Section 4 : Méthodologie de l'enquête
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Population visée
L’Enquête sur la population active (EPA) est une enquête mensuelle réalisée auprès des ménages. Son échantillon est représentatif de la population canadienne civile non institutionnalisée de 15 ans et plus. L’enquête est menée dans l’ensemble du pays, tant dans les provinces que dans les territoires.
Sont exclus du champ de l’enquête les personnes qui vivent dans les réserves et dans d’autres peuplements autochtones des provinces, les membres à temps plein des Forces armées canadiennes, les pensionnaires d’établissements institutionnels et les ménages situés dans des régions extrêmement éloignées où la densité de population est très faible. Réunies, les personnes exclues de l’enquête représentent environ 2 % de la population de 15 ans et plus (voir la sous-section intitulée Exclusions de l’Enquête sur la population active pour les provinces et les territoires pour en savoir plus).
Les estimations de l’EPA pour l’ensemble du pays sont établies à partir des données de l’enquête recueillies dans les provinces. Les résultats territoriaux de l’EPA ne sont pas pris en compte dans les estimations nationales, mais sont publiés séparément (voir la sous-section intitulée Pourquoi les données sur les territoires ne sont-elles pas prises en compte dans le total national? pour en savoir plus).
Plan d’échantillonnage et taille de l’échantillon pour les provinces
L’EPA joue un rôle central dans le système statistique national, et ce, à plusieurs égards. Premièrement, elle fournit des estimations mensuelles de l’emploi et du chômage qui figurent parmi les mesures les plus à jour et les plus importantes du rendement global de l’économie canadienne.
Deuxièmement, dans la Loi sur l’assurance-emploi, l’EPA est désignée comme source officielle des taux de chômage mensuels pour toutes les régions d’assurance-emploi (RAE) qui sont utilisés aux fins de l’administration du Programme d’assurance-emploi.
Troisièmement, l’infrastructure utilisée pour l’EPA (base de sondage, échantillon, intervieweurs, systèmes de traitement des données) sert également à de nombreuses autres enquêtes-ménages de Statistique Canada, menées pour répondre aux besoins en information du gouvernement.
Afin que l’EPA puisse continuer de remplir ces trois rôles clés, la base d’échantillonnage doit être à jour et les estimations doivent être suffisamment fiables pour appuyer les usages multiples des données. Tous les 10 ans, après le recensement décennal de la population, l’EPA est remaniée pour tenir compte de l’évolution des caractéristiques démographiques et des nouvelles définitions des limites géographiques. De 2005 à 2014, le plan d’échantillonnage de l’EPA se fondait sur l’information recueillie lors du Recensement de 2001 et reflétait la taille de la population, la répartition provinciale et les limites infraprovinciales de 2001.
Depuis cette période, on a assisté à une importante croissance démographique, à une évolution des caractéristiques de la population et du marché du travail, ainsi qu’à un changement des limites des municipalités et des régions métropolitaines de recensement (RMR). Janvier 2015 a vu l’introduction d’un nouveau plan d’échantillonnage fondé sur les données et les limites géographiques du Recensement de 2011.
Les strates du plan d’échantillonnage de l’EPA, qui répartissent la population de façon à rendre l’échantillonnage plus efficace, se veulent homogènes en ce qui concerne certaines variables clés du marché du travail. Un autre avantage de la stratification est qu’elle stabilise la taille de l’échantillon par région. Toutefois, les strates deviennent moins efficaces à mesure que l’on s’éloigne de l’année de base du plan d’échantillonnage (c.-à-d. 2001 pour le plan en place de 2005 à 2014) et que les caractéristiques de la population et du marché du travail évoluent dans le temps.
Le plan d’échantillonnage de 2015 définit les nouvelles strates en s’appuyant sur les données du dernier recensement (2011) et de l’Enquête nationale auprès des ménages (2011) ainsi que sur des données administratives. La grande majorité des strates visent à améliorer l’efficacité du plan d’échantillonnage. Quelques strates sont réservées afin de cibler des sous-populations particulières. Des strates de revenus élevés sont construites dans la plupart des RMR afin de regrouper les régions qui comptent plus de ménages à revenu élevé. Ces strates spéciales ne sont pas traitées différemment durant l’échantillonnage de l’EPA, mais elles sont disponibles pour d’autres enquêtes, comme l’Enquête sur les dépenses des ménages. De même, des strates d’Autochtones sont construites dans les régions de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique qui comptent une prévalence plus importante d’Autochtones. Ces strates ont été construites en réponse aux exigences de clients externes qui ont financé un échantillon additionnel de l’EPA afin de cibler des groupes particuliers et des populations autochtones dans ces provinces.
