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L'Indice des prix à la consommation

Septembre 2007

62-001-X


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Analyse

En septembre 2007, les consommateurs ont payé 2,5 % de plus qu’en septembre 2006 pour acquérir les biens et les services inclus dans le panier de l’indice des prix à la consommation (IPC), accroissement nettement supérieur à celui de 1,7 % enregistré en août. Il s’agit de la hausse d’une année à l’autre la plus forte depuis mai 2006.

L’accélération de 0,8 point de pourcentage est attribuable principalement à la montée du prix de l’essence, découlant en grande partie des prix plus élevés pour l’essence en septembre 2007 comparativement aux niveaux inférieurs observés en septembre 2006. Observée partout au pays, cette dernière a été la cause principale de l’augmentation du rythme de croissance de l’IPC sur 12 mois dans la plupart des provinces.

Outre le prix de l’essence, le coût d’intérêt hypothécaire a également fait augmenter la variation sur 12 mois de l’IPC en septembre. Toutefois, ces progrès ont été contrebalancés partiellement par les prix plus faibles du gaz naturel et du matériel et des fournitures informatiques.

La croissance sur 12 mois de l’indice d’ensemble excluant l’énergie a ralenti en septembre, s’étant établie à 2,1 %, en baisse par rapport au taux annuel de croissance de 2,3 % affiché le mois précédent. La baisse des prix du matériel et des fournitures informatiques et du prix de l’achat et de la location à bail de véhicules automobiles a été la cause principale du repli de l’indice d’ensemble excluant l’énergie.

L’indice de référence de la Banque du Canada a augmenté de 2,0 % entre septembre 2006 et septembre 2007, ce qui représente une décélération par rapport au taux de 2,2 % enregistré en août 2007. Il s’agit du plus faible taux de croissance de l’indice de référence depuis août 2006.

L’indice des prix des produits énergétiques s’est accéléré de 6,1 % en septembre 2007 en comparaison avec septembre 2006, retournement important de situation par rapport à la baisse de 3,7 % observée en août. Sur une base mensuelle, l’indice des prix de l’énergie a subi une légère hausse de 0,1 % d’août à septembre 2007.

Sur une base mensuelle, l’IPC d’ensemble mensuel a augmenté de 0,2 % d’août à septembre 2007, après avoir baissé de 0,3 % de juillet à août 2007. Cet accroissement est dû principalement à la hausse des prix des vêtements pour femmes, des prix de l’achat et de la location à bail de véhicules automobiles et de l’éducation post-secondaire.

Après les ajustements pour tenir compte des variations saisonnières, l’IPC d’ensemble a subi une solide augmentation de 0,4 % d’août à septembre 2007, ce qui représente une hausse importante comparativement au taux de croissance nul enregistré le mois précédent.

L’IPC excluant l’énergie a progressé de 0,2 % d’août à septembre 2007, après une croissance nulle le mois précédent. D’août à septembre 2007, l’indice de référence a augmenté de 0,4 %, croissance plus rapide que le taux de 0,1 % enregistré le mois précédent.

Variation sur 12 mois : Les prix de l’essence plus élevés exercent une forte pression à la hausse

L’indice des prix à la consommation (IPC) a augmenté de 2,5 % en septembre 2007, comparativement au même mois l’année dernière, ce qui représente une forte accélération par rapport à la croissance de 1,7 % enregistrée en août 2006. Ce taux de croissance, qui est le plus élevé observé depuis mai 2006, est nettement supérieur à la croissance moyenne de 1,7 % de l’IPC au cours des 12 mois antérieurs à septembre 2007.

Le prix de l’essence a été la cause principale de la hausse de 2,5 % des prix à la consommation de septembre 2006 à septembre 2007.

L’augmentation d’une année à l’autre des prix de l’essence (+12,7 %) est davantage attribuable à une baisse des prix subite constatée l’année dernière qu’à des développements significatifs au cours du dernier mois. En effet, d’un mois à l’autre, les prix de l’essence ont très peu changé, augmentant d’un faible 0,8% entre août et septembre 2007.

