Projections des populations et des ménages autochtones au Canada, 2016 à 2041
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Diffusion : 2021-10-06
Selon de nouvelles projections démographiques, la population d'identité autochtone au Canada, qui a crû constamment au cours des dernières décennies, continuerait de s'accroître d'ici 2041.
Cette population, qui comprend les Premières Nations, les Métis et les Inuits, était estimée à 1 800 000 personnes en 2016. En 2041, elle pourrait atteindre 2 495 000 personnes selon le scénario de croissance faible, 2 848 000 personnes selon le scénario de croissance moyenne et 3 182 000 personnes selon le scénario de croissance forte.
Ces résultats de projection sont fondés sur des données du Recensement de 2016, lesquelles ont été ajustées pour tenir compte notamment du sous-dénombrement net du recensement et de la population résidant dans des réserves indiennes et des établissements indiens partiellement dénombrés. En raison de ces ajustements, les chiffres présentés ici pour 2016 peuvent différer de ceux obtenus directement du Recensement de 2016.
Entre 2016 et 2041, la population autochtone augmenterait plus rapidement que la population non autochtone et, ce, malgré l'accroissement migratoire international soutenu dont bénéficierait cette dernière. Ainsi, la part que représenterait la population autochtone au sein de l'ensemble de la population canadienne se situerait entre 5,4 % et 6,8 % en 2041, comparativement à 5,0 % en 2016.
Deux facteurs principaux expliquent cette plus forte croissance de la population autochtone au cours des années à venir : une fécondité plus élevée et les changements d'autodéclaration de l'identité autochtone au cours de la vie, certaines personnes s'étant nouvellement identifiées comme Autochtones lors du recensement, une tendance qui s'est maintenue au fil du temps.
L'incidence de la pandémie de COVID-19 sur les projections des populations autochtones
Au moment de la production de ces projections, l'incidence de la pandémie de COVID-19 sur la croissance des populations autochtones était, selon les composantes, soit très incertaine, peu perceptible, ou bien assez négligeable. Pour ces raisons, ces projections ne proposent pas d'adaptations spéciales pour tenir compte de l'influence de la pandémie.
Une population qui demeurerait plus jeune
Tout au long de la période de projection, la population autochtone demeurerait plus jeune que la population non autochtone, mais vieillirait plus rapidement.
L'âge médian de la population autochtone, qui était de 29,1 ans en 2016, augmenterait pour se situer entre 38,2 et 38,4 ans en 2041. En comparaison, celui de la population non autochtone passerait de 41,4 à 44,7 ans au cours de la même période.
Le vieillissement de la population autochtone s'expliquerait par un allongement de l'espérance de vie ainsi que par des niveaux de fécondité projetés qui seraient inférieurs à ceux observés en moyenne au cours des dernières décennies. Il est à noter que les changements d'autodéclaration de l'identité autochtone au cours de la vie, qui alimentent en partie la croissance de la population autochtone, n'auraient que peu d'incidence sur le vieillissement de cette population.
Une personne sur cinq serait Autochtone au Manitoba en 2041
À l'instar de l'accroissement démographique projeté à l'échelon canadien, la population autochtone serait en croissance dans toutes les provinces et tous les territoires entre 2016 et 2041.
Trois provinces pourraient compter plus de 400 000 Autochtones en 2041 : l'Ontario (entre 574 000 et 762 000 personnes), l'Alberta (entre 429 000 et 526 000 personnes) et la Colombie-Britannique (entre 406 000 et 507 000 personnes). En 2016, seul l'Ontario (406 000 personnes) surpassait ce seuil.
Comme en 2016, le Manitoba et la Saskatchewan seraient les deux provinces ayant la plus grande proportion d'Autochtones au sein de leur population en 2041.
La proportion d'Autochtones au Manitoba se situerait entre 19,3 % et 22,5 % (18,3 % en 2016) alors qu'en Saskatchewan elle se situerait entre 16,5 % et 19,0 % (16,6 % en 2016).
Dans les territoires, les Autochtones continueraient de représenter une forte proportion de la population en 2041, soit entre 87,3 % et 88,5 % de la population du Nunavut, entre 46,0 % et 48,7 % de la population des Territoires du Nord-Ouest et entre 20,4 % et 22,4 % de la population du Yukon. En 2016, ces proportions étaient de 85,7 %, de 50,6 % et de 23,4 % respectivement.
La population autochtone augmenterait également dans toutes les régions métropolitaines de recensement (RMR) entre 2016 et 2041. En 2041, Winnipeg (entre 132 000 et 159 000 personnes), Edmonton (entre 127 000 et 155 000), Vancouver (entre 91 000 et 120 000), Toronto (entre 81 000 et 110 000), Montréal (entre 68 000 et 106 000), Calgary (entre 79 000 et 102 000) et Ottawa–Gatineau (entre 58 000 et 85 000) auraient les plus grandes populations autochtones au Canada, comme c'était le cas en 2016.
