constitue le recensement réponde dans une large mesure aux besoins de la SCHL, cet organisme du gouvernement fédéral a exploité les enquêtes-ménages annuelles de Statistique Canada pour obtenir des renseignements plus fréquents. Cela devait lui permettre d'avoir une image plus fidèle des tendances annuelles, et peut-être d'avoir un plus grand choix d'autres caractéristiques pour le recoupement des données sur le logement des ménages canadiens. En 2001, la SCHL a commencé à commanditer des questions supplémentaires à la fois dans l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) et dans l'Enquête sur les dépenses des ménages (EDM), à compter de l'année de référence 2002.

    Date de diffusion : 2005-07-22

  • Articles et rapports : 75-001-X200510313137
    Géographie : Canada
    Description :

    On considère de plus en plus que les recettes dont disposent les municipalités ne suffisent pas à financer les programmes qui relèvent de leurs responsabilités. Les impôts fonciers (résidentiels et non résidentiels) sont de loin la plus importante source des recettes municipales (35 % en 2003, contre 30 % en 1988). Mais les impôts fonciers résidentiels sont communément jugés régressifs par rapport au revenu. À partir du Recensement de la population de 2001, cette étude tente de quantifier la régressivité des impôts fonciers résidentiels dans les municipalités canadiennes et d'examiner si les impôts régressifs sont généralement attribuables aux personnes âgées à faible revenu qui vivent dans des maisons chères.

    Date de diffusion : 2005-06-20

  • Articles et rapports : 11F0019M2005253
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée Les immigrants achètent-ils pour s'intégrer? : Le rôle du regroupement ethnique dans la propension à devenir propriétaire chez douze groupes d'immigrants à Toronto, 1996 à 2001. La théorie de l'assimilation spatiale est un modèle d'accession à un statut social reliant les positions spatiale et sociale des membres des groupes minoritaires (Massey et Denton, 1985). Lorsqu'on l'applique aux immigrants, le modèle fait ressortir que ceux ci se regrouperont d'abord dans des quartiers typiquement pauvres, où il existe des concentrations élevées de membres de la même collectivité ethnique, mais que cette concentration ethnique est temporaire et perd de son utilité au fil du temps. Dès que le statut socioéconomique de la famille de l'immigrant s'améliore, celle ci s'intègre dans le secteur résidentiel général et s'installe dans un meilleur quartier, où il existe généralement une moins grande ségrégation résidentielle (Massey et Denton, 1985). Par ailleurs, même si le mode d'occupation du logement ne constitue pas une dimension explicite de la théorie de l'assimilation spatiale, compte tenu de la relation bien établie entre le revenu, le capital humain et l'accession à la propriété (Balakrishnan et Wu, 1992; Laryea, 1999), de même que de l'importance de l'accession à la propriété en tant qu'indicateur de bien être et d'assimilation résidentielle (Myers et Lee, 1998), un des éléments de l'ascension socioéconomique d'une famille d'immigrants est la transition de l'état de locataire à celui de propriétaire (Alba et Logan, 1992). Toujours selon la théorie de l'assimilation spatiale, la concentration de membres d'un même groupe devrait être inversement corrélée à l'accession à la propriété, les enclaves ethniques étant généralement perçues comme des zones à logements locatifs pauvres (Fong et Gulia, 1999; Myles et Hou, 2004).

    Selon des recherches récentes (Alba et Nee, 2003; Logan, Alba et Zhang, 2002), toutefois, certains groupes d'immigrants pourraient choisir d'aller à l'encontre de l'assimilation spatiale en formant des « collectivités ethniques » durables (Logan, Alba et Zhang, 2002), exerçant ainsi un « effet d'enclave » positif et croissant sur l'accession à la propriété (Borjas, 2002). Dans le présent rapport, nous évaluons la possibilité d'un effet d'enclave en tant qu'explication des profils d'accession à la propriété observés entre 1996 et 2001 chez les douze plus grands groupes de nouveaux immigrants à Toronto. Au moyen de données sur la composition ethnique des quartiers longitudinalement cohérentes et temporellement antécédentes à 1996, nous déterminons si les immigrants choisissent d'acheter une maison en dehors de leur enclave, ou préfèrent un quartier habité par des membres du même groupe qu'eux qui sont propriétaires de leur logement. À cette fin, nous passons en revue les avantages qu'il pourrait y avoir à vivre dans une enclave et à y acheter une maison. Puis nous élaborons un cadre prédictif, en vue de déterminer quels groupes seraient susceptibles de bénéficier de la création de collectivités ethniques de propriétaires. Nous présentons ensuite le problème du « déséquilibre par rapport au quartier » et nous évaluons l'effet d'enclave sur l'accession à la propriété à partir d'un échantillon de nouveaux résidents (1996 à 2001) et des caractéristiques ethniques du quartier où ils habitaient en 1996, au moyen de modèles probit bivariés avec correction pour la sélection de l'échantillon (Van de Ven et Van Praag, 1981).

