Analyses

Ce bulletin de service présente la répartition géographique des dépenses du gouvernement fédéral en matière de sciences et de technologie. Les données sur les dépenses de l'administration fédérale pour les sciences et la technologie peuvent être trouvées au volume 25, no 9 de la présente publication, publiée en novembre 2001. Dans la présente publication, de même que pour la précédente, les dépenses en sciences et en technologie (S-T) sont la somme des dépenses de recherche et de développement (R-D) et des activités scientifiques connexes (ASC).

Cette publication présente les dépenses intérieures brutes en recherche et développement (DIRD) nationale, de 1990 à 2001e ainsi que la DIRD provinciale, de 1990 à 1999. Jusqu'en 1985, seules les dépenses de R-D en sciences naturelles et génie (SNG), étaient incluses dans la DIRD. Depuis 1985, les activités en sciences sociales et humaines (SSH) sont aussi incluses dans la DIRD. Une série supplémentaire de tableaux indiquant les dépenses de la recherche et du développement (R-D) au niveau national pour l'un ou l'autre des domaines scientifiques de 1963 à 1989, ou selon la province de 1979 à 1989, peut être obtenue de la section des enquêtes des sciences et de l'innovation, Division des sciences, de l'innovation et de l'information électronique.

Ce document sert à expliquer les méthodes d'estimations qui ont été utilisées pour l'exercice 1999-2000 pour les dépenses de la recherche et le développement (R-D) dans le secteur de l'enseignement supérieur, ainsi que les améliorations prévues suite à l'examen des hypothèses.

Dans cet article, le premier d'une série de trois, on donne un aperçu des facteurs déterminants du rendement en sciences et en mathématiques au primaire et au secondaire, des résultats économiques de l'alphabétisation des adultes et de la dispersion des diplômés en sciences et technologie dans la population active.

Dans cet article, le deuxième d'une série de trois, on traite de la participation et du rendement en sciences et technologie au primaire et au secondaire.

Dans cet article, le troisième d'une série de trois, on examine les diplômés en sciences et technologie, leurs études postsecondaires et leurs débuts sur le marché du travail.

Le présent Juristat présente et analyse l'information sur les admissions en détention et les services communautaires de jeunes contrevenants, et leur répartition par type de détention (garde en milieu fermé ou ouvert, détention provisoire) ainsi que la probation et les principales caractéristiques sur les cas, telles que l'âge, le sexe, les Autochtones inscrits ou non inscrits, et les infractions les plus graves. De plus, il comprend des données sur les mises en liberté de détention provisoire, de garde en milieu fermé et en milieu ouvert réparties selon le sexe et la durée de la peine. Ces répartitions sont présentées et analysées à l'échelle nationale, provinciale et territoriale.

Les données résumées dans le présent Juristat sont principalement tirées de l'Enquête nationale sur les services communautaires et le placement sous garde des jeunes (ESCPSGJ). Le champ d'enquête est la collecte et l'analyse de l'information sur l'application des dispositions de la Loi sur les jeunes contrevenants par les organismes provinciaux et territoriaux chargés des services correctionnels et des programmes à l'intention des jeunes.

Cet article porte principalement sur les tendances de l'écoute de la radio et fait état à celles de l'automne 2000.

Cet article analyse les effects économiques de l'exportation des produits culturels canadiens et l'importation de produits étrangers. Il emploie des données fondées sur les chiffres du commerce des produits culturels pour les six premiers mois de 2001.

Le présent article est un résumé d'un article que la Division des sciences, de l'innovation et de l'information électronique de Statistique Canada a déjà publié. Reposant sur les données de l'Enquête sur l'utilisation d'Internet à la maison (EUIM) de 1999, il met en lumière les sections qui devraient, selon nous, intéresser le plus les lecteurs appartenant au secteur culturel.

Ce bulletin de service présente la répartition géographique des dépenses du gouvernement fédéral en matière de sciences et de technologie. Les données sur les dépenses de l'administration fédérale pour les sciences et la technologie peuvent être trouvées au volume 25, no 9 de la présente publication, publiée en novembre 2001. Dans la présente publication, de même que pour la précédente, les dépenses en sciences et en technologie (S-T) sont la somme des dépenses de recherche et de développement (R-D) et des activités scientifiques connexes (ASC).

Le secteur des administrations provinciales comprend tous les ministères et organismes ainsi que les organismes provinciaux de recherche. Les données pour les organismes provinciaux de recherche (OPR) ne sont pas inclus dans ce document. Les données des OPR furent publiées dans le volume 24, no 4 de ces catalogues.

