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Notes sur la comparabilité de donnéesComparaisons entre les données allant jusqu’à 1995 et celles depuis 1996 Comparaisons entre les données allant jusqu’à 1995 et celles depuis 1996Les données pour la période historique (années précédant la dernière) ne sont pas nécessairement les mêmes que dans les éditions précédentes. Les données allant jusqu’à 1995 sont tirées de l’Enquête sur les finances des consommateurs (EFC, menée la dernière fois pour l’année de référence 1997), tandis que les données pour 1996 et depuis sont tirées de l’Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR). Pour la présente édition 2001 des tableaux, tous les autres changements en regard de l’édition 2000 sont mineurs. Pour diverses raisons, des enquêtes différentes donnent lieu à des estimations légèrement différentes pour un même thème. On s’est efforcé dans la mesure du possible de minimiser et de surveiller ces divergences entre les deux enquêtes sur le revenu, tout en apportant d’importantes améliorations aux procédures d’enquête. Avant de remplacer la série EFC par l’EDTR, on a mené une étude soignée des années de référence chevauchantes, en particulier les années 1996 et 1997, puisque l’échantillon de l’EDTR n’a trouvé sa taille intégrale qu’en 1996. Les résultats de l’étude sont présentés dans un document de recherche de la Division de la statistique du revenu, Comparaison des résultats de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) et de l'Enquête sur les finances des consommateurs (EFC) 1993-1997 : mise à jour (75F002MIF99007). Tous les documents de recherche de la DSR sont disponibles gratuitement sur le site Internet de Statistique Canada (www.statcan.ca). En résumé, on a constaté que les deux enquêtes disent essentiellement la même chose pour tous les principaux concepts de revenu. Il est néanmoins possible, pour des caractéristiques relativement détaillées, que les tendances des données indiquent un «bris» à cause du changement d’enquête. Un tel bris se présenterait probablement sous la forme d’un décalage visible vers le haut ou vers le bas dans une série de données entre 1995 et 1996. Elle correspondrait à un changement de données attribuable au fait que ce sont deux enquêtes ayant des échantillons et des méthodes différentes (telles que l'utilisation des fichiers d'impôt dans le cas de l'EDTR), plutôt qu’à un véritable changement de caractéristiques de la population. Les utilisateurs voudront bien prendre note des différences ci-dessous que l’on a pu observer entre les enquêtes et qui ont exercé une influence sur les tendances des données à des niveaux détaillés. Meilleure couverture des montants de revenu peu importantsUne amélioration notable qui est survenue sous l’effet des nouvelles techniques d’enquête intégrées à l’EDTR est une meilleure couverture des montants de revenu peu importants reçus par les répondants. On a pu observer dans des enquêtes par questionnaire que les répondants ont tendance à oublier des montants de revenu peu importants reçus dans le passé ou à ne pas en tenir compte. Cela entraîne une sous-estimation du revenu, en général, et il en résulte que de nombreuses personnes qui ont reçu un montant de revenu peu important déclarent plutôt une absence de revenu (on constate toutefois des différences selon que le concept de revenu comporte ou non les transferts gouvernementaux). Le recours par l’EDTR à des fichiers administratifs d’impôt sur le revenu pour la majorité des répondants de l’échantillon entraîne une couverture appréciablement meilleure des montants de revenu non nuls, et suscite en général un nombre plus grand de bénéficiaires pour la plupart des types de revenu. Une autre technique utilisée pour l’EDTR qui a pu entraîner une amélioration de la couverture se rapporte au fait que, même pour des répondants qui déclarent un revenu dans le cadre d’une interview plutôt que des données d’impôt, il existe deux occasions de leur poser une question au sujet des sources de revenu, d’où la probabilité accrue de saisie d’un montant. Il en est ainsi parce que certains concepts de revenu sont abordés dans l’interview de janvier et couverts ensuite dans l’interview de mai; il est alors possible de rappeler aux répondants, au besoin, toute réponse positive donnée en janvier. Les types de revenu pour lesquels on a recours à ce genre «d’interview avec rétroinformation» sont les gains (tirés d’un emploi ou d’un travail indépendant), les prestations d’assurance-emploi, l’assistance sociale et les indemnités pour accidents du travail. Types de famille détaillésLes «types de famille détaillés» standard publiés pour les familles économiques ont évolué sous un rapport. Dans l’EFC, ils sont obtenus en fonction du «chef de