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Si vous en construisez une, ils viendront : l’impact des nouvelles universités sur la jeunesse locale

Données actuelles sur la distance et l’inscription à l’université
Implantation d’universités
Augmentation du taux d’inscription à l’université après l’implantation d’universités
Baisse du taux d’inscription au collège
Effets plus marqués chez les familles à faible revenu et moins marqués chez les Autochtones
Augmentation des gains des femmes, mais non de ceux des hommes
Conclusion

Dans une économie de plus en plus axée sur le savoir, la clé de l’équité entre les possibilités économiques réside dans l’équité de l’accès à la formation universitaire. Bien sûr, il peut arriver que des décrocheurs du secondaire deviennent milliardaires, mais ce n’est pas la norme.

Une étude récente a révélé que, entre 1981 et 2001, les gains hebdomadaires médians des diplômés universitaires de 25 à 34 ans ont augmenté beaucoup plus que ceux des hommes et des femmes du même âge qui n’avaient fait que des études secondaires1. Les jeunes hommes n’ayant pas fait d’études postsecondaires s’en tiraient particulièrement moins bien pendant cette période, leurs gains hebdomadaires médians réels ayant diminué de près de 20 %. En outre, selon le Recensement de 2001, les diplômés universitaires de 25 à 34 ans gagnaient en moyenne 36 % de plus que les diplômés du collégial ayant le même âge. Ainsi, ce n’est pas seulement l’accès aux études postsecondaires qui a une incidence sur les gains possibles des jeunes, mais encore le genre d’établissement d’enseignement postsecondaire qu’ils fréquentent.

Puisque les frais de scolarité dans les universités ont augmenté assez rapidement ces dernières années, on craint que le coût des études universitaires soit prohibitif pour des jeunes qui possèdent des qualifications scolaires et qui désirent aller à l’université mais qui n’en ont pas les moyens. Un aspect de ces coûts est la distance, car les jeunes qui ne vivent pas à distance de navettage d’une université doivent quitter leur foyer afin de poursuivre leurs études. Le coût de la vie loin du foyer pendant les études universitaires est loin d’être négligeable. Certains chercheurs estiment que le coût supplémentaire lié au fait de fréquenter une université loin du foyer (5 400 $ par année en moyenne) est plus élevé que les coûts liés aux frais de scolarité, aux autres frais d’études, aux manuels et aux fournitures scolaires (environ 3 700 $ par année)2. Selon une autre étude, la probabilité de fréquenter une université diminue avec l’augmentation de la distance, même lorsque d’autres facteurs tels que le sexe, le revenu familial, le niveau de scolarité des parents et la province sont pris en considération3.

Les décideurs doivent faire un choix s’ils veulent régler le problème de la distance. Ils peuvent soit offrir des prêts et bourses aux étudiants dont le coût de la vie loin du foyer est élevé (rapprocher les étudiants de l’université), soit créer de nouvelles universités dans des régions où il n’en existait pas auparavant (rapprocher l’université des étudiants).

Dans un article récent, Marc Frenette examine cette deuxième possibilité plus en détail4. À l’aide des données des recensements de 1981 à 2001, il étudie l’incidence de l‘implantation de nouvelles universités à Prince George, Kamloops, Kelowna, Chiliwack, Nanaimo, Cornerbrook et Sydney. Il tente d’évaluer l’effet l’implantation d’universités sur les taux d’inscription à l’université, sur les taux d’inscription au collège et sur les gains des jeunes de ces régions. Il compare les taux d’inscription d’une collectivité avant et après l’implantation d’une université avec ceux de collectivités où il n’y a pas d’université et de collectivités qui en avaient une pendant toute la période à l’étude. Les résultats de cette recherche sont résumés dans le présent document.