Ce numéro présente des données sur les activités de recherche et de développement des organismes privés sans but lucratif. La contribution financière de ce secteur à la recherche et de développement du pays est relativement minime, mais ses effets sont importants particulièrement dans le domaine universitaire. Des questionnaires ont été envoyés à un total de 95 organismes privés sans but lucratif susceptibles d'avoir contribué à la recherche et de développement. Vingt-deux organismes étaient des exécutants de recherche et de développement.

Ce bulletin fournit des renseignements récents sur l'exécution et les sources de financement des dépenses de l'administration fédérale au titre des activités scientifiques, 2001-2002. Les statistiques présentées proviennent de l'Enquête sur les activités scientifiques et technologiques (S-T) des ministères et organismes fédéraux. Selon la convention internationale, les sciences et la technologie (S-T) sont classées en deux domaines: sciences naturelles et génie (SNG) et sciences sociales et humaines (SSH). Chacun de ces deux domaines est subdivisé en recherche et développement (R-D) et activités scientifiques connexes (ASC).

Les dépenses intérieures brutes au titre de la recherche et de développement représente toute la recherche et de développement effectuée sur le territoire national d'un pays au cours d'une année. On appelle également ce total "DIRD". La DIRD comprend aussi la recherche et de développement exécutée dans un pays mais utilisant des fonds provenant de l'étranger, mais exclut les fonds envoyés à l'étranger pour financer les travaux de recherche et de développement effectués par d'autres pays.

Le secteur de l'enseignement supérieur englobe "toutes les universités, ainsi que tous les instituts de technologie et autres établissements postsecondaires, quels que soient l'origine de leurs ressources financières et leur statut juridique. Il comprend aussi tous les instituts de recherche, les stations d'essais et les cliniques qui travaillent sous le contrôle direct des établissements d'enseignement supérieur, ou qui sont administrés par ces derniers, ou rattachés à eux."

Dans ce document, on fait la mise à jour de la fiche de renseignements sur la syndicalisation pour 2003.

La Division de la science, de l'innovation et de l'information électronique de Statistique Canada a publié récemment des résultats de l'Enquête sur les technologies de l'information et le commerce électronique de 2000. L'échantillon de 21 000 entreprises qui a été utilisé pour l'enquête couvrait l'ensemble de l'économie, à l'exception du secteur de la construction, des administrations locales et du secteur de l'agriculture.

Les statistiques présentées dans ce numéro proviennent de la dernière enquête sur les activités de recherche et de développement industrielle au Canada pour 1999 comprenant les entreprises qui dépensent un million de dollars ou plus et des données administratives de l'Agence des douanes et du revenu du Canada (ADRC) pour toute entreprise qui finance ou qui exécute de la recherche et de développement ayant une valeur inférieure à 1 million de dollars. L'utilisation des données provenant de l'ADRC a pour résultat d'apporter un léger amoindrissement sur le grand total des dépenses et ceci pour les plus récentes années.

La compétitivité économique canadienne repose en partie sur le développement scientifique et technologique, et aussi sur les personnes responsables de ce développement, plus particulièrement celles affectées à la recherche et de développement. L'importance des ressources humaines affectées à la recherche et de développement est considérée comme une mesure complémentaire aux statistiques sur les dépenses intra-muros en recherche et de développement. À cet égard, on trouve dans le Manuel de Frascati1 l'affirmation suivante: "Les données relatives à l'utilisation du personnel scientifique et technique offrent un moyen concret de mesurer, à des fins de comparaison internationale, les ressources affectées à la recherche et de développement."

À partir des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR), nous avons tenté de déterminer dans quelle mesure des facteurs qui n'avaient pas encore été étudiés dans le contexte canadien contribuent aux différences salariales entre les hommes et les femmes. Comme d'autres études qui emploient et les techniques de décomposition standard et tiennent compte de l'effet d'une gamme de caractéristiques liées à la productivité, la présente étude démontre que les hommes sont toujours avantagés sur le plan salarial par rapport aux femmes : le taux horaire moyen des femmes est d'environ 84 %, soit 89 % du taux moyen des hommes. Contrairement à d'autres études, nous avons tenu compte de l'effet de l'expérience de travail et des responsabilités professionnelles. Les différences entre les sexes pour ce qui est des équivalents d'années complètes de travail à temps plein expliquent au plus 12 % de l'écart entre les salaires des hommes et des femmes. Par ailleurs, les différences entre les sexes quant à la possibilité d'occuper des postes de supervision et d'exercer certaines fonctions expliquent environ 5 % de l'écart salarial. Pourtant, malgré la longue liste de facteurs liés à la productivité, une fraction considérable de l'écart entre les salaires des hommes et des femmes demeure inexpliquée.

