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Étude : Regard sur l'immigration, la diversité ethnoculturelle et les langues au Canada, 2011 à 2036

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Diffusion : 2017-01-25

À l'aube du 150e anniversaire de la Confédération qui aura lieu le 1er juillet 2017, le Canada se caractérise par sa diversité ethnique, linguistique et culturelle. Cette diversité a été alimentée par la présence des peuples autochtones sur le territoire bien avant l'arrivée des premiers colons européens, et par plusieurs vagues de migration internationale au fil des décennies. Elle s'est développée dans un contexte où le français et l'anglais ont été les langues de convergence et d'intégration à la société canadienne.

Lors du premier recensement tenu quelques années après la Confédération de 1867, sur les quelque 3,7 millions de personnes que comptait le pays, 16,1 % étaient nées à l'étranger. Les principaux pays de naissance des immigrants étaient alors les îles britanniques (84 % des immigrants), les États-Unis (11 %) et l'Allemagne (4 %).

En 1871, au sein de l'ensemble de la population, on dénombrait 31,1 % de personnes ayant des origines françaises, 24,3 % des origines irlandaises, 20,3 % des origines anglaises, 15,8 % des origines écossaises et 5,8 % ayant des origines allemandes. Trois décennies plus tard, en 1901, lors du premier recensement où on collecta des données sur les langues, l'anglais était la langue maternelle de 61,8 % de la population du Canada, le français 27,9 %, l'allemand 2,7 % et le gaélique 2,2 %.

Depuis le début des années 1990, en raison d'une immigration soutenue, d'une hausse progressive du nombre de décès et du maintien de la fécondité à des niveaux relativement bas, la proportion d'immigrants au sein de la population canadienne n'a cessé de croître.

À l'aide des plus récents développements méthodologiques en démographie, de nouvelles projections de la population ont été élaborées à Statistique Canada. Ces projections permettent de dresser un portrait de ce que pourrait être la diversité ethnoculturelle et linguistique de la population canadienne à l'horizon 2036 selon différents scénarios et hypothèses.

Les résultats de ces projections démographiques, présentées aujourd'hui dans deux nouveaux rapports, révèlent que la proportion d'immigrants au sein de la population canadienne pourrait continuer à augmenter d'ici 2036 et pourrait être presque deux fois plus élevée qu'en 1871. En conséquence, la composition linguistique et ethnoculturelle du pays se verrait modifiée, et ce, selon tous les scénarios retenus.

Près d'un Canadien sur deux en 2036 serait un immigrant ou un enfant d'immigrant

Selon le rapport intitulé Immigration et diversité : projections de la population du Canada et de ses régions, 2011 à 2036, si les niveaux actuels d'immigration se maintenaient au cours des prochaines années, la proportion d'immigrants au sein de la population canadienne pourrait atteindre entre 24,5 % et 30,0 % en 2036, comparativement à 20,7 % en 2011.

La hausse projetée de la proportion d'immigrants d'ici 2036 pourrait avoir des répercussions sur la proportion que représentera, dans le futur, la population de deuxième génération, c'est-à-dire les personnes ayant au moins un parent né à l'étranger. Ainsi, selon tous les scénarios, près d'une personne sur cinq (19,7 %) serait de deuxième génération en 2036, en hausse par rapport à 2011 (17,5 %).

Les populations combinées des immigrants et des personnes de deuxième génération, qui représentaient 38,2 % de la population canadienne en 2011, pourraient alors représenter près d'une personne sur deux (entre 44,2 % et 49,7 %) en 2036.

En 2036, la population immigrante continuerait d'être concentrée dans les régions métropolitaines de recensement, plus particulièrement à Toronto, Montréal et Vancouver

Selon les résultats de ces projections, la répartition géographique des immigrants en 2036 serait similaire à celle estimée en 2011. Par exemple, en 2011, 9 immigrants sur 10 vivaient dans une région métropolitaine de recensement (RMR) alors qu'en 2036 cette proportion atteindrait entre 91,7 % et 93,4 %. En fin de projection, Toronto, Montréal et Vancouver demeureraient, comme en 2011, les trois principaux lieux de résidence des immigrants. En 2036, entre 33,6 % et 39,1 % de tous les immigrants du Canada vivraient à Toronto, entre 13,9 % et 14,6 % à Montréal et entre 12,4 % et 13,1 % à Vancouver.

