Filtrer les résultats par

Aide à la recherche
Currently selected filters that can be removed

Mot(s)-clé(s)

Année de publication

1 facets displayed. 1 facets selected.

Auteur(s)

3 facets displayed. 1 facets selected.
Aide à l'ordre
entrées

Résultats

Tout (2)

Tout (2) ((2 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0024M20040007453
    Géographie : Canada
    Description :

    La responsabilité de fournir une infrastructure de transport est partagée entre les ordres des gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux. Au cours de la dernière décennie, le gouvernement fédéral a adopté des politiques de désinvestissement et de réduction des subventions aux infrastructures et aux activités liées au transport. Ces politiques ont permis de freiner l'endettement public croissant, mais il semble bien que le secteur des transports ait subi une partie disproportionnelle de ces compressions. Les dépenses fédérales de transport, exprimées en tant que pourcentage de l'ensemble des dépenses fédérales, sont passées de 2,8 % en 1991-1992 à 1,3 % en 2001-2002.

    L'incidence de ces réductions budgétaires est inégale. Les dépenses fédérales brutes dans tous les modes de transport, tout comme les recettes totales provenant de sources de revenu fiscal et autres, ont été analysées et exprimées en dollars constants de 2000. Les dépenses fédérales réelles de transport ont chuté de 57,3 %, passant de 5 392 millions de dollars en 1991-1992 à 2 302 millions de dollars en 2001-2002. Les recettes totales issues des transports ont suivi ou dépassé le taux d'inflation. Par conséquent, les répercussions financières sur la trésorerie fédérale sont passées d'un déficit annuel de 547 millions de dollars à l'appui des transports à un excédent de 2,4 milliards de dollars enlevés au secteur des transports.

    Le présent document met en évidence le transfert du soutien fédéral accordé aux transports dans les années 1990. À mesure que le fardeau de l'établissement des infrastructures s'alourdit pour les utilisateurs de services de transports et d'autres ordres de gouvernement, l'excédent fédéral croissant des taxes et des frais provenant des transports par rapport aux dépenses dans ce secteur attirent davantage l'attention.

    Date de diffusion : 2004-11-25

  • Revues et périodiques : 51-502-X
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Les mouvements du trafic aérien passagers étaient à peu près les mêmes en 1963 à Calgary et à Edmonton, mais depuis lors, le marché de Calgary a largement dépassé en croissance celui d'Edmonton. L'examen des causes de la croissance de ces deux marchés de l'aviation se ramène souvent à un débat sur un marché divisé de l'aviation avec deux aéroports (Edmonton), et non pas un seul comme chez le principal concurrent (Calgary). On a souvent donné à entendre que, si les vols pouvaient être regroupés à un de leurs deux aéroports, on cesserait de perdre de sa « part de marché » au profit de l'aéroport concurrent.

    L'analyse porte plus particulièrement sur les grandes variables socio-économiques qui sont utilisées pour établir les prévisions du trafic passagers afin de déterminer si ces facteurs contribuent à expliquer les différences de l'évolution de croissance. La taille de la population ne semble pas devoir expliquer les différences. Le revenu pourrait être un facteur explicatif étant donné la plus grande concentration de revenus supérieurs à Calgary. La population immigrante s'est accrue plus rapidement à Calgary qu'à Edmonton depuis dix ans et la migration nette vers Calgary de partout au Canada a aussi été plus importante--il y a un double effet de stimulation. Pour ce qui est de l'activité économique comme facteur de stimulation de l'aviation, Calgary l'a récemment emporté sur Edmonton pour la valeur des permis de construire, l'emploi à plein temps et l'effectif des sièges sociaux. Les variables socio-économiques favorisent Calgary, plus particulièrement ces dernières années, mais on constate que la décroissance relative du trafic passagers s'est faite plus lente à Edmonton après le déplacement de la plupart des vols commerciaux de l'aéroport City Centre à l'aéroport international. C'est peut-être la confirmation qu'Edmonton perdait de son trafic passagers au profit de Calgary avant le regroupement à l'aéroport international.

