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  • Articles et rapports : 11F0019M2000150
    Géographie : Canada
    Description :

    Nous dégageons un profil de la diversification des sociétés dans l'économie canadienne à l'aide d'une base complète de micro-données sur les entreprises canadiennes et de données au niveau des industries sur les flux des échanges. Notre analyse vise deux objectifs majeurs.

    Nous décomposons premièrement la diversification des sociétés en éléments horizontal et vertical en nous fondant sur le degré auquel les industries sont reliées entre elles par les flux des échanges. Les décompositions en éléments horizontal et vertical servent d'approximations utiles pour définir les facteurs stratégiques qui sous-tendent les stratégies de diversification.

    Notre second objectif consiste à vérifier si les tendances sur le plan de la diversification sont étroitement associées à certaines caractéristiques des industries. Nous examinons dans ce cas des facteurs au niveau des industries qui, suivant un postulat général, ont des conséquences sur le degré de diversification (comme la croissance, la concentration et l'intensité d'utilisation des connaissances) au même titre que d'autres variables conçues pour évaluer si les structures de propriété diversifiées sont associées aux flux des échanges entre les industries. Notre analyse de régression fait appel à trois mesures empiriques de la diversification : premièrement, l'ampleur de l'entropie totale (c'est-à-dire la diversification) à l'intérieur d'une industrie, deuxièmement, l'entropie moyenne par entreprise et, finalement, le pourcentage d'entreprises dans une industrie qui se diversifient.

    Date de diffusion : 2000-06-16

  • Articles et rapports : 11F0019M1999137
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article fait état des données probantes recueillies par le biais de plusieurs études de Statistique Canada sur l'importance de l'innovation en tant que facteur de croissance et sur les besoins des entreprises novatrices en matière de travailleurs hautement qualifiés. Plutôt que de nous concentrer sur de grands regroupements d'industries, comme c'est souvent le cas, nous avons préféré axer nos travaux sur les entreprises et leur comportement. Cette démarche nous permet de mieux comprendre le lien entre les stratégies et la réussite des entreprises.

    Nous avons observé que les entreprises prospères attribuent leur réussite à l'acquisition de compétences dans une vaste gamme de domaines. Cependant, l'innovation reste le facteur commun qui permet le plus souvent de distinguer les entreprises qui affichent une croissance rapide de celles dont l'expansion est plus lente. Les entreprises innovatrices, à leur tour, portent plus d'attention à l'acquisition et à la formation d'une main-d'oeuvre qualifiée.

    Les études démontrent également que l'importance accordée à une main-d'oeuvre hautement qualifiée varie d'une industrie à l'autre. Dans les industries de biens, la stratégie de formation complète la stratégie en matière d'innovation axée sur la R et D, l'adoption de nouvelles technologies de pointe ou la mise au point de nouveaux procédés. Les petites entreprises innovatrices assurent la formation de ses employés lorsqu'elles mettent en service de nouvelles machines et du nouveau matériel. Dans le secteur des services, la stratégie en matière d'innovation s'appuie dans une moindre mesure sur les nouvelles immobilisations et davantage sur les nouvelles compétences de la main-d'oeuvre. Il appert qu'une stratégie de formation, en soi, a une incidence plus marquée sur la réussite de l'entreprise, vraisemblablement parce qu'elle est plus susceptible d'être la stratégie par excellence de l'entreprise en matière d'innovation.

    Date de diffusion : 1999-11-30

  • Articles et rapports : 11F0019M1999133
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document met en évidence les faits récents survenus dans le secteur de l'emploi autonome au Canada et il analyse les rapports de l'emploi autonome avec le chômage et l'emploi à plein temps rémunéré. Il y a maintenant deux millions et demi de Canadiens qui exploitent leur propre entreprise et qui constituent 16,2 % de la population active totale et représentent 17,8 % de l'emploi total. Au cours des huit premières des années 1990, l'emploi autonome s'est accru en moyenne de 4,1 % par année et il a fourni plus de trois sur quatre des nouveaux emplois créés par l'économie. Les données concernant les entrées et les sorties, dans ce secteur de l'économie, montrent qu'il s'y produit des mouvements d'entrée et de sortie considérables. Les mouvements bruts d'entrée et de sortie, dans le secteur de l'emploi autonome, en tant que principale activité sur le marché du travail, se sont élevés en moyenne à près d'un demi-million par année, entre 1982 et 1994, et ont touché 42 % de la population totale des travailleurs autonomes.Les résultats de la modélisation à effets fixes montrent un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Cette conclusion reste vrai pour différentes sources de données, pour différentes période de temps, pour différentes mesures et définitions, pour différents échantillons empiriques et pour diverses techniques d'estimation. Il existe aussi un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre les sorties du secteur de l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Il semble qu'une foule de facteurs non cycliques expliquent l'essor récent de l'emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-04-27

  • Articles et rapports : 11F0019M1999134
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document i) examine l'envergure et la cyclicité du flux de création et de disparition des emplois autonomes; ii) explore les transitions liées à ces mouvements; iii) évalue l'incidence de caractéristiques individuelles et de l'expérience du marché du travail ainsi que de conditions macro-économiques sur la probabilité d'accéder au travail autonome ou de le quitter.

