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Les Canadiens et la nature : les oiseaux, 2013

Les Canadiens et la nature : les oiseaux, 2013

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par la Division de la statistique de l'environnement, de l'énergie et des transports.

Les oiseaux sont probablement l’un des types les plus fréquents d’animaux sauvages que les Canadiens voient régulièrement. En 2013, de nombreux ménages canadiens (25 %) avaient des mangeoires et des nichoirs dans leur cour, et 9 % des ménages ont acheté des produits tels que des jumelles ou des livres sur l’identification des oiseaux ou ont fait des voyages dans le but d’observer des oiseaux.

Les ménages de l’Île-du-Prince-Édouard (44 %), de la Nouvelle-Écosse (39 %) et du Nouveau-Brunswick (36 %) étaient les plus susceptibles d’avoir effectué des achats visant à nourrir ou à abriter des oiseaux sur leur propriété, alors que les ménages du Québec étaient les moins susceptibles (20 %) de l’avoir fait. Les Britanno-Colombiens étaient proportionnellement les plus nombreux à avoir acheté des jumelles ou des livres sur les oiseaux ou à avoir fait des voyages dans le but d’observer des oiseaux (11 %), alors que les ménages de Terre-Neuve-et-Labrador étaient proportionnellement les moins nombreux (6 %) à l’avoir fait.

En général, les ménages des régions métropolitaines de recensement (RMR), qui sont de grandes régions urbaines, étaient moins susceptibles que les ménages des régions autres que des RMR d’avoir effectué des achats visant à nourrir ou à abriter des oiseaux sur leur propriété (20 % comparativement à 36 %). Seuls les ménages des RMR de Kelowna (41 %)Note E, de Barrie (38 %), de Saint John (37 %) et de Victoria (37 %) étaient proportionnellement plus nombreux que ceux des régions autres que des RMR à l’avoir fait.

À l’exception des ménages composés uniquement de membres âgés de 25 à 44 ans, les ménages canadiens de différents groupes d’âge ont effectué des achats visant à nourrir ou à abriter des oiseaux sur leur propriété dans des proportions semblables (entre 24 % et 29 %). Les ménages constitués uniquement de personnes ayant entre 25 et 44 ans étaient beaucoup moins susceptibles d’avoir effectué ces achats (seulement 12 %).

Comme les achats visant à nourrir et à abriter des oiseaux ainsi que les achats et les voyages ayant pour but d’observer des oiseaux sont des dépenses discrétionnaires, il n’est pas étonnant de constater que, à mesure que le revenu annuel total du ménage s’accroissait, la participation à ces activités augmentait également. Quinze pour cent des ménages à faible revenuNote 1 ont engagé des dépenses pour nourrir et abriter des oiseaux sur leur propriété, comparativement à 30 % des ménages à revenu élevéNote 2. Les ménages ayant un revenu annuel total de 100 000 $ à 149 999 $ étaient les plus susceptibles d’avoir effectué ces achats (31 %).

Graphique 1 - Ménages ayant effectué des achats visant à nourrir ou à abriter des oiseaux sur leur propriété, 2013

Description du graphique 1

De même, la probabilité qu’un ménage ait effectué des achats visant à observer des oiseaux augmentait en fonction de son revenu annuel total. En 2013, seulement 6 %Note E des ménages à faible revenu ont effectué ces achats, comparativement à 13 % des ménages à revenu élevé.

Les ménages occupant des logements individuels non attenants (34 %) étaient proportionnellement deux fois plus nombreux que les ménages occupant la plupart des autres types de logements (p. ex. duplex (13 %), maisons en rangée ou en terrasse (18 %) ou appartements dans des immeubles à hauteur restreinte (8 %)) à avoir effectué des achats visant à nourrir ou à abriter des oiseaux sur leur propriété. Vingt-deux pour cent des ménages occupant des maisons doubles (côte à côte) ont fait des achats de ce genre. Les achats visant à observer des oiseaux, y compris les voyages d’observation d’oiseaux, étaient plus susceptibles d’avoir été faits par des ménages occupant des logements individuels non attenants que par des ménages occupant la plupart des autres types de logements.

Début de l'encadré

À propos de l'Enquête sur les ménages et l'environnement

Dans le cadre de l’Enquête sur les ménages et l’environnement, les ménages canadiens sont interrogés à propos de leurs activités et de leurs comportements à l’égard de l’environnement. L’enquête porte sur un vaste éventail de sujets, comme la consommation et la conservation d’eau et d’énergie, les produits dangereux utilisés à la maison, ainsi que les interactions du ménage avec la nature. Les gouvernements s’appuient sur les données de l’enquête pour orienter les politiques et les programmes, les chercheurs s’en servent pour en savoir plus long sur les Canadiens, tandis que les particuliers les utilisent pour voir comment ils se comparent au reste du pays.

La population cible de l’Enquête sur les ménages et l’environnement de 2013 se composait des ménages au Canada, sauf les ménages situés au Yukon, dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut, les ménages vivant dans des réserves indiennes ou sur des terres publiques, et les ménages constitués entièrement de membres à temps plein des Forces armées canadiennes. Les établissements et les ménages de certaines régions éloignées ont également été exclus.

Fin de l'encadré


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