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Le cancer au Canada : cancers du poumon, du côlon et du rectum, du sein et de la prostate

Statistique Canada, 82-624-X au catalogue
par Tanya Navaneelan et Teresa Janz

Faits saillants

  • Le cancer de la prostate représente le plus grand nombre de nouveaux cas de cancer diagnostiqués. Toutefois, comparativement aux cancers du poumon, du côlon et du rectum et du sein, il cause le plus petit nombre de décès.
  • Le cancer du poumon est la cause la plus fréquente de décès liés au cancer. Même si les hommes sont plus susceptibles de recevoir un diagnostic de cancer du poumon que les femmes, les taux chez les hommes sont à la baisse.
  • Le cancer du sein est le cancer le plus souvent diagnostiqué chez les femmes. Toutefois, les taux sont demeurés relativement stables au fil du temps.
  • Le cancer du côlon et du rectum touche les deux sexes, les taux d'incidence étant toutefois plus élevés chez les hommes.

Le cancer n'est pas une seule maladie, mais un terme général qui représente de nombreuses maladies dont chacune a des caractéristiques particulières et des résultats qui lui sont propres. Le risque de diagnostic de cancer augmente avec l'âge : 87 % de tous les nouveaux cas de cancer sont diagnostiqués chez les personnes de 50 ans et plus. En 2007, on a enregistré 163 604 nouveaux cas de cancer, soit un taux d'incidence de 496,8 pour 100 000 personnes. Durant la même année, le cancer est devenu la principale cause de mortalité au Canada, dépassant pour la première fois les maladies du cœur et étant la cause de 69 595 décès.

Bien que tous les types de cancer soient importants (des statistiques sur d'autres cancers figurent à l'annexe 1), le présent article porte sur certaines tendances de base en ce qui concerne les quatre types de cancer les plus souvent diagnostiqués au Canada, à savoir les cancers du poumon, du côlon et du rectum, du sein et de la prostate. Ces quatre types de cancer ont été sélectionnés parce qu'ils représentent ensemble plus de la moitié des cancers diagnostiqués (53,6 % en 2007; graphique 1).

Les répartitions des taux d'incidence et de mortalité dans le graphique 1 montrent que, même si les cancers de la prostate (14,2 %), du poumon (14,0 %), du sein (12,9 %) ainsi que du côlon et du rectum (12,5 %) ont des taux d'incidence semblables, plus de décès sont attribuables au cancer du poumon qu'aux trois autres types de cancers combinés.

Graphique 1 Répartition en pourcentage de l'incidence du cancer et de la mortalité pour les quatre cancers les plus répandus, par rapport à tous les autres types, Canada, 2007Graphique 1
Répartition en pourcentage de l'incidence du cancer et de la mortalité pour les quatre cancers les plus répandus, par rapport à tous les autres types, Canada, 2007

Les données sur le cancer figurant dans le présent article sont tirées du Registre canadien du cancer (RCC). Le RCC est une base de données dynamique, axée sur la personne et représentative de la population, tenue à jour par Statistique Canada; il contient des renseignements recueillis à partir de 1992. Ces données proviennent des registres provinciaux et territoriaux du cancer.

Cancer du poumon

Au Canada, le cancer du poumon a été le deuxième des cancers les plus souvent diagnostiqués chez les hommes et les femmes en 2007, venant après le cancer de la prostate chez les hommes et le cancer du sein chez les femmes. Il y a eu cette année-là 22 865 nouveaux cas de cancer du poumon, soit 69,4 nouveaux cas pour 100 000 personnes.

Les cas de cancer du poumon ont été plus nombreux chez les hommes que chez les femmes (graphique 2 et 3). En 2007, le taux de cancer du poumon chez les hommes a été de 76,4 pour 100 000 personnes, comparativement à 62,6 pour 100 000 personnes chez les femmes. La plupart des cancers du poumon (entre 80 % et 90 %) sont attribuables à l'usage du tabac1. Les hommes sont plus susceptibles d'être atteints d'un cancer du poumon en partie parce qu'ils sont habituellement plus susceptibles de fumer et de commencer à fumer à un âge plus jeune2.

