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  • Articles et rapports : 12-001-X201500214229
    Description :

    L’estimation autopondérée au moyen de méthodes d’échantillonnage avec probabilités égales (epsem pour equal probability selection methods) est souhaitable pour des raisons d’efficacité relativement à la variance. Habituellement, pour obtenir la propriété epsem pour des plans de sondage à deux degrés (et à une phase) en vue d’estimer des paramètres au niveau de la population, on utilise le chiffre de population de chaque unité primaire d’échantillonnage (UPE) comme mesure de taille pour la sélection des UPE, ainsi que l’attribution d’une taille d’échantillon égale aux UPE sous échantillonnage aléatoire simple (EAS) des unités élémentaires. Cependant, si l’on souhaite des estimations autopondérées pour les paramètres correspondant à de multiples domaines sous une répartition préétablie de l’échantillon entre les domaines, Folsom, Potter et Williams (1987) ont montré que l’on peut utiliser une mesure composite de taille pour sélectionner les UPE afin d’obtenir des plans epsem quand on suppose qu’outre les chiffres de population des UPE au niveau des domaines (c’est à dire la répartition de la population entre les domaines dans les UPE), les identificateurs de domaines pour les unités élémentaires sont également disponibles dans la base de sondage. Le terme depsem-A sera utilisé pour désigner ce genre de plan de sondage à deux degrés (et à une phase) pour obtenir l’estimation epsem au niveau du domaine. Folsom et coll. ont également considéré des plans d’échantillonnage à deux phases et à deux degrés quand les chiffres de population des UPE au niveau des domaines sont inconnus, mais que les dénombrements d’UPE entières sont connus. Pour ces plans (que nous désignerons depsem-B) avec les UPE sélectionnées avec probabilité proportionnelle à la mesure de taille habituelle (c’est à dire la population totale de l’UPE) au premier degré, toutes les unités élémentaires dans chaque UPE sélectionnée font d’abord l’objet d’une présélection en vue de les classer par domaine à la première phase de collecte des données, avant la sélection par EAS au deuxième degré d’échantillonnage. Des échantillons stratifiés par domaine sont ensuite sélectionnés dans les UPE en appliquant des taux d’échantillonnage de domaine choisis de manière appropriée pour que les tailles d’échantillon de domaine obtenues soient celles souhaitées et que le plan d’échantillonnage résultant soit autopondéré. Dans le présent article, nous commençons par donner une justification simple des mesures composites de taille pour le plan depsem-A et des taux d’échantillonnage de domaine pour le plan depsem-B. Puis, pour les plans depsem-A et -B, nous proposons des généralisations, premièrement aux cas pour lesquels les identificateurs de domaine pour les unités élémentaires ne sont pas disponibles dans la base de sondage et les chiffres de population des UPE au niveau des domaines ne sont connus qu’approximativement à partir d’autres sources, et deuxièmement, aux cas pour lesquels les mesures de taille des UPE sont préétablies en se basant sur d’autres considérations pratiques et souhaitables de suréchantillonnage ou de sous-échantillonnage de certains domaines. Nous présentons aussi une généralisation supplémentaire en présence de sous-échantillonnage des unités élémentaires et de non-réponse dans certaines UPE à la première phase, avant la sélection des unités élémentaires de deuxième phase dans les domaines à l’intérieur de chaque UPE sélectionnée. Cette dernière généralisation du plan depsem-B est illustrée pour un échantillon aréolaire de logements.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214230
    Description :

    Le présent article décrit l’élaboration de méthodes de répartition pour des enquêtes par sondage avec stratification quand l’utilisation d’estimateurs sur petits domaines composites est une priorité et que les domaines servent de strates. Longford (2006) a proposé pour cette situation un critère objectif fondé sur une combinaison pondérée des erreurs quadratiques moyennes des moyennes de petit domaine et d’une moyenne globale. Ici, nous redéfinissons cette approche dans un cadre assisté par modèle, ce qui permet l’utilisation de variables explicatives et une interprétation plus naturelle des résultats en utilisant un paramètre de corrélation intraclasse. Nous considérons aussi plusieurs utilisations de la répartition exponentielle et permettons l’application d’autres contraintes, telle une valeur maximale de la racine carrée relative de l’erreur quadratique moyenne, aux estimateurs de strate. Nous constatons qu’une répartition exponentielle simple peut donner des résultats très près d’être aussi bons que le plan optimal, même quand l’objectif est de minimiser le critère de Longford (2006).

