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11-010-XIB
L'Observateur économique canadien
Juin 2005

Étude spéciale

Échanges commerciaux du Canada avec la Chine

par Francine Roy*

Le numéro de juin 2004 de L’Observateur économique canadien présentait un article qui décrivait l’augmentation marquée du commerce entre le Canada et la Chine au cours des quinze dernières années. L’ouverture du commerce de la Chine à l’économie mondiale et son admission à l’Organisation mondiale du commerce en 2001 ont fait quintupler la taille de ses exportations pour faire de ce marché le troisième en importance dans le monde en 2004, repoussant le Japon en quatrième place. En 2004, les exportations de la Chine représentaient en effet 6,5 % des exportations mondiales, plus très loin derrière les États-Unis à 9 % et l’Allemagne à 10 %.

La croissance commerciale de la Chine est particulièrement importante pour le Canada. Depuis 1998, tant les exportations vers la Chine que les importations en provenance de la Chine ont plus que triplé1, alors que le flux des échanges avec le reste du monde a diminué dans les deux directions après l’an 2000 (Figure 1). Dans le présent article, nous examinerons plus en profondeur la croissance des échanges avec la Chine et pourquoi le Canada a été l’un des rares pays dont les exportations vers la Chine ont surpassé la croissance des importations l’an dernier. Le déficit de notre balance commerciale avec la Chine s’est quand même accru pour atteindre 17,5 milliards de dollars.

Figure 1

Nous examinerons par ailleurs le flux des investissements directs entre la Chine et le Canada. Tandis que nos échanges de biens avec la Chine sont représentatifs des rapports que ce pays entretient avec de nombreuses nations, le flux de l’investissement ne l’est pas. L’investissement direct, dans un sens comme dans l’autre demeure minimal bien que les entreprises canadiennes soient plus actives en Chine que les entreprises chinoises ne le sont au Canada. Nos domaines de spécialisation, soit les ressources naturelles et les finances, jouent un grand rôle dans l’investissement des entreprises canadiennes en Chine. Il s’agit d’un grand contraste face aux entreprises américaines et asiatiques qui déménagent souvent des usines dans ce pays.

Importations

Alors que la Chine continuait de prendre une plus grande part du commerce mondial en 2004, elle a dominé la croissance des importations totales du Canada. Les importations du Canada en provenance de la Chine ont enregistré une progression qui est près du double de celle enregistrée en 2003 et légèrement supérieure à celles enregistrées en moyenne, chaque année, depuis le début des années 1990. Les exportations de la Chine vers le Canada en 2004 ont augmenté plus que celles de la plupart des pays ayant le plus d’échanges commerciaux (tableau 1). La Chine a repoussé en troisième et quatrième place le Japon et le Mexique comme fournisseur d’importations du Canada, pour se retrouver derrière seulement les États-Unis. La croissance rapide s’est poursuivie en 2005.

Tableau 1: Exportations de la Chine par pays, 2004

Rang Pays (région)

Acroissement
depuis 2003

Part

Changement
depuis 2003

    % % %
  Total 35,4 100,0 0,0
1 États-Unis 35,1 21,1 0,0
2 UE 36,9 18,1 0,2
3 Hong Kong 32,3 17,0 -0,4
4 Japon 23,7 12,4 -1,2
5 ANSEA 38,7 7,2 0,1
6 Corée 38,4 4,7 0,1
7 Taïwan 50,4 2,3 0,2
8 Russie 51,0 1,5 0,1
9 Australie 41,1 1,5 0,1
10 Canada 44,9 1,4 0,1
Source : le Ministère de Commerce de la République populaire de Chine

Nos importations en provenance de Chine ont également changé de façon marquée. Les machines et le matériel ont dépassé les biens de consommation pour la première fois au début de 2004 et, au premier trimestre de 2005, l’écart s’était agrandi à 20 %. Plus de la moitié de la croissance en 2004 est redevable aux ordinateurs et au matériel de télécommunication. Le reste comprend différents types de machinerie industrielle et d’instruments de contrôle et de mesure. Les prix abordables des biens d’investissement ont permis aux entreprises canadiennes d’investir dans des biens quand elles cherchaient à améliorer leur productivité.