D'autres recherches montrent qu'après une longue période de taux à la hausse, le cancer du poumon chez les hommes diminue progressivement depuis le milieu des années 19803. Le cancer du poumon chez les femmes, en revanche, est à la hausse depuis 1980, à un rythme plus lent toutefois ces 10 dernières années. Ces profils reflètent les différences entre les hommes et les femmes en matière d'usage du tabac. Alors que l'usage du tabac chez les hommes a commencé à diminuer vers le milieu des années 1960, il baisse chez les femmes depuis le milieu des années 1980 seulement4. Étant donné que les taux de tabagisme chez les femmes n'ont jamais été aussi élevés que chez les hommes, le cancer du poumon chez les femmes ne devrait pas atteindre le même sommet que chez les hommes2.

Graphique 2 Cancer du poumon, taux d'incidence normalisés selon l'âge pour 100 000 personnes selon l'année et le sexe, Canada, 1992 à 2007Graphique 2
Cancer du poumon, taux d'incidence normalisés selon l'âge pour 100 000 personnes selon l'année et le sexe, Canada, 1992 à 2007

Les données dans le présent article montrent que le taux annuel d'incidence du cancer du poumon normalisé selon l'âge baisse depuis 1992; toutefois, les tendances diffèrent dans le cas des hommes et des femmes (graphique 2). Alors que les taux chez les hommes ont diminué progressivement depuis 1992, les taux chez les femmes ont modérément augmenté.

Le cancer du poumon atteint le plus souvent les personnes de 50 ans et plus; en 2007, 95,5 % des nouveaux cas ont été diagnostiqués chez les personnes de ce groupe d'âge (graphique 3). La principale tranche d'âge pour le diagnostic est celle de 75 ans et plus. L'âge est associé à un risque accru tant chez les hommes que chez les femmes, mais le risque augmente plus rapidement pour les hommes. Même si les hommes sont généralement plus susceptibles d'être atteints du cancer du poumon, avant 55 ans le taux est en fait plus élevé chez les femmes. Vers 55 ans, les hommes atteints de cancer du poumon commencent à être plus nombreux que les femmes et cette tendance se poursuit chez les groupes plus âgés.

Graphique 3 Cancer du poumon, taux d'incidence pour 100 000 personnes, selon le groupe d'âge et le sexe, Canada, 2007Graphique 3
Cancer du poumon, taux d'incidence pour 100 000 personnes, selon le groupe d'âge et le sexe, Canada, 2007

Survie au cancer du poumon et mortalité

Le cancer du poumon est la principale cause de décès liés au cancer chez les hommes ainsi que chez les femmes au Canada. En 2007, 18 550 décès ont été attribuables au cancer du poumon, ce qui correspond à un taux de mortalité de 56,3 pour 100 000 personnes. Le cancer du poumon est à l'origine de 26,7 % de tous les décès attribuables au cancer et de 6,5 % de l'ensemble des décès.

Les personnes ayant reçu un diagnostic de cancer du poumon ont 17 % de probabilité de vivre encore cinq années ou plus par rapport à la population générale. Les femmes ont un meilleur taux de survie (21 %) que les hommes (14 %)5. Comparativement aux trois autres types de cancer, le taux de survie6 au cancer du poumon est relativement faible pour plusieurs raisons, y compris le fait que la plupart des cancers du poumon sont diagnostiqués à un stade avancé où les options thérapeutiques sont limitées7. En outre, la majorité des personnes atteintes de cancer du poumon sont des fumeurs ou d'anciens fumeurs, qui sont plus susceptibles d'avoir d'autres problèmes de santé liés à l'usage du tabac, comme une maladie cardiovasculaire ou une maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC)3,8.

Cancer du côlon et du rectum

Le cancer du côlon et du rectum se situe au quatrième rang parmi les types de cancer les plus fréquents au Canada. En 2007, 20 483 nouveaux cas de cancer du côlon et du rectum ont été déclarés (ou 62,2 pour 100 000 personnes).