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214231
    Description :

    Les instituts nationaux de statistique font une grande utilisation des panels rotatifs, par exemple pour produire des statistiques officielles sur la population active. Les procédures d’estimation se fondent généralement sur les approches traditionnelles fondées sur le plan de sondage conformes à la théorie classique de l’échantillonnage. Un inconvénient important des estimateurs de cette classe est que les petites tailles d’échantillon entraînent de grandes erreurs-types et qu’ils ne sont pas robustes au biais de mesure. Deux exemples où les effets de biais de mesure deviennent apparents sont le biais de groupe de renouvellement dans les panels rotatifs et les différences systématiques dans les résultats d’une enquête dues à un remaniement important du processus sous-jacent. Dans cet article, nous appliquons un modèle de séries chronologiques structurel multivarié à l’enquête sur la population active des Pays-Bas pour produire des données mensuelles sur la population active qui se fondent sur un modèle. Le modèle réduit les erreurs-types des estimations en tirant parti des renseignements sur l’échantillon recueillis au cours des périodes précédentes, tient compte du biais de groupe de renouvellement et de l’autocorrélation induite par le panel rotatif, et modélise les discontinuités dues au remaniement de l’enquête. Nous examinons également l’utilisation des séries auxiliaires corrélées du modèle, qui vise à améliorer davantage l’exactitude des estimations du modèle. Statistics Netherlands utilise cette méthode pour produire des statistiques mensuelles officielles exactes sur la population active qui sont convergentes dans le temps, malgré le remaniement du processus d’enquête.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214236
    Description :

    Nous proposons une extension assistée par modèle des mesures de l’effet de plan dû à la pondération. Nous élaborons une statistique de niveau sommaire pour différentes variables d’intérêt, sous échantillonnage à un degré et ajustement des poids par calage. La mesure de l’effet de plan que nous proposons traduit les effets conjoints d’un plan d’échantillonnage avec probabilités de sélection inégales, des poids inégaux produits en utilisant des ajustements par calage et de la force de l’association entre la variable d’analyse et les variables auxiliaires utilisées pour le calage. Nous comparons la mesure proposée aux mesures existantes de l’effet de plan au moyen de simulations en utilisant des variables semblables à celles pour lesquelles des données sont recueillies dans les enquêtes auprès des établissements et dans les enquêtes téléphoniques auprès des ménages.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214237
    Description :

    La bonne conception d’une enquête téléphonique par composition aléatoire (CA) à partir d’une base de sondage double requiert de choisir entre de nombreuses options, en faisant la part des différences de coût, de précision, et de couverture, afin d’optimiser la réalisation des objectifs de l’étude. L’un des éléments à prendre en considération est celui de savoir s’il faut présélectionner les ménages équipés de téléphones mobiles et n’interroger que ceux utilisant exclusivement des téléphones mobiles (ménages EXM), donc écarter ceux qui se servent d’un téléphone fixe ainsi que d’un téléphone mobile (ménages F-et-M), ou s’il faut, au contraire, interroger toutes les unités de l’échantillon de ménages équipés de téléphones mobiles. Nous présentons un cadre pour comparer les avantages et les inconvénients de ces deux options, ainsi qu’une méthode pour sélectionner le plan de sondage optimal. Nous établissons la répartition optimale de la taille de l’échantillon entre les deux bases de sondage et en discutons, et nous abordons le choix de la valeur optimale du paramètre de composition p pour le domaine des usagers d’un téléphone fixe ainsi que d’un téléphone mobile (F-et-M). Nous illustrons nos méthodes en les appliquant à la National Immunization Survey commanditée par les Centers for Disease Control and Prevention.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214238
    Description :