famille». Dans l’EDTR, les mêmes catégories sont utilisées, mais en fonction du «soutien économique principal». (Voir également Soutien économique principal sous Définitions relatives à la famille à la section Notes et définitions.) L’EDTR a complètement abandonné le concept de chef de famille, car il n’est guère pertinent dans un contexte moderne. Un genre quelconque de hiérarchie au sein d’une famille est cependant utile si l’on veut identifier de façon unique le type de famille, même si cela est assez arbitraire. La modification des concepts de famille résultant de la transition de l’EFC à l’EDTR n’a pas influencé les données préparées pour l’ensemble des familles comportant deux personnes ou plus. Toutefois, pour certains types de famille détaillés, l’estimation du nombre de familles a subi une augmentation ou une diminution exceptionnelle entre 1995 et 1996. Sans tirer des conclusions précises au sujet de l’effet net de ces changements, on peut constater ce qui suit. Tout d’abord, tandis que la définition antérieure considérait toujours l’époux plutôt que l’épouse comme le chef de famille, le concept de soutien économique principal n’admet aucune distinction de sexe, et il est donc possible que l’épouse soit le soutien économique principal. En moyenne, les épouses sont plus jeunes que leur époux, du moins chez les couples plus âgés; le résultat a été un déplacement de familles de personnes âgées vers la catégorie des familles autres que de personnes âgées. Deuxièmement, le concept de chef de famille accordait la préférence aux parents plutôt qu’à leurs enfants adultes et, en l’absence de liens époux-épouse ou parent-enfant dans la famille, la préférence était accordée aux membres plus âgés plutôt qu’aux plus jeunes. Désormais, les jeunes adultes ont de bien meilleures chances d’être le soutien économique principal qu’à l’époque des chefs de famille. Par conséquent, on observe une diminution appréciable du nombre d’«autres familles de personnes âgées» et de «couples mariés avec d’autres personnes apparentées», et une forte augmentation du nombre d’«autres familles autres que de personnes âgées». (Voir à la section Définitions relatives à la famille la définition exacte des types de famille.) Comparaisons avec l'édition antérieureLes chiffres pour les années précédant 2002 ne sont pas nécessairement directement comparables à ceux publiés dans l'édition de 2001. À titre d'exemple, les montants en dollars sont toujours exprimés en dollars constants de l'année de référence la plus récente. (Voir le paragraphe Dollars courants versus dollars constants sous la rubrique Concepts analytiques.) Pour l’Enquête sur la dynamique du travail et du revenu, on utilise des estimations de la population cible – qui sont calculés indépendamment de l’enquête – comme points de repère pour la production des estimations de l’enquête. Ces estimations de population commencent par un recensement et elles sont ensuite mises à jour au moyen de données administratives pour tenir compte de la population actuelle du Canada. Avec ces dénombrements de population, on peut réduire l’erreur d’échantillonnage et le biais de couverture des estimations de l’enquête. Il s’agit également d’un moyen d’assurer l’homogénéité des estimations parmi les enquêtes auprès des ménages. Il est crucial d’avoir des chiffres exacts sur la population pour déterminer les estimations tirées d’une enquête par échantillon comme l’EDTR. Pour traduire les résultats de l’enquête en estimations de la population, on attribue à chaque individu dans l’échantillon un poids indiquant le nombre de personnes de la population représentées par ce membre de l’échantillon. Périodiquement, on met à jour les poids de l’enquête pour rendre compte de l'existence de nouveaux repères démographiques issus d’un nouveau recensement et de nouvelles estimations annuelles intercensitaires. Lorsque cela se produit, les poids font l’objet d’une révision historique afin d’assurer la continuité des séries chronologiques. Il arrive également que des améliorations méthodologiques soient apportées au calcul des poids lorsque ceux-ci sont révisés. La plus récente révision historique des poids de l’Enquête sur la dynamique du travail et du revenu s’est produite avec la diffusion des données de 2000 et s’appliquait aux données recueillies pour la période commençant en 1980, si bien que les chiffres de la série tout entière ont été modifiés. Traditionnellement, les poids sont calculés à l’aide de points de repère démographiques selon la province, l’âge et le sexe. Depuis la révision des poids de 2000, les poids de l’EDTR respectent également les repères démographiques selon la taille du ménage et la taille de la famille économique. |
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