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Le point sur la situation quant à l’usage du tabac : résultats de l’Enquête de 2005 sur la santé dans les collectivités canadiennes

par Margot Shields

C’est chez les jeunes que la diminution est la plus marquée
Aucune hausse au niveau des provinces et des territoires
Les taux les plus bas sont enregistrés en Ontario et en Colombie-Britannique
Le nombre de ménages où il est interdit de fumer augmente
L’interdiction de fumer au lieu de travail est également en hausse
Interdictions et réduction de la consommation
L’exposition à la fumée secondaire est en baisse
Le risque est plus élevé chez les jeunes
Conclusion
Source des données
Définitions
Références

Les résultats de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC) montrent que la prévalence de l’usage du tabac au Canada continue de diminuer. Selon les estimations fondées sur l’ESCC de 2005, 5,9 millions de personnes, soit 21,8 % de la population canadienne âgée de 12 ans et plus, étaient des fumeurs. C’est légèrement moins que les proportions estimatives de 23 % et de 26 % calculées d’après l’ESCC de 2003 et celle de 2000–2001, respectivement. En 1994/95, l’Enquête nationale sur la santé de la population (ENSP) estimait que 29 % des Canadiens fumaient.

C’est chez les jeunes que la diminution est la plus marquée

La diminution de la prévalence de l’usage du tabac est observable au niveau des hommes comme des femmes ainsi que pour chaque groupe d’âge, quoique les taux semblent se stabiliser au niveau des personnes âgées (graphique 1, tableau 1). La baisse la plus marquée a été enregistrée parmi les jeunes âgés de 12 à 17 ans, le taux étant passé de 14 % en 2000–2001 à 10 % en 2003 et à 8 % en 2005. C’est au niveau de ce groupe d’âge que le taux d’usage du tabac a été le plus bas en 2005; en 2000–2001, le taux le plus bas avait été observé chez les personnes âgées.

Le taux d’usage du tabac chez les jeunes a diminué parce qu’un nombre croissant de jeunes n’ont jamais commencé à fumer. En 2000–2001, 73 % des jeunes indiquaient ne jamais avoir fumé la cigarette (graphique 2). En 2005, cette proportion atteignait 82 %. Cette constatation présente une importance particulière, car les gens commencent généralement à fumer avant l’âge de 18 ans, tandis qu’il est relativement rare que l’on commence à fumer à l’âge adulte8. De ce fait, il se pourrait que la diminution des taux d’usage du tabac se poursuive dans l’avenir parmi les groupes plus âgés, à mesure que les jeunes d’aujourd’hui atteignent l’âge adulte.

Une nette majorité – 76 % – des gens qui fumaient en 2005 faisaient usage de tabac de façon quotidienne, mais cette proportion est nettement plus basse qu’en 2000–2001, où la proportion de fumeurs quotidiens s’établissait à 83 % (graphique 3). Entre 2000–2001 et 2005, le pourcentage de fumeurs quotidiens a diminué, mais le taux d’usage occasionnel de tabac n’a pas baissé. Le nombre de cigarettes fumées chaque jour par les fumeurs quotidiens, qui se chiffrait en moyenne à 16,7 en 2000–2001, était descendu à 15,6 en 2005 (graphique 4).

Aucune hausse au niveau des provinces et des territoires

Entre 2003 et 2005, les taux d’usage du tabac ont diminué de façon marquée au Nouveau Brunswick, au Québec, en Ontario, au Manitoba et dans le territoire du Nunavut (graphique 5). Ces taux n’ont à peu près pas changé dans les autres provinces et territoires.

Les taux les plus bas sont enregistrés en Ontario et en Colombie-Britannique

En 2005, les taux d’usage du tabac étaient nettement inférieurs à la moyenne nationale de 22 % en Colombie–Britannique (18 %) et en Ontario (21 %) (graphique 5, tableau 2). Les taux dans ces deux provinces étaient déjà bas comparativement aux autres provinces en 2003 et en 2000–2001. Le taux observé au Manitoba en 2005 était également bas (20 %), mais l’écart par rapport à la moyenne nationale n’atteignait pas tout à fait le seuil de signification statistique (p=0,07). Dans les autres provinces, les taux variaient entre 22 % et 24 %.

Les taux étaient relativement élevés dans les trois territoires, notamment 30 % dans le Territoire du Yukon et 36 % dans les Territoires du Nord–Ouest. C’est au Nunavut que le taux était le plus élevé au pays (53 %), mais c’est également là qu’on a constaté la diminution la plus forte – de 12 points de pourcentage – entre 2003 et 2005.

Les taux d’usage du tabac par région sociosanitaire sont présentés au tableau 2. Tout comme lors des années précédentes, c’est dans la région sociosanitaire de Richmond (Colombie–Britannique) que l’on a enregistré le taux le plus bas au pays, soit 12,6 %.

