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• En 2004, les personnes ayant une limitation d'activité ont affiché un taux de victimisation avec violence, ce qui inclut les agressions sexuelles, les vols qualifiés et les voies de fait, deux fois plus élevé que celui des personnes n'ayant pas de limitation.

• Les personnes ayant un trouble mental ou comportemental ont enregistré un taux de victimisation personnelle, ce qui inclut les crimes violents et les vols de biens personnels, quatre fois plus élevé que celui des personnes n'ayant pas de trouble mental.

• Près des deux tiers (65 %) des crimes violents commis à l'endroit d'une personne ayant une limitation d'activité avaient été perpétrés par une personne connue de la victime.

• Les personnes ayant une limitation d'activité étaient deux à trois fois plus susceptibles de subir les formes les plus graves de violence conjugale, telles que la violence sexuelle et le fait d'être battues ou frappées, ou encore, d'être menacées à l'aide d'une arme.

• Un état de santé autodéclaré mauvais ou passable de même que des troubles du sommeil et l'usage d'antidépresseurs ou de calmants étaient associés à des taux de victimisation avec violence de 50 % à 90 % plus élevés que la moyenne.