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Juin 2004
Vol. 5, no. 6

L'emploi et le revenu en perspective

Les immigrants sont-ils perdants?
Diane Galarneau et René Morissette

  • Au moins un quart des nouveaux immigrants diplômés d’université et occupant un emploi entre 1991 et 2001 faisaient un travail n’exigeant pas plus qu’un niveau d’études secondaires. Les Canadiens de naissance étaient deux fois moins susceptibles d’être dans cette situation puisque c’était le cas de seulement 12 % d’entre eux.
  • En 2001, les nouveaux immigrants les plus susceptibles d’exercer un emploi n’exigeant pas plus qu’une scolarité secondaire provenaient d’Asie du Sud et du Sud-est, n’avaient ni l’anglais ni le français comme langue maternelle, étaient membres d’une minorité visible et étaient des femmes. Par contre, ceux qui étaient le moins susceptibles d’occuper de tels emplois provenaient d’Amérique du Nord, d’Europe du Nord et de l’Ouest et d’Océanie, détenaient une maîtrise ou un doctorat, étaient formés en sciences appliquées et avaient l’anglais comme langue maternelle.

  • Les nouveaux immigrants occupant à temps plein un emploi à faible scolarité sont non seulement moins rémunérés que leurs homologues exerçant des professions de niveau universitaire, mais aussi moins rémunérés que les Canadiens de naissance faisant un travail à faible scolarité. En 2000, la rémunération hebdomadaire de ces immigrants était d’au moins 20 % inférieure à celle de leurs homologues natifs du Canada.

  • La difficulté qu’ont les nouveaux immigrants à obtenir des emplois de niveau universitaire n’est pas nécessairement de courte durée. En effet, même après avoir passé plus de 10 ans au Canada, au moins 21 % des immigrants de formation universitaire arrivés entre 1985 et 1989 occupaient un emploi à faible scolarité en 2001.

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Auteurs
Diane Galarneau est au service de la Division de l’analyse des enquêtes auprès des ménages et sur le travail. René Morissette est au service de la Division de l’analyse des entreprises et du marché du travail. On peut le joindre Diane Galarneau au (613) 951-4626 et René Morissette au (613) 951-3608, ou bien l’un ou l’autre à perspective@statcan.gc.ca.


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Date de modification : 2014-05-14 Avis importants