    Félix-Medina et Thompson (2004) ont proposé une variante de l’échantillonnage par dépistage de liens pour échantillonner des populations humaines cachées ou difficiles à joindre, comme les toxicomanes et les travailleurs de l’industrie du sexe. Dans cette variante, on commence par sélectionner un échantillon d’emplacements, puis on demande aux personnes trouvées dans les lieux échantillonnés de nommer d’autres membres de la population à inclure dans l’échantillon. Ces auteurs ont établi des estimateurs du maximum de vraisemblance de la taille de la population sous l’hypothèse que la probabilité qu’une personne soit nommée par une autre dans un lieu échantillonné (probabilité de lien) ne dépend pas de la personne nommée (hypothèse d’homogénéité). Dans le présent travail, nous étendons leur recherche au cas où les probabilités de lien sont hétérogènes et dérivons des estimateurs du maximum de vraisemblance inconditionnel et conditionnel de la taille de la population. Nous proposons aussi des intervalles de confiance par vraisemblance profilée et par bootstrap pour la taille de la population. Les résultats de nos études en simulation montrent qu’en présence de probabilités de lien hétérogènes, les estimateurs proposés donnent d’assez bons résultats à condition que les fractions d’échantillonnage soient relativement grandes, disons supérieures à 0,5, tandis que la performance des estimateurs calculés sous l’hypothèse d’homogénéité n’est pas bonne. Les résultats montrent aussi que les intervalles de confiance proposés ne sont pas très robustes aux écarts par rapport aux modèles supposés.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214248
    Description :

    L’utilisation de modèles de population au niveau de l’unité pour estimer des totaux et des moyennes de petit domaine en se fondant sur un modèle est fréquente, mais il se peut que le modèle ne soit pas vérifié pour l’échantillon si le plan d’échantillonnage est informatif pour le modèle. Par conséquent, les méthodes d’estimation classiques, qui supposent que le modèle est vérifié pour l’échantillon, peuvent donner des estimateurs biaisés. Nous étudions d’autres méthodes comprenant l’utilisation d’une fonction appropriée de la probabilité de sélection des unités en tant que variable auxiliaire supplémentaire dans le modèle de l’échantillon. Nous présentons les résultats d’une étude en simulation du biais et de l’erreur quadratique moyenne (EQM) des estimateurs proposés des moyennes de petit domaine et du biais relatif des estimateurs de l’EQM connexes, en utilisant des plans d’échantillonnage informatifs pour générer les échantillons. D’autres méthodes, fondées sur la modélisation de l’espérance conditionnelle du poids de sondage sous forme d’une fonction des covariables du modèle et de la réponse, sont également incluses dans l’étude en simulation.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214249
    Description :

    Le problème de la répartition optimale des échantillons dans les enquêtes basées sur un plan d’échantillonnage stratifié a été abordé pour la première fois par Neyman en 1934. Depuis, de nombreux chercheurs ont étudié le problème de la répartition des échantillons dans les enquêtes à plusieurs variables, et plusieurs méthodes ont été proposées. Ces méthodes se divisent essentiellement en deux catégories. La première catégorie englobe les méthodes de répartition qui réduisent les coûts des enquêtes tout en maintenant les coefficients de variation des estimateurs de totaux sous des seuils spécifiés pour toutes les variables d’enquête d’intérêt. La seconde catégorie de méthodes vise à minimiser une moyenne pondérée des variances relatives des estimateurs des totaux étant donné une taille globale maximale d’échantillon ou un coût maximum. Cet article propose une nouvelle approche d’optimisation pour régler le problème de la répartition des échantillons dans les enquêtes à plusieurs variables. Cette approche se fonde sur une formulation de la programmation en nombres entiers binaires. Plusieurs expériences numériques ont démontré que l’approche proposée offre des solutions efficaces à ce problème, qui permettent d’améliorer un « algorithme classique » et peuvent être plus efficaces que l’algorithme de Bethel (1985, 1989).

