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Janvier 2004
Vol. 5, no. 1

L'emploi et le revenu en perspective

Le marché du travail en 2003
Geoff Bowlby

Après une hausse considérable de l’emploi l’année précédente, 2003 a connu un début lent. Durant les huit premiers mois, la croissance de l’emploi a été faible. Au cours de l’année, l’économie a été ébranlée par la hausse rapide du dollar canadien, et peut-être dans une moindre mesure, par la guerre en Irak, le syndrome du SRAS et la panne d’électricité qui s’est produite en Ontario et aux États-Unis. Une période similaire de faiblesse soutenue du marché du travail avait eu lieu en 2001, le Canada ayant alors évité de justesse une récession.

Toutefois, l’emploi a progressé au cours des quatre derniers mois, et le marché du travail a fini par connaître une amélioration modeste dans l’année (graphique A). En moyenne, un peu plus de 15,7 millions de personnes occupaient un emploi en 2003, en hausse de 334 000 (2,2 %) par rapport à 2002. Le taux d’emploi annuel, qui correspondait à 62,4 % de la population en âge de travailler, a été le plus élevé que l’on ait rapporté.

La plupart des gains observés au cours des quatre derniers mois sont survenus dans les emplois à temps plein. En 2003, il y avait 253 000 travailleurs à temps plein de plus que l’année précédente, soit une augmentation de 2,0 %. Le nombre d’emplois à temps partiel s’est accru de 81 000 (2,8 %).

Même si les taux d’activité sont demeurés à des niveaux historiquement élevés tout au long de l’année, le taux de chômage s’est accentué au début de l’année, au moment où la croissance de l’emploi était faible, mais il a diminué à la fin (graphique B). Il s’est situé en moyenne à 7,6 % en 2003, très légèrement en baisse par rapport à 2002.

La construction et la revente de maisons ont alimenté le marché du travail

Le secteur de la construction a été robuste tout au long de 2003, en raison de la demande élevée stimulée par le maintien de faibles taux d’intérêt hypothécaires et du nombre limité de maisons à la disposition d’un nombre croissant d’acheteurs (graphique C). En outre, ce secteur semble sur la voie d’atteindre le niveau le plus élevé de mises en chantier depuis la fin des années 1980.

La vigueur soutenue du secteur du logement a stimulé la hausse de l’emploi en 2003. En moyenne, on comptait 49 000 (5,5 %) emplois de plus dans la construction en 2003 qu’en 2002. Du fait des activités accrues, on comptait 41 000 (4,5 %) emplois de plus qu’en 2002 dans le secteur de la finance, des assurances et de l’immobilier, la majorité des gains ayant été enregistrés dans l’immobilier.

L’augmentation du nombre d’emplois dans la construction et l’immobilier a entraîné une deuxième hausse consécutive au chapitre du travail autonome. En 2003, le nombre de travailleurs autonomes a augmenté de 67 000, après une poussée de 37 000 en 2002. Avant cela, le travail autonome était en baisse, le nombre de travailleurs autonomes ayant chuté de 154 000 entre 1999 et 2001.

Plus d’emplois dans les soins de santé et l’assistance sociale

Compte tenu de la tendance à la hausse des dépenses au chapitre des soins de santé, la progression du nombre d’emplois dans le secteur des soins de santé et de l’assistance sociale s’est poursuivie en 2003 (graphique D), surtout en Ontario et au Québec. Au cours de l’année, le nombre d’emplois dans ce secteur a crû de 77 000 par rapport à la moyenne de 2002.

Depuis 1996, les dépenses liées aux soins de santé au Canada ont augmenté de 35 %, ce qui représente trois fois la croissance enregistrée entre 1990 et 1996, une période pendant laquelle les dépenses étaient faibles. Par conséquent, l’emploi dans le secteur a aussi fait un bond. De 1996 à 2003, le nombre d’emplois dans le secteur des soins de santé et de l’assistance sociale a grimpé de 20,9 %, ce qui est de beaucoup supérieur à la hausse de 8,5 % observée durant la période des six années précédentes.

Les administrations publiques ont aussi été une source importante d’emplois en 2003 (tableau 1). Après avoir fléchi pendant sept ans, l’emploi dans ce secteur a augmenté chaque année depuis 2000, faisant un bond de 37 000 en 2003. Cependant, malgré les gains récents, l’emploi dans les administrations publiques (se chiffrant à 815 000) demeure bien en deçà du sommet atteint en 1993. Cette année-là, les fonctionnaires représentaient 6,7 % de la main-d’œuvre, comparativement à 5,2 % en 2003.

La majorité des augmentations enregistrées en 2003 dans les administrations publiques l’ont été au niveau fédéral. La région d’Ottawa-Gatineau a reçu la part du lion des nouveaux emplois créés par l’administration fédérale, ce qui a contribué de façon marquée à améliorer le marché du travail dans cette région. En moyenne, le taux de chômage était de 6,8 % à Ottawa-Gatineau, en baisse par rapport à 7,2 % un an plus tôt.