L’échantillon est réparti entre les provinces et, à l’intérieur des provinces, entre les strates, de façon à répondre le mieux possible au besoin d’estimations fiables aux différents niveaux géographiques. Des études préliminaires indiquaient que, vu la taille actuelle de l’échantillon, il n’était plus possible de suivre les lignes directrices en matière de fiabilité qui ont guidé la répartition de l’échantillon en 2005. Les lignes directrices pour le plan d’échantillonnage de 2015 diffèrent donc légèrement de celles suivies en 2005.
Dans le passé, l’indicateur de fiabilité utilisé pour répartir l’échantillon était le coefficient de variation (c.v.). Ce terme est défini dans la section 7. Le c.v. est une mesure de la qualité relative. Selon le c.v., les régions au taux de chômage plus faible nécessitent un échantillon de plus grande taille que les régions au taux de chômage plus élevé. Ainsi, une répartition fondée uniquement sur le c.v. produirait des estimations de qualité nettement meilleure pour les régions au taux de chômage plus faible que si la qualité était mesurée au moyen d’un indicateur de qualité absolue, comme l’ampleur de l’intervalle de confiance (ce terme est défini dans la section 7).
C’est pourquoi les objectifs guidant la répartition de l’échantillon pour les provinces et les régions infraprovinciales combinent maintenant des indicateurs de qualité relative et de qualité absolue. On utilise un indicateur de qualité absolue (ampleur de l’intervalle de confiance) pour les régions où le taux de chômage est inférieur à 5 % et un indicateur de qualité relative pour les régions où ce taux dépasse 5 %. Les lignes directrices qui suivent ont été utilisées pour la répartition de l’échantillon de 2015.
Pour les estimations mensuelles du chômage à l’échelle du Canada :
- un c.v. inférieur à 2 %.
Pour les estimations mensuelles du chômage à l’échelon provincial :
- un c.v. inférieur à 7 % si le taux de chômage dépasse 5 %; ou une ampleur fixe d’intervalle de confiance pour les estimations du chômage équivalente à celle d’un taux de chômage de 5 % avec un c.v. de 7 %.
Pour les estimations par moyenne mobile de trois mois au niveau infraprovincial :
- un c.v. inférieur à 25 % pour l’estimation du chômage au niveau des RAE;
- un c.v. inférieur à 15 % pour l’estimation du taux de chômage au niveau des RAE si le taux de chômage dépasse 5 %, ou une ampleur fixe d’intervalle de confiance 1 équivalente à celle d’un taux de chômage de 5 % avec un c.v. de 15 %.
Puisque la plupart des RMR sont également des RAE, fixer des objectifs pour ces dernières garantit la qualité des estimations pour les RMR correspondantes. Bien que les lignes directrices n’établissent pas d’objectifs directement au niveau des RMR, la répartition permet de s’assurer que les huit RMR qui ne sont pas des RAE (Moncton, Saint John, Peterborough, Brantford, Guelph, Barrie et Kelowna) auront un c.v. inférieur à 25 % pour les estimations du chômage par moyenne mobile de trois mois.
La répartition a permis d’atteindre tous les objectifs susmentionnés pour le plan d’échantillonnage de 2015 sans que la taille globale de l’échantillon soit modifiée. Cette répartition révisée de l’échantillon a donné lieu à certaines modifications de la taille de l’échantillon cible pour la plupart des provinces.
Le tableau 4.1 compare la taille des échantillons nationaux et provinciaux sous le plan de 2015 et sous celui de 2005. Comme on peut le voir, la variation absolue la plus importante a été l’élimination de plus de 900 ménages échantillonnés par mois en Ontario, laquelle a été compensée par des augmentations de l’échantillon dans les trois provinces des Prairies et au Québec. Pour les quatre provinces de l’Atlantique et la Colombie-Britannique, les variations étaient toutes relativement petites. Ces révisions reflètent aussi les changements démographiques et l’évolution du marché du travail.
Au cours des dernières années, un échantillon a été ajouté au Manitoba, en Alberta et en Colombie-Britannique afin de cibler des sous-populations particulières, comme les immigrants et les Autochtones. Cet échantillon additionnel est financé par les provinces.
Sélection de logements pour les provinces
Nous utilisons un plan d’échantillonnage à deux degrés pour toutes les provinces sauf l’Île-du-Prince-Édouard. À l’intérieur de chaque strate, nous définissons de petits secteurs comme étant des « grappes ». Chaque grappe contient environ 230 ménages. Au cours de la première étape, nous sélectionnons généralement six grappes de chaque strate, puis nous obtenons une liste des logements de chaque grappe sélectionnée. Pour la plupart des grappes, la liste est extraite du Fichier de l’univers des logements créé et tenu à jour par Statistique Canada. Pour le reste des grappes, un intervieweur utilise une carte de la grappe pour se rendre sur place et dresser une liste de tous les logements. Au cours de la deuxième étape, nous sélectionnons un échantillon de logements à partir de ces listes.