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214250
    Description :

    L’évaluation de l’impact des effets de mode sur les estimations d’enquête est devenue un objectif de recherche crucial en raison de l’utilisation croissante des plans de sondage à modes mixtes. Malgré les avantages inhérents aux plans de ce genre, comme la réduction des coûts et l’augmentation de la couverture, il y a une évidence manifeste à l’effet que le mode d’enquête peut avoir des effets importants relativement à la précision d’une enquête. Ces effets risquent d’aboutir à des statistiques qui ne sont pas comparables dans le temps ou entre des sous-groupes de population et d’accroître le biais. Les plans de collecte adaptatifs offrent un cadre mathématique souple qui permet d’optimiser l’équilibre entre la qualité et les coûts de l’enquête. Dans cet article, nous utilisons des plans adaptatifs afin de minimiser les effets de mode. Nous illustrons notre modèle d’optimisation au moyen de l’étude du cas de l’Enquête sur la population active des Pays-Bas. Nous mettons l’accent sur les effets de mode dépendant des items et nous évaluons l’impact sur la qualité des enquêtes par comparaison avec une norme de référence.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500114149
    Description :

    L’article décrit un cadre généralisé de calcul des probabilités d’inclusion optimales dans divers contextes d’enquête dans lesquels il est requis de diffuser des estimations d’enquête d’une précision préétablie pour de multiples variables et domaines d’intérêt. Le cadre permet de définir des plans de sondage stratifiés classiques ou incomplets. Les probabilités d’inclusion optimales sont obtenues en minimisant les coûts au moyen d’un algorithme qui garantit l’établissement de bornes pour les erreurs d’échantillonnage au niveau du domaine, en supposant que les variables d’appartenance au domaine sont disponibles dans la base de sondage. Les variables cibles sont inconnues, mais peuvent être prédites au moyen de modèles de superpopulation appropriés. L’algorithme tient compte correctement de l’incertitude de ces modèles. Certaines expériences basées sur des données réelles montrent les propriétés empiriques de l’algorithme.

    Date de diffusion : 2015-06-29
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  • Articles et rapports : 12-001-X201500214229
    Description :

    L’estimation autopondérée au moyen de méthodes d’échantillonnage avec probabilités égales (epsem pour equal probability selection methods) est souhaitable pour des raisons d’efficacité relativement à la variance. Habituellement, pour obtenir la propriété epsem pour des plans de sondage à deux degrés (et à une phase) en vue d’estimer des paramètres au niveau de la population, on utilise le chiffre de population de chaque unité primaire d’échantillonnage (UPE) comme mesure de taille pour la sélection des UPE, ainsi que l’attribution d’une taille d’échantillon égale aux UPE sous échantillonnage aléatoire simple (EAS) des unités élémentaires. Cependant, si l’on souhaite des estimations autopondérées pour les paramètres correspondant à de multiples domaines sous une répartition préétablie de l’échantillon entre les domaines, Folsom, Potter et Williams (1987) ont montré que l’on peut utiliser une mesure composite de taille pour sélectionner les UPE afin d’obtenir des plans epsem quand on suppose qu’outre les chiffres de population des UPE au niveau des domaines (c’est à dire la répartition de la population entre les domaines dans les UPE), les identificateurs de domaines pour les unités élémentaires sont également disponibles dans la base de sondage. Le terme depsem-A sera utilisé pour désigner ce genre de plan de sondage à deux degrés (et à une phase) pour obtenir l’estimation epsem au niveau du domaine. Folsom et coll. ont également considéré des plans d’échantillonnage à deux phases et à deux degrés quand les chiffres de population des UPE au niveau des domaines sont inconnus, mais que les dénombrements d’UPE entières sont connus. Pour ces plans (que nous désignerons depsem-B) avec les UPE sélectionnées avec probabilité proportionnelle à la mesure de taille habituelle (c’est à dire la population totale de l’UPE) au premier degré, toutes les unités élémentaires dans chaque UPE sélectionnée font d’abord l’objet d’une présélection en vue de les classer par domaine à la première phase de collecte des données, avant la sélection par EAS au deuxième degré d’échantillonnage. Des échantillons stratifiés par domaine sont ensuite sélectionnés dans les UPE en appliquant des taux d’échantillonnage de domaine choisis de manière appropriée pour que les tailles d’échantillon de domaine obtenues soient celles souhaitées et que le plan d’échantillonnage résultant soit autopondéré. Dans le présent article, nous commençons par donner une justification simple des mesures composites de taille pour le plan depsem-A et des taux d’échantillonnage de domaine pour le plan depsem-B. Puis, pour les plans depsem-A et -B, nous proposons des généralisations, premièrement aux cas pour lesquels les identificateurs de domaine pour les unités élémentaires ne sont pas disponibles dans la base de sondage et les chiffres de population des UPE au niveau des domaines ne sont connus qu’approximativement à partir d’autres sources, et deuxièmement, aux cas pour lesquels les mesures de taille des UPE sont préétablies en se basant sur d’autres considérations pratiques et souhaitables de suréchantillonnage ou de sous-échantillonnage de certains domaines. Nous présentons aussi une généralisation supplémentaire en présence de sous-échantillonnage des unités élémentaires et de non-réponse dans certaines UPE à la première phase, avant la sélection des unités élémentaires de deuxième phase dans les domaines à l’intérieur de chaque UPE sélectionnée. Cette dernière généralisation du plan depsem-B est illustrée pour un échantillon aréolaire de logements.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214230
    Description :