Les taux de cancer du côlon et du rectum ont augmenté pendant plusieurs années, mais au milieu des années 19809, le taux d'incidence normalisé selon l'âge a commencé à baisser. En 1992, le taux était devenu relativement stable, fluctuant périodiquement toutefois au fil des ans (graphique 4). La variation des taux au fil du temps s'explique en partie par la mise en œuvre et l'utilisation des examens de dépistage du cancer du côlon et du rectum10,11.

Graphique 4 Cancer colorectal, taux d'incidence normalisés selon l'âge pour 100 000 personnes, selon l'année et le sexe, Canada, 1992 à 2007Graphique 4
Cancer colorectal, taux d'incidence normalisés selon l'âge pour 100 000 personnes, selon l'année et le sexe, Canada, 1992 à 2007

Dans l'ensemble, les taux du cancer du côlon et du rectum sont plus élevés chez les hommes que chez les femmes; toutefois, l'écart entre les hommes et les femmes est plus prononcé parmi les groupes plus âgés (graphique 5). Par exemple, dans le groupe des 50 à 54 ans, la différence des taux entre les hommes et les femmes est minime, mais dans le groupe des 70 à 74 ans, le taux est d'environ 1,5 fois plus élevé chez les hommes. Les raisons pour lesquelles le cancer du côlon et du rectum est plus répandu chez les hommes que chez les femmes ne sont pas tout à fait claires; cependant, les recherches donnent à penser qu'il peut y avoir un lien avec l'alimentation, la masse corporelle, l'activité physique, les hormones et les antécédents familiaux3,12.

Graphique 5 Cancer colorectal, taux d'incidence pour 100 000 personnes, selon le groupe d'âge et le sexe, Canada, 2007Graphique 5
Cancer colorectal, taux d'incidence pour 100 000 personnes, selon le groupe d'âge et le sexe, Canada, 2007

Survie au cancer du côlon et du rectum et mortalité

Bien que les taux de mortalité du cancer du côlon et du rectum aient diminué depuis la fin des années 1990, ce type de cancer demeure la deuxième des causes les plus fréquentes de décès liés au cancer au Canada (après le cancer du poumon). En 2007, le cancer du côlon et du rectum a été la cause de 8 515 décès, soit un taux de mortalité de 25,8 décès pour 100 000 personnes.

Les hommes et les femmes ayant reçu un diagnostic de cancer du côlon et du rectum ont 64 % de probabilité de vivre encore cinq années ou plus par rapport à la population générale5.

Cancer du sein

En 2007, il y a eu 21 006 nouveaux cas de cancer du sein13, ce qui correspond à un taux d'incidence de 126,5 pour 100 000 femmes. Ainsi, le cancer du sein est le type de cancer le plus souvent diagnostiqué chez les femmes au Canada.

Les taux d'incidence du cancer du sein normalisés selon l'âge ont augmenté progressivement de 1982 au début des années 1990. Cela tient en partie au recours accru aux programmes de dépistage du cancer du sein14 (mammographie), qui a permis de mieux détecter cette maladie. Depuis le début des années 1990, les taux de cancer du sein sont demeurés relativement constants, affichant de légères fluctuations au fil du temps (graphique 6). Les raisons de ces fluctuations ne sont pas claires, mais elles pourraient être liées aux changements en matière de recours aux mammographies et à l'hormonothérapie3,15.

Graphique 6 Cancer du sein, taux d'incidence normalisé selon l'âge pour 100 000 personnes, selon l'année, Canada, 1992 à 2007Graphique 6
Cancer du sein, taux d'incidence normalisé selon l'âge pour 100 000 personnes, selon l'année, Canada, 1992 à 2007

Le risque de cancer du sein augmente sensiblement avec l'âge (graphique 7). Plus de la moitié de tous les nouveaux cas de cancer du sein ont été diagnostiqués chez les femmes de 50 à 69 ans. Le cancer du sein est rare chez les jeunes femmes; 11 % des cas diagnostiqués l'ont été chez des femmes de moins de 45 ans.

