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Tout (4)

Tout (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 62F0014M2022001
    Description :

    L'idée de prévoir l'inflation des prix à la consommation en examinant l'effet de répercussion des prix des étapes antérieures de la production intrigue depuis longtemps. Selon la théorie, les prix des articles de consommation, en particulier les biens, réagissent aux pressions sur les coûts des intrants à la production. Le présent document examine en particulier une partie limitée de la chaîne de valeur, à savoir le pouvoir de prédiction des prix à la consommation des produits tels que mesurés par l'Indice des prix des produits industriels (IPPI) sur les prix à la consommation, tel que mesurés par l'Indice des prix à la consommation (IPC).

    Date de diffusion : 2022-02-11

  • Articles et rapports : 62F0014M2001015
    Géographie : Canada
    Description :

    L'indice des prix à la consommation (IPC) canadien utilise une version de l'approche du coût d'utilisation afin de mesurer le coût de la propriété d'un logement. Parce que cette approche comporte une estimation spécifique des coûts d'utilisation du logement en propriété et pas de celui qu'assument les locataires, la mesure comprend une composante « coût de remplacement » (ou « dépréciation »). La dépréciation est la seule composante de l'IPC qui ne représente pas un débours. Par conséquent, la mesure de la dépréciation présente aux économistes un ensemble bien particulier de défis méthodologiques.

    Entre 1949 et 1997, le taux annuel de dépréciation des logements utilisé dans l'IPC était de 2 %. Statistique Canada a retenu le taux d'une étude renfermant une analyse des données d'évaluation de 1939 de la Federal Housing Administration des États-Unis. La présente étude avance qu'il peut être démontré que le taux de dépréciation de 2 % est trop élevé pour être encore utilisé à l'avenir, parce que : 1) d'autres études canadiennes révèlent une limite supérieure de 1,7 %, avec une médiane de 1,5 %; 2) d'autres organismes statistiques utilisent des taux moindres; 3) toutes les études théoriques des quarante dernières années ont conclu à un taux moindre. Par suite de la présente étude et des justifications à l'appui, le taux de dépréciation dans l'IPC canadien a été ramené à 1,5 % à compter de janvier 1998.

    Date de diffusion : 2001-11-28

  • Articles et rapports : 62F0014M1997005
    Géographie : Canada
    Description :

    Depuis 1961, la composante des services de l'Indice des prix à la consommation (IPC) démontre un taux de croissance supérieur à la composante des biens. De plus, lorsque certaines des composantes les plus volatiles sont exclues, l'écart entre les deux taux s'élargit. Par exemple, sur cette même période l'inflation tendancielle pour les biens (excluant les aliments et l'énergie) a augmenté à un taux de 4,3% comparativement à 6,1% pour les services (excluant le logement). La littérature propose cinq explications pour le phénomène de la hausse rapide des prix des services. Malgré l'importance et l'attrait de ces éléments pour expliquer l'écart inflationniste ce document se penchera que sur deux. Certains croient que l'inflation des services est en fait une abstraction statistique qui découle du fait que les unités de production des services et par conséquent leurs variations de prix sont parfois difficiles à quantifier. Cette question sera examinée en premier. Il semblerait que le problème de mesure, même s'il est en fait plus réel pour les services, ne peut pas expliquer la totalité de l'écart inflationniste. William Baumol a suggéré l'autre explication, soit une croissance sectorielle inégale qui serait la cause principale de la divergence. Cette explication sera traitée dans la deuxième partie du document. Malgré l'attrait du modèle, l'hypothèse ne tient pas empiriquement.

    Date de diffusion : 1999-05-13

  • Articles et rapports : 61-532-X19970013505
    Description :

    Depuis un certain nombre d'années, la composante service de l'Indice des prix à la consommation (IPC) démontre un taux d'augmentation plus élevé que la composante des biens. De 1961 à 1996 le taux annuel de variation au niveau des prix des services a été de 5,7% par opposition à 4,9% pour celui des biens.