    Le présent article décrit l’élaboration de méthodes de répartition pour des enquêtes par sondage avec stratification quand l’utilisation d’estimateurs sur petits domaines composites est une priorité et que les domaines servent de strates. Longford (2006) a proposé pour cette situation un critère objectif fondé sur une combinaison pondérée des erreurs quadratiques moyennes des moyennes de petit domaine et d’une moyenne globale. Ici, nous redéfinissons cette approche dans un cadre assisté par modèle, ce qui permet l’utilisation de variables explicatives et une interprétation plus naturelle des résultats en utilisant un paramètre de corrélation intraclasse. Nous considérons aussi plusieurs utilisations de la répartition exponentielle et permettons l’application d’autres contraintes, telle une valeur maximale de la racine carrée relative de l’erreur quadratique moyenne, aux estimateurs de strate. Nous constatons qu’une répartition exponentielle simple peut donner des résultats très près d’être aussi bons que le plan optimal, même quand l’objectif est de minimiser le critère de Longford (2006).

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214231
    Description :

    Les instituts nationaux de statistique font une grande utilisation des panels rotatifs, par exemple pour produire des statistiques officielles sur la population active. Les procédures d’estimation se fondent généralement sur les approches traditionnelles fondées sur le plan de sondage conformes à la théorie classique de l’échantillonnage. Un inconvénient important des estimateurs de cette classe est que les petites tailles d’échantillon entraînent de grandes erreurs-types et qu’ils ne sont pas robustes au biais de mesure. Deux exemples où les effets de biais de mesure deviennent apparents sont le biais de groupe de renouvellement dans les panels rotatifs et les différences systématiques dans les résultats d’une enquête dues à un remaniement important du processus sous-jacent. Dans cet article, nous appliquons un modèle de séries chronologiques structurel multivarié à l’enquête sur la population active des Pays-Bas pour produire des données mensuelles sur la population active qui se fondent sur un modèle. Le modèle réduit les erreurs-types des estimations en tirant parti des renseignements sur l’échantillon recueillis au cours des périodes précédentes, tient compte du biais de groupe de renouvellement et de l’autocorrélation induite par le panel rotatif, et modélise les discontinuités dues au remaniement de l’enquête. Nous examinons également l’utilisation des séries auxiliaires corrélées du modèle, qui vise à améliorer davantage l’exactitude des estimations du modèle. Statistics Netherlands utilise cette méthode pour produire des statistiques mensuelles officielles exactes sur la population active qui sont convergentes dans le temps, malgré le remaniement du processus d’enquête.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214236
    Description :