    Le secteur de l'emploi autonome regroupe aujourd'hui plus de deux millions et demi de travailleurs canadiens; il a augmenté en moyenne de plus de 4 % par année au cours de la présente décennie et représente plus de trois quarts des nouveaux emplois que l'économie crée. Il y a eu, au cours des 15 dernières années, un flux important de création et de disparition d'emplois autonomes. Ce flux brut était en moyenne de près de un demi-million par année entre 1982 et 1994, ce qui représentait 42 % du nombre total de travailleurs autonomes.

    Les résultats de la régression ne présentent aucune preuve statistique corroborant l'hypothèse de la pression plutôt que celle de l'attraction exercée; selon cette notion, la détérioration de l'économie contraint de plus en plus les gens à créer leur propre emploi. Cette analyse s'effectue à la fois au moyen d'une analyse des séries chronologiques et d'une analyse des déterminants des flux de création (et de disparition) d'emplois autonomes. Comme pour les emplois rémunérés, les Canadiens plus jeunes connaissent un roulement plus élevé lorsqu'ils occupent un emploi autonome. Ils sont plus susceptibles non seulement de créer un tel emploi, mais aussi, et de loin, de le quitter. L'expérience préalable d'un emploi rémunéré et d'un emploi autonome augmente dans les deux cas la probabilité de créer un travail autonome. Plus longtemps une personne occupe un travail autonome, moins elle est susceptible de le quitter. Si le conjoint est en affaires (occupant un emploi autonome), la possibilité que l'autre conjoint occupe à son tour un emploi autonome augmente sensiblement, car un conjoint travailleur autonome amène souvent l'autre à se joindre à l'entreprise familiale ou à démarrer sa propre entreprise. On constate également qu'un revenu familial stable provenant de l'emploi rémunéré du conjoint augmente la viabilité financière du travailleur autonome (l'autre conjoint) en lui permettant de poursuivre son entreprise, ce qui réduit la possibilité qu'il quitte son emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-03-22
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Articles et rapports (4)

Articles et rapports (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2000150
    Géographie : Canada
    Description :

    Nous dégageons un profil de la diversification des sociétés dans l'économie canadienne à l'aide d'une base complète de micro-données sur les entreprises canadiennes et de données au niveau des industries sur les flux des échanges. Notre analyse vise deux objectifs majeurs.

    Nous décomposons premièrement la diversification des sociétés en éléments horizontal et vertical en nous fondant sur le degré auquel les industries sont reliées entre elles par les flux des échanges. Les décompositions en éléments horizontal et vertical servent d'approximations utiles pour définir les facteurs stratégiques qui sous-tendent les stratégies de diversification.

    Notre second objectif consiste à vérifier si les tendances sur le plan de la diversification sont étroitement associées à certaines caractéristiques des industries. Nous examinons dans ce cas des facteurs au niveau des industries qui, suivant un postulat général, ont des conséquences sur le degré de diversification (comme la croissance, la concentration et l'intensité d'utilisation des connaissances) au même titre que d'autres variables conçues pour évaluer si les structures de propriété diversifiées sont associées aux flux des échanges entre les industries. Notre analyse de régression fait appel à trois mesures empiriques de la diversification : premièrement, l'ampleur de l'entropie totale (c'est-à-dire la diversification) à l'intérieur d'une industrie, deuxièmement, l'entropie moyenne par entreprise et, finalement, le pourcentage d'entreprises dans une industrie qui se diversifient.

    Date de diffusion : 2000-06-16

  • Articles et rapports : 11F0019M1999137
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article fait état des données probantes recueillies par le biais de plusieurs études de Statistique Canada sur l'importance de l'innovation en tant que facteur de croissance et sur les besoins des entreprises novatrices en matière de travailleurs hautement qualifiés. Plutôt que de nous concentrer sur de grands regroupements d'industries, comme c'est souvent le cas, nous avons préféré axer nos travaux sur les entreprises et leur comportement. Cette démarche nous permet de mieux comprendre le lien entre les stratégies et la réussite des entreprises.

    Nous avons observé que les entreprises prospères attribuent leur réussite à l'acquisition de compétences dans une vaste gamme de domaines. Cependant, l'innovation reste le facteur commun qui permet le plus souvent de distinguer les entreprises qui affichent une croissance rapide de celles dont l'expansion est plus lente. Les entreprises innovatrices, à leur tour, portent plus d'attention à l'acquisition et à la formation d'une main-d'oeuvre qualifiée.

