Immigrants et résidents non permanents

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  • Articles et rapports : 11-626-X2019011
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description : De 1980 à 2017, le Canada a accueilli 1 088 000 réfugiés, c’est-à-dire une moyenne d’environ 30 000 réfugiés par année. Pour nombre d’entre eux, l’accession à la propriété est une étape importante dans leur cheminement vers l’intégration sociale et économique. Le présent article de la série Aperçus économiques présente de nouvelles données sur la propriété résidentielle chez les résidents qui sont venus au Canada à titre de réfugiés réinstallés. Il présente une comparaison du nombre d’habitations appartenant à des réfugiés à Vancouver et à Toronto et du nombre d’habitations appartenant à des résidents nés au Canada, en mettant en évidence les écarts dans la valeur des propriétés entre les divers segments du marché de l’habitation. Les renseignements sur l’emplacement, l’âge et la taille des propriétés, ainsi que sur l’âge et le revenu des propriétaires servent à évaluer les écarts relatifs dans la valeur des propriétés entre les deux groupes. Les estimations sont fondées sur les données recueillies dans le cadre du Programme de la statistique du logement canadien, publiées en décembre 2018.
    Date de diffusion : 2019-06-18

  • Articles et rapports : 11-626-X2019001
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Le présent article de la série Aperçus économiques fournit de nouvelles données sur les propriétés résidentielles de Toronto et de Vancouver. Il est uniquement axé sur les propriétés résidentielles appartenant à des résidents canadiens et permet d’évaluer dans quelle mesure les actifs immobiliers des immigrants diffèrent de ceux appartenant à des résidents nés au Canada. Il rend compte de la prévalence de la propriété par des immigrants de différents types de logements, y compris les maisons individuelles, les maisons jumelées, les maisons en rangée et les appartements en copropriété, et permet de comparer les valeurs des actifs immobiliers détenus par les personnes nées au Canada et les immigrants. Des données sur l’emplacement, l’âge et la taille des propriétés sont utilisées pour évaluer les écarts observés dans la valeur relative des logements appartenant à des immigrants.

    Date de diffusion : 2019-01-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2018411
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Les immigrants ont tendance à habiter de façon disproportionnée dans les grandes villes canadiennes, ce qui peut mettre à l’épreuve la capacité d’absorption de ces dernières. La présente étude utilise la Base de données longitudinales sur l’immigration couplée au fichier sur la famille T1 afin d’examiner les décisions relatives à l’emplacement initial et à la migration subséquente des immigrants qui sont des demandeurs principaux de la catégorie économique (DPE) et qui ont été admis depuis l’adoption de la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés. Le principal objectif de l’étude est de relever les facteurs associés au fait d’habiter initialement et de demeurer dans l’une des trois plus grandes villes canadiennes servant de porte d’entrée aux immigrants : Montréal, Toronto et Vancouver (MTV).

    Date de diffusion : 2018-12-07

  • Articles et rapports : 89-657-X2016002
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Cette étude porte sur les modalités d’établissement de la population issue de l’immigration et certaines composantes de l’intégration sociale. On y présente d’abord les tendances récentes des schémas d’établissement de la population issue de l’immigration dans les régions métropolitaines canadiennes de recensement soit, Toronto, Montréal et Vancouver. En s’appuyant sur les données de l’Enquête sociale générale de 2013 sur l’identité sociale, on examine ensuite les caractéristiques du lieu de résidence telle que le type de municipalité et la concentration de la population issue de l’immigration selon quatre composantes de l’intégration sociale : les caractéristiques des réseaux personnels, les relations de voisinage, la participation sociale et à des activités associatives et le sentiment d’appartenance.

    Date de diffusion : 2017-05-08

  • Articles et rapports : 11-522-X200600110446
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Les immigrants sont avantagés sur le plan de la santé comparativement aux canadiens de naissance, mais ces avantages sont menacés par des situations à risque particulières. L'étude vise à explorer les issues de santé cardiovasculaire des quartiers de Montréal classés selon la proportion d'immigrants dans la population, au moyen d'une analyse en composantes principales. Les trois premières composantes représentent l'immigration, le degré de désavantage socio-économique et le degré de désavantage économique. L'incidence d'infarctus du myocarde est plus faible dans les quartiers avec forte immigration comparativement aux quartiers où prédominent les canadiens de naissance. Les taux de mortalité sont associés au degré de désavantage socio-économique tandis que la revascularisation est associée à la proportion de personnes âgées dans la population.

