Cyberprédation
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Information pertinente
L'utilisation d'Internet pour leurrer des enfants est devenue une infraction au Code criminel en 2002. Même si ces infractions ne constituent qu'une faible proportion de tous les crimes déclarés par la police (et même si les cas portés à l'attention de la police ne représentent qu'une fraction des incidents de cette nature), le nombre d'accusations a augmenté.
En 2006 et 2007, les services de police ont déclaré 464 affaires de cyberprédation, ce qui représente un taux de 3 affaires pour 100 000 jeunes (de 17 ans et moins) par année.
Pendant ces deux années, 64 % des affaires n'ont pas été élucidées par la police. Un auteur présumé a été identifié dans environ le tiers des infractions de cyberprédation, comparativement à près de la moitié des affaires de pornographie juvénile et plus des trois quarts des autres infractions d'ordre sexuel concernant surtout l'abus sexuel d'enfants.
La proportion d'affaires de cyberprédation non réglées témoigne probablement des difficultés uniques à identifier et à appréhender les prédateurs en ligne.
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