    Les études démontrent également que l'importance accordée à une main-d'oeuvre hautement qualifiée varie d'une industrie à l'autre. Dans les industries de biens, la stratégie de formation complète la stratégie en matière d'innovation axée sur la R et D, l'adoption de nouvelles technologies de pointe ou la mise au point de nouveaux procédés. Les petites entreprises innovatrices assurent la formation de ses employés lorsqu'elles mettent en service de nouvelles machines et du nouveau matériel. Dans le secteur des services, la stratégie en matière d'innovation s'appuie dans une moindre mesure sur les nouvelles immobilisations et davantage sur les nouvelles compétences de la main-d'oeuvre. Il appert qu'une stratégie de formation, en soi, a une incidence plus marquée sur la réussite de l'entreprise, vraisemblablement parce qu'elle est plus susceptible d'être la stratégie par excellence de l'entreprise en matière d'innovation.

    Date de diffusion : 1999-11-30

  • Articles et rapports : 11F0019M1999133
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document met en évidence les faits récents survenus dans le secteur de l'emploi autonome au Canada et il analyse les rapports de l'emploi autonome avec le chômage et l'emploi à plein temps rémunéré. Il y a maintenant deux millions et demi de Canadiens qui exploitent leur propre entreprise et qui constituent 16,2 % de la population active totale et représentent 17,8 % de l'emploi total. Au cours des huit premières des années 1990, l'emploi autonome s'est accru en moyenne de 4,1 % par année et il a fourni plus de trois sur quatre des nouveaux emplois créés par l'économie. Les données concernant les entrées et les sorties, dans ce secteur de l'économie, montrent qu'il s'y produit des mouvements d'entrée et de sortie considérables. Les mouvements bruts d'entrée et de sortie, dans le secteur de l'emploi autonome, en tant que principale activité sur le marché du travail, se sont élevés en moyenne à près d'un demi-million par année, entre 1982 et 1994, et ont touché 42 % de la population totale des travailleurs autonomes.Les résultats de la modélisation à effets fixes montrent un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Cette conclusion reste vrai pour différentes sources de données, pour différentes période de temps, pour différentes mesures et définitions, pour différents échantillons empiriques et pour diverses techniques d'estimation. Il existe aussi un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre les sorties du secteur de l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Il semble qu'une foule de facteurs non cycliques expliquent l'essor récent de l'emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-04-27

  • Articles et rapports : 11F0019M1999134
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document i) examine l'envergure et la cyclicité du flux de création et de disparition des emplois autonomes; ii) explore les transitions liées à ces mouvements; iii) évalue l'incidence de caractéristiques individuelles et de l'expérience du marché du travail ainsi que de conditions macro-économiques sur la probabilité d'accéder au travail autonome ou de le quitter.

    Le secteur de l'emploi autonome regroupe aujourd'hui plus de deux millions et demi de travailleurs canadiens; il a augmenté en moyenne de plus de 4 % par année au cours de la présente décennie et représente plus de trois quarts des nouveaux emplois que l'économie crée. Il y a eu, au cours des 15 dernières années, un flux important de création et de disparition d'emplois autonomes. Ce flux brut était en moyenne de près de un demi-million par année entre 1982 et 1994, ce qui représentait 42 % du nombre total de travailleurs autonomes.

    Les résultats de la régression ne présentent aucune preuve statistique corroborant l'hypothèse de la pression plutôt que celle de l'attraction exercée; selon cette notion, la détérioration de l'économie contraint de plus en plus les gens à créer leur propre emploi. Cette analyse s'effectue à la fois au moyen d'une analyse des séries chronologiques et d'une analyse des déterminants des flux de création (et de disparition) d'emplois autonomes. Comme pour les emplois rémunérés, les Canadiens plus jeunes connaissent un roulement plus élevé lorsqu'ils occupent un emploi autonome. Ils sont plus susceptibles non seulement de créer un tel emploi, mais aussi, et de loin, de le quitter. L'expérience préalable d'un emploi rémunéré et d'un emploi autonome augmente dans les deux cas la probabilité de créer un travail autonome. Plus longtemps une personne occupe un travail autonome, moins elle est susceptible de le quitter. Si le conjoint est en affaires (occupant un emploi autonome), la possibilité que l'autre conjoint occupe à son tour un emploi autonome augmente sensiblement, car un conjoint travailleur autonome amène souvent l'autre à se joindre à l'entreprise familiale ou à démarrer sa propre entreprise. On constate également qu'un revenu familial stable provenant de l'emploi rémunéré du conjoint augmente la viabilité financière du travailleur autonome (l'autre conjoint) en lui permettant de poursuivre son entreprise, ce qui réduit la possibilité qu'il quitte son emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-03-22
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