Notes

La zone d’étude comprend toutes les terres inscrites sous la Loi sur les parcs nationaux et toutes les terres publiques fédérales récemment acquises à l’exception de certains petits îlots ainsi que les îles Main Duck et Yorkshire dans le lac Ontario.

Patrimoine canadien (Parcs Canada), 1998. Rapport sur l’état des parcs de 1997, n^o R64-184/1997F au catalogue.

Kettunen, M., N. Dudley, A. Bruner, L. Pabon, N. Conner, A. Berghöfer, A. Vakrou, K.J. Mulongoy, J. Ervin, S.B. Gidda, M. Bouamrane, P. ten Brink, S. Chape, P. Morling, A. Seidl et S. Stolton, 2009. « Chapter 8 : Recognising the value of protected areas », The Economics of Ecosystems and Biodiversity for National and International Policy Makers.

The Outspan Group Inc., 2011. Impact économique de Parcs Canada, préparé à l’intention de l’Agence Parcs Canada.

Parcs Canada, 2013. Agence Parcs Canada – rapport sur les plans et les priorités 2013-14, n^o R61-70/2013F-PDF au catalogue.

Parcs Canada, 2013. Parc national du Canada des Mille-Îles, www.pc.gc.ca/fra/pn-np/on/lawren/natcul/natcul1/d.aspx (site consulté le 18 juillet 2013).

Parcs Canada, 2013. Parc national du Canada des Mille-Îles : Merveilles naturelles et trésors culturels, www.pc.gc.ca/fra/pn-np/on/lawren/natcul/natcul2.aspx (site consulté le 25 juillet 2013).

Parcs Canada, 2013. Parc national du Canada des Mille-Îles : Un grand anniversaire pour un petit parc, www.pc.gc.ca/fra/pn-np/on/lawren/natcul/natcul1/d.aspx (site consulté le 10 septembre 2013).

Parcs Canada, 2010. Parc national du Canada des Îles-du-Saint-Laurent, plan directeur, n^o R64-105/78-2009F au catalogue. Note : Le nom du parc a été remplacé par le parc national des Mille-Îles en 2013.

Francis, M. et J. Leggo, 2004. State of the Park Report 2004 : St. Lawrence Islands National Park of Canada.

Parcs Canada, 2013. « Engager les collectivités grâce à la diffusion externe », Parc national du Canada des Mille-Îles, www.pc.gc.ca/fra/pn-np/on/lawren/plan/plan2/b.aspx (site consulté le 3 septembre 2013).

Kettunen, M., N. Dudley, A. Bruner, L. Pabon, N. Conner, A. Berghöfer, A. Vakrou, K.J. Mulongoy, J. Ervin, S.B. Gidda, M. Bouamrane, P. ten Brink, S. Chape, P. Morling, A. Seidl et S. Stolton, 2009. « Chapter 8 : Recognising the value of protected areas », The Economics of Ecosystems and Biodiversity for National and International Policy Makers.

Conseil canadien des aires écologiques, 2012. Les rapports du SRSAC, www.ccea.org/fr_cartsreports.html (site consulté en février 2012). Statistique Canada, Division des comptes et de la statistique de l'environnement, 2013, totalisation spéciale.

Comprend les zones protégées administrées à l’échelon fédéral ou provincial, ainsi que les terres protégées détenues par les collectivités autochtones ou des intérêts privés qui sont reconnues par les organismes chargés des zones protégées comme faisant partie de leur réseau.

Les données du Recensement de la population et du Recensement de l’agriculture présentées dans cette section comprennent toutes les subdivisions de recensement unifiées de la zone tampon de 100 km autour de l’écosystème des Mille-Îles et de l’écosystème des Mille-Îles lui-même.

La couverture spatiale de ce rapport, Troy, A. et K. Bagstad, 2009, Estimer les services des écosystèmes dans le sud de l’Ontario, Ministère des Richesses naturelles de l’Ontario, comprend la zone du parc national des Mille-Îles.

Navrud, S et R. Ready (éd.), 2007. Environmental Value Transfer : Issues and Method, Springer, Dordrect, Pays-Bas.

Brander, L., A. Ghermandi, O. Kuik, A. Markandya, P.A.L.D. Nunes, M. Schaafsma et A. Wagtendonk, 2010. « Scaling up Ecosystem Services Values : Methodology, Applicability and a Case Study », Fondazione Eni Enrico Mattei Working Paper Series, n^o 9.

Ruitenbeek, J. Communication personnelle, le 30 juin, 2012.

Ce rapport, intitulé Estimer les services des écosystèmes dans le sud de l’Ontario, repose sur des méthodes de transposition des valeurs et a été produit pour le ministère des Richesses naturelles de l’Ontario (MRNO). Les limites et mises en garde associées à l’étude originale comprennent les contraintes relatives à l’approche de transposition des valeurs et aux hypothèses formulées pour tenir compte des lacunes des données. L’échelle de l’analyse revêt aussi une certaine importance pour ce type d’étude, puisque des valeurs sont transposées d’un site à un autre. Le MRNO entend mettre à jour les valeurs de Troy et Bagstad à mesure que de nouvelles données primaires deviennent disponibles. Pour en savoir davantage à ce sujet, consultez Troy et Bagstad (2009).

Le projet MBSE fait appel aux valeurs en dollars par hectare du rapport de Troy et Bagstad (2009) pour établir des estimations s’appliquant au parc national des Mille-Îles, qui serviront de point de départ à l’évaluation monétaire des flux annuels de BSE produits par le parc.

La valeur de ces BSE constitue une sous-estimation, car certains BSE n’ont pas été évalués pour chaque type de couverture terrestre dans l’étude de Troy et Bagstad (2009), en raison de l’absence d’études pertinentes pour la transposition des valeurs.

Ces chiffres sous-estiment probablement les valeurs d’option, de legs et d’existence des milieux humides du parc pour deux raisons, la première étant qu’ils ne tiennent compte que des avantages dont bénéficient les ménages vivant à proximité immédiate du parc (dans un rayon de 55 km) et la deuxième, qu’ils excluent les avantages dont bénéficient les résidents des États-Unis.