Le nombre de ménages où il est interdit de fumer augmente

En 2005, près des deux tiers (64 %) des gens de 12 ans et plus étaient membres de ménages dans lesquels il était interdit de fumer – autrement dit, les fumeurs étaient priés de s’abstenir de fumer dans la maison (graphique 6). Cela représente une hausse de sept points de pourcentage par rapport à 2003.

Il était plus fréquent de faire partie d’un ménage où il était interdit de fumer dans le cas des non fumeurs, ce qui n’a rien de surprenant. Le pourcentage de non fumeurs résidant dans un foyer où il était interdit de fumer est passé de 57 % en 2000–2001 à 63 % en 2003, et cette proportion avait encore augmenté de 8 points de pourcentage en 2005 pour atteindre 71 %. Même les fumeurs sont plus nombreux à devoir composer avec une interdiction de fumer à leur domicile, la proportion de fumeurs dans cette situation passant de 34 % en 2003 à 41 % en 2005.

Entre 2003 et 2005, le pourcentage de la population appartenant à un ménage où l’usage du tabac est interdit a connu une forte augmentation dans les dix provinces, ainsi que dans les Territoires du Nord–Ouest et au Nunavut (graphique 7). Dans le Territoire du Yukon, ce pourcentage est demeuré stable (62 %).

La proportion de gens vivant dans une résidence où il est interdit de fumer en 2005 était nettement plus élevée que la moyenne nationale de 64 % en Nouvelle Écosse (66 %), en Ontario (71 %), au Manitoba (68 %), en Alberta (72 %) et en Colombie–Britannique (77 %). À l’opposé, elle était particulièrement peu élevée au Québec (43 %).

Le tableau 3 présente la proportion de la population faisant partie d’un ménage où il est interdit de fumer dans chaque région sociosanitaire. C’est dans la région sociosanitaire de South Vancouver Island, en Colombie–Britannique, que cette proportion est la plus élevée (82 %). D’ailleurs, les taux enregistrés dans 14 des 16 régions sociosanitaires de cette province étaient supérieurs à la moyenne canadienne. Le taux d’ensemble relativement bas au Québec allait de pair avec des taux qui étaient également bas dans les 16 régions sociosanitaires de cette province, les proportions allant de 28 % dans la région du Nord du Québec à 52 % dans celle de l’Outaouais.

L’interdiction de fumer au lieu de travail est également en hausse

Entre 2000–2001 et 2003, la proportion de personnes ayant un emploi qui faisaient état d’une interdiction de fumer à leur lieu de travail est passée de 62 % à 67 % (graphique 8). Entre 2003 et 2005, la hausse a été modeste, s’établissant à un point de pourcentage.

La proportion de personnes ayant indiqué qu’il était interdit de fumer au travail était supérieure chez les non fumeurs. En 2005, 73 % d’entre eux travaillaient dans un lieu où il était interdit de fumer, comparativement à 54 % des fumeurs.

Depuis 2000–2001, le pourcentage de personnes ayant un emploi qui avaient fait état d’une interdiction de fumer au lieu de travail a augmenté dans l’ensemble des provinces et des territoires; toutefois, dans bien des cas, il n’y a eu une hausse substantielle qu’au cours de l’une des deux périodes examinées (de 2000–2001 à 2003 ou de 2003 à 2005) (graphique 9). Cela tient probablement aux différentes dates où des lois imposant des restrictions à l’égard de l’usage du tabac dans les lieux de travail et dans les lieux publics ont été instaurées au pays2, 3.

En 2005, la proportion de personnes ayant un emploi qui faisaient état d’une interdiction de fumer au lieu de travail s’établissait à 71 % en Ontario et à 76 % au Manitoba, ce qui est dans les deux cas nettement supérieur à la moyenne nationale (68 %). Les pourcentages enregistrés dans les trois territoires étaient encore plus élevés : 79 % dans le Territoire du Yukon, 83 % dans les Territoires du Nord–Ouest et 92 % – le plus élevé de tout le pays – au Nunavut. Une telle interdiction était moins fréquente en Nouvelle–Écosse (64 %), au Québec (67 %), en Saskatchewan (65 %) et en Alberta (61 %).

Le tableau 4 présente le pourcentage de personnes travaillant dans un lieu où il était interdit de fumer, selon la région sociosanitaire.

Interdictions et réduction de la consommation

La réduction de la consommation de tabac chez les fumeurs est associée aux restrictions dont fait l’objet l’usage du tabac au sein des ménages et au travail. En 2005, les fumeurs âgés de 12 ans et plus qui faisaient partie d’un ménage où le tabac était banni fumaient en moyenne neuf cigarettes par jour, soit six de moins que ceux faisant partie d’un ménage où il leur était permis de fumer (graphique 10). Quant aux fumeurs à qui il était interdit de fumer au travail, ils fumaient en moyenne 11 cigarettes par jour, contre 14 pour ceux autorisés à fumer au travail.