Nos importations de biens industriels ont également augmenté de façon marquée l’an dernier. La progression de 1 milliard de dollars était en grande partie attribuable aux produits pétrochimiques (hydrocarbures et acides nucléiques) ainsi qu’aux plastiques, au fer, à l’acier et à l’aluminium. Le Canada a importé plus d’acier qu’en 2003 pour une valeur de 300 millions de dollars. Environ la moitié de la progression des importations de tuyaux et tubes était destinée à l’industrie du pétrole et du gaz.

L’automobile (des pièces en grande partie)2 constituait le quatrième groupe d’importation le plus important et celui qui s’est le plus accru. Nos importations automobiles, en particulier de moteurs et de pièces, ont fortement augmenté alors qu’elles étaient pratiquement nulles il y a dix ans seulement. Nos importations de moteurs sont passées de 2 à 300 millions de dollars entre 2003 et 2004; si la tendance du premier trimestre se maintient, la progression sera du quart en 2005. En novembre 2003, une entente, la première de ce genre, était conclue entre l’entreprise automobile canadienne CAMI, une filiale de GM, et Shanghai GM Co., et prévoyait la fabrication en Chine de moteurs de conception amméricaine pour un nouveau modèle de Chevrolet mis en vente en 2004 et construit en Ontario. Shanghai GM pourrait produire jusqu’à 180 000 unités de moteurs V6 et 75 000 moteurs L4 par an.

Du côté de l’automobile, la production s’est fortement accrue en Chine après que ce pays ait aboli la limite de 50 % sur la participation étrangère dans les entreprises chinoises en conformité aux règles de l’OMC. Alors que la production de véhicules automobiles était encore légèrement inférieure à celle du Canada en 2001, elle a augmenté de 1 million d’unités en 2002 seulement pour dépasser de 50 % la production canadienne. Elle en constitue plus du double en 2003 (4,4 millions d’unités). La Chine était sixième au monde en terme de production automobile, après les États-Unis, le Japon, l’Allemagne, la France et la Corée du Sud. La plus grande partie de ses gains était faite au détriment du Japon. Presque toute la production chinoise est destinée au marché intérieur, mais l’industrie prévoit entrer sur le marché international bientôt.3

Les importations de biens de consommation dominent moins le commerce sino-canadien depuis le début des années 1990. Parmi les grands groupes d’importations, ce sont les biens de consommation qui progressent le moins en 2004. La part des vêtements est passée du tiers des importations totales du Canada en 1993 à moins de 15 % en 2004, malgré l’abolition des quotas en quatre étapes au cours de cette période. La part dans nos importations de jouets de la Chine a plafonné à 50 %. À l’inverse, l’équipement photographique a pris de l’importance, tandis que nos importations de meubles ont bondi presque d’un tiers l’an dernier seulement.

La répartition de nos importations reflète assez fidèlement la composition des exportations chinoises vers le reste du monde. Les machines et le matériel (y compris le matériel de transport) contribuaient à près de la moitié de la croissance des exportations chinoises entre 1990 et 2000. La croissance est devenue encore plus grande au cours de la présente décennie.

L’évolution de la répartition des exportations chinoises par groupes de marchandises modèle les tendances de l’investissement direct étranger en Chine. Au cours des années 1980, l’investissement direct étranger dans la fabrication se concentrait dans les industries à forte utilisation de main-d’œuvre comme le vêtement et les textiles, secteur qui prenait aussi la tête des exportations. Puis, au cours des années 1990, l’investissement étranger s’est déplacé vers les secteurs de biens d’investissement comme les machines, le matériel de transport, les biens électroniques et de communication.

