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Analyste économique en chef (613-951-9162)
Un compte satellite est rattaché aux comptes nationaux principaux afin de révéler les transactions effectuées dans un segment spécifique de l’économie. D’autres comptes satellites au Canada ont été créés pour le tourisme et les institutions à but non lucratif.
La réévaluation de la valeur des actifs de retraite reflète les gains et les pertes en capital occasionnés par les fluctuations des prix des actifs financiers de même que par les répercussions du taux de change sur la valeur des actifs détenus à l’extérieur du Canada.
Les retraits de la sécurité sociale ne représentent pas les paiements de la Sécurité de la vieillesse dans cette étude, qui ne sont pas des actifs de retraite capitalisés.
En 2007, le nombre d’adhésions à des régimes de pension agréés a augmenté pour se situer à 5,9 millions, selon le communiqué Régimes de pension au Canada (Le Quotidien, 8 juin 2009).
Le Canada avait une proportion relativement élevée d’actifs de retraite investis dans les actions comparativement aux obligations, et a ainsi été davantage touché par la chute des prix du marché boursier en 2008 que la plupart des autres pays. Voir p. 2 de « Pensions and the crisis », OCDE, 2009.
La Loi sur la sécurité de la vieillesse couvre quatre programmes distincts, les plus importants étant la Pension de la sécurité de la vieillesse (instaurée en 1952, elle paye une prestation à taux uniforme sujette à recouvrement) et le Supplément de revenu garanti (ajouté en 1967 pour augmenter les revenus des personnes âgées).
Le Régime de pensions du Canada ne pouvait acheter que des obligations du gouvernement provincial jusqu’à la création de l’Office d'investissement du régime de pensions du Canada en 1997. La Caisse de dépôt et de placement du Québec a toujours eu moins de restrictions pour ce qui est du Régime de retraite du Québec. Voir Bruce Little, Fixing the Future, U of T Press, 2009, for a complete discussion of the overhaul.
Les revenus d’investissement du Régime de pensions du Canada ont été stables, s’étant chiffrés à 4,4 milliards de dollars de 1990 à 1995. Cette stabilité s’explique par le fait que ce régime a été obligé d’acheter des obligations gouvernementales provinciales non rachetables d’un terme de 20 ans (en proportion des cotisations provinciales au Régime de pensions du Canada). Comme les retraits ont dépassé les cotisations au début des années 1990, les actifs ont diminué, et il n’y a pas eu de nouveaux achats d’obligations, ce qui a eu pour conséquence que le taux de rendement est demeuré constant malgré la baisse du taux des obligations durant cette période.
Ceci se base sur des études de l’actuaire en chef du Canada, 23e Rapport actuariel du Régime de pensions du Canada au 31 décembre 2006, publié par le Bureau du surintendant des institutions financières.
Régimes de pension au Canada (Le Quotidien, 8 juin 2009).
P.21, Le patrimoine des Canadiens : un aperçu des résultats de l'Enquête sur la sécurité financière, numéro au catalogue 13F0026MIF.
Les comptes de revenu consolidé gouvernementaux sont les passifs de retraite non capitalisés des gouvernements. Ces actifs ont peu changé au fil des ans, puisque les périodes de hausse au cours desquelles les actifs étaient acquis en vue de capitaliser un passif de retraite particulier étaient suivies d’une baisse lorsque ces retraites étaient pleinement capitalisées (et transférées vers les fonds de retraite publics parrainés par les employeurs, ce qui explique pourquoi ces dernières ont affichés des gains soudains pendant plusieurs années en raison des contributions, comme en 2004 et en 2007).
Les réévaluations incluent également les frais administratifs. Les données de 2008 révèlent que les frais de gestion des régimes privés équivalaient à 0,118 % des actifs, comparativement à 0,075 % pour les régimes publics. (Renseignements tirés du tableau 280 de la publication Estimations trimestrielles relatives aux caisses de retraite en fiducie, numéro 74-001-XIB au catalogue de Statistique Canada.)
Aussi récemment qu’en 1997, la population âgée de 60 à 64 ans diminuait. Depuis, la croissance s’est accélérée passant de 2,2 % au cours des deux ans se terminant en 1999 à 12,0 % en 2006 et 2007.
Plus particulièrement, G. Schellenberg et Y. Ostrovsky ont trouvé que « les adhérents aux régimes de retraite agréés recevaient davantage des retraites et des pensions de retraite que ceux qui n’étaient pas membres, mais moins des intérêts, des investissements, des dividendes et des gains. » P. 9 de « Protection en matière de retraite, conditions de retraite et taux de remplacement parmi la cohorte des Canadiens âgés », Études analytiques de Statistique Canada, à paraître.
Division des statistiques du travail (613-951-0803)