    Date de diffusion : 2005-05-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2005238
    Géographie : Canada, Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Par le passé, les familles d'immigrants en âge de travailler dans les grandes agglomérations urbaines du Canada présentaient des taux de propriété de l'habitation supérieurs à ceux de la population de souche. Ces 20 dernières années cependant, l'avantage est passé à la population de souche à cause tant d'une baisse des taux d'immigration que d'une hausse des taux de propriété chez les Canadiens nés au pays. Mon propos sera d'évaluer l'efficacité des modèles standard des choix de consommation avec des indicateurs comme ceux de l'âge, du revenu, de la scolarité et du type de familles et avec plusieurs caractéristiques des immigrants comme éléments d'explication de cette évolution. Je constaterai que le modèle standard explique presque entièrement l'avantage dont jouissaient les immigrants en matière de propriété en 1981, ainsi que la montée des taux de propriété au fil des ans dans la population de souche. Le modèle standard explique toutefois le tiers seulement en gros de l'évolution des taux de 1981 à 2001 dans la population immigrante même après prise en compte de la baisse bien connue des fortunes économiques des immigrants. J'examinerai certaines des conséquences de cette sous-explication et ferai plusieurs recommandations de recherches complémentaires.

    Date de diffusion : 2005-02-03

  • Articles et rapports : 89-613-M2004005
    Géographie : Canada
    Description :

    Le rapport traite des tendances du marché de l'habitation et de la qualité, de la logeabilité et de l'abordabilité des logements, ainsi que des besoins impérieux de logement dans les régions métropolitaines de recensement (RMR), de 1991 à 2001.

    Le rapport commence par une revue des tendances observées dans la population et sur le marché de l'habitation. Il comprend une analyse de l'évolution des prix des maisons, des loyers et des revenus au cours des années 1990 ainsi que des facteurs qui sous-tendaient la croissance de la demande de logement à la fin de la décennie. Sur cette toile de fond, les chapitres suivants traitent de la qualité du logement des ménages vivant dans les RMR en 1991, 1996 et 2001. Les ménages qui ne vivent pas dans un logement acceptable et qui n'ont pas suffisamment de revenu pour accéder à un tel logement sont réputés avoir des besoins impérieux de logement. Le dernier chapitre du rapport explore la distribution spatiale des besoins impérieux de logement dans les RMR en 2001 et les caractéristiques des quartiers où les besoins impérieux de logement étaient le plus répandus.

    Cette publication n'est pas disponible. Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec Andrew Heisz au 613-951-3748 ou Sébastien Larochelle-Côté au 613-951-0803.

    Date de diffusion : 2005-01-05
Données (0)

Données (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Analyses (7)

Analyses (7) ((7 résultats))

  • Articles et rapports : 11-010-X20050108758
    Géographie : Canada
    Description :

    L'essor présent du secteur du logement n'est pas seulement attribuable au bas niveau des taux d'intérêt, mais aussi à un certain nombre d'autres facteurs comme les changements démographiques, la migration et la formation des ménages. Ces facteurs continueront de soutenir le marché même si les taux d'intérêt se mettent à augmenter.