Graphique 1 Indice de l'essence, Canada, 2002=100
Source(s) :  Tableau CANSIM numéro 326-0020.

Outre l’essence, les coûts associés au logement en propriété ont également fait augmenter la variation sur 12 mois de l’IPC en septembre. Le coût de remplacement par le propriétaire, qui représente la partie structurelle usée des logements, et le coût d’intérêt hypothécaire ont été les principaux facteurs de l’accroissement des coûts subis par les propriétaires canadiens.

Au fil du temps, le coût d’intérêt hypothécaire est devenu un déterminant de plus en plus important de la variation globale des coûts associés au logement en propriété. De septembre 2006 à septembre 2007, le coût d’intérêt hypothécaire a augmenté de 6,4 %, comparativement au taux de 6,1 % enregistré en août. Ce taux de croissance est le plus élevé depuis juin 1991.

Le coût de remplacement par les propriétaires a augmenté de 5,2 % en septembre 2007 comparativement à l’année dernière. La contribution de cette composante aux coûts associés au logement en propriété s’est toutefois amenuisée.

Dans l’ensemble, les coûts associés au logement en propriété ont augmenté de 4,8 % de septembre 2006 à septembre 2007, suivant de près la tendance relativement constante de 5,0 % observée au cours des 12 mois précédents.

Graphique 2 Taux de variation du logement en propriété poussée par le coût d'intérêt hypothécaire et le coût de remplacement
Source(s) :  Tableau CANSIM numéro 326-0020.

La croissance des coûts du logement s’est également accélérée en raison d’une hausse de 2,1 % et de 9,0 % du prix de l’électricité et de l’eau, respectivement.

Le prix de l’ensemble des aliments a augmenté de 1,9 % en septembre 2007 comparativement au même mois l’année dernière, principalement en raison d’une hausse de 3,3 % d’une année à l’autre du prix des aliments consommés dans les restaurants. Cette augmentation n’a été que partiellement contrebalancée par la diminution du prix des légumes frais et des fruits frais.

Malgré ces accroissements, les consommateurs ont connu un certain répit en raison d’une baisse du prix du gaz naturel. Ce dernier a diminué de 7,6 % en septembre 2007 comparativement à septembre 2006, après une modeste augmentation de 0,6 % le mois précédent.

En plus du gaz naturel, la baisse d’une année sur l’autre du prix du matériel et des fournitures informatiques, du prix de l’achat et de la location à bail de véhicules, ainsi que du prix des légumes et des fruits, des vêtements pour femmes et du matériel vidéo, a aussi tempéré la hausse des prix à la consommation en septembre.

La chute des prix du matériel et des fournitures informatiques (-13,9 %) et du matériel vidéo (-9,7 %) s’est poursuivie en septembre 2007 comparativement à septembre 2006. Cependant, la contraction continuelle du prix du matériel et des fournitures informatiques s’est ralentie.

Pour le troisième mois d’affilée, l’achat et la location à bail de véhicules automobiles a coûté moins cher aux consommateurs. La baisse de 1,0 % des prix d’achat et de location de véhicules observée en septembre 2007 comparativement à septembre 2006 a atténué le mouvement à la hausse des prix à la consommation.

Les consommateurs ont également pu profiter de la diminution des prix des légumes frais (-9,2 %) et des fruits frais (-4,2 %) en septembre 2007, qui, dans les deux cas, ont baissé pour le troisième mois consécutif. Une diminution du prix d’une année sur l’autre a été observée pour toutes les composantes des légumes frais (pommes de terre, tomates, laitue et autres légumes frais), ce qui a fait chuter les prix des légumes frais à leur niveau le plus bas depuis septembre 2004.