Nombreuses sont les études qui s'appuient sur des mesures de l'âge ou de l'expérience possible (années d'âge diminuées des années de scolarité et de six ans) comme variable de substitution décrivant l'expérience du marché du travail. Ni l'une ni l'autre de ces mesures ne tient compte des passages complets à l'inactivité, ni des restrictions sur le plan du nombre d'heures de travail par semaine ou du nombre de semaines travaillées par an à cause d'obligations familiales. Les résultats indiquent que les variables de substitution donnent de plus grands écarts salariaux rajustés entre les sexes que la variable de l'expérience effective.

Plusieurs articles récents ont souligné la non-linéarité de la relation entre le revenu des parents et celui de leurs enfants pour expliquer les contraintes intergénérationnelles considérables au chapitre du crédit. Dans le présent article, nous soutenons que toute tendance, quelle qu'elle soit, relative à la fonction d'espérance conditionnelle peut être justifiée par une explication bien construite axée sur les contraintes d'emprunt, ce qui soulève des questions quant à la validité de cette approche. Les régressions par quantile constituent un test de substitution. À la lumière de données tirées des dossiers fiscaux canadiens, le présent article fait état de résultats allant à l'encontre de l'hypothèse des contraintes d'emprunt : la non-linéarité de la fonction de régression est attribuable aux fils ayant peu de capacités (non assujettis à des contraintes) plutôt qu'aux fils ayant des capacités importantes (vraisemblablement assujettis à des contraintes).

Cet article présente les résultats du rapprochement des estimations bilatérales du compte courant du Canada et des États-Unis pour 1998 et 1999.

Le principal objectif du présent article consiste à permettre aux intervenants de mieux comprendre l'industrie canadienne des services funéraires, et notamment son évolution au cours des années 90. L'article examine donc le rendement de l'industrie, la structure de ses coûts et certaines des caractéristiques de sa main-d'oeuvre.

Ces documents de recherche analysent les tendances démographiques dans les régions rurales du Canada.

Dans cette étude, on examine le nombre de Canadiens branchés à Internet selon la province et la région géographique, le temps passé sur Internet, les utilisations de ce nouveau moyen de communication, le niveau de scolarité et le revenu.

Notre propos est d'examiner à l'aide des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) l'évolution des salaires relatifs des travailleurs instruits et moins instruits dans la première partie de la décennie 1990. Nous nous attachons tout particulièrement au rôle du commerce international dans la détermination des différences salariales entre les travailleurs titulaires d'un diplôme d'études postsecondaires et les autres. Nous montrons que, s'il n'y avait pas eu une croissance relativement supérieure de l'offre de main-d'oeuvre plus instruite, l'écart salarial entre ces deux catégories de travailleurs aurait augmenté. Une fois pris en compte certains des facteurs qui influent le plus probablement sur les salaires réels, nous constatons que le commerce international a eu un effet positif appréciable sur les salaires tant des travailleurs instruits que des travailleurs moins instruits. Toutefois, l'incidence sur les premiers paraît quadruple environ, c'est-à-dire en gros semblable à celle de l'évolution technologique.

Cet article vise à déterminer dans quelle mesure le recours à l'assurance-chômage (a.-c.) d'un jeune adulte est conditionné par le recours antérieur à ce programme et par le recours d'un parent à l'a.-c. La capacité de déterminer jusqu'à quel point la corrélation intergénérationnelle du recours à l'a.-c. est « factice » ou causale pose un défi méthodologique de taille. Nous examinons à la fois la première demande de prestations d'a.-c. et la séquence complète de demandes sur une longue période à l'aide de deux méthodes permettant de neutraliser l'hétérogénéité non observée. L'analyse est axée sur des données longitudinales se rapportant à une cohorte de jeunes hommes canadiens et suédois. Les résultats indiquent que le recours d'un parent à l'a.-c. réduit la période précédant la première demande de prestations au Canada mais non en Suède. Le recours subséquent au programme canadien est influencé par les antécédents parentaux au chapitre de l'a.-c. En Suède, l'effet d'apprentissage des individus par leur utilisation antérieure de l'a.-c., et non les antécédents familiaux, constitue le principal facteur déterminant des recours répétés au programme.

Dans ce document, on donne une description détaillée des méthodes utilisées pour obtenir les différents seuils de faible revenu. On explique aussi de quelle manière les années de référence sont définies et comment les seuils de faible revenu sont mis à jour à partir de l'indice des prix à la consommation.

Les technologies d'information et des communications au Canada se veut un profil de la croissance et du développement du secteur canadien de l'information et des communications (TIC). La publication offre un aperçu statistique du secteur des TIC en fonction de variables économiques clés, y compris la production, l'emploi, le commerce international, le revenu et les dépenses en recherche et le développement.