Données actuelles sur la distance et l’inscription à l’université

Les quelques études qui ont été menées sur le lien entre la distance et la scolarisation démontrent l’existence d’une relation négative. Une étude réalisée au Canada (en Nouvelle-Écosse et en Colombie-Britannique à la fin des années 1980) a révélé qu’il existe une corrélation négative entre l’éloignement et la probabilité de s’inscrire à l’université5.

Frenette a étudié la question à l’échelle nationale, en tenant compte du sexe, du revenu familial, du niveau d’instruction des parents et de la province6. Il a constaté que l’augmentation de la distance entre le foyer d’un jeune et l’université la plus proche contribuait à diminuer la probabilité que ce jeune fréquente cet établissement peu après ses études secondaires. Les étudiants ayant grandi à 40 kilomètres ou moins d’une université étaient plus susceptibles, dans une proportion de 73 %, de s’inscrire à l’université que ceux ayant grandi à une distance de plus de 80 kilomètres d’une université et plus susceptibles, dans une proportion de 45 %, que les étudiants ayant grandi à une distance de 40 à 80 kilomètres d’une université (graphique 1).

Graphique 1
Probabilité prévue de l’inscription à l’université peu après avoir terminé les études secondaires, selon la distance par rapport à l’université la plus près

Graphique 1. Probabilité prévue de l’inscription à l’université peu après avoir terminé les études secondaires, selon la distance par rapport à l’université la plus près
Source : Statistique Canada, Enquête sur la dynamique du travail et du revenu, 1993-1999.

Frenette a également constaté que les étudiants provenant d’une famille à faible revenu étaient les plus touchés par la distance, ce qui donne à penser que les coûts supplémentaires liés au départ du foyer pour fréquenter une université sont difficiles à supporter pour les jeunes de cette tranche de revenu. En outre, dans une étude connexe, Frenette a observé que les jeunes qui avaient grandi loin d’une université mais près d’un collège étaient moins susceptibles d’aller à l’université qu’au collège7. Ainsi, les taux globaux d’inscription aux études postsecondaires d’une région donnée ne sont peut-être pas touchés par le fait qu’il n’y ait pas d’université.

Mais se pourrait-il que les aptitudes aux études des jeunes qui ne vivent pas près d’une université soient différentes de celles des jeunes qui vivent près d’une université? Il est aussi possible que les aptitudes académiques des parents (et peut-être celles de leurs enfants) aient influé sur le choix du lieu de résidence. Si tel était le cas, l’ouverture d’une université dans ces régions ne contribuerait probablement pas à augmenter le nombre d’inscriptions à l’université.

Il s’avère cependant que l’écart de résultats académiques entre les jeunes qui vivent à moins de 40 kilomètres d’une université et les autres est assez faible. Les jeunes vivant à proximité d’une université obtiennent une note d’environ 2 % plus élevée que les autres aux tests standardisés de lecture et de mathématiques. L’écart relevé aux tests standardisés de sciences est encore plus mince. Il est peu probable que ce faible écart de rendement explique la grande différence qui existe entre les taux d’inscription à l’université chez les jeunes qui vivent près d’une université et chez ceux qui en sont éloignés.

Implantation d’universités

Avant 1989, la distance par rapport à une université était problématique à l’extérieur des grandes régions métropolitaines de Vancouver et de Victoria, en Colombie-Britannique. À cette époque, toutes les universités de la province étaient situées dans la partie sud de l’île de Vancouver ou dans le Lower Mainland. Ainsi, les jeunes d’une grande partie de la Colombie-Britannique n’avaient pas d’université dans leur localité. Pour combler ce manque, le gouvernement de la Colombie-Britannique a annoncé que plusieurs collèges seraient convertis en collèges universitaires.

