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  • Visualisation des données : 71-607-X2018013
    Description : Les comptes économiques de l'infrastructure représentent un ensemble d'énoncés statistiques qui rendent compte des répercussions économiques, sociales et environnementales liées à la production et à l'utilisation de l'infrastructure au Canada et dans chaque province et territoire. Les comptes économiques de l'infrastructure sont organisés selon un cadre statistique qui décrit les concepts, les systèmes de classification et la méthodologie nécessaires à l'établissement des comptes. Ce cadre statistique est cohérent avec le Système de comptabilité nationale du Canada, les Statistiques de finances publiques canadiennes et la balance des paiements du Canada. Cette cohérence permet aux utilisateurs d'analyser les énoncés statistiques relatifs à l'infrastructure dans le contexte de mesures économiques telles que l'investissement, le produit intérieur brut (PIB), le revenu national et le patrimoine national.
    Date de diffusion : 2022-12-14

  • Articles et rapports : 15-206-X2015039
    Description :

    Le présent document fournit les estimations mises à jour des taux de dépréciation qu’il convient d’utiliser dans les Comptes canadiens de productivité pour calculer le stock de capital et le coût d’usage du capital. Les estimations sont dérivées des courbes de dépréciation établies pour un ensemble varié d’actifs en se basant sur les profils des prix de revente et des âges de mise hors service.

    La méthode du maximum de vraisemblance est appliquée pour estimer conjointement les variations de la valeur des actifs au cours de leur vie utile, ainsi que la nature du processus de mise hors service des actifs utilisés, afin de produire les taux de dépréciation. Cette méthode convient mieux que d’autres, car elle produit des estimations dont le biais est plus faible et l’efficacité, plus élevée.

    Les estimations antérieures, calculées pour la période allant de 1985 à 2001, sont comparées à celles obtenues pour la période la plus récente, allant de 2002 à 2010.

    Date de diffusion : 2015-01-26

  • Avis et consultations : 13-605-X201400314106
    Description :

    La méthodologie utilisée pour estimer les flux et les stocks de capital fixe a été révisée afin d’accroître la cohérence du programme du stock de capital au sein du Système canadien des comptes macroéconomiques (SCCM). À cette fin, on a intégré les flux d'investissement, selon l'industrie et l'actif (niveau détaillé), directement à partir du SCCM. Les données publiées se fonderont sur la classification de la demande finale des entrées-sorties, avec des profils d'amortissement et de prix « par actif » mis à jour.

    Date de diffusion : 2014-10-17

  • Articles et rapports : 13-605-X201300211782
    Description :

    Statistique Canada a développé une méthodologie pour calculer les estimations de la valeur des biens immobiliers résidentiels à l'aide de fichiers d'évaluation des propriétés reçus de diverses municipalités de partout au Canada. Ces estimations diffèrent des estimations courantes présentées dans le Compte du bilan national. Cette note explique les différentes façons de mesurer la valeur du stock de biens immobiliers résidentiels, compare les différentes méthodes et présente aux utilisateurs des lignes directrices concernant le choix d'utiliser une estimation en particulier.

    Date de diffusion : 2013-04-25

  • Articles et rapports : 11-626-X2012007
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article de la série Aperçus économiques résume les résultats des études en cours de Statistique Canada portant sur l'investissement et l'accumulation de stock de capital. Il repose sur l'étude « Immobilisations incorporelles et croissance de la productivité au Canada ».

    Date de diffusion : 2012-06-14

  • Articles et rapports : 15-206-X2012029
    Géographie : Canada
    Description :

    Les immobilisations incorporelles sont constituées des investissements qui n'ont pas les caractéristiques matérielles solides des machines et du matériel ou des immeubles. Néanmoins, ces investissements partagent certaines caractéristiques avec d'autres types d'investissements du fait qu'ils produisent des avantages durables, découlant de dépenses qui sont effectuées aujourd'hui. Dans les Comptes nationaux, ces dépenses doivent être capitalisées plutôt que passées en charges comme matières intermédiaires, aux fins de l'estimation du produit intérieur brut (PIB).

    Dans des ouvrages récents, on s'est penché sur les problèmes liés à la mesure des actifs incorporels. Baldwin et coll. (2005) ont abordé les problèmes entourant la recherche et développement (R-D). Ils ont noté que la R-D n'est que l'une des composantes des dépenses en innovation. Baldwin et coll. (2009) ont élargi la mesure des investissements incorporels au-delà de la R-D uniquement. Évidemment, le logiciel et la R-D figurent au c'ur des investissements incorporels. Toutefois, ceux-ci sont aussi constitués des services scientifiques achetés, des services scientifiques pour compte propre, des dépenses d'exploration dans le secteur des ressources et des dépenses de publicité, parce qu'ils représentent des actifs incorporels et produisent des avantages à long terme.