En proportion de l'ensemble de la population, c'est à Thunder Bay (entre 18,1 % et 22,3 %), Grand Sudbury (entre 14,1 % et 18,3 %), Winnipeg (entre 11,9 % et 14,2 %), Saskatoon (entre 9,4 % et 11,5 %) et Brantford (entre 9,1 % et 11,4 %) que les proportions d'Autochtones seraient les plus élevées en 2041, un portrait similaire à celui observé en 2016.
La population des Premières Nations pourrait atteindre entre 1,5 million et 1,8 million de personnes en 2041
En 2016, la population des Premières Nations comptait 1 072 000 personnes. Selon tous les scénarios de projection retenus, cette population augmenterait continuellement d'ici 2041. Elle pourrait compter entre 1 459 000 et 1 786 000 personnes en 2041, ce qui représenterait entre 56,1 % et 58,5 % de l'ensemble de la population autochtone au Canada.
Entre 2016 et 2041, l'accroissement de la population des Premières Nations serait plus important, en proportion, que celui de la population non autochtone. En témoigne le taux d'accroissement annuel moyen projeté qui se situerait entre 1,2 % et 2,1 % pour la population des Premières Nations, comparativement à environ 1,0 % pour la population non autochtone. Cet accroissement plus rapide de la population des Premières Nations reposerait principalement sur deux facteurs : une fécondité relativement élevée et, dans une moindre mesure, les changements d'autodéclaration de l'identité autochtone au cours de la vie qui, au net, seraient favorables à la croissance de la population des Premières Nations.
Comme pour la population autochtone dans son ensemble, la population des Premières Nations vieillirait tout au long de la période projetée. En 2016, l'âge médian de cette population était de 27,2 ans alors qu'en 2041, il pourrait atteindre entre 36,0 et 36,5 ans. Un allongement de l'espérance de vie ainsi qu'une fécondité qui se maintiendrait en-deçà du seuil de remplacement des générations expliqueraient en grande partie ce vieillissement.
Selon tous les scénarios de projection retenus, la population des Premières Nations s'accroîtrait dans toutes les provinces et tous les territoires d'ici 2041.
En 2016, c'est en Ontario (262 000 personnes) que l'on comptait le plus grand nombre de personnes des Premières Nations, suivi de la Colombie-Britannique (187 000 personnes) et de l'Alberta (152 000 personnes). En 2041, l'Ontario (entre 358 000 et 449 000 personnes), la Colombie-Britannique (entre 249 000 et 301 000 personnes) et l'Alberta (entre 224 000 et 272 000 personnes) continueraient de présenter les plus importantes populations de Premières Nations.
La population ayant le statut d'Indien inscrit ou d'Indien des traités
La population ayant le statut d'Indien inscrit ou d'Indien des traités comprend, dans les présentes projections, les personnes qui ont déclaré au recensement être Indiens inscrits ou Indiens des traités.
Selon tous les scénarios de projection retenus, la taille de la population ayant le statut d'Indien inscrit ou d'Indien des traités serait en augmentation entre 2016 et 2041. Ainsi, cette population, qui comptait 910 000 personnes en 2016, en compterait entre 1 120 000 et 1 425 000 en 2041. Une forte fécondité ainsi que les changements apportés au cours des dernières années à la Loi sur les Indiens, qui permettraient à davantage de personnes d'obtenir le statut d'Indien inscrit en cours de projection, seraient à la source de cette croissance.
Entre 2016 et 2041, le taux d'accroissement annuel moyen de cette population se situerait entre 0,8 % et 1,8 %, comparativement à environ 1,0 % pour la population non autochtone.
En 2041, entre 439 000 et 485 000 Indiens inscrits ou Indiens des traités résideraient dans une réserve comparativement à 386 000 en 2016.
En proportion, 42,4 % de la population ayant le statut d'Indien inscrit ou d'Indien des traités résidait dans une réserve en 2016. En 2041, cette proportion diminuerait pour atteindre entre 34,0 % et 39,2 %, ce qui signifie que la population des Indiens inscrits ou des Indiens des traités augmenterait plus rapidement à l'extérieur des réserves. Les changements législatifs qui permettraient à davantage de personnes, vivant principalement à l'extérieur des réserves, d'obtenir le statut d'Indien inscrit et le solde migratoire négatif des réserves sont à la source de ce résultat.
En 2016, le Manitoba et l'Ontario étaient les deux provinces comptant le plus grand nombre d'Indiens inscrits ou d'Indiens des traités vivant dans une réserve : chacune d'elles comptait 69 000 personnes. Par contre, au terme de la projection en 2041, c'est au Manitoba (entre 79 000 et 88 000 personnes) et en Colombie-Britannique (entre 75 000 et 82 000 personnes) que les populations d'Indiens inscrits ou d'Indiens des traités résidant dans une réserve seraient les plus importantes.
