Analyses

Aujourd'hui, les entreprises adoptent une variété de pratiques visant à prévenir ou à réduire la dégradation environnementale générée par leurs activités de production. Durant les années 1990, le contexte de la réglementation de l'environnement s'est modifié. De plus en plus, les gouvernements comptent sur les initiatives volontaires des entreprises plutôt que sur la réglementation pour réduire la pollution et les déchets. Toutefois, en même temps, le gouvernement fédéral a entrepris la révision de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (CEPA) afin d'accroître le pouvoir fédéral en matière de réglementation de l'environnement tout en mettant l'accent sur la promotion de la prévention de la pollution. Par conséquent, les entreprises sont aujourd'hui à la recherche de solutions de rechange pour limiter les répercussions de leurs activités sur l'environnement.

La publication Gestion et technologies environnementales du secteur des entreprises présente un profil de la demande, par les entreprises de technologies et de procédés environnementaux, de méthodes de prévention de la pollution et de pratiques environnementales, comme les systèmes de gestion de l'environnement et les initiatives volontaires. On aborde, entre autres, les questions suivantes : Quels sont les types de procédé de traitement les plus populaires pour réduire les émissions de gaz, les déchets liquides, les déchets solides et dangereux, le bruit, les radiations et les vibrations, pour économiser l'énergie ou pour assainir un site? Quel est le marché des technologies et procédés environnementaux? Quelles sont les méthodes de prévention de la pollution les plus fréquemment utilisées? Quelles autres pratiques environnementales ont été adoptées par les entreprises (par exemple, les programmes volontaires sont-ils plus populaires que l'étiquetage écologique)?

Ce document s'appuie sur les résultats de l'Enquête sur les dépenses de protection de l'environnement. Dans le cadre de l'enquête, on posait pour la première fois des questions détaillées sur le type de procédé ou de technologie environnementale utilisé et sur l'adoption de pratiques environnementales. Ce document complète les rapports intitulés Dépenses de protection de l'environnement du secteur des entreprises pour les années 1996 et 1997, et 1998, (produit n° 16F0006XIF au catalogue).

Cette publication comporte une description détaillée des questions techniques entourant la conception et la réalisation d'enquêtes et s'adresse surtout à des méthodologistes.

Dans le présent document, on propose une méthode d'estimation des indicateurs de facteur travail à l'aide des données administratives de la base de données sur la sécurité sociale (BSS). Si nous avons conçu cette méthode, c'est que les organismes statistiques nationaux ont l'obligation de répondre aux critères de qualité du règlement no 1165/98 des Communautés européennes concernant les statistiques conjoncturelles. Les données prévues par ce règlement sont d'une telle finesse de désagrégation qu'il serait impossible de satisfaire à toutes les exigences par une collecte directe de données. En raison de leur actualité et de leur détail de « couverture », les données administratives constituent une précieuse source pour l'obtention d'estimations des agrégats de la population des entreprises en tout respect de ces critères de qualité.

Cet article traite des derniers résultats des parités de pouvoir d'achat (PPA) ainsi que de la comparaison des dépenses réelles par personne entre les États-Unis et le Canada. Les données sont présentées pour les années 1992 à 2001 et reposent sur les plus récentes estimations de dépenses des comptes nationaux et sur les prix de 1999 du Canada et des États-Unis. Un résumé des différences entre les résultats de l'étude multilatérale de L'OCDE et l'étude bilatérale de Statistique Canada est présenté dans cet article. Certaines divergences au niveau des classifications ont été intégrées, ainsi que les révisions habituelles des Comptes Nationaux. Dix tableaux comportant chacun 21 catégories de dépenses du Produit intérieur brut, sont présentés en annexe.

L'économie en réseau comprend des agents économiques et sociaux et les liens qui les relient entre eux. Les technologies de l'information et des communications qui assurent ces liens évoluent, au même titre que les produits électroniques qu'elles fournissent. Cette évolution oblige le bureau de la statistique à lancer de nouvelles enquêtes, ainsi qu'à mettre au point et à appliquer des classifications pertinentes des industries et des produits. Le progrès technologique a aussi une incidence sur la manière de conduire les affaires et les échanges commerciaux dans le contexte d'une économie mondiale ainsi que des répercussions sur la statistique du travail, la balance des paiements et les prix et, de façon plus générale, sur l'ensemble du Système de comptabilité nationale. L'économie en réseau est, certes, la voie de l'avenir, mais certaines personnes et entreprises ne peuvent y participer pleinement et nous devons recueillir des renseignements statistiques sur eux. Le présent document traite de ces questions, des statistiques que nous sommes en train de mettre au point et de certaines lacunes qu'il faudra combler.