Les résultats des projections montrent qu'entre 2011 et 2036, la proportion d'immigrants au sein de la population augmenterait dans presque toutes les régions du pays, même si des écarts régionaux subsisteraient. Ainsi, la proportion d'immigrants dans les régions de l'Atlantique, du Québec (hormis Montréal) et dans celles à l'extérieur des régions métropolitaines de recensement (RMR) demeurerait inférieure à la moyenne canadienne en fin de projection.

En 2036, les cinq RMR qui compteraient les plus importantes proportions d'immigrants au sein de leur population seraient Toronto (entre 46,0 % et 52,8 %), Vancouver (entre 42,1 % et 48,5 %), Calgary (entre 32,7 % et 40,8 %), Montréal (entre 28,4 % et 34,2 %) et Winnipeg (entre 29,2 % et 40,5 %).

La proportion que représenteraient ensemble la population immigrante et la population de deuxième génération au sein de l'ensemble de la population continuerait aussi d'être très différente d'une région à l'autre à la fin de la période de projection. En 2036, ces proportions atteindraient entre 77,0 % et 81,4 % à Toronto et entre 69,4 % et 74,0 % à Vancouver, alors qu'elles atteindraient entre 3,8 % et 4,7 % dans la partie hors RMR de Terre-Neuve-et-Labrador et entre 5,0 % et 6,4 % à Saguenay.

Plus de la moitié des immigrants au Canada en 2036 seraient originaires de l'Asie

Si les tendances récentes quant à la composition de l'immigration se maintenaient durant toute la durée de la projection, en 2036, entre 55,7 % et 57,9 % des immigrants vivant au Canada seraient nés en Asie, comparativement à 44,8 % en 2011. Les immigrants d'origine européenne, qui représentaient 31,6 % des immigrants en 2011, verraient leur proportion diminuer pour atteindre entre 15,4 % et 17,8 % en 2036. Ainsi, l'arrivée de nombreuses personnes nées à l'étranger n'a pas seulement un effet sur l'accroissement de la population, mais aussi sur sa composition ethnoculturelle et linguistique.

En 2036, plus du tiers de la population en âge de travailler appartiendrait à un groupe de minorités visibles

Au sein de la population âgée entre 15 et 64 ans, souvent appelée la population en âge de travailler, les personnes appartenant à un groupe dit de minorités visibles représenteraient entre 34,7 % et 39,9 % en 2036, en hausse par rapport à 19,6 % en 2011. La proportion de la population de 15 à 64 ans qui appartiendrait à un groupe de minorités visibles serait à la hausse dans toutes les régions du pays d'ici 2036. Le groupe sud-asiatique serait celui qui compterait le plus de personnes en 2036 comme en 2011.

La proportion de personnes de religion autre que chrétienne serait à la hausse d'ici 2036 

La population ayant une religion autre que chrétienne pourrait presque doubler d'ici 2036 et représenter entre 13 % et 16 % de la population canadienne. Cette proportion s'établissait à 9 % en 2011. Parmi celle-ci, les confessions musulmane (entre 5,6 % et 7,2 % de l'ensemble de la population en 2036), hindoue (entre 2,5 % et 2,9 %) et sikhe (entre 2,3 % et 2,7 %) verraient le nombre de leurs adhérents s'accroître plus rapidement, surtout en raison de leur représentation parmi les immigrants, même si elles continueraient de représenter une petite proportion de l'ensemble de la population canadienne.

La proportion de la population sans appartenance religieuse continuerait d'augmenter et pourrait représenter entre 28,2 % et 34,6 % de l'ensemble de la population canadienne en 2036.

