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Changements démographiques au Canada de 1971 à 2001 selon un gradient urbain-rural |
RésultatsLa croissance démographique depuis 1971Les effectifs de population sont inégalement répartis entre les huit types de régions à l’étude et leur répartition reflète bien le mode « urbain » d’occupation du territoire…[Texte intégral] Facteurs de l’accroissement démographiqueOn a vu qu’au sein des régions métropolitaines, celles qui comptent plus de 500 000 habitants sont celles qui ont crû le plus fortement entre 1971 et 2001. Les régions urbaines de taille moyenne ont connu une croissance du même ordre que celle de l’ensemble du Canada alors que l’accroissement a été plus faible au sein des régions urbaines les plus petites. Quant à la population des milieux ruraux, elle n’a connu que de modestes augmentations, sauf dans les régions définies en 2001 comme subissant une forte influence métropolitaine…[Texte intégral] Implications d’un accroissement à vitesse variableJusqu’ici, on a eu l’occasion d’observer plusieurs différences démographiques entre les régions composant le continuum métropolitain-rural défini pour le présent projet. Il convient maintenant de se demander quels ont été les effets de ces différences sur le vieillissement et la diversité ethnoculturelle au sein des milieux ruraux et urbains...[Texte intégral] ConclusionLe présent article visait à apporter une contribution à l’étude démographique de l’urbanité et de la ruralité au Canada en envisageant les diverses communautés du pays comme s’inscrivant dans un continuum allant des plus urbaines aux plus rurales. Cette façon de concevoir le phénomène procédait de la volonté d’aller au-delà de l’approche dichotomique qui divise le territoire en opposant les uns aux autres les milieux ruraux et les milieux urbains...[Texte intégral] |
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