    Date de diffusion : 2005-10-13

  • Articles et rapports : 11-008-X20050028451
    Géographie : Canada
    Description :

    L'âge entraîne certaines restrictions qui influent sur le lieu de résidence, le mode d'habitation et les personnes qui partagent un logement. Le logement à prix abordable peut être un sujet de préoccupation pour les aînés. Cette préoccupation peut revêtir une importance particulière aux yeux des personnes âgées qui perdent leur conjoint et dont le revenu du ménage est réduit alors que les coûts d'habitation demeurent inchangés. À l'aide des données du Recensement de la population de 2001 et de l'Enquête sociale générale (ESG) de 2002, on examine, dans le présent article, la situation des personnes âgées afin de déterminer avec qui elles vivent et l'abordabilité de leur logement.

    Date de diffusion : 2005-09-13

  • Articles et rapports : 75F0002M2005010
    Description :

    Depuis un certain temps, la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) utilise les données du Recensement de la population sur les caractéristiques du logement et les dépenses liées au logement. Bien que la source de données que constitue le recensement réponde dans une large mesure aux besoins de la SCHL, cet organisme du gouvernement fédéral a exploité les enquêtes-ménages annuelles de Statistique Canada pour obtenir des renseignements plus fréquents. Cela devait lui permettre d'avoir une image plus fidèle des tendances annuelles, et peut-être d'avoir un plus grand choix d'autres caractéristiques pour le recoupement des données sur le logement des ménages canadiens. En 2001, la SCHL a commencé à commanditer des questions supplémentaires à la fois dans l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) et dans l'Enquête sur les dépenses des ménages (EDM), à compter de l'année de référence 2002.

    Date de diffusion : 2005-07-22

  • Articles et rapports : 75-001-X200510313137
    Géographie : Canada
    Description :

    On considère de plus en plus que les recettes dont disposent les municipalités ne suffisent pas à financer les programmes qui relèvent de leurs responsabilités. Les impôts fonciers (résidentiels et non résidentiels) sont de loin la plus importante source des recettes municipales (35 % en 2003, contre 30 % en 1988). Mais les impôts fonciers résidentiels sont communément jugés régressifs par rapport au revenu. À partir du Recensement de la population de 2001, cette étude tente de quantifier la régressivité des impôts fonciers résidentiels dans les municipalités canadiennes et d'examiner si les impôts régressifs sont généralement attribuables aux personnes âgées à faible revenu qui vivent dans des maisons chères.

    Date de diffusion : 2005-06-20

  • Articles et rapports : 11F0019M2005253
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée Les immigrants achètent-ils pour s'intégrer? : Le rôle du regroupement ethnique dans la propension à devenir propriétaire chez douze groupes d'immigrants à Toronto, 1996 à 2001. La théorie de l'assimilation spatiale est un modèle d'accession à un statut social reliant les positions spatiale et sociale des membres des groupes minoritaires (Massey et Denton, 1985). Lorsqu'on l'applique aux immigrants, le modèle fait ressortir que ceux ci se regrouperont d'abord dans des quartiers typiquement pauvres, où il existe des concentrations élevées de membres de la même collectivité ethnique, mais que cette concentration ethnique est temporaire et perd de son utilité au fil du temps. Dès que le statut socioéconomique de la famille de l'immigrant s'améliore, celle ci s'intègre dans le secteur résidentiel général et s'installe dans un meilleur quartier, où il existe généralement une moins grande ségrégation résidentielle (Massey et Denton, 1985). Par ailleurs, même si le mode d'occupation du logement ne constitue pas une dimension explicite de la théorie de l'assimilation spatiale, compte tenu de la relation bien établie entre le revenu, le capital humain et l'accession à la propriété (Balakrishnan et Wu, 1992; Laryea, 1999), de même que de l'importance de l'accession à la propriété en tant qu'indicateur de bien être et d'assimilation résidentielle (Myers et Lee, 1998), un des éléments de l'ascension socioéconomique d'une famille d'immigrants est la transition de l'état de locataire à celui de propriétaire (Alba et Logan, 1992). Toujours selon la théorie de l'assimilation spatiale, la concentration de membres d'un même groupe devrait être inversement corrélée à l'accession à la propriété, les enclaves ethniques étant généralement perçues comme des zones à logements locatifs pauvres (Fong et Gulia, 1999; Myles et Hou, 2004).