Depuis la deuxième moitié des années 1990, le secteur de la technologie de l’information est devenu un point focal de l’investissement direct étranger en Chine. Le ministère du commerce de la Chine rapporte qu’en 2002, le secteur des biens électroniques et de communication accapare le quart de l’investissement étranger dans la fabrication. Ces biens ont également pris la tête des exportations alors que les entreprises étrangères dans le secteur de l’électronique et de l’équipement de télécommunication génèrent environ 80 % des expéditions de ce secteur. Ces entreprises proviennent surtout de Hong-Kong, du Japon, des Îles vierges, des États-Unis et de la Corée du Sud. Seulement 1 % de l’investissement étranger en Chine provient du Canada.

Exportations

Si nos importations ont augmenté très rapidement en 2004, c’était encore plus le cas de nos exportations. Le Canada et l’Australie étaient les seuls pays importants de l’OCDE à enregistrer une progression supérieure à la moyenne, ce qui traduisait leur orientation vers les ressources. À près de 40 %, la croissance des exportations du Canada vers la Chine était même supérieure à celle des importations pour une des rares cinq occasions depuis 1990. La croissance annuelle de nos exportations vers la Chine depuis 1990 a été de 12,5 % alors que celle des importations a été, en moyenne, de 22,8 %. Au début de 2005, la croissance des exportations est demeurée élevée d’une année à l’autre, à 20 %.

La tendance récente de la composition de nos exportations était également bien représentative du mouvement de diversification des exportations amorcé au début des années 1990. À cette époque, en effet, le blé constituait notre principale exportation vers la Chine. Nous exportons maintenant, en plus du blé, une large variété de marchandises comme des biens industriels, diverses ressources naturelles ainsi que des machines et du matériel.

Une grande partie de la croissance de plus de 1 milliard de dollars des exportations entre les premiers trimestres de 2004 et de 2005 est attribuable aux biens industriels. Le Canada a tiré profit à la fois de l’effet direct de la hausse des volumes et de l’influence indirecte des pressions à la hausse de l’industrialisation de la Chine sur le prix des marchandises. En 2004, les biens industriels enregistrent leur plus forte croissance (66 %) de la décennie écoulée qui les amène à un niveau inégalé. Auparavant, la valeur de ces exportations était négligeable. Elles augmentent encore de 57 % au premier trimestre par rapport à il y a un an.

Figure 2

Les produits chimiques organiques et les métaux et minéraux sont en première place des exportations de biens industriels et comptent pour le tiers de nos exportations totales vers la Chine en 2004. Les produits chimiques organiques, en particulier l’éthylène glycol, a connu une croissance phénoménale. Nos exportations d’éthylène glycol ont quadruplé, augmentant d’un demi milliard de dollars. Elles pourraient atteindre 1,4 milliards de dollars en 2005 si la tendance se maintient. L’éthylène glycol, principalement produit en Alberta, sert à fabriquer les tissus en polyester. Ce développement signifie que le Canada a davantage accru ses revenus tirés de ses exportations d’un produit nécessaire à l’industrie chinoise de vêtements et de textiles (destinés aux marchés américain et européen) qu’il n’en a perdu par les réductions de la production au pays au profit des importations.

L’accroissement rapide de l’économie de la Chine a engendré de grands besoins dans le secteur de la manutention et du transport des biens et de la production d’énergie. Ces secteurs accaparaient plus du quart des dépenses totales en immobilisations en Chine. C’est en partie pourquoi nos exportations de machines et de matériel vers ce pays ont rebondi de près de 40 % au premier trimestre de 2005 pour atteindre presque 1 milliard de dollars au taux annuel. Les progressions les plus fortes étaient enregistrées pour la machinerie industrielle (dont une forte progression d’équipement de construction et minier) et l’équipement de transport (surtout aérien).