La première quantification du secteur des TIC par Statistique Canada a paru dans le recueil intitulé Un Canada réseauté: Au-delà de l'autoroute de l'information, n° 56-504-XIF au catalogue. Cette publication met à jour ces estimations avec les données les plus récentes, tout en améliorant le champ d'observation de l'industrie et offrant une analyse poussée du secteur des TIC du Canada.

Tout au long du projet, nous avons utilisé de nombreuses sources de données différentes et, bien que nous ayons mis tout en oeuvre pour maximiser le nombre de données accessibles, nous n'avons pas pu, dans tous les cas, faire rapport de la même manière sur toutes les branches d'activité du secteur des TIC et toutes les variables pertinentes. La conversion au Système de classification des industries de l'Amérique du Nord (SCIAN) a largement contribué aux difficultés que nous avons éprouvées. En outre, nous nous attendons à avoir accès à une plus vaste gamme de données une fois que tous les programmes d'enquête commenceront à présenter leurs rapports en fonction de cette nouvelle nomenclature des activités économiques.

Pour la première fois dans le cadre d'une enquête sur les avoirs et les dettes au Canada, l'Enquête sur la sécurité financière (ESF) de 1999 procure une estimation de la valeur des droits à pension dans les régimes (agréés) d'employeur (RPA). Même si on ne peut les vendre ou en disposer à d'autres fins, les avoirs dans les régimes de retraite offerts par l'employeur constituent néanmoins une partie importante de l'avoir net des Canadiens, dans la mesure où ils procureront une partie du revenu de retraite. Pour plusieurs familles, ils constitueront sans doute l'un des principaux avoirs.

L'ESF de 1999 brosse le portrait le plus détaillé de la valeur nette du patrimoine des Canadiens actuellement disponible. L'ESF a recueilli des informations sur la valeur de l'ensemble des principaux avoirs financiers et non financiers et sur les sommes dues à l'égard des prêts hypothécaires, des véhicules, des cartes de crédit, des prêts étudiants et d'autres dettes. La valeur nette du patrimoine des Canadiens représente la valeur de ces avoirs, diminuée des dettes. La collecte des données a eu lieu de mai à juillet 1999, dans toutes les provinces. Bien que ce soit la septième fois qu'une enquête sur les avoirs et les dettes ait été conduite par Statistique Canada, plus de 15 ans se sont écoulés depuis la dernière enquête, menée en 1984. Beaucoup de changements sont survenus depuis ce temps-là, tant dans l'économie que dans la structure des familles. Les résultats de l'enquête sont accessibles dans le rapport intitulé Les avoirs et les dettes des Canadiens : un aperçu des résultats de l'Enquête sur la sécurité financière (n° 13-595-XIF au catalogue).

Statistique Canada est engagé dans un projet de système d'information sur la science et la technologie qui a pour but de développer des indicateurs d'activité utiles réunis dans un cadre conceptuel permettant de dresser un portrait cohérent de la science et de la technologie au Canada. Cette série publie des travaux plus analytiques portant sur des questions reliées à la science et à la technologie. Il s'agit de documents traitant de questions particulières ou d'analyses plus poussées de résultats d'enquêtes menées par Statistique Canada. Des travaux de nature plus théorique et reliés à la science et la technologie sont aussi publiés.

Cette publication rassemble des données sur les voyages et le tourisme provenant de diverses sources. Elle renferme des analyses, graphiques et tableaux sur l'offre et la demande de produits touristiques. Des données y sont présentées au niveaux national, provincial et régional/municipal.

Statistique Canada élabore présentement une banque de connaissances sur le secteur des organismes sans but lucratif au Canada par l'entremise du Projet de base de connaissances sur le secteur des organismes à but non lucratif. Les résultats de ces études analytiques sont affichés périodiquement dans une série de comptes rendus dans le site Web de Statistique Canada. Les résultats recueillis intéresseront ceux et celles qui font des études sur le secteur bénévole ou qui oeuvrent au sein d'organismes sans but lucratif.