La combinaison des interdictions de fumer à la maison et au travail se traduisait par une consommation de tabac encore plus basse. Les personnes assujetties à cette double interdiction fumaient 9 cigarettes par jour en moyenne comparativement à 16 dans le cas des personnes pouvant fumer à la fois à la maison et au travail (graphique 11). Ces chiffres sont particulièrement importants, étant donné l’association qui existe entre une consommation réduite de la cigarette et une hausse de la probabilité que la personne cesse de fumer, tandis qu’une consommation plus forte fait augmenter les risques pour la santé9.

L’exposition à la fumée secondaire est en baisse

Les interdictions de fumer qui se généralisent donnent lieu à une réduction de l’exposition des non fumeurs à la fumée secondaire. En 2005, 9 % des non fumeurs ont indiqué être exposés régulièrement (chaque jour ou presque chaque jour) à la fumée secondaire à la maison, contre 11 % en 2003 (graphique 12). Au cours de cette même période, l’exposition à la fumée secondaire dans les véhicules privés est passée de 10 % à 8 %. En 2005, les lieux publics étaient l’endroit où il était le plus fréquent d’être exposé à la fumée secondaire, étant mentionnés par 15 % des non fumeurs. Par contre, c’est également dans les lieux publics que le taux d’exposition a le plus baissé; en 2003, il s’élevait à 20 %. En 2005, 23 % de la population a dit avoir été régulièrement exposé à la fumée secondaire dans au moins une des trois catégories d’endroits mentionnées précédemment, contre 29 % en 2003.

Le risque est plus élevé chez les jeunes

Dans chacune des trois catégories d’endroits examinées, la probabilité d’exposition à la fumée secondaire diminue à mesure que l’âge augmente. En 2005, 40 % des non fumeurs âgés de 12 à 17 ans indiquaient être régulièrement exposés à la fumée secondaire dans au moins une catégorie d’endroit. Cette proportion est de 31 % chez les personnes ayant de 18 à 34 ans, de 19 % chez celles ayant de 35 à 64 ans et de 11 % chez celles ayant 65 ans et plus (graphique 13). Ce profil pourrait s’expliquer en partie par le pourcentage plus élevé de personnes âgées qui vivent seules (d’où une probabilité moindre de vivre avec un fumeur) ainsi que par les changements touchant les activités au fil de la vie. Dans certains cas, l’exposition à la fumée secondaire peut découler d’un choix; dans d’autres, elle peut se révéler inévitable5. Bien que les taux d’exposition à la fumée secondaire aient baissé pour tous les groupes d’âge entre 2003 et 2005 (graphique 14), le taux élevé enregistré chez les jeunes est particulièrement préoccupant, étant donné que ce sont probablement eux qui exercent le moins de contrôle à cet égard.

Les taux d’exposition à la fumée secondaire dans les lieux publics variaient beaucoup au niveau des provinces et des territoires en 2003 et en 2005, ce qui s’explique par les dates différentes où des lois imposant des restrictions à l’égard de l’usage du tabac dans ces lieux y ont été instaurées (graphique 15)2, 3 . Entre 2003 et 2005, les taux ont diminué de dix points de pourcentage ou plus au Nouveau–Brunswick, au Manitoba et en Saskatchewan ainsi que dans chacun des trois territoires. En 2005, c’est au Québec (23 %) et en Alberta (18 %) que les taux d’exposition étaient les plus élevés. Il est cependant à prévoir que ces taux continueront de baisser, étant donné que des lois limitant l’usage du tabac dans les lieux publics entreront en vigueur dans ces deux provinces en 2006.

Le tableau 5 présente les taux d’exposition des non fumeurs à la fumée secondaire dans les lieux publics par région sociosanitaire.

Conclusion

Entre 2003 et 2005, il y a eu une baisse légère mais néanmoins significative du pourcentage de Canadiens âgés de 12 ans ou plus qui était fumeurs – de 23 % à 21,8 %. C’est chez les personnes ayant de 12 à 17 ans que la baisse a été la plus marquée.

Durant la même période, le pourcentage de personnes vivant dans des maisons où l’usage du tabac était interdit a augmenté, et il y a eu une diminution de l’exposition des non fumeurs à la fumée secondaire, surtout dans les lieux publics.

Les taux d’exposition à la fumée secondaire vont probablement continuer de baisser, étant donné que de nouvelles restrictions visant l’usage du tabac dans les lieux publics entreront en vigueur dans plusieurs provinces en 2006. Ces tendances sont encourageantes, considérant les effets graves que peuvent avoir l’usage du tabac et l’exposition à la fumée secondaire sur la santé4, 10, 11. Toutefois, la forte exposition à la fumée secondaire chez les personnes âgées de 12 à 17 ans, que ce soit à la maison, dans des véhicules privés ou dans des endroits publics, demeure préoccupante.