Auparavant, certains étudiants pouvaient suivre des programmes de passage à l’université dans des collèges locaux, mais pour terminer leurs études, ils devaient déménager. Grâce à la mise sur pied de ces collèges universitaires, les jeunes ont pu poursuivre leurs études dans un collège de leur localité (maintenant appelé collège universitaire) et y obtenir leur diplôme. Les collèges suivants ont obtenu le droit de décerner des grades universitaires et le statut de collèges universitaires : Cariboo College à Kamloops (1989), Okanagan College à Kelowna (1989), Malaspina College à Nanaimo (1995) et Fraser Valley College à Chilliwack (1992). En outre, un tout nouvel établissement habilité à décerner des grades universitaires, l’Université Northern British Columbia, a été créé à Prince George en 1994.

La Colombie-Britannique n’a pas été la seule province à augmenter le nombre d’universités dans certaines régions de son territoire où il n’y en avait pas auparavant. À Sydney (Nouvelle-Écosse), le Collège du Cap Breton a reçu le droit de décerner des grades universitaires et est devenu un collège universitaire en 1982. Par ailleurs, à Cornerbrook (Terre-Neuve), le Sir Wilfred Grenfell College a commencé à gérer un campus annexé à la Memorial University en 1992.

Augmentation du taux d’inscription à l’université après l’implantation d’universités

Les collectivités canadiennes n’ayant pas d’université ont vu leur taux d’inscription à l’université passer de 18,7 % en 1981 à 27,7 % en 1996 et revenir à 25,7 % en 2001. En revanche, au sein des collectivités qui ont mis sur pied une nouvelle université, les taux d’inscription à l’université ont augmenté au cours de la même période et ce, sans diminuer par la suite8. Par exemple, à Prince George, le taux d’inscription à l’université des jeunes de 20 à 24 ans est passé de 18,5 % en 1996 à 26,8 % en 2001.

Le graphique 2 illustre, à l’aide de barres verticales, les taux d’inscription à l’université dans toutes les villes susmentionnées, avant que l’incidence des nouvelles universités ne se fasse sentir (données recueillies lors du recensement qui a été mené immédiatement avant ou après leur implantation) et après un intervalle de temps suffisant pour laisser les effets se produire (données recueillies lors du recensement suivant). Les taux moyens d’inscription, pour les années similaires de recensement, dans les collectivités possédant une université et dans celles n’en possédant pas sont représentés par des carrés et triangles.

Graphique 2
Taux d’inscription à l’université des jeunes de 20 à 24 ans, avant et après l’implantation de collèges universitaires

Graphique 2. Taux d’inscription à l’université des jeunes de 20 à 24 ans, avant et après l’implantation de collèges universitaires
Notes :
1. L’année durant laquelle on a implanté l’université est indiquée entre parenthèses.
2. Les années apparaissant sous les barres verticales sont celles des recensements dont on a tiré les données avant et après que l’incidence des nouvelles universités ne se fasse sentir.
3. Les taux moyens d’inscription pour les années de recensement correspondant à celles de la mesure de l’impact de la création d’une nouvelle université sont représentés par des carrés pour les autres communautés ayant une université et par des triangles pour les autres communautés sans université.

Source : Statistique Canada, Recensements de la population.

Il est intéressant de constater que, dans les cinq collectivités de la Colombie-Britannique, des programmes de passage à l’université étaient déjà bien établis dans les collèges avant que ceux-ci n’obtiennent le droit de décerner des grades universitaires. Ainsi, avant l’implantation des collèges universitaires, les jeunes de ces régions pouvaient commencer leurs études universitaires mais ne pouvaient pas les achever dans leur collectivité. Une fois qu’ils ont pu le faire, les taux d’inscription à Kamloops, Kelowna et Nanaimo ont atteint un niveau comparable à ceux des collectivités canadiennes déjà dotées d’une université. À Prince George et Chiliwack, les taux ont aussi augmenté mais seulement pour atteindre les taux des collectivités canadiennes privées d’université.

En revanche, à Sydney et à Cornerbrook, dans le Canada atlantique, les taux d’inscription avant l’implantation d’universités correspondaient déjà à ceux des collectivités canadiennes dotées d’une université. Après la mise sur pied de ces établissements, ils ont dépassé leurs taux d’inscription.

