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Violence conjugale

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Presque partout au Canada, les victimes de violence conjugale étaient plus susceptibles d’être agressées par leur conjoint actuel que par un ex-conjoint, qu’il s’agisse de couples mariés ou vivant en union libre. Par exemple, 97 % des cas de violence conjugale au Nunavut en 2006 mettaient en cause des conjoints actuels; au Nouveau-Brunswick, à l’Île-du-Prince-Édouard et à Terre-Neuve-et- Labrador, ce chiffre se situait à 72 %.

Au Québec, les victimes de violence conjugale étaient presque aussi susceptibles d’être la cible d’un ex-conjoint que de leur conjoint actuel; cela est peut-être attribuable au taux de divorce élevé ainsi qu’à la popularité des unions libres au Québec et à la forte probabilité de rupture des unions libres.

La proportion de voies de fait était en général plus élevée dans l’Ouest et les territoires, et les cas de harcèlement criminel et de menaces plus fréquents au Québec.