    Le présent document s'inscrit dans le prolongement des travaux antérieurs des auteurs de trois façons. Tout d'abord, il élargit la recherche à plusieurs nouveaux domaines, qui sont appelés compétences économiques. Il s'agit principalement des investissements dans le capital humain, par l'entremise des investissements dans la gestion et la formation, ainsi que des services de conseils en gestion. Cela permet non seulement d'assurer une couverture plus large, mais aussi d'effectuer des comparaisons entre le Canada et les États-Unis.

    En deuxième lieu, le présent document va au-delà de la mesure simple des investissements et comprend aussi l'élaboration d'estimations du stock de capital. Cela nécessite des hypothèses concernant les taux d'amortissement. Dans les deux cas, le document repose sur des hypothèses similaires à celles utilisées ailleurs pour l'élaboration d'estimations pour les États-Unis, afin de permettre la comparabilité.

    En troisième lieu, le document intègre les estimations des immobilisations incorporelles dans le cadre comptable de la croissance, afin de comprendre son lien avec la croissance de la productivité. Une comparaison du Canada et des États-Unis à cet égard est aussi fournie.

    Date de diffusion : 2012-06-01

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2008018
    Description :

    Les données officielles produites par les organismes statistiques ne sont pas toujours idéales aux fins de comparaisons entre pays en raison de différences relatives aux sources de données et de la méthodologie. Les analystes qui procèdent à des comparaisons entre pays doivent choisir avec soin entre plusieurs options et parfois adapter les données à leurs propres fins. Dans le présent document, nous élaborons des estimations comparables du stock de capital pour examiner l'intensité relative du capital au Canada et aux États Unis.

    À cette fin, nous appliquons des taux de dépréciation communs aux actifs du Canada et des États-Unis pour produire des estimations comparables du stock de capital selon la catégorie d'actifs et selon l'industrie dans les deux pays. Après application de taux de dépréciation communs, nous concluons que l'intensité du capital est plus forte dans le secteur canadien des entreprises que dans le secteur des entreprises aux États-Unis. Il s'agit du résultat net de ratios assez différents au niveau des actifs individuels. L'intensité des actifs d'infrastructure de génie par dollar de produit intérieur brut produit est plus forte au Canada. L'intensité des actifs des machines et du matériel (M et M) liés aux technologies de l'information et des communications (TIC) est plus faible au Canada. L'intensité des actifs des M et M non TIC et des bâtiments est semblable dans les deux pays.

    Toutefois, ces résultats ne tiennent pas compte du fait que les différentes intensités du capital selon les actifs au Canada et aux États-Unis peuvent provenir d'une structure industrielle différente. Lorsque les actifs et la structure industrielle sont pris en compte, la situation globale est un peu modifiée. Au Canada, l'intensité des actifs d'infrastructure de génie est toujours plus forte et l'intensité des actifs des bâtiments demeure semblable; toutefois, ce pays enregistre un déficit en intensité des actifs des M et M qui surpasse celui des actifs des TIC.

    Date de diffusion : 2008-07-10

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2008016
    Description :

    Ce document porte sur le rôle des investissements dans l'infrastructure au Canada. Notre pays se démarque des autres pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques par la taille des investissements dans son infrastructure par rapport à d'autres stocks de capital. Nous examinons dans ce document les approches adoptées par d'autres chercheurs pour définir l'infrastructure. Nous exposons ensuite une taxonomie servant à définir les actifs qu'il y a lieu de considérer comme des infrastructures et pouvant être utilisée pour déterminer l'importance de différents types de dépenses en immobilisations. Nous examinons brièvement comment définir la partie de l'infrastructure qu'il y a lieu de considérer comme « publique ». Dans les deux dernières parties du document, nous appliquons le système de classification proposé aux données sur le stock de capital du Canada et nous tâchons de répondre aux questions suivantes : Quelle est la taille de l'infrastructure en place au Canada? Dans quels secteurs de l'économie se trouve cette infrastructure? Enfin, nous examinons comment l'infrastructure du Canada a évolué au cours des 40 dernières années dans les secteurs commercial et non commercial et nous comparons ces tendances au profil pour les États Unis.

    Date de diffusion : 2008-03-12

  • Articles et rapports : 11F0027M2007048
    Géographie : Canada
    Description :

    Les évaluations du rendement d'une économie se basent souvent sur une mesure du produit intérieur brut (PIB) réel par habitant, lequel représente la rémunération moyenne (revenu du travail plus services du capital) générée par la production intérieure au sein d'une économie.