Ensemble, les administrations publiques ainsi que les soins de santé et l’assistance sociale ont largement contribué à la hausse de 90 000 emplois observée dans le secteur public en 2003. L’année précédente, les secteurs de l’enseignement et des soins de santé avaient été en grande partie responsables de la croissance.

Étant donné que les dépenses des consommateurs se sont accrues pendant la majeure partie des sept dernières années, le nombre d’emplois dans le commerce de gros et le commerce de détail a poursuivi sa montée. En 2003, le nombre d’emplois dans le secteur du commerce se situait en moyenne à 2,5 millions, en hausse de 31 000 par rapport à l’année précédente. La plus grande part des gains réalisés sont le résultat de la progression du nombre d’emplois dans les magasins d’alimentation.

La production réduite des usines de véhicules automobiles et la faiblesse persistante du secteur de la technologie de pointe ont affaibli la fabrication

La hausse du dollar canadien, qui a rendu les produits canadiens plus dispendieux auprès des consommateurs américains, de même que le repli touchant les ventes de véhicules automobiles et la technologie de pointe, ont ébranlé le secteur de la fabrication en 2003. Le nombre d’emplois dans ce secteur a diminué de 32 000 par rapport au niveau moyen de l’année précédente. La faiblesse s’est concentrée dans le domaine des ordinateurs et des produits électroniques ainsi que dans celui du matériel de transport.

Le déclin de l’emploi dans le secteur de la fabrication a eu des répercussions importantes sur la tendance globale de l’emploi. En fait, l’emploi dans les secteurs autres que celui de la fabrication s’est accru de 2,9 %, soit à un rythme semblable à celui de l’année précédente (graphique E).

Les livraisons des usines canadiennes ont fléchi pendant la majeure partie de 2003, provoquant des pertes généralisées dans le secteur de la fabrication. Dans l’ensemble, de janvier à octobre, les livraisons ont été en baisse de 0,4 % par rapport à la même période l’année précédente. Une diminution modeste au chapitre du matériel de transport (-4,4 %) a été à l’origine de la tendance. Au cours des 10 premiers mois de 2003, les ventes cumulatives de véhicules automobiles neufs au Canada étaient inférieures de 4,2 % au niveau observé pour la même période en 2002, une année pendant laquelle les ventes avaient connu une hausse sans précédent de 8,5 %. La baisse de la demande intérieure quant aux véhicules automobiles n’explique pas à elle seule la faiblesse du secteur de la fabrication de véhicules automobiles et de pièces au Canada, puisque la majorité des produits sont destinés à l’exportation. De janvier à octobre, l’exportation de véhicules automobiles et de pièces était en baisse de presque 10 % par rapport à la même période un an auparavant.

Le recul s’est également poursuivi en ce qui concerne les livraisons d’ordinateurs et de produits électroniques, celles-ci ayant chuté de 14,3 % au cours des 10 premiers mois de 2003. La valeur des livraisons d’ordinateurs et de produits électroniques correspondait à la moitié du niveau de 2000, année au cours de laquelle la production dans le secteur de la technologie de pointe avait atteint un sommet.

Certains signes encourageants à la fin de l’année

Le regain marquant de la croissance économique aux États-Unis à la fin de 2003 a contribué à contrebalancer les effets négatifs de la hausse rapide du dollar canadien. Au troisième trimestre, le produit intérieur brut des États-Unis a fait un bond annualisé de 8,2 %. D’autres marchés internationaux semblent être sur la bonne voie pour contribuer à la croissance économique du Canada. L’indicateur avancé composite produit par l’Organisation de coopération et de développement économiques laisse entrevoir une reprise de modérée à forte. Il laisse présager une accélération continue du rendement aux États-Unis et une amélioration de la situation dans la zone de l’euro, particulièrement en Allemagne et en France1. Au Canada, l’indicateur avancé a nettement augmenté au cours du dernier trimestre de 2003, grimpant de 0,8 % en décembre.

Le secteur de la fabrication a eu des répercussions sur les jeunes travailleurs et ceux d’âge moyen

Les jeunes travailleurs et les travailleurs d’âge moyen (de 25 à 54 ans) ont été les plus touchés par l’effondrement du secteur de la fabrication. En moyenne, en 2003, le nombre de jeunes travaillant dans ce secteur a diminué de 15 000 et le nombre de travailleurs d’âge moyen, de 26 000.