    Selon des recherches récentes (Alba et Nee, 2003; Logan, Alba et Zhang, 2002), toutefois, certains groupes d'immigrants pourraient choisir d'aller à l'encontre de l'assimilation spatiale en formant des « collectivités ethniques » durables (Logan, Alba et Zhang, 2002), exerçant ainsi un « effet d'enclave » positif et croissant sur l'accession à la propriété (Borjas, 2002). Dans le présent rapport, nous évaluons la possibilité d'un effet d'enclave en tant qu'explication des profils d'accession à la propriété observés entre 1996 et 2001 chez les douze plus grands groupes de nouveaux immigrants à Toronto. Au moyen de données sur la composition ethnique des quartiers longitudinalement cohérentes et temporellement antécédentes à 1996, nous déterminons si les immigrants choisissent d'acheter une maison en dehors de leur enclave, ou préfèrent un quartier habité par des membres du même groupe qu'eux qui sont propriétaires de leur logement. À cette fin, nous passons en revue les avantages qu'il pourrait y avoir à vivre dans une enclave et à y acheter une maison. Puis nous élaborons un cadre prédictif, en vue de déterminer quels groupes seraient susceptibles de bénéficier de la création de collectivités ethniques de propriétaires. Nous présentons ensuite le problème du « déséquilibre par rapport au quartier » et nous évaluons l'effet d'enclave sur l'accession à la propriété à partir d'un échantillon de nouveaux résidents (1996 à 2001) et des caractéristiques ethniques du quartier où ils habitaient en 1996, au moyen de modèles probit bivariés avec correction pour la sélection de l'échantillon (Van de Ven et Van Praag, 1981).

    Date de diffusion : 2005-05-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2005238
    Géographie : Canada, Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Par le passé, les familles d'immigrants en âge de travailler dans les grandes agglomérations urbaines du Canada présentaient des taux de propriété de l'habitation supérieurs à ceux de la population de souche. Ces 20 dernières années cependant, l'avantage est passé à la population de souche à cause tant d'une baisse des taux d'immigration que d'une hausse des taux de propriété chez les Canadiens nés au pays. Mon propos sera d'évaluer l'efficacité des modèles standard des choix de consommation avec des indicateurs comme ceux de l'âge, du revenu, de la scolarité et du type de familles et avec plusieurs caractéristiques des immigrants comme éléments d'explication de cette évolution. Je constaterai que le modèle standard explique presque entièrement l'avantage dont jouissaient les immigrants en matière de propriété en 1981, ainsi que la montée des taux de propriété au fil des ans dans la population de souche. Le modèle standard explique toutefois le tiers seulement en gros de l'évolution des taux de 1981 à 2001 dans la population immigrante même après prise en compte de la baisse bien connue des fortunes économiques des immigrants. J'examinerai certaines des conséquences de cette sous-explication et ferai plusieurs recommandations de recherches complémentaires.

    Date de diffusion : 2005-02-03

  • Articles et rapports : 89-613-M2004005
    Géographie : Canada
    Description :

    Le rapport traite des tendances du marché de l'habitation et de la qualité, de la logeabilité et de l'abordabilité des logements, ainsi que des besoins impérieux de logement dans les régions métropolitaines de recensement (RMR), de 1991 à 2001.

    Le rapport commence par une revue des tendances observées dans la population et sur le marché de l'habitation. Il comprend une analyse de l'évolution des prix des maisons, des loyers et des revenus au cours des années 1990 ainsi que des facteurs qui sous-tendaient la croissance de la demande de logement à la fin de la décennie. Sur cette toile de fond, les chapitres suivants traitent de la qualité du logement des ménages vivant dans les RMR en 1991, 1996 et 2001. Les ménages qui ne vivent pas dans un logement acceptable et qui n'ont pas suffisamment de revenu pour accéder à un tel logement sont réputés avoir des besoins impérieux de logement. Le dernier chapitre du rapport explore la distribution spatiale des besoins impérieux de logement dans les RMR en 2001 et les caractéristiques des quartiers où les besoins impérieux de logement étaient le plus répandus.

    Cette publication n'est pas disponible. Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec Andrew Heisz au 613-951-3748 ou Sébastien Larochelle-Côté au 613-951-0803.

    Date de diffusion : 2005-01-05
Références (0)

Références (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Date de modification :