Graphique 4
Homicides attribuables à des gangs, selon la méthode utilisée pour causer la mort, Canada, 2007 à 2020
Note(s) :
Ces données existent depuis 1991. Un homicide est considéré comme attribuable à des gangs lorsque la police confirme ou soupçonne que l'auteur présumé ou la victime de l'homicide était un membre ou un membre potentiel d'un groupe du crime organisé ou d'un gang de rue, ou était associé d'une façon ou d'une autre à un groupe du crime organisé ou à un gang de rue, et que l'homicide a été commis en raison de cette association. Avant 2005, on demandait à la police si l'homicide était « attribuable à des gangs ». En 2005, la question a été modifiée de manière à permettre à la police de préciser a) si elle pouvait confirmer que l'homicide était attribuable à des gangs ou b) si elle soupçonnait que l'homicide était attribuable à des gangs. Par conséquent, il se peut que les chiffres antérieurs à 2005 soient sous-estimés parce que les affaires soupçonnées d'être attribuables à des gangs en ont été exclues. La catégorie « Autre méthode » désigne l'étranglement, la suffocation, la noyade, l'inhalation de fumée, les brûlures (feu, liquide, acide), l'empoisonnement ou une injection létale, le froid ou l'hypothermie, le syndrome du bébé secoué et d'autres méthodes.
Source(s) :
Centre canadien de la statistique juridique et de la sécurité des collectivités, Enquête sur les homicides (3315).
Description du graphique
Ceci est un graphique linéaire simple.
Arme à feu | Arme pointue | Coups portés | Autre méthode | |
---|---|---|---|---|
2007 | 68,9 | 20,2 | 9,2 | 1,7 |
2008 | 79,3 | 12,6 | 7,4 | 0,7 |
2009 | 81,7 | 12,5 | 4,2 | 1,7 |
2010 | 78,3 | 13,0 | 2,2 | 6,5 |
2011 | 64,1 | 23,9 | 5,4 | 6,5 |
2012 | 73,9 | 12,0 | 9,8 | 4,3 |
2013 | 71,1 | 20,5 | 6,0 | 2,4 |
2014 | 76,5 | 16,0 | 3,7 | 3,7 |
2015 | 76,1 | 15,2 | 6,5 | 2,2 |
2016 | 81,0 | 10,2 | 5,1 | 3,6 |
2017 | 86,7 | 7,0 | 3,8 | 2,5 |
2018 | 82,8 | 8,6 | 6,0 | 2,6 |
2019 | 84,8 | 10,1 | 2,5 | 2,5 |
2020 | 78,3 | 11,6 | 6,5 | 3,6 |
Note(s) :
Ces données existent depuis 1991. Un homicide est considéré comme attribuable à des gangs lorsque la police confirme ou soupçonne que l'auteur présumé ou la victime de l'homicide était un membre ou un membre potentiel d'un groupe du crime organisé ou d'un gang de rue, ou était associé d'une façon ou d'une autre à un groupe du crime organisé ou à un gang de rue, et que l'homicide a été commis en raison de cette association. Avant 2005, on demandait à la police si l'homicide était « attribuable à des gangs ». En 2005, la question a été modifiée de manière à permettre à la police de préciser a) si elle pouvait confirmer que l'homicide était attribuable à des gangs ou b) si elle soupçonnait que l'homicide était attribuable à des gangs. Par conséquent, il se peut que les chiffres antérieurs à 2005 soient sous-estimés parce que les affaires soupçonnées d'être attribuables à des gangs en ont été exclues. La catégorie « Autre méthode » désigne l'étranglement, la suffocation, la noyade, l'inhalation de fumée, les brûlures (feu, liquide, acide), l'empoisonnement ou une injection létale, le froid ou l'hypothermie, le syndrome du bébé secoué et d'autres méthodes.
Source(s) :
Centre canadien de la statistique juridique et de la sécurité des collectivités, Enquête sur les homicides (3315).
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