Croissance des prix au-delà de la moyenne nationale dans quatre provinces

D’une année à l’autre, les prix payés par les consommateurs étaient plus élevés que la moyenne nationale dans seulement quatre provinces en septembre : au Nouveau-Brunswick (+2,9 %), au Manitoba (+2,8 %), en Saskatchewan (+3,8 %) et en Alberta (+4,6 %).

Les consommateurs de Terre-Neuve-et-Labrador (+1,3 %), du Québec (+1,9 %) et de la Colombie-Britannique (+1,9 %) sont ceux qui ont connu la hausse la plus modeste des prix à la consommation en septembre.

La croissance de l’IPC d’une année à l’autre s’est accélérée en septembre 2007 comparativement à août 2007 dans toutes les provinces sauf l’Alberta. En Alberta, la croissance de l’IPC sur 12 mois s’est ralentie pour s’établir à 4,6 % ce mois-ci, légèrement en baisse par rapport au taux de 4,7 % enregistré en août. Ce taux de croissance des prix à la consommation est le plus faible observé depuis le début de l’année.

La cause principale de la chute des prix à la consommation en Alberta est la baisse d’une année à l’autre du prix du gaz naturel (-28,7 %) conjuguée à une décélération des coûts associés au logement en propriété.

En septembre, en Alberta, la variation d’une année à l’autre des coûts associés au logement en propriété a diminué pour s’établir à 12,0 %, comparativement à 13,9 % en août. Le ralentissement de la croissance du coût d’intérêt hypothécaire et du coût de remplacement par le propriétaire est la raison principale de la diminution de la croissance des coûts associés au logement en propriété.

Dans la plupart des provinces, le prix de l’essence a été la source principale de la croissance de l’IPC sur 12 mois. Presque toutes les provinces ont enregistré un taux de croissance à deux chiffres du prix de l’essence en septembre 2007 comparativement à septembre 2006.

La hausse du prix de l’essence a varié d’un bond de 18,4 % en Alberta à une avancée plus modérée de 3,2 % au Nouveau-Brunswick. La Colombie-Britannique, Terre-Neuve-et-Labrador, l’Île-du-Prince-Édouard et le Nouveau-Brunswick sont les seules provinces n’ayant pas connu une croissance à deux chiffres du prix de l’essence.

Au Nouveau-Brunswick, c’est un bond de 17,9 % du prix de l’électricité d’une année à l’autre qui a propulsé la croissance de l’IPC au-dessus du niveau national.

La variation interprovinciale de l’IPC sur 12 mois est en grande partie le résultat de différences de variation des coûts associés au logement en propriété. Ces coûts ont continué d’être l’une des principales sources de croissance des prix à la consommation en septembre, surtout à cause de la hausse de coût de remplacement par le propriétaire et du coût d’intérêt hypothécaire.

En Saskatchewan, le coût de remplacement par le propriétaire a bondi de 44,8% de septembre 2006 à septembre 2007. Venaient ensuite l’Alberta où les propriétaires ont fait face à une hausse de 13,0 %, le Manitoba où l’accroissement a été de 8,3 % et la Nouvelle-Écosse, où il a été de 7,6 %. La croissance d’une année à l’autre des coûts de remplacement subis par les propriétaires était inférieure à la moyenne nationale (+5,2 %) pour toutes les autres provinces.

Variation d’un mois à l’autre : Le prix des vêtements pour femmes fait grimper l’IPC mensuel

D’août à septembre 2007, les prix à la consommation ont subi une augmentation de 0,2 %. La variation du prix des vêtements pour femmes (+5,9 %) a été le principal déterminant de la hausse d’un mois à l’autre de l’IPC d’ensemble, en raison de l’arrivée de nouvelles collections chez les détaillants.

Cette hausse a été suivie par l’accroissement des prix de l’achat et de la location de véhicules automobiles (+1,1 %). La réduction des mesures incitatives offertes par les fabricants d’automobiles en septembre explique cette hausse.