L'Enquête internationale sur la littératie des adultes a été menée dans 22 pays entre 1994 et 1998. Dans chaque pays, des échantillons nationaux représentatifs de la population adulte âgée de 16 à 65 ans ont été interviewés et évalués à domicile. Les objectifs de l'Enquête consistaient à établir des profils de littératie comparables par-delà les frontières nationales, linguistiques et culturelles et à étudier les facteurs qui influent sur le niveau de littératie. Un facteur en particulier a été ciblé, soit le rôle de l'éducation et de la formation des adultes dans l'amélioration des capacités de lecture et d'écriture et de la situation sur le marché du travail. La série de rapports comprend des études menées par des chercheurs et des spécialistes du domaine de la littératie à partir de la base de données de l'Enquête. Le présent rapport a été financé par le Département de l'éducation des États-Unis (Office of Vocational and Adult Education, Division of Adult Education and Literacy). D'autres études de la série ont été financées principalement par Développement des ressources humaines Canada et par Statistique Canada.

De nos jours, la capacité des marchés du travail, des entreprises et des particuliers à s'adapter au changement, à améliorer la productivité et à tirer parti de l'innovation technologique dépend dans une large mesure des compétences de la population adulte. L'amélioration des compétences économiquement exploitables par l'investissement dans l'éducation des adultes et l'apprentissage en milieu de travail représente donc un enjeu d'une grande importance stratégique.

Le présent rapport présente 15 indicateurs internationaux qui permettent au lecteur de comparer la participation à l'éducation des adultes en Amérique du Nord à celle de pays industrialisés avancés ailleurs dans le monde. Les données brossent un tableau comparatif de l'effort total consenti à l'éducation des adultes et de la répartition sociale des possibilités d'apprentissage offertes aux adultes, et ce du milieu jusqu'à la fin de la décennie 1990. Les résultats tendent généralement à démontrer que les marchés de l'éducation et de la formation des adultes au Canada comme aux États-Unis sont matures. Mais ils révèlent également des différences importantes d'un pays à l'autre lorsqu'il s'agit de savoir qui reçoit la formation et dans quelle mesure. L'Amérique du Nord se situe dans la moyenne de la plupart des mesures, devant les économies émergentes mais derrière les pays nordiques.

Avec le présent exposé, nous répondons aux décideurs et aux chercheurs canadiens qui nous ont demandé d'élaborer un indice d'ensemble des coûts de main-d'oeuvre (ICM) pour l'économie canadienne. Cet ICM, qui mesure les charges de rémunération, salariales ou non, ne subirait pas l'incidence des variations de l'emploi selon les branches d'activité et les professions. Nous examinons ici l'indice des coûts d'emploi (ECI) américain.

Nous décrivons l'ICM en termes généraux et comparons cette mesure des coûts de main-d'oeuvre à d'autres indicateurs du marché du travail canadien. Nous énumérons en partie les usages et les limites d'un tel indice en nous reportant à l'expérience qu'ont faite d'autres pays de ce dernier.

Nous esquissons enfin les plans et le modèle de microdonnées proposés que l'on doit éprouver pour créer un ICM au Canada. Nous concluons par un résumé des grandes étapes de son établissement et des questions délaboration qui se posent.

Cette étude spéciale, réalisée pour le compte du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, a été développée afin de recueillir de l'information sur l'utilisation, en milieu de travail, des deux langues officielles dans les régions bilingues du Québec. Les 2 100 employés fédéraux qui ont été contacté lors de l'enquête devaient, en outre, fournir de l'information sur leurs communications avec l'administration centrale de leur ministère et avec celle des organismes centraux. Divers types de communication tels que les appels téléphoniques, les courriels et les télécopies, ont été examinés de même que les ébauches de documents et la participation aux réunions.

L'objectif de ce rapport consiste à analyser en profondeur les résultats de l'Enquête sociale générale de 1999 sur la victimisation et les perceptions du public au sujet de la criminalité et du système de justice. Dans les chapitres, on examine le risque de victimisation avec violence et de victimisation des ménages, la victimisation en milieux urbain et rural, l'utilisation des services par les victimes, ainsi que les perceptions de la criminalité et la crainte qu'elle suscite.

Les médias, les chercheurs et les décideurs cherchent souvent à obtenir des comparaisons des taux de la criminalité entre le Canada et les États-Unis. Reconnaissant le désir, ainsi que des complexités de nature méthodologique, le Centre canadien de la statistique juridique a commencé à évaluer la faisabilité de comparer les statistiques sur les infractions déclarées par la police entre le Canada et les États-Unis. Le présent rapport, compare et met en contraste les définitions, la classification et les règles de déclaration pour des infractions particulières entre les programmes canadien et américain de déclaration uniforme de la criminalité (DUC). Les infractions sont organisées selon le type d'enquête (agrégé versus micro données) et le niveau d'analyse (niveau de l'incident et niveau de l'accusé). Le cas échéant, cette analyse fait état des modifications qui pourraient permettre l'établissement de comparaisons transnationales fiables. Le rapport examine brièvement la possibilité de comparer les caractéristiques détaillées des infractions.