    Date de diffusion : 2008-03-17

  • Articles et rapports : 82-003-X200601010356
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Le présent article porte sur les différences dans les issues de la grossesse selon le revenu du quartier et l'immigration récente pour les naissances vivantes simples à Toronto. Les données sur les naissances ont été tirées des registres des sorties des hôpitaux, lesquels ont été compilés par l'Institut canadien d'information sur la santé.

    Date de diffusion : 2007-11-13

  • Articles et rapports : 11F0019M2005253
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée Les immigrants achètent-ils pour s'intégrer? : Le rôle du regroupement ethnique dans la propension à devenir propriétaire chez douze groupes d'immigrants à Toronto, 1996 à 2001. La théorie de l'assimilation spatiale est un modèle d'accession à un statut social reliant les positions spatiale et sociale des membres des groupes minoritaires (Massey et Denton, 1985). Lorsqu'on l'applique aux immigrants, le modèle fait ressortir que ceux ci se regrouperont d'abord dans des quartiers typiquement pauvres, où il existe des concentrations élevées de membres de la même collectivité ethnique, mais que cette concentration ethnique est temporaire et perd de son utilité au fil du temps. Dès que le statut socioéconomique de la famille de l'immigrant s'améliore, celle ci s'intègre dans le secteur résidentiel général et s'installe dans un meilleur quartier, où il existe généralement une moins grande ségrégation résidentielle (Massey et Denton, 1985). Par ailleurs, même si le mode d'occupation du logement ne constitue pas une dimension explicite de la théorie de l'assimilation spatiale, compte tenu de la relation bien établie entre le revenu, le capital humain et l'accession à la propriété (Balakrishnan et Wu, 1992; Laryea, 1999), de même que de l'importance de l'accession à la propriété en tant qu'indicateur de bien être et d'assimilation résidentielle (Myers et Lee, 1998), un des éléments de l'ascension socioéconomique d'une famille d'immigrants est la transition de l'état de locataire à celui de propriétaire (Alba et Logan, 1992). Toujours selon la théorie de l'assimilation spatiale, la concentration de membres d'un même groupe devrait être inversement corrélée à l'accession à la propriété, les enclaves ethniques étant généralement perçues comme des zones à logements locatifs pauvres (Fong et Gulia, 1999; Myles et Hou, 2004).

    Selon des recherches récentes (Alba et Nee, 2003; Logan, Alba et Zhang, 2002), toutefois, certains groupes d'immigrants pourraient choisir d'aller à l'encontre de l'assimilation spatiale en formant des « collectivités ethniques » durables (Logan, Alba et Zhang, 2002), exerçant ainsi un « effet d'enclave » positif et croissant sur l'accession à la propriété (Borjas, 2002). Dans le présent rapport, nous évaluons la possibilité d'un effet d'enclave en tant qu'explication des profils d'accession à la propriété observés entre 1996 et 2001 chez les douze plus grands groupes de nouveaux immigrants à Toronto. Au moyen de données sur la composition ethnique des quartiers longitudinalement cohérentes et temporellement antécédentes à 1996, nous déterminons si les immigrants choisissent d'acheter une maison en dehors de leur enclave, ou préfèrent un quartier habité par des membres du même groupe qu'eux qui sont propriétaires de leur logement. À cette fin, nous passons en revue les avantages qu'il pourrait y avoir à vivre dans une enclave et à y acheter une maison. Puis nous élaborons un cadre prédictif, en vue de déterminer quels groupes seraient susceptibles de bénéficier de la création de collectivités ethniques de propriétaires. Nous présentons ensuite le problème du « déséquilibre par rapport au quartier » et nous évaluons l'effet d'enclave sur l'accession à la propriété à partir d'un échantillon de nouveaux résidents (1996 à 2001) et des caractéristiques ethniques du quartier où ils habitaient en 1996, au moyen de modèles probit bivariés avec correction pour la sélection de l'échantillon (Van de Ven et Van Praag, 1981).

