Résumé
Consulter la version la plus récente.
Information archivée dans le Web
L’information dont il est indiqué qu’elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elle n’est pas assujettie aux normes Web du gouvernement du Canada et elle n’a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Pour obtenir cette information dans un autre format, veuillez communiquer avec nous.
Résumé
Mots-clés
Résultats
Auteur
Résumé
L’étude repose sur des données provenant de l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé (cycles 1 et 2) et a pour but de déterminer si les niveaux (catégories) de bonne forme physique les plus élevés sont associés à une meilleure santé. La condition physique des participants à l’enquête a été évaluée à partir de la santé cardiorespiratoire (« capacité cardiovasculaire » dans l’Enquête), la force de préhension, la flexion du tronc et les redressements assis partiels, ainsi qu’à partir de deux mesures composites (santé du dos et santé musculosquelettique (« aptitudes musculosquelettiques » dans l’Enquête)). Les scores de condition physique les plus faibles correspondent à la catégorie « amélioration nécessaire » et les plus élevés, à la catégorie « excellente ». Des tests t par paires ont servi à comparer les résultats en matière de santé selon les catégories de condition physique. Les résultats pour la santé examinés étaient la circonférence de la taille, la tension artérielle, l’hémoglobine glycosylée, le rapport cholestérol total/lipoprotéines de haute densité, la fonction pulmonaire, la santé autoévaluée, la satisfaction à l’égard de la vie et certains problèmes de santé chroniques. Tous les résultats pour la santé, sauf la tension artérielle systolique, étaient significativement meilleurs chez les participants à l’enquête dont la santé cardiorespiratoire était « excellente » que chez ceux classés dans la catégorie « amélioration nécessaire ». Lorsque les catégories « excellente » et « amélioration nécessaire » ont été comparées relativement à la force de préhension et aux redressements assis partiels, les scores étaient meilleurs chez les personnes de la catégorie « excellente » uniquement pour l’hémoglobine glycosylée et la santé autoévaluée. La fonction pulmonaire était moins bonne chez les participants à l’enquête ayant une meilleure force de préhension que chez les autres. Aucune association significative n’est ressortie entre les résultats pour la santé et la flexion du tronc.
Mots-clés
Maladie cardiovasculaire, capacité cardiovasculaire, cholestérol, diabète, fonction pulmonaire, obésité, qualité de vie.
Résultats
Le lien entre la condition physique et la maladie ainsi que l'incapacité est bien établi. Ainsi, on se sert d'évaluations de la condition physique pour estimer les risques pour la santé à l'échelle de la population. Si de telles évaluations sont généralement moins exigeantes que celles permettant d'évaluer la condition physique liée à la performance, les résultats permettent de catégoriser les niveaux de condition physique, par exemple, comme il suit : « mauvaise », « passable », « bonne », « très bonne » ou « excellente ». Les personnes se situant dans les catégories supérieures de condition physique sont généralement présumées être en meilleure santé que les autres. [Texte intégral]
Auteur
Jonathon Fowles (1-902-585-1560; jonathon.fowles@acadiau.ca) travaille à l’Université Acadia, Wolfville (Nouvelle-Écosse). Joel Roy (1-613-951-8398; joel.roy@statcan.gc.ca) et Janine Clarke (1-613-951-7598; janine.clark@statcan.gc.ca) travaillent à la Division de la statistique de la santé de Statistique Canada, Ottawa (Ontario) K1A 0T6. Shilpa Dogra (1-905-721-8668, poste 6240; shilpa.dogra@uoit.ca) travaille à l’University of Ontario Institute of Technology, Oshawa (Ontario).
- Date de modification :