Enquête sur les infrastructures publiques essentielles du Canada : tableau de bord interactif

Données

Les données utilisées pour créer cette application Web interactive proviennent des tableaux de données suivants :

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Renseignements supplémentaires

Notes

Certaines valeurs peuvent ne pas être disponibles pour l’année de référence 2018. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez le tableau de données.

L'Enquête sur les infrastructures publiques essentielles du Canada a été menée en partenariat avec Infrastructure Canada. Les données sont fondées sur les réponses d'environ 2 520 organisations gouvernementales, incluant les ministères provinciaux et territoriaux, les administrations publiques régionales, les municipalités urbaines et rurales, certaines sociétés d'État provinciales, et les sociétés de transport en commun.

Il est possible que les estimations de 2018 ne soient pas comparables à celles de 2016 en raison de l'amélioration de la couverture et des définitions, ainsi que des changements apportés à la méthodologie d'enquête, dont l'élargissement de la population cible.

Au Québec, l'enquête a été menée par l'Institut de la statistique du Québec.

Signes conventionnels dans les tableaux

Définitions

Les longueurs de routes ont été indiquées en kilomètres d'équivalents à deux voies, où un kilomètre d'autoroute à quatre voies représente deux kilomètres.

Les autoroutes sont définies comme des routes où l'entrée et la sortie sont contrôlées, où une bande médiane sépare la circulation dans les directions opposées, et où l'on retrouve généralement deux voies ou plus dans chaque direction. Les autoroutes ne permettent pas d'accéder à une propriété et ne permettent généralement pas aux cyclistes et aux piétons d'y accéder.

Les autoroutes rurales sont caractérisées par un volume de circulation qui peut varier selon l'endroit et dont les limites de vitesse se trouvent généralement dans une fourchette allant de moyenne à élevée. Les routes sur ces réseaux comportent habituellement de une à deux voies dans chaque direction, et on peut y accéder directement à partir des aménagements adjacents.

Les artères routières sont définies comme des routes où le volume de circulation est de modéré à élevé sur des distances modérées entre les principales zones de production de circulation. Elles rassemblent le trafic des routes collectrices et des routes locales, puis le transportent vers le réseau routier. Les artères routières sont généralement conçues pour une vitesse moyenne, ont une capacité de 2 à 6 voies, peuvent être divisées, permettent un accès direct limité ou contrôlé à partir des aménagements adjacents et comportent un stationnement sur rue découragé.

Les routes collectrices sont définies comme des routes où le volume de circulation est de faible à modéré dans des secteurs précis d'une municipalité et elles recueillent la circulation locale pour la distribuer au réseau routier ou artériel. Les routes collectrices sont généralement conçues pour une vitesse moyenne, ont une capacité de 2 à 4 voies, sont habituellement non divisées, permettent un accès direct à partir des aménagements adjacents, mais habituellement contrôlé, et le stationnement sur rue est habituellement contrôlé.

Les routes locales permettent un faible volume de circulation et l'accès à des propriétés privées; les routes locales sont conçues pour de faibles vitesses et peuvent accueillir deux voies de circulation non divisées; la circulation de transit est découragée et le stationnement est habituellement permis, mais souvent contrôlé.


Les répondants ont reçu l'échelle de classement suivante quand on leur a demandé d'évaluer l'état physique général de leurs actifs :

Très mauvais: Besoin immédiat de remplacer la majorité ou la totalité de l'actif. Il existe des risques pour la santé et la sécurité qui présentent un risque possible pour la sécurité publique, ou l'actif ne peut être entretenu ou exploité sans risque pour le personnel. Le remplacement de l'actif ou des travaux majeurs s'imposent de toute urgence. L'actif fonctionne à moins de 10 % de sa durée de vie résiduelle prévue.

Mauvais: Il est probable que l'actif connaîtra une défaillance et il nécessite d'importants travaux à court terme. L'actif est à peine utilisable. L'actif ne pose aucun risque immédiat pour la santé ou la sécurité. L'actif fonctionne à moins de 40 % de sa durée de vie résiduelle prévue.

Passable: Une détérioration considérable est évidente; des composantes mineures ou des sections isolées de l'actif doivent être remplacées ou réparées dès maintenant, mais l'actif continue de fonctionner en toute sécurité à un niveau de service adéquat. L'actif fonctionne à 40 % ou plus de sa durée de vie résiduelle prévue.

Bon: L'actif présente un état physique acceptable; l'actif présente un risque minime de défaillance à court terme, mais il pourrait se détériorer à long terme. Seuls des travaux mineurs sont requis. L'actif fonctionne à 80 % ou plus de sa durée de vie résiduelle prévue.

Très bon: L'actif présente un bon état physique. L'actif devrait fonctionner adéquatement. L'actif fonctionne à 95 % ou plus de sa durée de vie résiduelle prévue.

Le plan de gestion des actifs décrit les méthodes de gestion d'un groupe d'actifs pendant une certaine période de temps. Il décrit les caractéristiques et l'état des actifs relatifs à l'infrastructure, les niveaux de service qu'ils sont censés fournir, les mesures planifiées pour s'assurer qu'ils fournissent ces niveaux de service et les stratégies de financement pour mettre en œuvre les mesures planifiées.

Source

  • Définitions, sources de données et méthodes : numéro d'enquête 5173.
Date de modification :