Dans l’ensemble, l’implantation d’une université est associée à une augmentation de 28 % de l’inscription, une fois pris en considération des facteurs tels que les caractéristiques des étudiants, les caractéristiques de la ville et les effets de la période. Il s’agit d’une plus grande augmentation du taux d’inscription à l’université que celle observée dans d’autres parties du pays au cours de la même période.

Baisse du taux d’inscription au collège

L’augmentation des taux d’inscription à l’université dans les collectivités susmentionnées y a fait diminuer les taux d’inscription au collège. En moyenne, si l’on tient compte des caractéristiques des étudiants, des caractéristiques de la ville et des effets de la période, l’implantation d’une université est liée à une diminution de 19 % des taux d’inscription au collège, de sorte que, malgré la hausse de 28 % du taux d’inscription à l’université, les taux globaux d’inscription aux études postsecondaires dans ces régions ont augmenté d’environ 2 % seulement.

Effets plus marqués chez les familles à faible revenu et moins marqués chez les Autochtones

L’implantation d’une université a t'elle touché tous les jeunes de la même manière? Plus précisément, ces effets varient-ils selon le sexe, le revenu ou l’appartenance à la population autochtone?

Les taux d’inscription des hommes et des femmes à l’université et au collège ont été touchés de la même manière par l’implantation d’une université. En revanche, le taux d’inscription à l’université des jeunes de familles à faible revenu a beaucoup plus augmenté que celui des jeunes de familles à revenu élevé. Cette constatation appuie l’hypothèse selon laquelle la distance peut constituer un obstacle financier à l’accès à l’université. En effet, si l’on tient compte de facteurs tels que les caractéristiques des étudiants, les caractéristiques de la ville et les effets de la période, le taux d’inscription à l’université des jeunes de familles dont le revenu était inférieur à 25 000 $ est passé de 16 % à 27 % après l’implantation d’une université, alors qu’il est passé de 41 % à 48 % chez les jeunes de familles dont le revenu était supérieur à 100 000 $.

Si le taux d’inscription à l’université des jeunes à faible revenu a augmenté, il n’en a pas été de même chez les jeunes autochtones. En fait, en tenant compte des caractéristiques des étudiants, des caractéristiques de la ville et des effets de la période, le taux d’inscription à l’université des jeunes autochtones vivant dans une ville où une université a ouvert ses portes n’a augmenté que légèrement : il est passé de 8,5 % à 9,1 %. Celui des jeunes non autochtones est passé de 27 % à 34 %.

Augmentation des gains des femmes, mais non de ceux des hommes

Il a été démontré que l’implantation d’une université entraîne une augmentation du taux d’inscription à l’université et une diminution du taux d’inscription au collège chez les jeunes de la localité. Maintenant, quel est l’effet, sur les gains des jeunes adultes de ces régions, de cette préférence pour l’université au détriment du collège? Puisque les diplômés universitaires gagnent plus en moyenne que les diplômés du collège et que les jeunes de ces régions ont choisi d’aller à l’université au lieu de fréquenter un collège, il faut s’attendre dans ces régions à une augmentation des gains des diplômés de niveau postsecondaire.

On constate en effet une augmentation de 9,5 % des gains des femmes de 20 à 24 ans qui détiennent un diplôme d’études postsecondaires, une fois pris en considération des facteurs tels que les années d’expérience, les caractéristiques de la ville et les effets de la période. Toutefois, il n’y a pas d’augmentation correspondante des gains de leurs homologues masculins. Cette constatation appuie celle selon laquelle une jeune femme gagne à fréquenter une université plutôt qu’un collège. Par contre, un jeune homme n’y gagnera pas beaucoup plus s’il choisit d’aller à l’université au lieu de fréquenter un collège ou une école de métiers, du moins à court terme9. Il reste à déterminer si ce défaut de rendement du grade universitaire chez les jeunes hommes se maintiendra au cours d’une plus longue période.