Graphique 7 Cancer du sein, taux d'incidence pour 100 000 personnes, selon le groupe d'âge, Canada, 2007Graphique 7
Cancer du sein, taux d'incidence pour 100 000 personnes, selon le groupe d'âge, Canada, 2007

Survie au cancer du sein et mortalité

En 2007, 5 066 décès ont été attribuables au cancer du sein au Canada, ce qui correspond à un taux de mortalité de 30,4 décès pour 100 000 femmes. Le cancer du sein est à l'origine d'environ 7,3 % des décès liés au cancer (15,3 % des décès attribuables au cancer chez les femmes) et de 2,2 % de l'ensemble des décès (4,3 % de tous les décès chez les femmes). Les taux de mortalité attribuables au cancer du sein sont à la baisse depuis le sommet atteint au milieu des années 1980, probablement en raison du recours accru aux programmes de dépistage et des traitements plus efficaces16. Les femmes chez lesquelles le cancer du sein a été diagnostiqué affichent un taux de survie relativement élevé, ayant 88 % de probabilité de vivre encore cinq années5.

Cancer de la prostate

Même si le cancer de la prostate se produit seulement chez les hommes, il s'agit du type de cancer le plus souvent diagnostiqué au Canada. En 2007, 23 231 nouveaux cas de cancer de la prostate ont été déclarés, soit 142,3 cas pour 100 000 hommes.

Au cours des 20 dernières années, les taux normalisés selon l'âge des diagnostics de cancer de la prostate ont augmenté graduellement au fil du temps3. Les taux ont atteint un sommet en 1993, soit de 140,7 cas pour 100 000 hommes. Ce sommet a été attribuable principalement à l'introduction des programmes de dépistage du cancer de la prostate17 qui ont permis de mieux détecter cette maladie. Le nombre de cas a atteint un nouveau sommet en 2001, peut être en raison d'une plus grande sensibilisation du public à la disponibilité du test de l'APS18. Depuis, les taux sont demeurés relativement stables, se situant dans la fourchette de 120,4 à 126,1 cas pour 100 000 hommes (graphique 8).

Graphique 8 Cancer de la prostate, taux d'incidence normalisés selon l'âge pour 100 000 personnes, selon l'année, Canada, 1992 à 2007Graphique 8
Cancer de la prostate, taux d'incidence normalisés selon l'âge pour 100 000 personnes, selon l'année, Canada, 1992 à 2007

La plupart des cas de cancer de la prostate (97,8 %) se produisent chez les hommes de 50 ans et plus (graphique 9). L'incidence augmente fortement avec l'âge, plus que pour tous les autres principaux types de cancer. Chez les hommes de moins de 40 ans, le cancer de la prostate est très rare; en effet, moins de 1 % des cas se produisent chez les hommes dans ce groupe d'âge et ils tiennent généralement à des facteurs génétiques19.

Graphique 9 Cancer de la prostate, taux d'incidence pour 100 000 personnes, selon le groupe d'âge, Canada, 2007Graphique 9
Cancer de la prostate, taux d'incidence pour 100 000 personnes, selon le groupe d'âge, Canada, 2007

Survie au cancer de la prostate et mortalité

En 2007, 3 632 décès ont été attribuables au cancer de la prostate au Canada, ce qui correspond à un taux de mortalité de 22,2 pour 100 000 hommes. Le cancer de la prostate est à l'origine de 5,2 % de tous les décès liés au cancer (9,9 % de tous les décès attribuables au cancer chez les hommes) et de 1,5 % de l'ensemble des décès (3,1 % de tous les décès chez les hommes). Même si le cancer de la prostate est la troisième des causes les plus fréquentes de décès liés au cancer chez les hommes au Canada, les décès attribuables au cancer de la prostate sont à la baisse depuis 1993. Ces baisses tiennent probablement au diagnostic précoce et aux meilleurs traitements du cancer de la prostate18.

Le taux relatif de survie des hommes atteints d'un cancer de la prostate est à la hausse depuis le milieu des années 1980, et il est maintenant très élevé. Les hommes ayant reçu un diagnostic de cancer de la prostate ont 97 % de probabilité de vivre encore cinq années ou plus par rapport à leurs homologues dans la population générale5.