Le prix des études post-secondaires a aussi fait grimper les prix à la consommation en septembre. Les étudiants ont déboursé 3,0 % de plus pour leurs frais de scolarité en 2007. Des frais de scolarité plus élevés en Ontario (+4,1 %) sont la raison principale de la tendance à la hausse de cet indice.

La hausse de 0,8 % du coût d’intérêt hypothécaire, le gain de 0,8 % du prix de l’essence et l’accroissement de 2,3 % des frais de garde d’enfants ont aussi exercé une pression à la hausse.

Ces hausses de prix ont été atténuées en partie par la baisse du prix des légumes frais (-8,9 %), du transport aérien (-4,9 %), des fruits frais (-6,4 %) et du gaz naturel (-2,3 %). Cette chute du prix du gaz naturel est due en grande partie à la baisse mensuelle de 14,2 % du prix du gaz naturel en Alberta.

La variation d’un mois à l’autre du prix des légumes a diminué pour le septième mois d’affilée, après une montée des prix des légumes frais en février 2007.

Une diminution importante du prix des pommes de terre (–15,7 %) entre août et septembre, en raison de facteurs saisonniers, a été la cause principale de la réduction des prix des légumes frais.

L’indice de référence de la Banque du Canada augmente de 2,0 %

L’indice de référence de la Banque du Canada a augmenté de 2,0 % en septembre comparativement au même mois l’année précédente, ce qui représente une décélération par rapport au taux de 2,2 % enregistré en août. Il s’agit du taux de croissance le plus faible de l’indice de référence depuis août 2006. Au cours des 12 mois qui ont précédé septembre 2007, le taux de croissance moyen de cet indice des prix a été de 2,3 %.

Graphique 3 Taux de variation de l'indice de référence de la Banque du Canada par rapport au même mois de l'année précédente

Les pressions à la hausse exercées sur cet indice sont dues surtout au coût de remplacement par le propriétaire et aux prix des repas au restaurant.

Sur une base mensuelle, l’indice de référence a augmenté de 0,4 % en septembre, croissance plus rapide que le taux de 0,1 % enregistré le mois précédent. La pression à la hausse a été exercée principalement par les prix des vêtements pour femmes, les prix de l’achat et de la location des véhicules automobiles et le coût de l’éducation post-secondaire. Si l’on élimine les effets saisonniers, d’août à septembre 2007, l’indice de référence a subi une hausse de 0,1 %.

L’indice de référence s’obtient en soustrayant l’effet des variations des taxes indirectes de l’indice d’ensemble dont on a exclu les huit composantes les plus instables relevées par la Banque du Canada. Ces composantes instables sont les fruits, les préparations à base de fruits et les noix, les légumes et les préparations à base de légumes, le coût d’intérêt hypothécaire, le gaz naturel, le mazout et les autres combustibles, l’essence, les transports interurbains, ainsi que les produits du tabac et les articles pour fumeurs.

L’indice des prix de l’énergie connaît sa croissance la plus rapide depuis août 2006

L’indice des prix des produits énergétiques a augmenté de 6,1 % en septembre 2007 comparativement à septembre 2006, renversement de situation important par rapport à la baisse de 3,7 % enregistrée le mois précédent. Cette hausse, qui est la plus forte depuis août 2006, a été dictée en grande partie par le bond de 12,7 % du prix de l’essence entre septembre 2006 et septembre 2007.

Durant la même période, les prix de l’électricité (+2,1 %), des carburants, pièces et fournitures pour véhicules de loisirs (+9,7 %) et du mazout et des autres carburants (+2,1 %) ont également exercé une forte pression à la hausse sur cet indice. La chute de 7,6 % du prix du gaz naturel durant la période en a toutefois ralenti la croissance.

L’indice des prix de l’énergie a connu une légère progression de 0,1 % d’août à septembre 2007. La pression à la hausse exercée par le prix de l’essence (+0,8 %) a été presque entièrement atténuée par la pression à la baisse importante exercée par le prix du gaz naturel (-2,3 %). Le mazout et les autres carburants (+0,8 %), ainsi que les carburants, pièces et fournitures pour véhicules de loisirs (+0,8 %) ont également fait grimper l’indice des prix de l’énergie, tandis qu’un léger recul du prix de l’électricité (-0,1 %) l’a fait diminuer.

