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Les entreprises exécutant de la recherche et développement (R-D) prévoient consacrer 16,1 milliards de dollars (en dollars courants) à la R-D en 2009 (tableau 1), un montant qui demeure pratiquement inchangé par rapport aux deux années précédentes. La collecte des données sur les intentions de dépenses de R-D pour 2008-2009 a commencé en août 2008, avant le début de l’actuel ralentissement financier mondial, et s’est poursuivie jusqu’en mars 2009. Selon les prévisions, les entreprises rajusteront leurs dépenses de R-D chacune selon leur réaction à la crise financière mondiale.
En dollars constants 2002, les dépenses de R-D industrielle ne se sont pas encore remises du repli technologique survenu au début du millénaire et qui a touché les dépenses de R-D industrielle de façon plus évidente en 2002 (tableau 1).
Le nombre de sociétés qui ont exécuté de la R-D continue d’augmenter. Il a connu une hausse de 66,7 % par rapport à 12 087 en 2001 pour atteindre 20 154 en 2006, la dernière année pour laquelle le nombre est disponible (tableau 18-2). En dollars constants de 2002, les dépenses au titre de la R-D industrielle ont atteint un sommet à 14 425 millions de dollars en 2001. Par conséquent, les dépenses moyennes au titre de la R-D pour les sociétés qui ont exécuté de la R-D en 2006 (704 000 $) sont beaucoup moins élevées que la moyenne de 1,2 million de dollars en 2001.
L’industrie de l’information et l’industrie culturelle a été le groupe industriel exécutant de la R-D le plus important au Canada depuis 2005, remplaçant l’industrie du matériel de communication. Les composantes principales de l’industrie de l’information et de l’industrie culturelle sont l’édition de logiciels, y compris les jeux informatiques, le film et l’enregistrement sonore, la radiodiffusion et télédiffusion, les télécommunications, y compris la voix par IP, l’accès à Internet, l’édition, les sites portails de recherche ainsi que la diffusion sur le Web et le traitement des données.
Le ratio des dépenses intérieures brutes en R-D des entreprises (DIRDE), c’est-à-dire le ratio des dépenses totales intra-muros en R-D des entreprises divisé par le produit intérieur brut (PIB), permet de comparer les pays sans égard aux taux de change et autres évaluations comparatives des devises, comme la valeur en dollars assurant la parité de pouvoir d’achat (PPA). Cette mesure peut également servir sur le plan chronologique sans égard aux calculs de la valeur constante par rapport aux dollars courants (tableau 2).
En 2007, les quatre pays de l’OCDE affichant les ratios de DIRDE/PIB les plus élevés étaient, en ordre décroissant, le Japon (2,68), la Suède (2,66), la Finlande (2,51) et la Corée (2,18), tous bien au-dessus de la moyenne de l’OCDE de 1,59. Le ratio de DIRDE/PIB du Canada était de 1,05 en 2007, en baisse par rapport à 1,19 en 2004. Ce ratio pour les États-Unis a atteint 1,93 en 2007, en hausse par rapport à 1,79 en 2004 (tableau 2).
La part de la R-D exécutée par le secteur des entreprises commerciales du Canada à titre de pourcentage du total des dépenses intérieures brutes en recherche et développement des entreprises (DIRDE) au Canada continue de diminuer pour s’établir à 54,9 % en 2008, comparativement à son sommet de 61,7 % en 2001 (tableau 3). La part du Canada de toute la R-D exécutée par ce secteur est et a toujours été moins élevée que la moyenne de l’OCDE (69,6 % en 2007).
À la fin de la décennie 1980, quelques sociétés ont exécuté la plus grande part de la recherche et développement industrielle – 25 sociétés ont été à l’origine de près de la moitié de toutes les dépenses en R-D industrielle du Canada. Cette concentration dans quelques sociétés se poursuit, mais montre des signes de ralentissement. En 2009, 75 sociétés ont été à l’origine de près de la moitié de toutes les dépenses en R-D industrielle au Canada.