Plus du quart de la population canadienne aurait une langue maternelle autre que le français ou l'anglais en 2036 

Selon le second rapport, intitulé Projections linguistiques pour le Canada, 2011 à 2036, la poursuite des tendances en matière d'immigration contribuerait à l'accroissement de la population n'ayant ni le français ni l'anglais (langue tierce) comme langue maternelle et comme principale langue d'usage à la maison.

En 2011, la population qui n'avait ni le français ni l'anglais comme langue maternelle était de 6,9 millions de personnes et constituait 20,0 % de la population canadienne. En 2036, l'effectif de cette population pourrait atteindre entre 10,7 millions et 13,8 millions de personnes, soit entre 26,1 % et 30,6 % de la population canadienne. Cette population était constituée de locuteurs de près de 200 langues différentes en 2011.

L'immigration et sa composition auraient d'autres répercussions sur la diversification des communautés de langue officielle et sur le portrait linguistique du Canada d'ici 2036.

Diminution de la proportion des populations de langue maternelle française et anglaise d'ici 2036 

La proportion de la population de langue maternelle anglaise au sein du Canada passerait de 58,7 % en 2011 à entre 52 % et 56 % en 2036 et celui de la population de langue maternelle française de 21,3 % en 2011 à 17 % ou 18 % en 2036. Le français devrait demeurer de loin la langue maternelle la plus importante après l'anglais avec un effectif se situant entre 7,5 millions et 7,8 millions en 2036. En comparaison, en 2011, aucune des langues maternelles tierces ne comptait 500 000 locuteurs.

La proportion de la population de langue maternelle française diminuerait à la fois au Québec (de 79 % en 2011 pour se situer entre 69 % et 72 % en 2036 selon les trois principaux scénarios de projection retenus) et dans le reste du Canada (de 3,8 % en 2011 pour atteindre entre 2,7 % et 2,8 % en 2036). D'autres scénarios faisant varier les patrons de migration interne montrent que la baisse de la proportion de la population de langue maternelle française au Canada hors Québec pourrait être moins marquée.

Quant à la part de la population de langue maternelle anglaise, elle pourrait soit progresser soit diminuer au Québec (de 8,2 % en 2011 pour se situer entre 7,9 % et 8,8 % en 2036), principalement en raison de l'immigration, mais diminuer dans le reste du Canada (de 74 % en 2011 pour atteindre entre 64 % et 69 % en 2036).

Une forte majorité de la population continuerait à parler l'anglais ou le français le plus souvent à la maison

En 2036, entre 45 % et 48 % des personnes de langue maternelle tierce auraient adopté l'anglais ou le français comme principale langue d'usage au foyer. Par conséquent, la population dont la principale langue d'usage au foyer est l'anglais pourrait représenter entre 64 % et 67 % de la population totale du pays (68 % en 2011). L'utilisation du français comme principale langue d'usage à la maison pourrait cependant connaître un recul passant de 21 % en 2011 à environ 18 % en 2036. Au total, entre 82 % et 85 % de la population canadienne parlerait le plus souvent à la maison l'une ou l'autre des deux langues officielles en 2036.

Au Canada hors Québec, cette proportion se situerait entre 81 % et 85 % (dont entre 1,8 % et 1,9 % pour le français). Elle atteindrait entre 87 % et 89 % au Québec (dont près de 13 % pour l'anglais).

Hausse de l'anglais et recul du français comme première langue officielle parlée d'ici 2036 

Au sujet des deux langues officielles du pays, les projections indiquent que la population dont la première langue officielle parlée (PLOP) est l'anglais passerait de 75,4 % en 2011 à environ 78 % en 2036. Son effectif, qui était de 25,9 millions en 2011, atteindrait entre 31,9 et 35,3 millions en 2036. La population dont le français est la PLOP se situerait entre 8,6 et 9,2 millions de personnes en 2036 (7,8 millions en 2011) et passerait de 23 % de la population du Canada en 2011 à moins de 21 %.

Au Canada hors Québec, l'anglais serait la PLOP de 95 % de la population alors qu'au Québec, la population de langue anglaise définie selon ce critère passerait de 13,6 % en 2011 à entre 16,7 % et 17,5 % en 2036. Cette progression au Québec résulterait à la fois de l'immigration internationale et de l'adoption de l'anglais comme langue parlée le plus souvent à la maison par une partie de la population de langue maternelle tierce vivant au Québec.