    Puisque le PIB réel est une mesure en dollars constants de la rémunération attribuable au capital et au travail au sein d'une économie, il ne rend pas compte de qui détient le capital, de quelle part de ce capital est utilisée par la production ou de l'incidence des variations des prix relatifs sur le volume de biens et services pouvant être achetés.

    Il est possible de modifier les estimations traditionnelles du PIB de façon à tenir compte de ces facteurs. Le présent document examine le rendement de l'économie canadienne selon d'autres mesures, notamment le revenu intérieur brut (RIB), le revenu national brut (RNB) et le revenu national net (RNN). Ce document examine aussi le rendement relatif des économies canadienne et américaine selon des mesures type du PIB et ces autres mesures.

    La comparaison couvre la période de 1980 à 2006, en accordant une attention plus particulière à la période de 2002 à 2006. Au cours de ces dernières années, les fluctuations au niveau du prix des produits de base, du prix des produits manufacturés, du taux de change, des revenus de placements internationaux et de la consommation de capital ont fortement contribué à la croissance du revenu réel du Canada.

    En conséquence, un tableau très différent du rendement relatif des économies canadienne et américaine émerge lorsqu'une mesure du revenu agrégé tenant compte des variations de prix relatifs, des mouvements de revenus internationaux et de la consommation de capital est utilisée plutôt que le PIB réel. De 2002 à 2006, on a observé une croissance de l'ordre de 9,3 % du PIB réel par habitant des États-Unis comparativement à une croissance de 7,0 % du PIB par habitant du Canada, donnant l'impression que le rendement de l'économie américaine était supérieur à celui de l'économie canadienne. Lorsqu'on tient compte des fluctuations au niveau des prix des ressources et du taux de change, des revenus de placements internationaux et de la consommation de capital, le revenu réel par habitant des États-Unis a augmenté de 8,6 %, ce qui est semblable à la croissance de leur PIB par habitant. Toutefois, la mesure canadienne ajustée de la croissance du revenu réel par habitant a augmenté à 15,6 %, soit plus que le double de la croissance du PIB réel par habitant du Canada et presque deux fois le taux américain.

    En comparaison, la différence entre les deux économies est exactement l'inverse pour la période allant de 1980 à 2000, alors que les prix des produits de base étaient à la baisse, que les taux de change n'augmentaient pas et que les mouvements vers l'extérieur de revenus aux étrangers étaient à la hausse par rapport aux revenus versés aux Canadiens. Pour cette période, lorsqu'on tient compte de ces facteurs, les mesures du revenu réel du Canada étaient à la baisse par rapport à celles des États-Unis.

    Date de diffusion : 2007-11-22

  • Revues et périodiques : 15-549-X
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document fournit des données empiriques sur les formes et les taux réels de dépréciation économique pour un ensemble complet d'actifs. Fondée sur une base de microdonnées canadiennes sur l'achat et la cession de biens d'équipement tirées de l'Enquête sur les dépenses en immobilisations (EDI) menée par Statistique Canada, l'étude permet d'estimer les taux de dépréciation pour 36 catégories d'actifs, qui représentent la moyenne du stock de capital des entreprises canadiennes. Les taux de dépréciation des actifs restants sont calés à l'aide de la relation moyenne âge prix provenant des estimations et les durées de vie utile découlant des données de EDI. Les répercussions des taux de dépréciation estimés sur le stock de capital canadien et les déductions pour amortissement sont également présentées.

    Date de diffusion : 2007-09-26
Données (3)

Données (3) ((3 résultats))

  • Visualisation des données : 71-607-X2018013
    Description : Les comptes économiques de l'infrastructure représentent un ensemble d'énoncés statistiques qui rendent compte des répercussions économiques, sociales et environnementales liées à la production et à l'utilisation de l'infrastructure au Canada et dans chaque province et territoire. Les comptes économiques de l'infrastructure sont organisés selon un cadre statistique qui décrit les concepts, les systèmes de classification et la méthodologie nécessaires à l'établissement des comptes. Ce cadre statistique est cohérent avec le Système de comptabilité nationale du Canada, les Statistiques de finances publiques canadiennes et la balance des paiements du Canada. Cette cohérence permet aux utilisateurs d'analyser les énoncés statistiques relatifs à l'infrastructure dans le contexte de mesures économiques telles que l'investissement, le produit intérieur brut (PIB), le revenu national et le patrimoine national.
    Date de diffusion : 2022-12-14

  • 2. Télédistribution Archivé
    Tableau : 56-205-X
    Description :

    Cette publication en ligne présente annuellement des statistiques financières détaillées sur l'industrie canadienne de la télédistribution. Des résultats d'exploitation sont publiés sur les abonnés, les ménages ayant accès au câble, les kilomètres de câble, la capacité des canaux et le nombre d'heures d'émission. Les statistiques financières inclus un état des revenus et dépenses, un bilan et unétat de l'évolution de la situation financière. Le préambule aux tableaux statistiques indique des faits saillants, une analyse écrite et des tableaux sommaires sur l'industrie. Elle comprend également un glossaire des termes.