Conclusion

En bref, les choix que font les jeunes de se diriger vers des études postsecondaires varient selon qu’il y ait ou non une université dans leur localité. Si une université est implantée dans une région où il n’y en avait pas, certains jeunes choisiront de la fréquenter au lieu d’aller au collège. Cet effet est particulièrement marqué chez les jeunes de familles à faible revenu. Néanmoins, il convient de signaler que ces constatations se limitent peut-être aux sept collectivités dont il est question dans le présent document. Il se pourrait qu’il y ait eu une demande contenue pour la formation universitaire dans ces localités mais pas ailleurs. Ainsi, l’ouverture d’une université dans une autre région pourrait ne pas avoir la même incidence.

Cela dit, certaines données préliminaires sur ces sept collectivités montrent que l’implantation d’une université fait augmenter les taux d’inscription à l’université chez les jeunes de la localité. En d’autres termes, l’implantation d’une université en région n’attirera pas nécessairement les étudiants des grandes villes, qui prendraient ainsi la place des étudiants locaux. Voilà une constatation importante, étant donné que 1 jeune sur 5 au Canada ne vit pas à distance de navettage d’une université.

Notes

  1. . Morissette, René, Yuri Ostrovky et Garnet Picot, 2004. Tendances des salaires relatifs des personnes très scolarisées dans une économie du savoir, produit numéro 11F0019MIF au catalogue de Statistique Canada, document de recherche numéro 232. Également résumé par Kathryn McMullen, « Tendances salariales dans l’économie du savoir », Questions d'éducation, avril 2005, volume 2, numéro 1, produit numéro 81-004-XIF au catalogue de Statistique Canada.

  2. Barr-Telford, L., F. Cartwright, S. Prasil et K. Shimmons, 2003. Accs, persvrance et financement : premiers rsultats de l'Enqute sur la participation aux tudes postsecondaires (EPP), srie ducation, comptences et apprentissage , produit numro 81 595 MIF au catalogue de Statistique Canada, document de recherche numro 007.

  3. Frenette, Marc, 2002. Trop loin pour continuer? Distance par rapport à l'établissement et inscription à l'université, produit no 11F0019MIF au catalogue de Statistique Canada, document de recherche numéro 191, 2002. Également rsum par Kathryn McMullen, La distance serait-elle une entrave à l'accès aux études postsecondaires? », Questions d'éducation, avril 2004, numéro 1, produit numéro 81-004-XIF au catalogue de Statistique Canada.

  4. Frenette, Marc, 2006. Est-ce que les universits profitent la population locale de jeunes? Rsultats provenant de la frquentation des universits et des collges, et des gains des diplms suivant la cration d'une nouvelle universit, Direction des tudes analytiques, produit no 11F0019MIF au catalogue de Statistique Canada, document de recherche numro 283.

  5. Andres L. et E.D. Looker, 2001. « Rurality and capital: educational expectations and attainments of rural, urban/rural and metropolitan youth », The Canadian Journal of Higher Education, vol. 31, no 2, p. 1 à 45.

  6. Frenette, 2002.

  7. Frenette, Marc, 2004. Accs au collge et l'universit : est-ce que la distance importe? Direction des tudes analytiques, produit no 11F0019MIF au catalogue de Statistique Canada, document de recherche numro 201.

  8. Il faut toutefois noter que les données sur le lieu d’étude n’étaient pas recueillies dans le recensement avant 2006. Ainsi, bien que les taux d’inscription à l’université des jeunes vivant dans ces régions puissent être étudiés, les données sur l’établissement qu’ils fréquentaient ne sont pas disponibles.

  9. A. M. Ferrer et W. C. Riddell. 2002. “The role of credentials in the Canadian labour market.” Revue canadienne d’économique. Vol. 35, no. 4. p. 879-905.


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Date de modification : 2008-12-01 Avis importants
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