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C’est pour cette raison que les graphiques du PIB vont, à l’occasion, révéler des mouvements qui sont légèrement différents des dates du cycle de référence. Par exemple, alors que la récession aux États-Unis a débuté en décembre 1973 selon le NBER, le PIB réel n’a commencé à se contracter qu’au milieu de l’année 1974.
Voir P. Cross, « Diverses mesures des cycles d’affaires au Canada, 1947-1992 », L’observateur économique canadien, numéro 11-010-XPB au catalogue de Statistique Canada, février 1996.
Pour ajouter à la confusion, en 2001, le niveau du PIB réel à son sommet, tel que révélé par le NBER, est inférieur aux niveaux des deux trimestres adjacents, alors que le PIB à son creux est plus élevé qu’à n’importe quel moment de la récession, et même plus élevé que le sommet lui-même. Noté à la page 4, Edward Leamer “What’s A Recession, Anyway?” NBER Working Paper 14221, août 2008.
Le NBER définit une récession comme « un fléchissement marqué de l’activité économique qui s’étend à toute l’économie et qui se manifeste normalement dans la production, l’emploi, le revenu réel et dans d’autres indicateurs ». Voir la communication du 11 décembre 2008, « Determination of a December 2007 Peak in Economic Activity » à l’adresse www.nber.org/cycles/dec2008.html.
Cross, 1996, p. 3.13. Les mêmes principes s’appliquent à la déflation, qui est un processus au cours duquel les prix d’une vaste gamme de produits et services diminuent en raison d’une faible demande et non une baisse temporaire de l’IPC s’expliquant par les caprices des prix de l’essence. Voir la page 2 de l’étude de Mark Carney « Inflation Targeting in a Global Recession ». Commewntaires faits par le gouverneur de la Banque du Canada à la Halifax Chamber of Commerce, 27 janvier 2009.
Pages 28-29, Lakshman Achuthan and Anirvan Bonerji, « Beating the Business Cycle ». Currency Doubleday, NY, 2004.
Voir Hyman Minsky, « Stabilizing an Unstable Economy », Yale University Press, New Haven Conn., 1986, pp. 15 et 57. La Franklin National Bank a été une des quatre banques ayant des actifs de plus de un milliard de dollars à avoir fait faillite durant la récession de 1974-1975.
Dans « Time to Lay the 1973 Oil Embargo to Rest », Peter Van Doren et Jerry Taylor notent que les pénuries d’essence étaient monnaie courante cinq mois avant le début de l’embargo et évoquent comme cause les contrôles des prix institués par le gouvernement Nixon. Voir www.cato.org/pub_display.php?pub_id=3272.
La proportion des exportations attribuables aux automobiles et au bois d’oeuvre est demeurée de près de 30 % au sommet des mouvements d’expansions aussi récemment qu’en 1999, ce qui révèle comment leur déclin a été rapide au cours de la dernière décennie.
Minsky, op. cit., p. 63.
Robert Hall, « How much do we understand about the Modern Recession? », Brookings Papers on Economic Activity, 2:2007, p. 22.
P. Cross, « Dépenses en PIB et les cycles d’affaires », L’observateur économique canadien, numéro 11-010-XPB au catalogue de Statistique Canada, mars 2001.
Un analyste évalue que près du quart du financement offert par les entreprises canadiennes provient des États-Unis. Voir V. Klyuev, “Real Implications of Financial Linkages Between Canada and the United States.” IMF Working Paper WP/08/23.
Les taux d’intérêt à court terme de la Fed ont augmenté au début de 1982 en vue de ralentir la croissance de l’offre de monnaie, ce qui était le point central de la politique monétaire en ce temps-là. Comme Lyle Gramley, membre du Board of Governors, a mentionné : « En plein coeur de la récession, les taux d’intérêt ont recommencé à grimper. C’est tout à fait inhabituel. » Cité à la page 448 dans William Greider, “Secrets of the Temple.” Simon and Schuster, NY, 1987.
Pour un résumé du déroulement de la crise, voir Ben Bernanke, “The Crisis and the Policy Response”. At the Stamp Lecture, London School of Economics, 13 janvier 2009.
Voir William Watson, « OK, so how big a deficit? », The Ottawa Citizen, 11 novembre 2008.
Robert Hall a été le seul président du Business Cycle Dating Committee depuis sa création en 1978. Il est intéressant de noter que Ben Bernanke, qui est actuellement président du Federal Reserve Board, a été membre du comité pendant la récession de 2001.
Hall, op. cit., p. 15. Cet auteur a aussi constaté que la baisse plus accentuée de l’emploi survenue récemment était attribuable à moins d’embauches et non à plus de licenciements. Le phénomène a continué au début de la récession de 2008, bien que les licenciements aient grimpé après la faillite de Lehman Brothers.
Pour reprendre les mots de Barry Bosworth, un spécialiste de la productivité au Brookings Institute : « De nos jours, [les compagnies] semblent voir venir à l’avance les diminutions de production et les mises à pied de travailleurs ». Cité par Jon Hilsenrath et Brian Blackstone, “Behind Grim Jobs Data, a Potentially Hopeful Sign”, Wall Street Journal, 13 janvier 2009.