Sur une base annuelle, la baisse des prix des biens durables compense légèrement les pressions à la hausse exercées principalement par les biens non durables

En septembre 2007, les prix des biens ont augmenté de 1,3 % comparativement au même mois l’année précédente, après un recul de 0,4 % en août. La pression à la hausse observée en septembre est attribuable uniquement à l’accroissement de 2,9 % des prix des biens non durables. Les prix des biens durables (-0,9 %) et des biens semi-durables (-0,6 %) ont eu un effet à la baisse sur cet indice.

La pression à la hausse sur l’indice des prix des biens non durables durant cette période est attribuable principalement au bond de 12,7 % du prix de l’essence. La baisse des prix du matériel et des fournitures informatiques (-13,9 %) et du prix de l’achat des véhicules automobiles (-1,0 %) a exercé une pression à la baisse sur l’indice des prix des biens durables, tandis que les prix des vêtements pour femmes (-3,4 %) ont été la source principale de la diminution de l’indice des prix des biens semi durables.

Sur une base mensuelle, l’indice des prix des biens a connu une croissance modeste de 0,1 %. Les effets combinés de l’accroissement des prix des biens semi-durables (+1,9 %) et des biens durables (+0,3 %) n’ont été que partiellement neutralisés par la diminution des prix des biens non durables (-0,4 %).

D’août à septembre 2007, la hausse des prix des biens semi-durables a été causée en grande partie par les prix plus élevés des vêtements pour femmes (+5,9 %) et pour hommes (+0,6 %). La hausse du prix de l’achat des véhicules (+1,2 %) a surtout fait augmenter l’indice des prix des biens durables, tandis que la baisse du prix du gaz naturel (-2,3 %) a exercé une pression à la baisse importante sur l’indice des prix des biens non durables.

De septembre 2006 à septembre 2007, les prix des services ont augmenté de 3,6 %, soit un léger ralentissement de la croissance comparativement au taux annuel de 3,8 % enregistré en août. Cette hausse des prix a été dictée principalement par l’accroissement du coût d’intérêt hypothécaire (+6,4 %) et des coûts de remplacement subis par les propriétaires (+5,2 %) au cours des 12 derniers mois.

Sur une base mensuelle, les prix des services ont augmenté de 0,3 % d’août à septembre 2007, identique au taux de croissance affiché entre juillet et août. La pression à la hausse est attribuable principalement au coût des frais de scolarité (+3,0 %) et à celui de l’intérêt hypothécaire (+0,8 %) ce mois-ci.

Hausse marquée de 0,4 % de l’IPC désaisonnalisé d’août à septembre

Après corrections pour tenir compte des variations saisonnières, l’IPC d’ensemble a affiché une croissance marquée de 0,4 % d’août à septembre 2007, avancée importante après le taux de croissance nul observé en août. L’indice de référence désaisonnalisé défini par la Banque du Canada a augmenté de 0,1 % d’août à septembre 2007, taux comparable à la croissance enregistrée en août.

Graphique 4 Taux de variation de l'indice des prix à la consommation par rapport au mois correspondant de l'année précédente, Canada, 2002=100
Source(s) :  Tableau CANSIM numéro 326-0020.
Graphique 5 Taux de variation de l'indice d'ensemble par rapport au mois précédent, Canada, provinces, Whitehorse, Yellowknife et Iqaluit, 2002=100
Source(s) :  Tableau CANSIM numéro 326-0020.
Graphique 6 Taux de variation de l'indice d'ensemble par rapport au même mois de l'année précédente, Canada, provinces, Whitehorse, Yellowknife et Iqaluit, 2002=100
Source(s) :  Tableau CANSIM numéro 326-0020.