  1. Ruano-Ravina A., A. Figuerias et J.M. Barros-Dios. 2003. « Lung cancer and related risk factors: an update of the literature », Public Health, vol. 117, 3, p. 149 à 156.
  2. Alberg A.J. et J.M. Samet. 2003. « Epidemiology of lung cancer », Chest, vol. 123, supplement 1, p. 21S à 49S.
  3. Comité directeur de la Société canadienne du cancer. 2011. Statistiques canadiennes sur le cancer 2011. Toronto, Société canadienne du cancer.
  4. Kort E.J., N. Paneth et G.F. Vande Woude. 2009. « The decline in U.S. cancer mortality in people born since 1925 », Cancer Res., vol. 69, 16, p. 6500 à 6505.
  5. Totalisation spéciale des taux relatifs de survie de cinq années pour 2007 (pour le Canada, excluant le Québec) d'après les données du Registre canadien du cancer et de la méthode de la période. Pour plus d'information sur la méthode, voir Ellison E.F. et K. Wilkins. 2010. « Mise à jour sur la survie au cancer », Rapports sur la santé, produit 82-003-X au catalogue de Statistique Canada, vol. 21, 3, p. 59 à 64.
  6. Les estimations de survie expriment la survie moyenne d' importants groupes de personnes et n'expriment pas nécessairement les chances de survie d'un individu.
  7. Salomaa E.R., S. Sallinen, H. Hiekkanen et K. Liippo. 2005. « Delays in the diagnosis and treatment of lung cancer », Chest, vol. 128, 4, p. 2282 à 2288.
  8. Youlden D.R., S.M. Cramb et P.D. Baade. 2008. « The international epidemiology of lung cancer: geographical distribution and secular trends », Journal of Thoracic Oncology, vol. 3, 8, p. 819 à 831.
  9. Gibbons L., C. Waters, Y. Mao et L. Ellison. 2001. « Cancer du côlon et du rectum : incidence et mortalité », Rapports sur la santé, produit no 82-003-X au catalogue de Statistique Canada, vol. 12, 2, p. 47 à 62.
  10. Bryant H.E., S.V. Fekete et D.H. Major. 2011. « Pan-Canadian initiatives in colorectal cancer screening: adopting knowledge translation and tools to accelerate uptake and impact », Current Oncology, vol. 18, 3, p. 111 à 118.
  11. Société canadienne du cancer. 2010. « Cancer colorectal », dernière mise à jour le 21 décembre 2010, (page consultée le 11 juillet 2011).
  12. Decosse J.J., S.S. Ngoi, J.S. Jacobsen et W.J. Cennerazzo. 1993. « Gender and colorectal cancer », European Journal of Cancer Prevention, vol. 2, 2, p. 105 à 116.
  13. Dans cet article, le cancer du sein fait uniquement référence au cancer du sein chez les femmes. Bien que les hommes puissent être atteints du cancer du sein, cela est très rare, soit moins de 1 % de tous les cas.
  14. Santé Canada. 2004. « Votre santé et vous : cancer du sein », (page consultée le 11 juillet 2011).
  15. Gompel A. et G. Plu-Bureau. 2010. « Is the decrease in breast cancer incidence related to a decrease in postmenopausal hormone therapy? », Annals of the New York Academy of Sciences, vol. 1205, p. 268 à 276.
  16. Wadden N. et G.P. Doyle. 2005. « Breast cancer screening in Canada: A review », Journal de l'Association canadienne des radiologistes, vol. 56, 5, p. 271 à 275.
  17. Agence de la santé publique du Canada, « Que devrais-je savoir à propos du cancer de la prostate? ». N'est plus disponible (page consultée le 11 juillet 2011).
  18. Fradet Y., L. Klotz, J. Trachtenberg et A. Zlotta. 2009. « The burden of prostate cancer in Canada. », Journal de l'Association des urologues du Canada, vol. 3, 3, supplément no 2, p. S102 à S108.
  19. McCormak, M. et F. Saad. 2004. Comprendre le cancer de la prostate, Montréal, Rogers Media.
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