Étant donné les caractéristiques particulières de l’Île-du-Prince-Édouard, nous utilisons un plan d’échantillonnage à un degré pour cette province, c’est-à-dire que nous dressons une liste complète d’adresses pour toutes les strates et que nous sélectionnons des logements à partir de cette liste.
Sélection des membres du ménage pour les provinces
On recueille des renseignements démographiques sur tous les membres du ménage pour lequel le logement sélectionné constitue le lieu de résidence habituel. Les renseignements obtenus dans le cadre de l’EPA concernent tous les membres civils du ménage âgés de 15 ans ou plus. Pour les personnes de 70 ans et plus, on réduit le fardeau de réponse en réutilisant leurs réponses à l’interview initiale au cours des cinq mois suivants de l’enquête.
Rotation de l’échantillon pour les provinces
L’EPA utilise un plan d’échantillonnage avec renouvellement de panel, selon lequel les ménages sélectionnés restent dans l’échantillon pendant six mois consécutifs. L’échantillon complet est formé de six sous-échantillons ou panels représentatifs. Chaque mois, on remplace le panel qui fait partie de l’échantillon depuis six mois. Les ménages qui cessent de faire partie de l’échantillon sont remplacés par d’autres ménages du même secteur ou d’un secteur comparable. Il en résulte un chevauchement des cinq-sixièmes de l’échantillon d’un mois à l’autre, ce qui procure un plan d’échantillonnage efficace pour estimer les variations d’un mois à l’autre. La rotation après six mois évite d’imposer un fardeau trop lourd aux répondants des ménages sélectionnés aux fins de l’enquête.
Pour obtenir plus de renseignements sur la méthodologie de l’EPA, voir la publication Méthodologie de l’Enquête sur la population active, produit no 71-526-X au catalogue de Statistique Canada.
Couverture d’enquête et collecte pour les territoires
L’EPA dans les territoires a commencé sous forme de projet pilote, d’abord au Yukon à partir de 1991 puis dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut à compter de 2000. Étant donné la complexité de la collecte des données dans les régions du Nord et les problèmes connexes de qualité des données rencontrés au début de la collecte, des données sont disponibles depuis 1992 pour le Yukon, 2001 pour les Territoires du Nord-Ouest et 2004 pour le Nunavut.
La couverture est d’environ 96 % dans les Territoires du Nord-Ouest alors qu’elle est d’environ 92 % au Yukon. Au Nunavut, la couverture, qui était de 70 % entre 2004 et 2007, est passée à 93 % en 2008.
Les questions posées aux répondants de l’Enquête sur la population active qui vivent dans les territoires sont les mêmes que celles posées aux répondants des provinces, à quelques exceptions près. Les questions sur les loyers ne sont pas posées dans les territoires et aucune enquête supplémentaire de l’EPA n’y est menée.
Comme dans le cas des provinces, les enquêtes sont réalisées par le personnel de Statistique Canada. Le premier contact se fait généralement en personne, et la plupart des interviews subséquentes se font par téléphone (lorsque cela est possible). Outre les différences dans le calendrier de renouvellement expliquées ci-dessous, les autres aspects de la collecte et du traitement des données sont les mêmes pour les territoires et les provinces.
Plan d’échantillonnage et répartition pour les territoires
Pour les territoires comme pour les provinces, l’EPA s’appuie sur un plan d’échantillonnage avec renouvellement, sauf que les intervalles diffèrent. Les occupants des ménages sélectionnés dans les territoires sont interviewés tous les trois mois sur une période de deux ans, pour un total de huit interviews. Par exemple, si un ménage est sélectionné pour la première fois en janvier 2013, ses membres seront interviewés de nouveau tous les trois mois, soit en avril, juillet et octobre 2013 puis en janvier, avril, juillet et octobre 2014.
Au terme de ces huit interviews, le ménage est remplacé par un autre ménage de la même collectivité ou d’une autre collectivité de la même strate. Chaque trimestre, un huitième des ménages échantillonnés est interviewé pour la première fois.
Les lignes directrices suivantes ont guidé la répartition de l’échantillon pour les territoires :
- un c.v. de 25 % ou moins pour les estimations du chômage par moyenne mobile de trois mois. (La section 7 fournit une explication de l’erreur d’échantillonnage et des c.v.).
Afin d’assurer l’efficacité des opérations de collecte dans les territoires, on prélève l’échantillon trimestriel sur trois mois. Pour obtenir un échantillon représentatif de la population cible pour chacun des territoires, on combine les échantillons sur trois mois consécutifs. Par conséquent, les estimations pour les territoires ne sont disponibles que sous forme de moyennes mobiles de trois mois.
La dernière mise à jour du plan d’échantillonnage remonte à 2011 pour le Yukon et les Territoires du Nord-Ouest et à 2008 pour le Nunavut.