Quant à la population ayant le français comme première langue officielle parlée au Québec, celle-ci passerait de 85,4 % en 2011 à environ 82 % en 2036. Au Canada hors Québec, cette population pourrait passer de 3,9 % en 2011 à entre 3,0 % et 3,6 % en 2036, peu importe le scénario. Cela découlerait du vieillissement démographique, des transferts linguistiques vers l'anglais (le fait de parler le plus souvent l'anglais à la maison parmi les personnes de langue maternelle française) et de la transmission incomplète de la langue française aux enfants.

Hausse de la diversité parmi les populations de langue officielle

Comme en 2011, la population dont l'anglais est la première langue officielle parlée (PLOP) afficherait en 2036 une population plus diversifiée sur le plan ethnoculturel que la population dont la PLOP est le français. Toutefois, c'est parmi cette dernière population que la croissance de la population issue de l'immigration serait la plus importante.

Parmi la population dont la PLOP est l'anglais, entre 48 % et 53 % pourraient être issus de l'immigration en 2036 comparativement à 44 % en 2011. Parmi la population dont la PLOP est le français, entre 26 % et 31 % seraient issus de l'immigration en 2036, pourcentage qui était de 15 % en 2011.

Malgré une hausse du nombre de locuteurs, le pourcentage de la population canadienne capable de parler le français pourrait diminuer entre 2011 et 2036 

Le pourcentage de la population canadienne capable de parler le français diminuerait, passant de 29,8 % en 2011 à entre 27,6 % et 28,4 % en 2036. La population totale des locuteurs du français pourrait cependant passer de 10,2 millions de personnes en 2011 à entre 11,7 millions et 12,5 millions de personnes en 2036.

Une personne sur deux de langue maternelle française serait bilingue en 2036 

Selon le scénario d'immigration envisagé et les tendances récentes en matière d'acquisition d'une seconde langue officielle, le taux de bilinguisme français-anglais au pays pourrait se situer autour de 18,5 % en 2036 alors qu'il était de 17,5 % en 2011. Des scénarios supplémentaires analysés dans le rapport des projections linguistiques montrent que ce taux de bilinguisme pourrait cependant être plus élevé si les niveaux d'acquisition et de maintien de la langue seconde augmentaient, en particulier au Canada hors Québec.

C'est parmi la population de langue maternelle française du Québec qu'on observerait la plus forte croissance du bilinguisme français-anglais au pays. D'un taux d'un peu moins de 39 % en 2011, celui-ci pourrait atteindre près de 49 % en 2036.

  Note aux lecteurs

Ce communiqué présente de nouvelles projections démographiques tirées de deux rapports analytiques distincts mais complémentaires.

Le premier rapport, intitulé Immigration et diversité : projection démographique pour le Canada et ses régions, 2011 à 2036 (Numéro au catalogue91-551-X), a été réalisé avec l'appui financier d'Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC). Il présente des résultats prospectifs en ce qui a trait à l'évolution de la population immigrante et de divers indicateurs de diversité ethnoculturelle.

Le second rapport, Projections linguistiques pour le Canada, 2011 à 2036 (Numéro au catalogue89-657-X), réalisé avec l'appui du ministère du Patrimoine canadien et d'IRCC, présente des résultats de projection en lien avec l'évolution des langues au Canada. Il s'agit des premières projections linguistiques détaillées réalisées par Statistique Canada.

Les deux rapports de projections diffusés aujourd'hui sont présentés dans la foulée de la diffusion du rapport de septembre 2015 intitulé Projections de la population et des ménages autochtones au Canada, 2011 à 2036 (Numéro au catalogue91-552-X).

Les projections tirées des deux rapports ont été réalisées au moyen du modèle de projections démographiques par microsimulation Demosim. Elles se fondent sur des effectifs dénombrés à l'Enquête nationale auprès des ménages de 2011 et ajustés pour tenir compte du sous-dénombrement net au recensement, ainsi que sur d'autres sources de données.