La population ayant le statut d'Indien inscrit ou d'Indien des traités demeurerait plus jeune dans les réserves qu'à l'extérieur de celles-ci.
En 2041, l'âge médian atteindrait entre 34,1 et 35,7 ans (25,6 ans en 2016) pour la population des Indiens inscrits ou des Indiens des traités résidant dans les réserves alors qu'il atteindrait entre 39,7 et 40,8 ans (29,9 ans en 2016) pour celle résidant à l'extérieur des réserves.
La population des Métis pourrait atteindre plus de 1 million de personnes en 2041
La population des Métis, qui a connu une forte croissance au cours des dernières décennies, pourrait dépasser le million de personnes au cours des prochaines années.
De 615 000 personnes en 2016, cette population pourrait atteindre entre 883 000 et 1 152 000 personnes en 2041, ce qui représenterait entre 35,4 % et 37,0 % de l'ensemble de la population autochtone.
Entre 2016 et 2041, la population des Métis croîtrait plus rapidement que la population non autochtone. Cette croissance plus rapide serait attribuable en majeure partie aux changements d'autodéclaration de l'identité autochtone au cours de la vie, qui seraient largement en faveur de la population des Métis. Le taux d'accroissement annuel moyen de la population des Métis entre 2016 et 2041 se situerait entre 1,5 % et 2,5 % comparativement à environ 1,0 % pour la population non autochtone.
Au cours des prochaines années, la population des Métis vieillirait. En 2041, l'âge médian de cette population atteindrait entre 42,3 et 42,5 ans, comparativement à 33,0 ans en 2016. La hausse de l'espérance de vie et un niveau de fécondité semblable à celui de la population non autochtone seraient à la base de ce vieillissement projeté. L'ajout de nouvelles personnes à la population des Métis à la suite d'un changement d'identité autodéclarée contribuerait seulement de façon négligeable au vieillissement de cette population.
Entre 2016 et 2041, selon tous les scénarios, la population des Métis serait en croissance dans toutes les provinces et tous les territoires. En 2041, comme en 2016, c'est en Ontario (entre 192 000 et 261 000 personnes) et en Alberta (entre 191 000 et 226 000 personnes) que les populations des Métis seraient les plus importantes.
Par contre, tout comme en 2016, la proportion de Métis au sein de l'ensemble de la population totale serait la plus importante au Manitoba (entre 7,0 % et 8,1 %) et en Saskatchewan (entre 5,1 % et 5,9 %) en 2041.
Dans ces projections, la population des Métis réfère aux personnes qui se sont identifiées comme Métis dans le Recensement de 2016. Il est important de noter qu'une nouvelle question a été ajoutée lors du Recensement de 2021, laquelle permettra aux Métis de s'identifier davantage, ouvrant la voie à des analyses plus détaillées sur cette population dans l'avenir. En particulier, il sera désormais possible de produire des estimations et des projections selon l'appartenance à une organisation ou un établissement métis.
La population des Inuits pourrait atteindre près de 100 000 personnes en 2041
La population des Inuits augmenterait entre 2016 et 2041 et pourrait atteindre près de 100 000 personnes en 2041.
Selon les différents scénarios, cette population, qui était estimée à 67 000 personnes en 2016, atteindrait entre 92 000 et 101 000 personnes en 2041, ce qui représenterait entre 3,2 % et 3,7 % de l'ensemble de la population autochtone au Canada.
Entre 2016 et 2041, le taux d'accroissement annuel moyen de la population des Inuits se situerait entre 1,2 % et 1,6 %, soit un taux plus élevé que celui attendu pour la population non autochtone (+1,0 %). Cette croissance projetée plus élevée de la population inuite est principalement attribuable à leur fécondité qui demeurerait largement supérieure à celle de la population non autochtone et au seuil de remplacement des générations.
La structure par âge de la population des Inuits est particulièrement jeune. En 2016, l'âge médian de la population inuite était de 24,6 ans, comparativement à 41,4 ans pour la population non autochtone. D'ici 2041, la population inuite demeurerait bien plus jeune que la population non autochtone mais vieillirait néanmoins. En 2041, l'âge médian de la population inuite se situerait entre 30,0 et 31,8 ans (comparativement à 44,7 ans pour la population non autochtone). La hausse projetée de l'âge médian de la population inuite serait attribuable en grande partie à l'allongement de l'espérance de vie.
Historiquement, les Inuits ont toujours été les principaux habitants des régions arctiques canadiennes et, en ce sens, ils se distinguent du reste de la population tant autochtone que non autochtone.