Au cours des dix dernières années, la part de la R-D industrielle exécutée par le secteur de la fabrication a diminué, passant de 68 % en 2000 à 52 % en 2009. Entre 2000 et 2002, la R-D dans le secteur de la fabrication est passée de 68 % à 61 % du total de la R-D industrielle exécutée. Depuis 2004, quand le secteur de la fabrication exécutait 54 % de la R-D industrielle, sa part a diminué plus lentement (tableau 5-1 et tableau CANSIM 358-0024).
Lorsqu’elles sont examinées selon les groupes de taille des dépenses en R-D, les dépenses en R-D industrielle sont concentrées dans les sociétés qui exécutent au moins un million de dollars de R-D; les quatre cinquièmes des dépenses en R-D correspondent à ce groupe (tableau 5-6). La R-D industrielle exécutée au Canada est principalement exécutée par des sociétés sous contrôle canadien. Toutefois, on a constaté qu’il y a eu récemment une légère augmentation de la proportion des dépenses en R-D effectuées par des sociétés sous propriété étrangère à l’extérieur des sociétés sous contrôle américain (tableau 5-4). Les dépenses en R-D des sociétés sous contrôle étranger sont les plus importantes pour les industries comme l’extraction minière et la fabrication de produits pharmaceutiques et de médicaments (tableau 5-5).
Le financement de la R-D industrielle peut provenir de diverses sources publiques ou privées. Parmi les sources publiques, on retrouve les subventions ou contrats fédéraux et les sources publiques provinciales. Parmi les sources privées, on retrouve notamment les sociétés exécutantes, les sociétés affiliées à la société exécutante et les contrats de recherche pour d’autres sociétés. Les autres sources canadiennes comprennent les organismes privés sans but lucratif, les universités et les particuliers. Enfin, la R-D industrielle peut être financée par des sources à l’étranger, tant publiques que privées. Le secteur des entreprises commerciales (81 %), en particulier les sociétés canadiennes exécutant de la R-D (77 %), fournit la majeure partie du financement de la R-D industrielle (tableaux 6-1 et 6-3).
Les exécutants de R-D industrielle ont reçu 16 % de leur financement de sources étrangères. Les fonds de l’administration fédérale représentaient 2 % du financement de la R-D, le reste provenant d’« autres » sources (tableau 6-3).
Les secteurs industriels comptent dans diverses mesures sur différentes sources de financement de leurs activités de R-D. Les entreprises exécutant de la R-D dans les secteurs des services publics (89 %), de l’extraction minière et de l’extraction de pétrole et de gaz (88 %) autofinancent une grande partie de leurs activités de R-D (tableau 6-2).
Les secteurs de la fabrication (79 %) et des services (73 %) autofinancent la majorité de leurs activités de R-D, mais les sources étrangères sont leur deuxième source de financement en importance (tableau 6-2).
Les dépenses en immobilisations liées aux dépenses intra-muros de R-D industrielle représentent généralement environ 7 % des dépenses totales. Cependant, des situations extraordinaires, comme le début ou l’achèvement de la construction de nouvelles installations de recherche et développement ou d’installations d’essai (tableau 10), peuvent modifier la proportion des dépenses en immobilisations dans les dépenses totales.
Les dépenses intra-muros actuelles au titre de la R-D industrielle comprennent les salaires et traitements et les autres dépenses courantes. Ces dernières années, les salaires et traitements représentent en moyenne 60 % des dépenses intra-muros courantes de R-D industrielle (tableau 7-2).
