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Méthodes

Sources des données

Enquête sociale générale sur la victimisation
Limites des données
Programme de déclaration uniforme de la criminalité fondé sur l’affaire (DUC2)
Enquête sur les homicides

Enquête sociale générale sur la victimisation

En 2004, Statistique Canada a réalisé le cycle sur la victimisation de l’Enquête sociale générale pour la quatrième fois. Les cycles précédents avaient été menés en 1988, en 1993 et en 1999. L’enquête vise à produire des estimations de la mesure dans laquelle les personnes font l’objet de huit types d’infractions (voies de fait, agression sexuelle, vol qualifié, vol de biens personnels, introduction par effraction, vol de véhicule automobile, vol de biens du ménage et vandalisme), à examiner les facteurs de risque associés à la victimisation, à examiner les taux de déclaration à la police ainsi qu’à évaluer la crainte suscitée par la criminalité et les perceptions du public à l’égard de la criminalité et du système de justice pénale.

La population cible de l’ESG comprend toutes les personnes âgées de 15 ans et plus ne vivant pas en établissement. L’ESG 2004 avait un échantillonnage de 24 000 ménages dans les provinces. On a choisi des ménages au moyen de la méthode de composition aléatoire, ce qui a donné lieu à un taux de réponse de 75 %. L’utilisation des téléphones pour la sélection de l’échantillon et la collecte des données signifie que l’échantillon de l’ESG de 2004 dans les provinces représente seulement le 96 % de la population ayant un service téléphonique.

Limites des données

Les données qui figurent dans ce profil sont fondées sur des estimations tirées d’un échantillon de la population canadienne et, par conséquent, ils sont sujets à une erreur d’échantillonnage. La différence entre l’estimation obtenue d’un échantillon et l’estimation fondée sur l’ensemble de la population est une erreur d’échantillonnage.

Le présent profil emploie le coefficient de variation (CV) comme mesure de l’erreur d’échantillonnage. Toute estimation qui a un CV élevé (plus de 33,3 %) n’a pas été publiée parce qu’elle est trop peu fiable. Lorsque le CV d’une estimation se situe entre 16,6 % et 33,3 %, il faut se servir de cette dernière avec prudence et on utilise le symbole « E ».

Lorsque nous comparons les estimations pour repérer les différences importantes, nous mettons à l’épreuve l’hypothèse que la différence entre deux estimations est de zéro. Nous construisons un intervalle de confiance de 95 % autour de cette différence et si cet intervalle contient zéro, nous concluons que la différence n’est pas importante. Toutefois, si cet intervalle de confiance ne contient pas zéro, nous concluons qu’il y a une différence importante entre les deux estimations.

En outre, des erreurs non dues à l’échantillonnage peuvent aussi avoir été introduites. Les types d’erreur non dus à l’échantillonnage peuvent inclure le refus par un répondant de déclarer, l’incapacité d’un répondant de se souvenir ou de rapporter des événements fidèlement, ou des erreurs dans le codage et le traitement des données. De plus, les personnes qui ne pouvaient pas parler l’anglais ou le français suffisamment bien pour remplir l’enquête n’ont pas été incluses. Pour ces raisons, les données sur la victimisation devraient être utilisées avec prudence.

Programme de déclaration uniforme de la criminalité fondé sur l’affaire (DUC2)

Le Programme de déclaration uniforme de la criminalité fondé sur l’affaire (DUC2) sert à la collecte les renseignements détaillés sur les affaires criminelles signalées à la police ou détectées par la police, y compris les caractéristiques des victimes, des accusés et des affaires. En 2005, des données détaillées ont été recueillies auprès de 122 services de police représentant 71 % de la population canadienne. Exception faite de l’Ontario et du Québec, les données proviennent principalement des services de police urbains. Ainsi, le lecteur est prié de noter que ces données ne sont pas représentatives à l’échelle nationale ou provinciale.

La base de données DUC2 sur les tendances renferme les données historiques qui permettent l’analyse des tendances relatives aux caractéristiques des affaires, des accusés et des victimes. La base de données renferme actuellement des données déclarées de façon constante depuis 1998 par 62 services de police au programme DUC2. Ces répondants ont déclaré 51 % de la population canadienne en 2005.

Enquête sur les homicides

L’Enquête sur les homicides fournit depuis 1961 des données policières sur les affaires d’homicide, les victimes et les accusés. Chaque fois qu’un homicide est porté à la connaissance des autorités policières, le service de police qui mène l’enquête remplit un questionnaire qu’il transmet au Centre canadien de la statistique juridique (CCSJ).

Le dénombrement d’une année particulière représente tous les homicides déclarés au cours de cette année‑là, peu importe à quel moment le décès est réellement survenu. En 1991 et en 1997, l’enquête a été remaniée et sa portée a été élargie en vue de l’inclusion de variables supplémentaires, telles que les antécédents criminels de l’accusé et de la victime, leur emploi respectif et si la victime a précipité l’infraction en utilisant ou menaçant d’utiliser de la force.

 


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Date de modification : 2007-03-06 Avis importants
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