Néanmoins, l’emploi s’est amélioré pour les principaux groupes d’âge selon le sexe (tableau 2). La hausse la plus importante a touché les personnes de 55 ans et plus, en partie parce que la génération du baby-boom commence maintenant à joindre les rangs de ce groupe d’âge. Le taux de croissance annuel moyen pour ce groupe a été de 10,7 % en 2003, et l’augmentation a été répartie entre les hommes et les femmes. Dans le cas des femmes de ce groupe d’âge, la composante la plus importante de la hausse a été la progression du nombre d’emplois dans le secteur des soins de santé et de l’assistance sociale. Dans le cas des hommes du même groupe, les gains se sont produits dans les secteurs de l’enseignement, de la construction et de l’immobilier.

Les travailleurs plus âgés ont mené l’offensive pour une troisième année consécutive sur le marché du travail en 2003 (graphique F). L’âge médian de retraite au Canada en 2003 était de presque 62 ans, quelque peu en hausse par rapport aux creux des années 1997 à 1999, période durant laquelle il avait atteint à peine 61 ans.

Parmi les travailleurs d’âge moyen, les femmes ont été les principales bénéficiaires du recrutement dans le secteur public. En moyenne, l’emploi en 2003 chez les femmes d’âge moyen a connu une hausse de 59 000 (1,1 %) par rapport à l’année précédente. Plus des trois quarts de cette augmentation ont touché le secteur des soins de santé et de l’assistance sociale (25 000 ou 2,4 %), ainsi que les administrations publiques (19 000 ou 6,4 %).

L’emploi chez les hommes d’âge moyen s’est également accentué en 2003, principalement en raison de l’essor dans le secteur de la construction. Dans l’ensemble, le nombre d’emplois chez les hommes d’âge moyen a crû de 46 000 (0,8 %), propulsé par un gain de 21 000 dans la construction.

Même si l’emploi chez les jeunes a diminué presque tout au long de l’année, le niveau moyen d’emploi dans ce groupe est demeuré élevé. Le nombre moyen d’emplois chez les jeunes en 2003 se situait à 2,4 millions, soit 40 000 ou 1,7 % de plus que l’année précédente. L’emploi dans les domaines du commerce de détail et du commerce de gros a été plus élevé pour les jeunes en 2003 que l’année précédente.

Les plus fortes hausses de l’emploi en Alberta

L’Alberta connaît une forte progression de l’emploi depuis plus d’une décennie. En 2003, l’emploi a encore augmenté de 48 000 (2,9 %) par rapport à l’année précédente (graphique G), en raison d’un recrutement plus important dans le secteur pétrolier et dans celui du commerce de détail et de gros. Le taux de chômage pour l’année s’est établi à 5,1 % en Alberta, en baisse de 0,2 point de pourcentage par rapport à l’année précédente. L’emploi a crû pour tous les groupes d’âge en 2003.

La moitié de la croissance des emplois liés aux ressources naturelles s’est produite en Alberta. Dans cette province, le nombre d’emplois dans le secteur pétrolier était en hausse de 9000 comparativement à un an plus tôt. Selon la Canadian Association of Oilwell Drilling Contractors, les activités de forage se sont nettement accrues au Canada en 2003, les prospecteurs de pétrole et de gaz ayant foré un nombre record de puits.

En Alberta, la part de la population en âge de travailler qui était occupée a atteint 70,2 % en décembre, soit le taux d’emploi le plus élevé jamais enregistré par une province. Calgary et Edmonton ont toutes deux affiché un taux d’emploi très élevé. À Calgary, le taux moyen s’est établi à 71,5 % et il était le plus élevé de toutes les grandes villes au Canada, alors qu’à Edmonton il a atteint 68,5 %, correspondant ainsi au troisième taux en importance au pays. En 2003, la croissance de l’emploi a été robuste à Calgary (2,1 %) ainsi qu’à Edmonton (2,8 %).

Soutenu par les progrès réalisés à Vancouver, l’emploi a également augmenté en Colombie-Britannique en 2003. Dans cette province, le niveau moyen de l’emploi a dépassé de 50 000 (2,5 %) celui de 2002, Vancouver affichant d’ailleurs une hausse de 34 000 (3,2 %) emplois. Plusieurs branches d’activité ont fait du recrutement en 2003, principalement dans le secteur des services. Le taux de chômage en Colombie-Britannique s’est établi à 8,1 % en 2003, en baisse par rapport à 8,5 % l’année précédente.

L’emploi en Ontario a été plus élevé qu’en 2002. Malgré la faiblesse de l’emploi durant les mois d’été dans la région de Toronto, les gains enregistrés au début et à la fin de l’année ont fait en sorte que le nombre d’emplois a quand même grimpé de 160 000 (2,6 %) par rapport à l’année précédente. En 2003, le taux de chômage moyen s’est fixé à 7,0 %, ce qui ne représente qu’une légère baisse dans l’année.

