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- En 2009, plus de 154 000 Canadiens de 55 ans et plus vivant dans les 10 provinces ont déclaré avoir été victimes de violence au cours des 12 mois précédents. Dans l'ensemble, leur taux de victimisation violente autodéclarée était considérablement plus faible que les taux déclarés par les groupes d'âge plus jeunes.
- Moins de 1 % des Canadiens de 55 ans et plus ont déclaré avoir été victimes de violence conjugale au cours des 12 mois précédant l'enquête, une proportion qui demeure stable depuis 2004.
- Un peu plus de 333 000 ou 8 % des ménages canadiens composés exclusivement de résidents de 55 ans et plus ont déclaré avoir été victimes d'un crime contre les ménages au cours des 12 mois précédents. Dans l'ensemble, le taux de victimisation des ménages âgés était près de deux fois et demie plus bas que le taux déclaré par les ménages plus jeunes.
- Le vol de biens du ménage (31 %) était la forme la plus courante de crime sans violence déclaré par les ménages âgés, suivi par l'introduction par effraction (29 %), le vandalisme (28 %) et le vol de véhicules à moteur (13 %). Le vol de biens du ménage était également le crime violent le plus souvent déclaré par les ménages plus jeunes.
- Relativement peu d'incidents violents contre les Canadiens âgés ont causé des blessures à la victime (19 %Note E: à utiliser avec prudence), et un peu plus du tiers mettaient en cause l'usage d'une arme (35 %Note E: à utiliser avec prudence). Des résultats comparables ont été observés chez les Canadiens plus jeunes.
- Moins de la moitié (46 %) de tous les incidents violents mettant en cause des Canadiens âgés ont été signalés à la police; toutefois, ils étaient plus susceptibles d'être signalés à la police que les incidents violents mettant en cause des Canadiens plus jeunes (28 %).
- Les incidents violents mettant en cause des Canadiens âgés étaient plus nombreux à donner lieu à des conséquences psychologiques que les incidents mettant en cause des Canadiens plus jeunes (91 % et 79 %). Les sentiments de colère, de confusion et de crainte étaient les réactions les plus fréquentes déclarées par les deux groupes.
- La majorité (91 %) des Canadiens âgés se sont dits satisfaits de leur sécurité personnelle par rapport à la criminalité. Cependant, les sentiments de satisfaction variaient en fonction de l'expérience de la victimisation, les non-victimes ayant déclaré des niveaux de satisfaction plus élevés (91 %) que ceux qui avaient été victimes de violence (83 %).
- Les Canadiens âgés étaient moins enclins que les Canadiens plus jeunes à déclarer avoir utilisé une méthode de prévention du crime, comme changer leurs habitudes ou éviter certains endroits, au cours de la période de 12 mois précédant l'enquête (29 % par rapport à 43 %). Cependant, les victimes âgées étaient plus nombreuses que les non-victimes âgées à avoir utilisé une méthode de prévention du crime (64 % par rapport à 29 %).
Note
- E à utiliser avec prudence
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