Les autres dépenses courantes comprennent les fournitures et matériaux consommés dans le processus de R-D ainsi que les contrats pour les services nécessaires à la poursuite des travaux de R-D comme le forage nécessaire à la R-D concernant le pétrole brut. Par exemple, en 2007, les salaires et traitements constituent le quart ou moins des dépenses intra-muros courantes dans deux industries, soit celle de la fabrication de produits du pétrole et du charbon et celle l’extraction minière et extraction de pétrole et de gaz, ce qui montre l’importance des autres dépenses courantes dans ces industries (tableau 7-2). Les contrats pour les travaux de R-D font partie des paiements de R-D extra-muros et ne sont pas inclus dans les dépenses intra-muros courantes.
En 2007, la dernière année pour laquelle des chiffres sur le personnel de R-D sont disponibles, 147 599 équivalents temps plein (ETP) exécutaient des tâches liées à la R-D industrielle, ce qui représente une augmentation de 16 % des activités de recherche par rapport à 2003 (127 205) (tableau 11).
Les professionnels, les chercheurs et les gestionnaires titulaires d’un diplôme universitaire continuent de représenter six des ETP exécutant de la R-D sur dix, tandis que trois sur dix sont des techniciens, et le reste, du personnel de soutien (tableau 12-4). La majorité des membres du personnel affectés à la R-D employés dans le secteur du matériel de communication (80,8 %) et le secteur des semi-conducteurs et autres composants électroniques (80,3 %) étaient des professionnels : scientifiques et ingénieurs ou des cadres administrateurs de la R-D. Ce qui indique le besoin de personnel hautement qualifié dans le secteur des technologies de communication de l’information. Par ailleurs, les industries de l’impression (60 %), des textiles (50,6 %), des meubles et produits connexes (50,5 %) et de la fabrication de produits métalliques (49,4 %) dépendent de techniciens pour exécuter leur R-D (tableau 12-3).
Les sociétés peuvent exécuter la R-D à l’interne et/ou payer un autre organisme pour accomplir ce travail spécialisé. Les paiements pour la R-D effectués à l’extérieur de la société sont connus sous le nom de dépenses extra-muros au titre de la R-D et ces paiements peuvent être attribués aux sociétés qui n’accomplissent pas leur propre R-D. La R-D exécutée pour ces paiements peut être exécutée par d’autres sociétés ou dans d’autres secteurs, par exemple, le secteur de l’enseignement supérieur, les laboratoires fédéraux ou provinciaux ou les organismes privés à but non lucratif peuvent exécuter la R-D pour les sociétés. Le secteur des entreprises commerciales a déclaré une diminution de 89 millions de dollars des paiements extra-muros pour la R-D en 2008 à environ 3,7 milliards de dollars en 2009 (tableau 14-1).
Dans le secteur des services, la catégorie industrie de l’information et industrie culturelle et service de recherche et développement scientifique sont les deux catégories les plus susceptibles de payer d’autres organismes pour exécuter leur R-D. Dans le secteur de la fabrication, les industries qui donnent le plus leur R-D en sous-traitance sont celles des produits pharmaceutiques et médicaments et du matériel de communication (tableau 14-1). Les sociétés sous contrôle canadien sont à l’origine de 70 % (2,7 milliards de dollars) des dépenses extra-muros au titre de la R-D (tableau 14-2).
Les dépenses en R-D industrielles (en dollars courants) demeurent concentrées dans les provinces canadiennes les plus peuplées, soit l’Ontario (7,6 milliards de dollars), le Québec (4,7 milliards de dollars), la Colombie-Britannique (1,7 milliard de dollars) et l’Alberta (1,1 milliard de dollars). Ensemble, les entreprises exécutant de la R-D dans les quatre provinces de l’Atlantique ont dépensé 310 millions de dollars ou 2 % des dépenses nationales au titre de la R-D industrielle en dollars courants (tableau 5-3).
En 2007, l’Alberta et la Colombie-Britannique sont les seules provinces où les activités de R-D menées dans le secteur des services ont dépassé celles effectuées dans le secteur de la fabrication. En 2007, la majorité des activités de R-D industrielle en Colombie-Britannique (62 %) étaient exécutées par le secteur des services. En Alberta, le secteur des services était à l’origine du tiers (33 %) des activités de R-D industrielle exécutées, dépassant de justesse le secteur de l’extraction minière et de l’extraction de pétrole et de gaz (30 %) et le secteur de la fabrication (29 %) pour s’établir comme le plus important exécutant de R-D industrielle de la province (tableau 5-3).