Presque tout le recul observé dans le secteur de la fabrication est survenu en Ontario et au Québec. En Ontario, le secteur de la fabrication a employé un peu moins de 1,1 million de personnes, en baisse de 28 000 (-2,5 %) par rapport à 2002. Le repli s’est manifesté principalement dans les domaines liés au matériel pour véhicules automobiles, à la production de métaux et à la fabrication d’ordinateurs.

Au Québec, la croissance de l’emploi, très forte en 2002, a ralenti. En moyenne, le nombre d’emplois a augmenté de 57 000 (1,6 %) par rapport à 2002, soit un peu moins de la moitié de la hausse enregistrée en 2002 (118 000 emplois ou 3,4 %). Les tendances de l’emploi se sont modifiées dans les deux plus importants secteurs d’activité de la province, c’est-à-dire la fabrication et le commerce. Après s’être accru de 13 000 en 2002, l’emploi dans le secteur de la fabrication a fléchi de 17 000 en 2003. Dans le secteur du commerce, après avoir bondi de 36 000 l’année précédente, l’emploi n’a progressé que de 11 000 en 2003.

Le taux d’activité des personnes au Québec, comme dans de nombreuses autres provinces, a encore atteint un niveau record, malgré une croissance plus lente de l’emploi. Étant donné le taux élevé de participation au marché du travail, le taux de chômage au Québec est passé à 9,1 % en 2003, en hausse d’un demi-point de pourcentage.

À l’Île-du-Prince-Édouard, l’emploi a augmenté de 2,5 % (1 700), soit à peu près au même rythme que durant les deux années précédentes. En 2003, le taux de chômage s’est établi en moyenne à 11,1 %, soit le taux le plus bas depuis 1980. Après avoir connu une montée pendant six ans, le taux d’emploi dans cette province a atteint un nouveau sommet en 2003, soit 60,8 %.

En Nouvelle-Écosse, l’emploi a progressé au début de l’année, s’est ensuite essoufflé au cours de l’été pour ne rebondir qu’à la fin de l’année. Au total, l’emploi a crû de 7 000 (1,6 %) dans l’année, suffisamment pour ramener le taux de chômage à 9,3 % (en baisse de 0,4 point de pourcentage) et pour faire monter le taux d’emploi à un nouveau sommet, soit 57,3 % (en hausse de 0,6 point).

L’emploi s’est accru à Terre-Neuve-et-Labrador pour une troisième année d’affilée. En 2003, il a augmenté de 4 000 (1,8 %) comparativement à l’année précédente. Plus faible qu’il y a 10 ans, le chômage demeure néanmoins élevé à Terre-Neuve-et-Labrador. Le taux s’est établi à 16,7 %, à peu près au même niveau que l’année précédente. La situation ayant trait au chômage à St. John’s, où le taux s’est fixé à un niveau relativement faible de 9,6 %, différait considérablement de celle dans les régions rurales de Terre-Neuve-et-Labrador, où il a atteint en moyenne 21,0 %.

La tendance de l’emploi n’a affiché aucune amélioration évidente en 2003 dans les autres provinces. Les niveaux moyens de l’emploi au Manitoba et en Saskatchewan ont été supérieurs à ceux de l’année précédente seulement parce que les hausses enregistrées en 2002 se sont maintenues dans ces provinces — il n’y a pas eu de création nette d’emplois en 2003.

Malgré l’absence de création d’emplois durant l’année, les taux d’emploi au Manitoba ainsi qu’en Saskatchewan sont demeurés élevés en 2003. Au Manitoba, la part de la population en âge de travailler qui était occupée s’est établie en moyenne à 65,5 % en 2003, soit au-dessus de la moyenne nationale et près du sommet de 65,6 % qu’a atteint cette province l’année précédente. En Saskatchewan, le taux d’emploi s’est fixé à 64,4 %, soit le niveau le plus élevé que l’on ait enregistré. Le chômage est demeuré faible dans les deux provinces en 2003.

Le Nouveau-Brunswick est la seule province où l’emploi a marqué un repli en 2003. À la suite d’une croissance de 3,3 % en 2002, l’emploi s’est atténué de 0,2 %. Cela a entraîné une légère augmentation de 0,2 point du taux de chômage, qui est passé à 10,6 %. Le niveau d’emploi dans le secteur de l’hébergement et de la restauration a chuté de 4 000, la plus forte baisse enregistrée par une branche d’activité dans cette province.

Note

  1. Pour plus de renseignements sur l’indicateur avancé de l’OCDE : www.oecd.org/document/56/0,2340, en_2649_34349_21258744_1_1_1_1,00.html (consulté le 16 janvier 2004).

Auteur
Geoff Bowlby est au service de la Division de la statistique sociale, du logement et des familles. On peut communiquer avec lui au (613) 951-3325 ou à perspective@statcan.gc.ca.

Article intégral en format PDF


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Date de modification : 2014-05-14 Avis importants