    Date de diffusion : 1998-02-02
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Articles et rapports (4)

Articles et rapports (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 62F0014M2022001
    Description :

    L'idée de prévoir l'inflation des prix à la consommation en examinant l'effet de répercussion des prix des étapes antérieures de la production intrigue depuis longtemps. Selon la théorie, les prix des articles de consommation, en particulier les biens, réagissent aux pressions sur les coûts des intrants à la production. Le présent document examine en particulier une partie limitée de la chaîne de valeur, à savoir le pouvoir de prédiction des prix à la consommation des produits tels que mesurés par l'Indice des prix des produits industriels (IPPI) sur les prix à la consommation, tel que mesurés par l'Indice des prix à la consommation (IPC).

    Date de diffusion : 2022-02-11

  • Articles et rapports : 62F0014M2001015
    Géographie : Canada
    Description :

    L'indice des prix à la consommation (IPC) canadien utilise une version de l'approche du coût d'utilisation afin de mesurer le coût de la propriété d'un logement. Parce que cette approche comporte une estimation spécifique des coûts d'utilisation du logement en propriété et pas de celui qu'assument les locataires, la mesure comprend une composante « coût de remplacement » (ou « dépréciation »). La dépréciation est la seule composante de l'IPC qui ne représente pas un débours. Par conséquent, la mesure de la dépréciation présente aux économistes un ensemble bien particulier de défis méthodologiques.

    Entre 1949 et 1997, le taux annuel de dépréciation des logements utilisé dans l'IPC était de 2 %. Statistique Canada a retenu le taux d'une étude renfermant une analyse des données d'évaluation de 1939 de la Federal Housing Administration des États-Unis. La présente étude avance qu'il peut être démontré que le taux de dépréciation de 2 % est trop élevé pour être encore utilisé à l'avenir, parce que : 1) d'autres études canadiennes révèlent une limite supérieure de 1,7 %, avec une médiane de 1,5 %; 2) d'autres organismes statistiques utilisent des taux moindres; 3) toutes les études théoriques des quarante dernières années ont conclu à un taux moindre. Par suite de la présente étude et des justifications à l'appui, le taux de dépréciation dans l'IPC canadien a été ramené à 1,5 % à compter de janvier 1998.

    Date de diffusion : 2001-11-28

  • Articles et rapports : 62F0014M1997005
    Géographie : Canada
    Description :

    Depuis 1961, la composante des services de l'Indice des prix à la consommation (IPC) démontre un taux de croissance supérieur à la composante des biens. De plus, lorsque certaines des composantes les plus volatiles sont exclues, l'écart entre les deux taux s'élargit. Par exemple, sur cette même période l'inflation tendancielle pour les biens (excluant les aliments et l'énergie) a augmenté à un taux de 4,3% comparativement à 6,1% pour les services (excluant le logement). La littérature propose cinq explications pour le phénomène de la hausse rapide des prix des services. Malgré l'importance et l'attrait de ces éléments pour expliquer l'écart inflationniste ce document se penchera que sur deux. Certains croient que l'inflation des services est en fait une abstraction statistique qui découle du fait que les unités de production des services et par conséquent leurs variations de prix sont parfois difficiles à quantifier. Cette question sera examinée en premier. Il semblerait que le problème de mesure, même s'il est en fait plus réel pour les services, ne peut pas expliquer la totalité de l'écart inflationniste. William Baumol a suggéré l'autre explication, soit une croissance sectorielle inégale qui serait la cause principale de la divergence. Cette explication sera traitée dans la deuxième partie du document. Malgré l'attrait du modèle, l'hypothèse ne tient pas empiriquement.

    Date de diffusion : 1999-05-13

  • Articles et rapports : 61-532-X19970013505
    Description :

    Depuis un certain nombre d'années, la composante service de l'Indice des prix à la consommation (IPC) démontre un taux d'augmentation plus élevé que la composante des biens. De 1961 à 1996 le taux annuel de variation au niveau des prix des services a été de 5,7% par opposition à 4,9% pour celui des biens.

    Date de diffusion : 1998-02-02
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