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![]() ![]() Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada S'établir dans un nouveau pays : un portrait des premières expériences |
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Renseignements de baseLe Canada est l’un des rares pays à travailler activement à l’admission de résidents permanents en vue de former une nation plus forte1. Au cours des années 1990, 2,2 millions d’immigrants ont été admis au Canada. Il s’agit du plus grand nombre d’immigrants enregistré au cours de toutes les décennies des 100 dernières années. Durant cette période, l’immigration était le principal moteur de croissance démographique des grands centres urbains et représentait une part substantielle de l’augmentation de l’ensemble de la population active. L’immigration et l’intégration des nouveaux arrivants sont le pivot de nombreuses politiques publiques et intéressent vivement le grand public. L’Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada (ELIC), réalisée par Statistique Canada et Citoyenneté et Immigration Canada, permettra d’orienter l’élaboration de politiques et de mieux informer le public. Cette enquête exhaustive a pour but d’étudier la façon dont les nouveaux immigrants s’adaptent à la vie au Canada et de fournir de l’information sur les facteurs susceptibles d’aider ou de nuire à cette adaptation. Les immigrants qui font partie de la population2 de l’ELIC ont été admis au Canada en vertu de la Loi sur l’immigration, 1976 , entrée en vigueur en 1978 et modifiée en 1993. Cette loi confère au programme d’immigration trois objectifs fondamentaux d’ordre social, humanitaire et économique :
Si l’importance relative de ces objectifs a changé ces dernières années, chacun d’entre eux fait encore partie intégrante du programme canadien d’immigration. L’évolution de ces priorités a transformé le flux d’immigration selon la catégorie, mais le volume est demeuré plutôt stable par rapport à l’ensemble de la population canadienne, oscillant entre 0,6 % et 0,9 % de 1991 à 2001. Jusqu’au début des années 1970, malgré une diversification mineure des pays d’origine, le Canada n’accueillait à peu près que des immigrants de l’Europe de l’Ouest. Entre 1970 et 2000, la Grande-Bretagne , les États-Unis, l’Italie, le Portugal et la Grèce ont cédé leur titre de principaux pays d’origine à la Chine , à l’Inde, au Pakistan, aux Philippines et à la République de Corée. Les nouveaux arrivants proviennent de plus en plus de pays aux histoires et vécus multiples, tant et si bien que la question de l’immigration pourrait bien être porteuse d’un tout autre éventail de défis. Notes1. Le nombre d’immigrants pour 1 000 habitants en 2001 était de 8,3 au Canada, de 5,7 en Australie, de 3,1 aux États-Unis, de 3,0 pour l’Association économique européenne et de 0,3 au Japon. 2. Dans la présente publication, la population immigrante ou la population de l’ELIC comprend les immigrants qui répondent au critère bien précis décrit dans À propos de l’Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada et qui ont été interviewés durant le cycle 1. L’échantillon a été prélevé entre octobre 2000 et septembre 2001, avant l’entrée en vigueur (le 28 juin 2002) de la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés (LIPR). |
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