En 2016, 72,7 % des Inuits habitaient dans l'une des quatre régions de l'Inuit Nunangat (soit le Nunavut, le Nunavik – situé au nord du Québec –, la région inuvialuite des Territoires du Nord-Ouest et le Nunatsiavut – situé au nord du Labrador). En 2041, le portrait serait fort peu différent puisque cette proportion varierait entre 74,0 % et 74,6 %, selon les scénarios de projection retenus.
Entre 2016 et 2041, la population inuite augmenterait dans chacune des quatre régions de l'Inuit Nunangat bien que le taux d'accroissement annuel moyen serait beaucoup plus faible au Nunatsiavut (entre +0,1 % et +0,5 %) que dans les trois autres régions de l'Inuit Nunangat (entre +1,4 % et +1,7 % au Nunavut, entre +1,4 % et +1,8 % au Nunavik et entre +1,5 % et +1,9 % dans la région inuvialuite). En 2041, le Nunavut demeurerait la région de l'Inuit Nunangat comptant la plus importante population inuite au Canada (entre 44 000 et 48 000 personnes).
Dans ces projections, la population des Inuits réfère aux personnes qui se sont identifiées comme Inuits dans le Recensement de 2016. Il est important de noter qu'une nouvelle question a été ajoutée lors du Recensement de 2021, laquelle permettra aux Inuits de s'identifier davantage, ouvrant la voie à des analyses plus détaillées sur cette population dans l'avenir. En particulier, il sera désormais possible de produire des estimations et des projections selon l'inscription en vertu d'un accord sur les revendications territoriales des Inuits.
Note aux lecteurs
Ce communiqué présente de nouvelles projections démographiques élaborées par Statistique Canada avec l'appui financier de Services aux Autochtones Canada. Ces projections ont été réalisées au moyen de Demosim, le modèle de projections démographiques par microsimulation de Statistique Canada.
Ces projections ne constituent pas des prédictions, mais un exercice visant à dresser un portrait de ce que pourraient être les populations autochtones au cours des années à venir selon divers scénarios de croissance. Les scénarios élaborés fournissent une fourchette d'accroissement des populations autochtones plausible en regard de nos connaissances à leur égard. Le lecteur est invité à prendre en considération cette fourchette de préférence à un scénario seul.
Pour cet exercice de projection, trois scénarios de croissance des populations autochtones ont été élaborés : un scénario de croissance faible, de croissance moyenne et de croissance forte. Ces scénarios visent à tenir compte de l'incertitude entourant les divers facteurs d'accroissement des populations autochtones, principalement l'évolution future de la fécondité et de la mortalité, les changements d'autodéclaration de l'identité autochtone au cours de la vie et des inscriptions au registre des Indiens. Le scénario de croissance faible combine les hypothèses faibles pour chacune de ces quatre composantes, le scénario de croissance moyenne, les hypothèses moyennes et le scénario de croissance forte, les hypothèses fortes. Pour permettre les comparaisons entre les populations autochtones et non autochtones, les diverses hypothèses touchant les Autochtones ont été, dans chacun des scénarios, combinées à une série d'hypothèses correspondant à un accroissement moyen de la population non autochtone.
Il est à noter, finalement, que des résultats de projections des ménages autochtones sont également diffusés pour la période allant de 2016 à 2041.
Produits
Le rapport « Projections des populations et des ménages autochtones au Canada, 2016 à 2041 : aperçu des sources de données, méthodes, hypothèses et scénarios » est aussi disponible.
Cinq infographies ont été élaborées, une pour chacun des groupes de population suivants : Population autochtone totale (); Premières Nations ( 11-627-m2021066); Métis ( 11-627-m2021067); Inuits ( 11-627-m2021068); Indiens inscrits ou Indiens des traités ( 11-627-m2021069). Chaque infographie présente certains résultats selon une sélection d'indicateurs à l'horizon de 2041. 11-627-m2021070
Un outil de visualisation de données interactif () permet également de consulter certains résultats de projections des populations autochtones de manière dynamique. Les données servant de base à cet outil sont ceux qui proviennent des deux tableaux de l'Enrepôt commun de données de sortie, lesquels présentent des effectifs projetés des populations autochtones. Le premier tableau (tableau 17-10-0144-01) est ventilé en utilisant une classification de l'identité autochtone donnant préséance aux groupes autochtones alors que le second tableau (tableau 17-10-0145-01) est ventilé en utilisant une classification de l'identité autochtone donnant préséance au statut d'Indien inscrit ou d'Indien des traités (voir la section « Concepts clés en lien avec les populations autochtones » dans le rapport pour obtenir plus de précisions sur ces classifications). Dans les deux cas, les effectifs projetés sont ventilés selon le groupe d'âge, le sexe, la région de résidence, les provinces et territoires et le scénario de projection pour les années allant de 2016 à 2041. 71-607-x2021022
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