Les immigrants risquent moins d'être victimes d'un crime violent

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Les immigrants affichent un taux de victimisation avec violence (agression sexuelle, vol qualifié et voies de fait) nettement inférieur à celui des Canadiens de naissance. En 2004, les immigrants ont signalé 68 incidents violents pour 1 000 personnes de 15 ans et plus, contre 116 incidents pour 1 000 pour les non-immigrants.

Même si l'on tient compte des principaux facteurs de risque (âge, sexe, état matrimonial, nombre d'activités en soirée et proximité du crime), les immigrants courent 30 % moins de risques que les non-immigrants d'être victimes d'un crime violent.

Les Canadiens de deuxième génération — les personnes nées au Canada mais dont au moins un des parents est né à l'étranger — affichaient un taux de victimisation comparable à celui des Canadiens de troisième génération ou plus : 125 incidents pour 1 000 personnes, par rapport à 114 incidents pour 1 000 personnes en 2004.

graphique 9.4 Taux de victimisation chez les immigrants et les non-immigrants, 2004
Voir la source des données du graphique 9.4

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