    Date de diffusion : 2005-05-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2005238
    Géographie : Canada, Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Par le passé, les familles d'immigrants en âge de travailler dans les grandes agglomérations urbaines du Canada présentaient des taux de propriété de l'habitation supérieurs à ceux de la population de souche. Ces 20 dernières années cependant, l'avantage est passé à la population de souche à cause tant d'une baisse des taux d'immigration que d'une hausse des taux de propriété chez les Canadiens nés au pays. Mon propos sera d'évaluer l'efficacité des modèles standard des choix de consommation avec des indicateurs comme ceux de l'âge, du revenu, de la scolarité et du type de familles et avec plusieurs caractéristiques des immigrants comme éléments d'explication de cette évolution. Je constaterai que le modèle standard explique presque entièrement l'avantage dont jouissaient les immigrants en matière de propriété en 1981, ainsi que la montée des taux de propriété au fil des ans dans la population de souche. Le modèle standard explique toutefois le tiers seulement en gros de l'évolution des taux de 1981 à 2001 dans la population immigrante même après prise en compte de la baisse bien connue des fortunes économiques des immigrants. J'examinerai certaines des conséquences de cette sous-explication et ferai plusieurs recommandations de recherches complémentaires.

    Date de diffusion : 2005-02-03

  • Articles et rapports : 11F0019M2003206
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Depuis les années 1960, la nature sociale du paysage urbain de Toronto s'est modifiée de façon irréversible en raison de l'arrivée de nouvelles vagues d'immigrants venus d'Afrique, d'Asie, des Caraïbes, ainsi que d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, remplaçant ainsi les flux traditionnels d'immigrants européens de race blanche. Ce produit permet d'analyser les modèles très différents d'établissement des trois minorités raciales les plus importantes de Toronto, soit les Noirs, les Chinois et les Asiatiques du Sud.

    Contrairement aux études antérieures fondées sur des données au niveau agrégé et sur des corrélations « écologiques », on évalue la capacité de la théorie conventionnelle de l'assimilation spatiale expliquant ces différences, à partir de modèles d'« établissement réussi » estimés à l'aide des microdonnées du recensement de 1996 au Canada. Les conclusions montrent que les modèles d'établissement des Asiatiques du Sud et, de façon plus marquante, ceux des Noirs, correspondent assez bien aux attentes du modèle conventionnel de l'assimilation spatiale. L'établissement initial se fait dans des enclaves immigrantes défavorisées, d'où les immigrants de longue date ayant réussi partent afin d'acheter des maisons dans des quartiers plus aisés. Même si les « quartiers noirs » de Toronto sont, en définitive, plus pauvres que les autres quartiers de minorités, la plupart des Noirs n'y vivent pas. Par comparaison, les immigrants chinois sont rapidement prêts à acheter des maisons dans des collectivités ethniques un peu plus aisées et durables. Dans ce produit, on montre également que les Chinois n'innovent pas en la matière, mais plutôt qu'ils reproduisent, dans une large mesure, les modèles d'établissement des Européens du Sud, particulièrement les Italiens, et ce, pour les mêmes raisons (à savoir, les avantages relatifs sur le marché du logement et les faibles niveaux d'assimilation linguistique).

    Date de diffusion : 2003-07-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2003204
    Géographie : Canada, Région métropolitaine de recensement
    Description :

    À l'aide des données des recensements de 1981, 1986, 1991 et 1996, cette étude permet d'examiner le rapport entre le fait de vivre dans une enclave de minorité visible et les résultats sur le marché du travail des immigrants dans les trois plus grandes villes au Canada. Les résultats montrent que le nombre de ces enclaves, définies comme des secteurs de recensement dont la population comprend au moins 30 % de membres d'une même minorité visible (soit des Chinois, des habitants de l'Asie du Sud ou des Noirs), est passé de 6 en 1981 à 142 en 1996, cette augmentation se produisant surtout à Toronto et à Vancouver. L'association entre l'exposition à des voisins membres du même groupe et l'emploi est parfois négative, mais généralement non significative. L'association entre l'exposition à des voisins membres du même groupe et l'emploi dans une profession cloisonnée est positive, mais souvent peu significative. Le rapport entre l'exposition et les gains provenant d'un emploi est très faible. Toutefois, on constate certaines différences importantes entre les groupes. L'association entre l'exposition à des voisins membres du même groupe et les résultats sur le marché du travail est de façon générale très faible chez les immigrants chinois, mais souvent négative et forte chez les immigrants noirs.

    Date de diffusion : 2003-07-09
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