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  • Les résultats portent un double message quant à l’acceptation des principes de l’apprentissage des adultes. D’une part, si la catégorie « autres » est incluse dans le taux de participation total pour 2002, on observe une augmentation marquée de la participation à des activités d’éducation et de formation des adultes entre les périodes d’enquête de l’EIAA et de l’ELCA. Mais si la comparaison ne concerne que l’évolution de la participation à des cours et à des programmes, seule la Suisse a été le lieu d’une augmentation appréciable.

  • Il reste des différences régionales marquées relativement à la participation à des activités d’éducation et de formation des adultes au Canada. Cependant, si l’on compare les données de l’EIAA et de l’ELCA, on constate que ces différences s’atténuent.

  • Les résultats confirment non seulement que les Canadiens inscrivent un taux de participation quelque peu inférieur à celui des citoyens des trois autres pays, mais qu’ils consacrent aussi moins de temps à leurs études.

  • L’aide financière des employeurs joue un rôle central de soutien aux occasions de participer à un apprentissage dans chacun des pays. C’est particulièrement le cas en Norvège, où 63 % des participants ont reçu une aide financière directe de leur employeur, comparativement à 50 % au Canada.

  • À peu près un Norvégien sur cinq accusant un bas niveau de compétences en littératie reçoit de l’aide publique, comparativement à plus de un sur dix au Canada. L’aide publique aux personnes ayant un bas niveau de compétences en littératie (niveaux 1 et 2) est moins fréquente au Canada qu’aux États-Unis.

  • Les adultes d’un groupe vulnérable donné affichant un niveau de compétences en littératie de moyen à élevé (niveaux 3 et 4/5) sont sensiblement plus susceptibles de participer à des activités d’éducation et de formation des adultes que les adultes du même groupe ayant un bas niveau de compétences en littératie (niveaux 1 et 2). Ces compétences apparaissent donc très clairement comme un facteur permettant de composer avec la nouvelle société du savoir et à l’économie de l’information et y prendre une part active, même chez les adultes considérés comme les plus vulnérables à l’exclusion. Elles soulignent aussi l’importance et l’urgence de soutenir les programmes sur les compétences de base des adultes.

  • On observe une diminution radicale de l’aide publique à l’éducation et à la formation des adultes qui ne font pas partie de la population active au Canada.

  • Une grande partie des adultes ayant peu de compétences fondamentales (en littératie, par exemple) ne sont toujours pas rejoints par les formes structurées d’apprentissage par les adultes. Mais il existe des différences importantes entre les pays quant aux tendances de participation, ce qui donne à penser que les politiques en matière d’éducation des adultes influencent la participation.

  • Les résultats confirment l’effet composé du niveau de scolarité intergénérationnel sur le degré de préparation à des activités d’éducation et de formation des adultes.

  • On ne constate que des différences mineures entre les sexes pour ce qui est de la participation à des activités d’éducation et de formation des adultes. Toutefois, une proportion plus importante de femmes que d’hommes s’autofinancent, tandis que les hommes ont plus souvent accès à des activités d’éducation et de formation des adultes parrainées par l’employeur.

  • Dans chacun des pays, les citoyens de naissance participent plus souvent que les immigrants; ces différences sont particulièrement marquées au Canada et aux États-Unis.

  • Les résultats confirment les constatations antérieures voulant que plus ou moins tout le monde prend part à une forme quelconque d’apprentissage non structuré.

  • Les résultats montrent que même si tout le monde semble engagé dans une forme quelconque d’activité d’apprentissage non structuré, les groupes vulnérables, qui se caractérisent par un bas niveau de scolarité et de compétences en littératie, inscrivent un taux de participation nettement inférieur à de nombreuses activités non structurées pour lesquelles l’ELCA a réuni des données.

  • L’ELCA montre le lien étroit qui se noue entre la participation à des activités d’éducation et de formation des adultes et le monde du travail.

  • Les caractéristiques de l’emploi et du milieu de travail, telles la taille de l’entreprise, le type d’industrie, la profession et les fonctions de supervision, ont une incidence sur la probabilité d’accès à des activités d’éducation et de formation parrainées par l’employeur. De plus, les niveaux d’application des capacités de lecture et d’utilisation des compétences en numératie au travail sont fortement rattachés à la probabilité de bénéficier d’une éducation et d’une formation des adultes parrainées par l’employeur.