Ces projections ne constituent pas des prédictions, mais plutôt un outil visant à montrer ce que pourrait être l'évolution de la composition ethnoculturelle et linguistique de la population canadienne au cours des années à venir selon divers scénarios de croissance. L'ensemble des scénarios élaborés fournissent une fourchette d'accroissement possible de la population selon diverses caractéristiques. Le lecteur est invité à prendre en considération cette fourchette, si possible, plutôt qu'un seul des scénarios. En ce qui a trait aux projections linguistiques, les caractéristiques linguistiques projetées ne permettent pas nécessairement de présenter de façon complète ce que pourrait être la situation linguistique en 2036, car d'autres dimensions linguistiques (comme la langue de travail ou la langue utilisée dans l'espace public, par exemple) n'ont pas fait l'objet de telles projections.

Les scénarios retenus dans les deux rapports tiennent compte de l'incertitude touchant l'évolution future du niveau et de la composition par pays de naissance de l'immigration, de la répartition géographique des immigrants, de la fécondité, de la mortalité, de l'émigration et de la migration interne. En plus de tous ces critères, les projections de la diversité tiennent compte de l'incertitude liée à l'évolution future de la mobilité religieuse. Quant aux projections linguistiques, elles tiennent compte de l'incertitude liée à la composition linguistique de l'immigration, à l'acquisition et à la rétention du bilinguisme, et aux transferts linguistiques au cours de la vie.

De façon à assurer une continuité entre les deux rapports de projection, plusieurs des scénarios retenus dans les deux rapports partagent les mêmes hypothèses quant au niveau et à la composition de l'immigration, de la fécondité, de la mortalité, de l'émigration, etc. La seule hypothèse qui diffère dans ces scénarios communs est celle qui a trait à la migration interne. Dans le cas des projections linguistiques, cette hypothèse se base sur la moyenne des patrons de migration estimés pour les périodes 2001 à 2006 et 2006 à 2011. Dans le cas des projections de la diversité, cette hypothèse inclut aussi la période de 1996 à 2001. Cette distinction tient au fait que les patrons de migration entre 1996 et 2001, du point de vue linguistique, revêtent un caractère exceptionnel qui risque peu de se reproduire dans un futur rapproché.

Bien que les deux rapports de projection partagent des scénarios communs, d'autres scénarios retenus sont propres à chacune des publications. Ces autres scénarios servent essentiellement à mettre en évidence l'incertitude liée à certaines composantes de projections traitées spécifiquement dans chacun des rapports.

Les projections tiennent compte de plusieurs composantes et caractéristiques en plus de celles mentionnées ci-dessus. La méthodologie des projections est décrite plus en détail dans un rapport distinct intitulé Demosim : un aperçu des méthodes et sources de données (Numéro au catalogue91-621-X).

Outre les produits disponibles dans le cadre de cette diffusion, des produits personnalisés de projection peuvent être commandés en contactant Statistique Canada.

Produits

La publication Immigration et Diversité : projections de la population du Canada et de ses régions, 2011 à 2036 (Numéro au catalogue91-551-X), est maintenant accessible à partir du module Publications de notre site Web, sous l'onglet Parcourir par ressource clé.

La publication Projections linguistiques pour le Canada, 2011 à 2036 (Numéro au catalogue89-657-X), est également accessible à partir du module Publications de notre site Web, sous l'onglet Parcourir par ressource clé.

La publication Demosim : un aperçu des méthodes et sources de données (Numéro au catalogue91-621-X) est aussi accessible à partir du module Publications de notre site Web, sous l'onglet Parcourir par ressource clé.

Les infographies « Projections démographiques, immigration et diversité, Canada et régions – 2011 à 2036» et « Projections linguistiques pour le Canada, 2011 à 2036 », qui font partie de Statistique Canada – Infographies (Numéro au catalogue11-627-M), sont également accessibles à partir du module Publications de notre site Web, sous l'onglet Parcourir par ressource clé.

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