En même temps, puisque l’économie chinoise utilise le charbon comme principale source d’énergie (67,1 % de la consommation totale d’énergie en 2003) et que la consommation a augmenté de 12 % en 20044, le charbon domine le doublement de nos exportations d’énergie à destination de la Chine en 2004. Cette croissance devrait se poursuivre à un taux rapide en 2005 alors que l’offre restera encore sous pression d’ici à ce qu’un certain nombre de nouvelles mines commencent à être exploitées au cours des prochaines années.

Figure 3

Alors que l’énergie ne représente qu’environ 1 % de nos exportations totales vers la Chine, ce secteur joue cependant un grand rôle dans l’investissement canadien dans ce pays. Des entreprises de l’Alberta ont joué un rôle de premier plan dans plusieurs des projets qui y ont été réalisés, particulièrement dans la province d’Heilongjiang5 et au large des côtes. La province d’Heilongjiang est la région la plus active pour ce qui est de l’exploitation et de la mise en valeur pétrolière et gazière. Le Canada transfère également sa technologie afin de réduire les émissions de CO2 produites par la combustion du charbon. Globalement, l’investissement direct canadien en Chine n’atteint pas 1 milliard de dollars en 2004.

Au début de 2005, les exportations de produits alimentaires ont perdu une partie du terrain gagné en 2004. La Commission canadienne du blé prévoit cependant que la demande se rétablira plus tard en 2005, à la suite de la libéralisation des prix et du réapprovisionnement des stocks. Nos exportations de blé vers la Chine avaient fortement baissé durant la deuxième moitié des années 1990 devant le délaissement de la consommation chinoise au profit d’un régime alimentaire plus varié, l’expansion de la réfrigération et des politiques gouvernementales qui favorisaient l’accroissement de la production intérieure. En outre, l’utilisation fourragère avait chuté devant la flambée de l’influenza aviaire à la fin de 2003 qui a décimé les troupeaux de volailles.

Figure 4

Les exportations de produits de consommation et de produits forestiers ont renversé la vapeur, contrairement à d’autres groupes de marchandises. En effet, la capacité de production de ces biens en Chine s’est accrue considérablement. Les biens de consommation (surtout les automobiles) ont faibli de 50 % en 2004 et, au début de 2005, ils ne représentaient que 30 % des niveaux du premier trimestre l’an dernier. Par ailleurs, les produits forestiers ont inversé l’augmentation de 20 % enregistrée l’an dernier. En effet, le gouvernement a procuré de l’aide au niveau du financement de projets visant à moderniser des usines de papier dans les entreprises d’État entre 1998 et 2002. Le gouvernement a également ciblé un accroissement marqué de la capacité de pâte de papier en 2005.

Tableau 2: Commerce du Canada avec la Chine

  1995 2000 2002 2003 2004 2005*
  $000'
Exportations            
Produits agricoles 1 363 458 674 638 434 866 544 524 1 307 759 254 615
Produits énergétiques 3 067 454 3 023 67 939 119 289 35 269
Produits forestiers 354 460 643 715 758 739 925 556 1 121 050 239 817
Biens industriels 813 865 1 361 062 1 587 585 1 603 352 2 656 926 883 308
Machines et équipements 731 620 571 912 845 931 863 321 888 679 233 432
Produits automobiles 182 777 428 831 476 735 732 431 489 932 48 966
Biens de consommation 14 194 4 262 10 846 12 666 9 356 2 730
Total 3 464 411 3 697 622 4 132 309 4 765 529 6 614 321 1 702 374
             
Importations            
Produits agricoles 198 183 320 591 431 346 499 652 597 045 150 101
Produits énergétiques 8 337 26 632 41 633 44 236 131 783 6 798
Produits forestiers 6 823 29 237 67 763 115 771 254 783 65 229
Biens industriels 560 626 1 125 392 1 502 364 1 732 858 2 699 226 696 132
Machines et équipements 1 111 855 3 789 002 5 874 948 7 475 096 10 312 085 2 759 434
Produits automobiles 26 926 228 783 167 307 229 726 656 161 190 996
Biens de consommation 2 710 321 5 763 225 7 902 156 8 456 231 9 413 570 2 281 494
Total 4 638 947 11 293 811 16 003 268 18 571 633 24 084 415 6 152 396
* Les premiers trois mois.