    Nous proposons une extension assistée par modèle des mesures de l’effet de plan dû à la pondération. Nous élaborons une statistique de niveau sommaire pour différentes variables d’intérêt, sous échantillonnage à un degré et ajustement des poids par calage. La mesure de l’effet de plan que nous proposons traduit les effets conjoints d’un plan d’échantillonnage avec probabilités de sélection inégales, des poids inégaux produits en utilisant des ajustements par calage et de la force de l’association entre la variable d’analyse et les variables auxiliaires utilisées pour le calage. Nous comparons la mesure proposée aux mesures existantes de l’effet de plan au moyen de simulations en utilisant des variables semblables à celles pour lesquelles des données sont recueillies dans les enquêtes auprès des établissements et dans les enquêtes téléphoniques auprès des ménages.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214237
    Description :

    La bonne conception d’une enquête téléphonique par composition aléatoire (CA) à partir d’une base de sondage double requiert de choisir entre de nombreuses options, en faisant la part des différences de coût, de précision, et de couverture, afin d’optimiser la réalisation des objectifs de l’étude. L’un des éléments à prendre en considération est celui de savoir s’il faut présélectionner les ménages équipés de téléphones mobiles et n’interroger que ceux utilisant exclusivement des téléphones mobiles (ménages EXM), donc écarter ceux qui se servent d’un téléphone fixe ainsi que d’un téléphone mobile (ménages F-et-M), ou s’il faut, au contraire, interroger toutes les unités de l’échantillon de ménages équipés de téléphones mobiles. Nous présentons un cadre pour comparer les avantages et les inconvénients de ces deux options, ainsi qu’une méthode pour sélectionner le plan de sondage optimal. Nous établissons la répartition optimale de la taille de l’échantillon entre les deux bases de sondage et en discutons, et nous abordons le choix de la valeur optimale du paramètre de composition p pour le domaine des usagers d’un téléphone fixe ainsi que d’un téléphone mobile (F-et-M). Nous illustrons nos méthodes en les appliquant à la National Immunization Survey commanditée par les Centers for Disease Control and Prevention.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214238
    Description :

    Félix-Medina et Thompson (2004) ont proposé une variante de l’échantillonnage par dépistage de liens pour échantillonner des populations humaines cachées ou difficiles à joindre, comme les toxicomanes et les travailleurs de l’industrie du sexe. Dans cette variante, on commence par sélectionner un échantillon d’emplacements, puis on demande aux personnes trouvées dans les lieux échantillonnés de nommer d’autres membres de la population à inclure dans l’échantillon. Ces auteurs ont établi des estimateurs du maximum de vraisemblance de la taille de la population sous l’hypothèse que la probabilité qu’une personne soit nommée par une autre dans un lieu échantillonné (probabilité de lien) ne dépend pas de la personne nommée (hypothèse d’homogénéité). Dans le présent travail, nous étendons leur recherche au cas où les probabilités de lien sont hétérogènes et dérivons des estimateurs du maximum de vraisemblance inconditionnel et conditionnel de la taille de la population. Nous proposons aussi des intervalles de confiance par vraisemblance profilée et par bootstrap pour la taille de la population. Les résultats de nos études en simulation montrent qu’en présence de probabilités de lien hétérogènes, les estimateurs proposés donnent d’assez bons résultats à condition que les fractions d’échantillonnage soient relativement grandes, disons supérieures à 0,5, tandis que la performance des estimateurs calculés sous l’hypothèse d’homogénéité n’est pas bonne. Les résultats montrent aussi que les intervalles de confiance proposés ne sont pas très robustes aux écarts par rapport aux modèles supposés.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214248
    Description :