    Date de diffusion : 2004-05-12
Stats en bref (0)

Stats en bref (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Articles et rapports (1)

Articles et rapports (1) ((1 résultat))

  • Articles et rapports : 11F0024M20040007453
    Géographie : Canada
    Description :

    La responsabilité de fournir une infrastructure de transport est partagée entre les ordres des gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux. Au cours de la dernière décennie, le gouvernement fédéral a adopté des politiques de désinvestissement et de réduction des subventions aux infrastructures et aux activités liées au transport. Ces politiques ont permis de freiner l'endettement public croissant, mais il semble bien que le secteur des transports ait subi une partie disproportionnelle de ces compressions. Les dépenses fédérales de transport, exprimées en tant que pourcentage de l'ensemble des dépenses fédérales, sont passées de 2,8 % en 1991-1992 à 1,3 % en 2001-2002.

    L'incidence de ces réductions budgétaires est inégale. Les dépenses fédérales brutes dans tous les modes de transport, tout comme les recettes totales provenant de sources de revenu fiscal et autres, ont été analysées et exprimées en dollars constants de 2000. Les dépenses fédérales réelles de transport ont chuté de 57,3 %, passant de 5 392 millions de dollars en 1991-1992 à 2 302 millions de dollars en 2001-2002. Les recettes totales issues des transports ont suivi ou dépassé le taux d'inflation. Par conséquent, les répercussions financières sur la trésorerie fédérale sont passées d'un déficit annuel de 547 millions de dollars à l'appui des transports à un excédent de 2,4 milliards de dollars enlevés au secteur des transports.

    Le présent document met en évidence le transfert du soutien fédéral accordé aux transports dans les années 1990. À mesure que le fardeau de l'établissement des infrastructures s'alourdit pour les utilisateurs de services de transports et d'autres ordres de gouvernement, l'excédent fédéral croissant des taxes et des frais provenant des transports par rapport aux dépenses dans ce secteur attirent davantage l'attention.

    Date de diffusion : 2004-11-25
Revues et périodiques (1)

Revues et périodiques (1) ((1 résultat))

  • Revues et périodiques : 51-502-X
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Les mouvements du trafic aérien passagers étaient à peu près les mêmes en 1963 à Calgary et à Edmonton, mais depuis lors, le marché de Calgary a largement dépassé en croissance celui d'Edmonton. L'examen des causes de la croissance de ces deux marchés de l'aviation se ramène souvent à un débat sur un marché divisé de l'aviation avec deux aéroports (Edmonton), et non pas un seul comme chez le principal concurrent (Calgary). On a souvent donné à entendre que, si les vols pouvaient être regroupés à un de leurs deux aéroports, on cesserait de perdre de sa « part de marché » au profit de l'aéroport concurrent.

    L'analyse porte plus particulièrement sur les grandes variables socio-économiques qui sont utilisées pour établir les prévisions du trafic passagers afin de déterminer si ces facteurs contribuent à expliquer les différences de l'évolution de croissance. La taille de la population ne semble pas devoir expliquer les différences. Le revenu pourrait être un facteur explicatif étant donné la plus grande concentration de revenus supérieurs à Calgary. La population immigrante s'est accrue plus rapidement à Calgary qu'à Edmonton depuis dix ans et la migration nette vers Calgary de partout au Canada a aussi été plus importante--il y a un double effet de stimulation. Pour ce qui est de l'activité économique comme facteur de stimulation de l'aviation, Calgary l'a récemment emporté sur Edmonton pour la valeur des permis de construire, l'emploi à plein temps et l'effectif des sièges sociaux. Les variables socio-économiques favorisent Calgary, plus particulièrement ces dernières années, mais on constate que la décroissance relative du trafic passagers s'est faite plus lente à Edmonton après le déplacement de la plupart des vols commerciaux de l'aéroport City Centre à l'aéroport international. C'est peut-être la confirmation qu'Edmonton perdait de son trafic passagers au profit de Calgary avant le regroupement à l'aéroport international.

    Date de diffusion : 2004-05-12
Date de modification :