Conclusion

L’intégration de la Chine à l’économie mondiale est l’un des événements les plus importants de la dernière décennie. Pour la plupart des pays, il s’est ensuivi une augmentation des importations de biens à prix réduits, souvent fabriqués par des entreprises asiatiques ou américaines qui avaient investi en Chine.

La relation du Canada avec la Chine est particulière. Les importations se sont accrues rapidement, les machines et le matériel ainsi que, plus récemment, les pièces automobiles, lesquelles ont déplacé les biens de consommation comme source de croissance. Pourtant, le Canada a été l’un des rares pays en position de tirer profit des occasions d’exportations découlant du développement en Chine, en raison de ses ressources ainsi que de ses compétences en matière d’infrastructure de transport et de communication. À l’heure actuelle peu d’entreprises canadiennes ont investi en Chine dans d’autres secteurs.

Notre relation avec la Chine en est encore à ses premiers balbutiements et évolue rapidement. L’an dernier, nos importations de pièces automobiles ont bondi, un indice de l’entrée prochaine de ce pays dans le marché mondial de l’automobile. Pendant ce temps, nos exportations d’énergie ont doublé en une année seulement, avant même que la Chine ne tente différents moyens d’accéder à nos sources de pétrole.

Bibliographie

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Ministry of commerce of People’s Republic of China. « China Invest », http://english.mofcom.gov.cn/topic/chinainvest1.html, May 2005.

National bureau of statistics of China, « Statistical Communiqué of the People’s Republic of China on the 2004 National and Social development », February 28, 2005, Beijing, China.

National bureau of statistics of China, China Statistical Yearbook, Beijing, China, various issues.

Pei, Changhong. « Improving China’s Competitiveness in the International Labor Division System », China & World Economy, vol. 12, no 2, March-April 2004, p. 79-85.

Pingyao, Lai. « Foreign Direct Investment in China: Recent Trends and Patterns », China & World Economy, vol. 10, no 2, March-April 2002, p. 25-32.

World Trade Organization, « Developing Countries’ Goods Trade Share Surges to 50-Year Peak », World Trade 2004, Prospects for 2005, 14 April 2005.

Zhang, Kevin Honglin. « Why Does China Receive So Much Foreign Direct Investment », China & World Economy, vol. 10, no 3, May-June 2002, p. 49-58.

Études spéciales récemment parues


Notes

* (613) 951-3627 ou oec@statcan.ca.
1. Toutes les données sur le commerce entre le Canada et la Chine sont présentées sur base douanière et peuvent être obtenues de la division du commerce international de Statistique Canada. Une note de prudence est de mise cependant. Les statistiques sur le commerce établies sur la base douanière sont plus exactes pour mesurer les importations que les exportations. Les statistiques sur les exportations établies sur la base douanière peuvent sous-estimer les exportations destinées hors des États-Unis, par exemple lorsque les marchandises passent par ce pays avant de parvenir à leur destination finale. Pour une brève discussion de ce problème, consulter « Commerce international de marchandises du Canada (base douanière) - Évaluation de la qualité » dans le Système de documentation des données statistiques, Numéro de référence 2201, disponible gratuitement sur le site de Statistique Canada.
2. Des 2 434 entreprises du secteur de l’automobile en Chine en 2002, 1 533 fabriquent des pièces.
3. L’entreprise chinoise Chery a annoncé ses intentions de vendre
1 million de véhicules automobiles aux États-Unis cinq ans après son entrée dans ce marché en 2007. Son modèle QQmini se détaille à 3 500$ seulement. Voir le Financial Times du 1er juin 2005.
4. Selon la China Coal Industry Association dans People’s Daily Online à http://english.people.com.cn/other/archive.html le 26 mai 2005.
5. Ressources naturelles Canada.


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Date de modification : 2012-08-03 Avis importants
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