    L’utilisation de modèles de population au niveau de l’unité pour estimer des totaux et des moyennes de petit domaine en se fondant sur un modèle est fréquente, mais il se peut que le modèle ne soit pas vérifié pour l’échantillon si le plan d’échantillonnage est informatif pour le modèle. Par conséquent, les méthodes d’estimation classiques, qui supposent que le modèle est vérifié pour l’échantillon, peuvent donner des estimateurs biaisés. Nous étudions d’autres méthodes comprenant l’utilisation d’une fonction appropriée de la probabilité de sélection des unités en tant que variable auxiliaire supplémentaire dans le modèle de l’échantillon. Nous présentons les résultats d’une étude en simulation du biais et de l’erreur quadratique moyenne (EQM) des estimateurs proposés des moyennes de petit domaine et du biais relatif des estimateurs de l’EQM connexes, en utilisant des plans d’échantillonnage informatifs pour générer les échantillons. D’autres méthodes, fondées sur la modélisation de l’espérance conditionnelle du poids de sondage sous forme d’une fonction des covariables du modèle et de la réponse, sont également incluses dans l’étude en simulation.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214249
    Description :

    Le problème de la répartition optimale des échantillons dans les enquêtes basées sur un plan d’échantillonnage stratifié a été abordé pour la première fois par Neyman en 1934. Depuis, de nombreux chercheurs ont étudié le problème de la répartition des échantillons dans les enquêtes à plusieurs variables, et plusieurs méthodes ont été proposées. Ces méthodes se divisent essentiellement en deux catégories. La première catégorie englobe les méthodes de répartition qui réduisent les coûts des enquêtes tout en maintenant les coefficients de variation des estimateurs de totaux sous des seuils spécifiés pour toutes les variables d’enquête d’intérêt. La seconde catégorie de méthodes vise à minimiser une moyenne pondérée des variances relatives des estimateurs des totaux étant donné une taille globale maximale d’échantillon ou un coût maximum. Cet article propose une nouvelle approche d’optimisation pour régler le problème de la répartition des échantillons dans les enquêtes à plusieurs variables. Cette approche se fonde sur une formulation de la programmation en nombres entiers binaires. Plusieurs expériences numériques ont démontré que l’approche proposée offre des solutions efficaces à ce problème, qui permettent d’améliorer un « algorithme classique » et peuvent être plus efficaces que l’algorithme de Bethel (1985, 1989).

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500214250
    Description :

    L’évaluation de l’impact des effets de mode sur les estimations d’enquête est devenue un objectif de recherche crucial en raison de l’utilisation croissante des plans de sondage à modes mixtes. Malgré les avantages inhérents aux plans de ce genre, comme la réduction des coûts et l’augmentation de la couverture, il y a une évidence manifeste à l’effet que le mode d’enquête peut avoir des effets importants relativement à la précision d’une enquête. Ces effets risquent d’aboutir à des statistiques qui ne sont pas comparables dans le temps ou entre des sous-groupes de population et d’accroître le biais. Les plans de collecte adaptatifs offrent un cadre mathématique souple qui permet d’optimiser l’équilibre entre la qualité et les coûts de l’enquête. Dans cet article, nous utilisons des plans adaptatifs afin de minimiser les effets de mode. Nous illustrons notre modèle d’optimisation au moyen de l’étude du cas de l’Enquête sur la population active des Pays-Bas. Nous mettons l’accent sur les effets de mode dépendant des items et nous évaluons l’impact sur la qualité des enquêtes par comparaison avec une norme de référence.

    Date de diffusion : 2015-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201500114149
    Description :

    L’article décrit un cadre généralisé de calcul des probabilités d’inclusion optimales dans divers contextes d’enquête dans lesquels il est requis de diffuser des estimations d’enquête d’une précision préétablie pour de multiples variables et domaines d’intérêt. Le cadre permet de définir des plans de sondage stratifiés classiques ou incomplets. Les probabilités d’inclusion optimales sont obtenues en minimisant les coûts au moyen d’un algorithme qui garantit l’établissement de bornes pour les erreurs d’échantillonnage au niveau du domaine, en supposant que les variables d’appartenance au domaine sont disponibles dans la base de sondage. Les variables cibles sont inconnues, mais peuvent être prédites au moyen de modèles de superpopulation appropriés. L’algorithme tient compte correctement de l’incertitude de ces modèles. Certaines expériences basées sur des données réelles montrent les propriétés empiriques de l’algorithme.

    Date de diffusion : 2015-06-29
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