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  • En 2009-2010, 911 programmes ou organismes fournissaient des services aux victimes d'actes criminels au Canada. En outre, neuf programmes d'indemnisation des victimes d'actes criminels étaient offerts, dont quatre étaient administrés conjointement avec d'autres fournisseurs de services.
  • Parmi les fournisseurs de services aux victimes qui ont répondu à l'enquête, la plus forte proportion était constituée des organismes relevant de la police (38 %), suivis par les programmes relevant de la collectivité (24 %), les centres d'aide aux victimes d'agression sexuelle (15 %), les programmes relevant des tribunaux (10 %), les services d'orientation et d'aide immédiate aux victimes de l'Ontario (7 %) et les organismes à prestation de services basés sur le système de justice (6 %). Ces proportions sont semblables à celles déclarées en 2007-2008, la dernière année au cours de laquelle l'Enquête sur les services aux victimes a été effectuée.
  • Les services les plus souvent offerts directement par les fournisseurs de services aux victimes étaient les suivants : les renseignements généraux (95 %), le soutien affectif (93 %), la liaison avec d'autres organismes au nom du client (91 %), la sensibilisation du public et la prévention (89 %), l'accompagnement devant les tribunaux (87 %), les renseignements sur la structure et le processus du système de justice pénale (84 %), la planification de la sécurité (81 %) et l'intervention en situation de crise (80 %).
  • Les programmes d'indemnisation des victimes d'actes criminels et les programmes de prestations financières associés aux fournisseurs de services aux victimes offrent des dommages-intérêts et des prestations financières aux victimes d'actes criminels afin d'alléger le fardeau financier occasionné par leur victimisation. En 2009-2010, les neuf programmes d'indemnisation provinciaux, conjointement avec les programmes de prestations financières disponibles par le biais d'autres fournisseurs de services aux victimes, ont indiqué qu'ils avaient accordé plus de 63 millions de dollars aux victimes d'actes criminels. La plus grande partie (61 %) de l'argent a été accordée pour souffrances et douleurs, suivies par les coûts de soins médicaux et dentaires, de réhabilitation ou de lunetterie (9 %) et la perte de salaire (8 %).
  • Du 1er avril 2009 au 31 mars 2010, 711 fournisseurs de services aux victimes ont déclaré avoir aidé près de 410 000 victimes immédiates et indirectes d'actes criminels. L'information émanant d'un sous-ensemble de fournisseurs de services aux victimes donne à penser qu'il s'agissait d'environ 4 % de moins qu'il y a deux ans, la dernière fois que ces renseignements ont été recueillis.
  • Les trois quarts des clients ayant reçu de l'aide de fournisseurs de services aux victimes étaient des femmes. Dans le cas des hommes autant que des femmes, les victimes ont le plus souvent demandé de l'aide en raison d'un crime violent.
  • Les données obtenues de 772 fournisseurs de services aux victimes indiquent que l'équivalent de 1 880 employés rémunérés à temps plein a travaillé du 1er avril 2009 au 31 mars 2010. En outre, 73 % des fournisseurs de services aux victimes ont déclaré avoir utilisé les services de 8 553 bénévoles au cours de la même période.
  • Le jour de l'instantané de l'enquête (27 mai 2010), près de 9 500 victimes ont eu recours aux services de l'un des 729 organismes de services aux victimes qui ont fourni des données. La majorité (81 %) des victimes qui ont eu recours aux services offerts étaient des victimes d'infractions violentes.
  • Parmi les clients desservis le jour de l'instantané, 38 % avait auparavant reçu des services du même fournisseur de services aux victimes.
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