En 2007, la répartition de la R-D industrielle selon le secteur exécutant dans les provinces, était comparable dans les provinces de l’Atlantique, en Ontario et au Manitoba. En Ontario, le secteur de la fabrication représentait 61 % des activités de R-D industrielle, tandis que le secteur des services était à l’origine de 37 %. Au Manitoba, le secteur de la fabrication représentait les deux tiers (65 %) et le secteur des services, un tiers (33 %) des activités de R-D industrielle. Pour le Canada Atlantique, les parts de R-D industrielle exécutée s’établissaient à 57 % pour le secteur de la fabrication et à 35 % pour le secteur des services (tableau 5-3).
Au Québec, le secteur de la fabrication était à l’origine de 49 % de la R-D industrielle exécutée, suivi de près par le secteur des services avec 46 % (tableau 5-3).
La biotechnologie a suscité plus de 1 milliard de dollars de R-D industrielle de 2005 à 2007. La grande majorité de cette R-D est allée au secteur des services, suivie du secteur de la fabrication et des entreprises du secteur agricole (tableau 15-1).
Le secteur de la fabrication est à l’origine de la majorité (179 millions de dollars) des dépenses de 326 millions de dollars au titre de la R-D industrielle exécutée à des fins de lutte contre la pollution en 2007 (tableau 15-2).
Les dépenses au titre de la R-D pour les logiciels totalisaient 4,2 milliards de dollars en 2007, les sociétés dans le secteur des services étant à l’origine de 2,4 milliards de dollars de ces dépenses, soit la majeure partie (58 %). Les entreprises de fabrication ont dépensé 1,7 milliard de dollars en R-D (41 %) consacrée aux logiciels (tableau 15-3).
En 2007, les sociétés canadiennes ont consacré 1,2 milliard de dollars à la R-D sur l’énergie, mettant particulièrement l’accent sur les combustibles fossiles (659 millions de dollars). La R-D sur l’économie d’énergie arrivait en deuxième place avec 188 millions de dollars, suivie du transport et transmission de l’énergie avec 122 millions de dollars (tableau 17).
À partir de 2006, pour la balance des paiements technologiques (BPT) du Canada, les estimations proviennent seulement d’activités de recherche et développement (R-D) des entreprises qui exécute ou finance au moins 1,5 million de dollars. Pour les années précédentes, la BPT s’appliquait aux sociétés qui exécutaient ou finançaient de la R-D d’au moins 1 million de dollars. Les statistiques aux tableaux 16-1 et 16-2 sont tirées de l’enquête sur la R-D industrielle plutôt que des enquêtes sur la balance des paiements. Par conséquent, les paiements et les recettes se rapportant à la technologie, autres que de R-D, sont incomplets puisque les données des sociétés qui ne sont pas visées par l’enquête sur la R-D industrielle ne sont pas disponibles.
Les services technologiques se composent de R-D et « autres » services technologiques. Ces services sont normalement fournis à l’interne, mais il est aussi possible de les acquérir auprès d’une source au Canada ou à l’étranger. De même, les sociétés canadiennes peuvent fournir des services technologiques à des sociétés situées à l’extérieur du Canada. En 2007, les sociétés en exploitation au Canada ont reçu 3,3 milliards de dollars pour des services technologiques et payé 1,4 milliard de dollars pour ces services provenant de sociétés à l’extérieur du Canada, ce qui correspond à une balance nette positive de 1,9 milliard de dollars (tableau 16-1).
Tout au long de la période de 1998 à 2007, la BPT du Canada a été positive, tout comme la balance des paiements des activités de R-D. À compter de 2000, la balance des paiements pour les « autres » services technologiques est devenue positive (tableau 16-2).