Cet article traite des derniers résultats des parités de pouvoir d'achat (PPA) ainsi que de la comparaison des dépenses réelles par personne entre les États-Unis et le Canada. Les données sont présentées pour les années 1992 à 2001 et reposent sur les plus récentes estimations de dépenses des comptes nationaux et sur les prix de 1999 du Canada et des États-Unis. Un résumé des différences entre les résultats de l'étude multilatérale de L'OCDE et l'étude bilatérale de Statistique Canada est présenté dans cet article. Certaines divergences au niveau des classifications ont été intégrées, ainsi que les révisions habituelles des Comptes Nationaux. Dix tableaux comportant chacun 21 catégories de dépenses du Produit intérieur brut, sont présentés en annexe.

Cette publication comporte une description détaillée des questions techniques entourant la conception et la réalisation d'enquêtes et s'adresse surtout à des méthodologistes.

Dans le présent document, on propose une méthode d'estimation des indicateurs de facteur travail à l'aide des données administratives de la base de données sur la sécurité sociale (BSS). Si nous avons conçu cette méthode, c'est que les organismes statistiques nationaux ont l'obligation de répondre aux critères de qualité du règlement no 1165/98 des Communautés européennes concernant les statistiques conjoncturelles. Les données prévues par ce règlement sont d'une telle finesse de désagrégation qu'il serait impossible de satisfaire à toutes les exigences par une collecte directe de données. En raison de leur actualité et de leur détail de « couverture », les données administratives constituent une précieuse source pour l'obtention d'estimations des agrégats de la population des entreprises en tout respect de ces critères de qualité.

L'économie en réseau comprend des agents économiques et sociaux et les liens qui les relient entre eux. Les technologies de l'information et des communications qui assurent ces liens évoluent, au même titre que les produits électroniques qu'elles fournissent. Cette évolution oblige le bureau de la statistique à lancer de nouvelles enquêtes, ainsi qu'à mettre au point et à appliquer des classifications pertinentes des industries et des produits. Le progrès technologique a aussi une incidence sur la manière de conduire les affaires et les échanges commerciaux dans le contexte d'une économie mondiale ainsi que des répercussions sur la statistique du travail, la balance des paiements et les prix et, de façon plus générale, sur l'ensemble du Système de comptabilité nationale. L'économie en réseau est, certes, la voie de l'avenir, mais certaines personnes et entreprises ne peuvent y participer pleinement et nous devons recueillir des renseignements statistiques sur eux. Le présent document traite de ces questions, des statistiques que nous sommes en train de mettre au point et de certaines lacunes qu'il faudra combler.

Aujourd'hui, les entreprises adoptent une variété de pratiques visant à prévenir ou à réduire la dégradation environnementale générée par leurs activités de production. Durant les années 1990, le contexte de la réglementation de l'environnement s'est modifié. De plus en plus, les gouvernements comptent sur les initiatives volontaires des entreprises plutôt que sur la réglementation pour réduire la pollution et les déchets. Toutefois, en même temps, le gouvernement fédéral a entrepris la révision de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (CEPA) afin d'accroître le pouvoir fédéral en matière de réglementation de l'environnement tout en mettant l'accent sur la promotion de la prévention de la pollution. Par conséquent, les entreprises sont aujourd'hui à la recherche de solutions de rechange pour limiter les répercussions de leurs activités sur l'environnement.

La publication Gestion et technologies environnementales du secteur des entreprises présente un profil de la demande, par les entreprises de technologies et de procédés environnementaux, de méthodes de prévention de la pollution et de pratiques environnementales, comme les systèmes de gestion de l'environnement et les initiatives volontaires. On aborde, entre autres, les questions suivantes : Quels sont les types de procédé de traitement les plus populaires pour réduire les émissions de gaz, les déchets liquides, les déchets solides et dangereux, le bruit, les radiations et les vibrations, pour économiser l'énergie ou pour assainir un site? Quel est le marché des technologies et procédés environnementaux? Quelles sont les méthodes de prévention de la pollution les plus fréquemment utilisées? Quelles autres pratiques environnementales ont été adoptées par les entreprises (par exemple, les programmes volontaires sont-ils plus populaires que l'étiquetage écologique)?

Ce document s'appuie sur les résultats de l'Enquête sur les dépenses de protection de l'environnement. Dans le cadre de l'enquête, on posait pour la première fois des questions détaillées sur le type de procédé ou de technologie environnementale utilisé et sur l'adoption de pratiques environnementales. Ce document complète les rapports intitulés Dépenses de protection de l'environnement du secteur des entreprises pour les années 1996 et 1997, et 1998, (produit n° 16F0006XIF au catalogue).