Source des données

Les estimations présentées dans cet article sont fondés sur les données de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2005 et de celles de 2003 et de 2000–2001. L’ESCC porte sur les personnes âgées de 12 ans et plus qui sont membres d’un ménage privé. Elle n’englobe pas les résidents des réserves indiennes et de certaines régions éloignées, les personnes résidant dans des établissements, les membres à temps plein des Forces canadiennes et les résidents civils des bases militaires.

Le premier cycle (cycle 1.1) de l’ESCC a débuté en septembre 2000 et s’est poursuivi pendant 14 mois. Le taux de réponse a été de 84,7 %, ce qui a produit un échantillon de 131 535 personnes.

Le cycle 2.1 a débuté en janvier 2003 et s’est terminé en décembre de la même année. Le taux de réponse a été de 80,6 %, ce qui a donné un échantillon de 135 573 personnes.

Le cycle 3.1 s’est déroulé de janvier à décembre 2005. Le taux de réponse a été de 79 %, ce qui a donné un échantillon de 132 947 personnes. Un rapport déjà publié décrit la méthodologie de l’ESCC 1.

Toutes les estimations présentées dans cet article ont été pondérées de façon à être représentatives de la population à domicile âgée de 12 ans et plus en 2005, en 2003 et en 2000–2001. Les différences entre les estimations ont été vérifiées, afin d’en assurer la signification statistique, qui a été établie au niveau de 0,05. Dans le but de tenir compte des effets liés au plan d’enquête, des erreurs types et des coefficients de variation ont été estimés au moyen de la technique bootstrap6, 7.

Définitions

Dans les ESCC de 2000-2001, de 2003 et de 2005, la question suivante était posée aux répondants : « Actuellement, fumez–vous des cigarettes tous les jours, à l’occasion ou jamais?» Les personnes ayant répondu tous les jours ou à l’occasion étaient définis comme étant les fumeurs.

La mesure de l’interdiction de fumer à domicile a été effectuée au moyen de deux questions. La première était : « Existe–t–il des restrictions concernant la consommation de cigarettes à votre domicile?» Les personnes ayant répondu oui devaient ensuite répondre à la question suivante : «  Quelles sont les restrictions concernant la consommation de cigarettes à votre domicile?» Les réponses proposées étaient les suivantes :

  1. Les fumeurs sont priés de s’abstenir de fumer dans la maison.
  2. Il n’est permis de fumer que dans certaines pièces.
  3. Il est interdit de fumer en présence de jeunes enfants .
  4. Autre restriction.

On considérait que les personnes ayant répondu que les fumeurs étaient priés de s’abstenir de fumer dans la maison résidaient dans un domicile où l’usage du tabac était interdit. En 2000–2001 (cycle 1.1), ces questions ont été posées uniquement aux non–fumeurs.

Les répondants âgés de 15 ans et plus qui avaient un emploi devaient répondre à la question suivante : « À votre lieu de travail, quelles [sont/étaient] les restrictions sur l’usage du tabac?» Les choix proposés aux répondants étaient les suivants :

  1. Complètement défendu.
  2. Permis seulement dans des endroits désignés.
  3. Défendu seulement en certains endroits.
  4. Pas défendu du tout.

Les employés travaillant dans un lieu de travail où l’usage du tabac est interdit correspondent aux répondants qui ont choisi la première de ces réponses.

Les questions relatives à l’exposition à la fumée secondaire variaient quelque peu entre le cycle 1.1 et les cycles 2.1 et 3.1; c’est pourquoi seuls ces deux derniers cycles ont été pris en compte dans cet article . Dans le cadre des cycles 2.1 et 3.1, les questions suivantes ont été posées aux non-fumeurs afin de mesurer l’exposition régulière à la fumée secondaire à domicile, dans des véhicules privés et dans des lieux publics :

  1. « En comptant les membres du ménage et les visiteurs réguliers, y a-t'il quelqu’un qui fume à l’intérieur de votre maison, chaque jour ou presque chaque jour?» (Oui/Non)
  2. « Au cours du dernier mois, avez-vous été exposé à la fumée des autres chaque jour ou presque chaque jour, dans une automobile ou un autre véhicule privé?» (Oui/Non)
  3. « Au cours du dernier mois, avez-vous été exposé à la fumée des autres chaque jour ou presque chaque jour, dans des lieux publics (tels que les bars, les restaurants, les centres commerciaux, les arénas, les salles de bingo, les salles de quilles)?» (Oui/Non)

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Date modified: 2006-10-20 Important Notices
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