Les limites des collectivités sont généralement conformes à la Classification géographique type de 2011. Les collectivités incluses dans la base de sondage et admissibles à être échantillonnées sont :
Yukon – L’agglomération de recensement de Whitehorse et les collectivités de Dawson et Watson Lake font toujours partie de l’échantillon. Deux autres collectivités sont choisies, l’une parmi Carmacks, Mayo, Haines Junction et Teslin, et l’autre parmi Pelly Crossing, Ross River, Carcross et Faro. Watson Lake englobe les petits villages avoisinants de Upper Liard, Two Mile Village et Two and OneHalf Mile Village.
Territoires du Nord-Ouest – Yellowknife, Norman Wells, Hay River et Inuvik font toujours partie de l’échantillon. Une collectivité est aussi choisie dans chacun des groupes suivants : Fort Smith et Fort Simpson; Behchokò, Fort Liard, Fort Providence et Fort Resolution; Tuktoyaktuk, Fort McPherson et Aklavik; Fort Good Hope, Déline et Tulita; Hay River Dene 1 et Detah; Wha Ti, Wekweètì, Gamètì, Lutselk’e, Tsiigehtchic et Wrigley.
Nunavut – Iqaluit, Rankin Inlet, Cambridge Bay et Kugluktuk font toujours partie de l’échantillon. Une collectivité est aussi choisie dans chacun des groupes suivants : Baker Lake et Arviat; Igloolik et Pond Inlet; Cape Dorset et Pangnirtung; Taloyoak, Gjoa Haven et Kugaaruk; Coral Harbour et Repulse Bay; Qikiqtarjuaq, Arctic Bay, Hall Beach et Clyde River.
Pourquoi les données sur les territoires ne sont-elles pas prises en compte dans le total national?
Bien que Statistique Canada recueille et produise des données sur la main-d’oeuvre des territoires à partir d’un questionnaire identique à celui utilisé pour les provinces, l’organisme utilise une méthodologie différente dans les territoires et recueille ces données séparément de celles des provinces.
La réalisation d’une enquête couvrant les nombreuses collectivités dispersées et relativement petites des territoires comporte de nombreux défis, et des facteurs comme le coût, la logistique des déplacements, la taille des échantillons et le fardeau sur les répondants doivent tous être pris en compte.
L’Enquête sur la population active arrive à cette fin en utilisant un plan d’échantillonnage, une méthode de renouvellement de l’échantillon et des critères de fiabilité qui diffèrent de ceux des 10 provinces. Les estimations pour les territoires sont calculées et présentées séparément sous forme de moyennes mobiles, ce qui en améliore la fiabilité. Elles ne sont donc pas présentées avec les totaux provinciaux mensuels.
Exclusions de l’Enquête sur la population active pour les provinces et les territoires
Par le passé, les réserves indiennes ont été exclues de l’EPA menée dans les provinces en raison des efforts énormes requis pour joindre et interviewer les répondants. En effet, de nombreux répondants potentiels vivent dans des régions éloignées qui sont difficiles d’accès aux intervieweurs de l’EPA. Compte tenu de la courte durée de la période de collecte chaque mois, ainsi que de l’ampleur des efforts et des coûts requis pour se rendre dans ces collectivités, l’EPA n’est pas menée dans les réserves des provinces. Cependant, les Autochtones hors réserve sont inclus dans l’échantillon des provinces. Dans les territoires, les collectivités autochtones et non autochtones sont incluses dans l’échantillon.
L’EPA exclut également de sa population cible les pensionnaires des établissements institutionnels (par exemple, les détenus des établissements pénitentiaires et les patients d’hôpitaux ou d’établissements de soins infirmiers institutionnalisés pendant plus de six mois) pour des raisons conceptuelles. En effet, l’EPA est conçue pour mesurer l’activité sur le marché du travail actuel, alors que la plupart des pensionnaires d’établissements institutionnels sont incapables de participer au marché du travail et sont inactifs sur le plan économique.
Les membres à temps plein des Forces armées canadiennes ne sont pas inclus dans l’EPA en raison des difficultés d’ordre pratique associées à leur échantillonnage et leur interview, puisque beaucoup d’entre eux vivent dans des lieux inaccessibles aux fins de l’EPA, comme les bâtiments navals, les camps militaires et les casernes, ou sont stationnés à l’étranger.
Sont aussi exclus du champ d’enquête les ménages situés dans des régions extrêmement éloignées où la densité de population est très faible. Les efforts requis et les coûts qu’il faudrait engager pour se rendre dans ces régions sont évalués en fonction du risque que l’exclusion de ces régions introduise un biais dans les estimations de l’EPA. Les régions éloignées exclues représentent collectivement moins de 1 % de la population canadienne et ne peuvent donc pas biaiser les estimations de façon significative.
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