Le nombre d’entreprises exécutant de la R-D continue de croître annuellement. Il a atteint 20 154 en 2006, ce qui représente une hausse de 3,2 % par rapport à 19 515 en 2005 et plus du double des 9 648 entreprises enregistrées en 1997. Mesurées en dollars constants, les dépenses moyennes de R-D par entreprise menant des activités de R-D sont passées de 977 milliers de dollars en 1997 à 704 milliers de dollars en 2006 (tableaux 1 et 18-2).
Les entreprises peuvent mener leurs activités de R-D dans plus d’un emplacement, et leurs activités peuvent donc être comptées dans plus d’une province. Pour l’année 2006, le nombre d’exécutants de R-D, y compris ceux engageant des dépenses dans plus d’une province, s’élevait à 20 489. En ce qui touche l’endroit où se déroule la R-D, la majorité des exécutants sont situés dans les deux provinces centrales, c’est-à-dire au Québec (8 078 ou 39 %) et en Ontario (8 057 ou 39 %). On comptait 680 (3 %) d’exécutants de R-D dans les provinces de l’Atlantique, 375 (2 %) au Manitoba; 199 (1 %) en Saskatchewan, 1 188 (6 %) en Alberta et 1 912 (9 %) en Colombie-Britannique et dans les Territoires (tableau 18-2).
La R-D est une stratégie d’entreprise. Les sociétés utilisent les stratégies d’entreprise dans le but d’être les plus avantagées relativement à la concurrence sur le marché. La décision d’exécuter de la R-D est donc en quelque sorte un pari que les sommes engagées dans la R-D dégageront un certain savoir qui permettra de renforcer, et au moins de maintenir, sa position devant la concurrence. Les données sur la propension fournissent un instantané de tous les exécutants en R-D au cours d’une période donnée en proportion de toutes les sociétés actives à la même période. Il est donc intéressant de constater que la propension à exécuter de la R-D a augmenté rapidement de 2001 à 2006 (tableau 18-3). On peut y voir la réaction à un marché de plus en plus concurrentiel et global, où les pressions ne peuvent être contournées par le protectionnisme local.
Dans l’ensemble, les exécutants en R-D constituent une très faible proportion de l’activité au Canada, soit seulement 2,1 %. Les données changent selon le secteur, seulement 0,5 % des entreprises de construction exécutant de la R-D contre plus de 16,9 % des sociétés du secteur de la fabrication. Par ailleurs, les propensions varient sensiblement selon les industries de chaque secteur (tableau 18-3).
Dans certaines industries, la R-D équivaut pratiquement à un « droit d’entrée » : tout juste un peu plus de la moitié des sociétés du secteur du matériel de communication (54,7 %) et presque la moitié des sociétés du secteur des produits pharmaceutiques et médicaments (48,3 %) on déclaré avoir exécuté de la R-D en 2006. Les autres industries du secteur de la fabrication ayant une forte propension à exécuter de la R-D comprennent le secteur des instruments de navigation, de mesure et de commande et d’instruments médicaux (43,2 %), ainsi que le secteur des semi-conducteurs et autres composants électroniques (40,8 %). Les industries les moins susceptibles d’exécuter de la R-D dans le secteur de la fabrication sont l’impression (6,2 %) et les meubles et produits connexes (7,8 %) (tableau 18-3).
Dans le secteur des services, la propension générale à exécuter de la R-D était de 1,3 % en 2006. Alors qu’on s’y attendait, la catégorie exécutant le plus de R-D était celle des services de recherche et développement scientifiques avec 36,1 %. Un dixième des entreprises de la conception de systèmes informatiques et services connexes ont exécuté de la R-D, tandis qu’un vingtième des entreprises de l’industrie de l’information et industrie culturelle et du secteur de l’architecture, génie et services connexes ont également exécuté de la R-D en 2006 (tableau 18-3).