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Tableau 3.3
Compte d'actifs écosystémiques, région métropolitaine de recensement-écosystème (RMR-E) d'Abbotsford–Mission, 1971 à 2011 Tableau 3.3
Compte d'actifs écosystémiques, région métropolitaine de recensement-écosystème (RMR-E) d'Abbotsford–Mission, 1971 à 2011

Tableau 3-3
Compte d'actifs écosystémiques, région métropolitaine de recensement-écosystème (RMR-E) d'Abbotsford–Mission, 1971 à 2011
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Compte d'actifs écosystémiques Superficie totale des zones bâties, Terres arables, Terres naturelles et semi-naturelles, Zone habitée et Routes, calculées selon kilomètres carrés unités de mesure (figurant comme en-tête de colonne).
	Zone habitée	Routes	Terres arables^Note 2	Terres naturelles et semi-naturelles^Note 3
	Superficie totale des zones bâties^Note 1		Terres arables^Note 2	Terres naturelles et semi-naturelles^Note 3
	kilomètres carrés
Stock d'ouverture 1971	37	23	470	4 783
Terres perdues au profit de la zone habitée	Note ...: n'ayant pas lieu de figurer	Note ...: n'ayant pas lieu de figurer	-109	-130
Reste des changements^Note 4	240	82	77	-160
Stock de clôture 2011	276	106	438	4 493
... n'ayant pas lieu de figurer Note 1. Les données sur les zones bâties sont tirées de multiples sources. La zone bâtie de 1971 est fondée sur l’Inventaire des terres du Canada : utilisation des sols (ITC : US). Les données du Programme de surveillance de l’utilisation des terres au Canada (PSUTC) excluent les RMR de Moncton, Trois-Rivières, Sherbrooke, Peterborough, Kingston, Barrie, Brantford, Kelowna et Abbotsford–Mission. Par conséquent, il se peut que la zone bâtie de 1971 soit sous-estimée pour ces RMR. Les zones bâties fondées sur l’ITC : US qui n’étaient pas bâties d’après l’ensemble de données Utilisation des terres en 1990 d’AAC ont été retirées des données sur les zones bâties de 1971 et reclassées selon leur couverture en 1990. Pour améliorer la comparabilité avec les autres années, on a recensé les routes situées dans la zone bâtie principale et on les a supprimées pour produire la zone habitée de 1971. L’ensemble de données de 1971 ne comprenait pas de routes situées à l’extérieur de la zone bâtie principale. On a modélisé les routes en appliquant à la zone habitée de 1971 le ratio des routes à la zone habitée de 1990. Les estimations de la zone bâtie pour 1991, 2001 et 2011 sont fondées sur l'Utilisation des terres en 1990, 2000 et 2010, codes 21 (lieux habités – zones bâties et urbaines) et 25 (routes – primaires, secondaires et tertiaires). Retour à la référence de note 1 Note 2. Pour calculer les terres arables perdues au profit de la zone habitée, nous avons superposé la croissance des zones habitées de 1971 à 2011 à la couche de base de l’ITC : US et, pour les zones où la zone habitée de 1971 a été réduite, à la zone reclassée d’après l'Utilisation des terres en 1990 d’AAC. Inclut les classes de l'ITC suivantes : terres en culture, pâturages et cultures fourragères améliorés, vergers et vignobles et horticulture. Retour à la référence de note 2 Note 3. Pour calculer les terres naturelles et semi-naturelles perdues au profit de la zone habitée, nous avons superposé la croissance des zones habitées de 1971 à 2011 à la couche de base de l’ITC : US et, pour les zones où la zone habitée de 1971 a été réduite, à la zone reclassée d’après l'Utilisation des terres en 1990 d’AAC. Inclut les classes de l'ITC suivantes : terres forestières, pâturages naturels et prairies, zones récréatives extérieures, roc et surfaces sans végétation, terres humides dégagées et zones non cartographiées. Retour à la référence de note 3 Note 4. La rangée du reste des changements fait état des changements autres que les terres agricoles et naturelles perdues au profit de la zone bâtie qui sont survenus de 1971 à 2011. Ces valeurs sont déterminées selon une procédure comptable et représentent la différence résiduelle entre le stock d’ouverture et le stock de clôture. Retour à la référence de note 4 Note : Les RMR-E ne sont pas mutuellement exclusives : elles se chevauchent lorsqu’un polygone des pédo-paysages du Canada (PPC) traverse plus d’une limite de RMR, comme c’est le cas à Vancouver et à Abbotsford–Mission. Il faut faire preuve de prudence lorsqu’on compare les données. Voir la représentation visuelle des limites des RMR-E sur les cartes des RMR-E à la section 3, Comptes et statistiques écosystémiques, selon la région métropolitaine de recensement. Sources : Statistique Canada, Division de la statistique de l’environnement, de l’énergie et des transports, 2016, totalisation spéciale de données provenant de Ressources naturelles Canada (RNCan), Centre canadien de télédétection (CCT), Inventaire des terres du Canada : utilisation des sols (vers 1966), ftp://ftp2.cits.rncan.gc.ca/pub/geott/cli_250k/landuse/ (site consulté le 15 septembre 2015); RNCan, CCT, 1999, Programme de surveillance de l’utilisation des terres du Canada (PSUTC): utilisation des terres (1971), ftp://ftp2.cits.rncan.gc.ca/pub/geott/clump/clump_1971/ (site consulté le 15 septembre 2015); Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC), 2015, Utilisation des terres en 1990, 2000 et 2010, http://ouvert.canada.ca/data/fr/dataset/18e3ef1a-497c-40c6-8326-aac1a34a0dec (site consulté le 16 septembre, 2015); AAC et Statistique Canada, totalisation spéciale, Recensement de l’agriculture, base des composantes géographiques de recensement, 2011 et 2001, Recensement de l’agriculture, base régulière, 1991 et 1971; RNCan, Centre canadien de cartographie et d'observation de la Terre, 2014, Canvec+, ftp://ftp2.cits.rncan.gc.ca/pub/canvec+/shp/ (site consulté le 10 août 2015).

Date de modification :: 2016-03-31