    Date de diffusion : 2000-06-21

  • Tableau : 11-516-X
    Description :

    La deuxième édition des Statistiques historiques du Canada a été produite conjointement par la Fédération canadienne des sciences sociales et Statistique Canada, en 1983. Cet ouvrage comprend environ 1 088 tableaux statistiques sur la situation sociale, économique et institutionnelle du Canada, du début de la Confédération, en 1867, au milieu des années 70. Les tableaux sont disposés en sections, lesquelles comportent une introduction qui explique le contenu de chaque section ainsi que les sources principales de données pour chaque tableau, et des notes explicatives générales concernant les statistiques. Dans la plupart des cas, la description des séries individuelles est suffisante pour permettre aux lecteurs de les utiliser sans avoir à consulter les nombreuses sources dont il est fait état dans la publication.

    La version électronique de cette publication historique est accessible dans le site Internet de Statistique Canada, à titre de document téléchargeable sans frais : texte en HTML et tous les tableaux sous forme de chiffriers électroniques individuels en format csv (qui permet le visionnement ou le téléchargement direct).

    Date de diffusion : 1999-07-29
Analyses (14)

Analyses (14) (0 à 10 de 14 résultats)

  • Articles et rapports : 15-206-X2015039
    Description :

    Le présent document fournit les estimations mises à jour des taux de dépréciation qu’il convient d’utiliser dans les Comptes canadiens de productivité pour calculer le stock de capital et le coût d’usage du capital. Les estimations sont dérivées des courbes de dépréciation établies pour un ensemble varié d’actifs en se basant sur les profils des prix de revente et des âges de mise hors service.

    La méthode du maximum de vraisemblance est appliquée pour estimer conjointement les variations de la valeur des actifs au cours de leur vie utile, ainsi que la nature du processus de mise hors service des actifs utilisés, afin de produire les taux de dépréciation. Cette méthode convient mieux que d’autres, car elle produit des estimations dont le biais est plus faible et l’efficacité, plus élevée.

    Les estimations antérieures, calculées pour la période allant de 1985 à 2001, sont comparées à celles obtenues pour la période la plus récente, allant de 2002 à 2010.

    Date de diffusion : 2015-01-26

  • Articles et rapports : 13-605-X201300211782
    Description :

    Statistique Canada a développé une méthodologie pour calculer les estimations de la valeur des biens immobiliers résidentiels à l'aide de fichiers d'évaluation des propriétés reçus de diverses municipalités de partout au Canada. Ces estimations diffèrent des estimations courantes présentées dans le Compte du bilan national. Cette note explique les différentes façons de mesurer la valeur du stock de biens immobiliers résidentiels, compare les différentes méthodes et présente aux utilisateurs des lignes directrices concernant le choix d'utiliser une estimation en particulier.

    Date de diffusion : 2013-04-25

  • Articles et rapports : 11-626-X2012007
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article de la série Aperçus économiques résume les résultats des études en cours de Statistique Canada portant sur l'investissement et l'accumulation de stock de capital. Il repose sur l'étude « Immobilisations incorporelles et croissance de la productivité au Canada ».

    Date de diffusion : 2012-06-14

  • Articles et rapports : 15-206-X2012029
    Géographie : Canada
    Description :

    Les immobilisations incorporelles sont constituées des investissements qui n'ont pas les caractéristiques matérielles solides des machines et du matériel ou des immeubles. Néanmoins, ces investissements partagent certaines caractéristiques avec d'autres types d'investissements du fait qu'ils produisent des avantages durables, découlant de dépenses qui sont effectuées aujourd'hui. Dans les Comptes nationaux, ces dépenses doivent être capitalisées plutôt que passées en charges comme matières intermédiaires, aux fins de l'estimation du produit intérieur brut (PIB).

    Dans des ouvrages récents, on s'est penché sur les problèmes liés à la mesure des actifs incorporels. Baldwin et coll. (2005) ont abordé les problèmes entourant la recherche et développement (R-D). Ils ont noté que la R-D n'est que l'une des composantes des dépenses en innovation. Baldwin et coll. (2009) ont élargi la mesure des investissements incorporels au-delà de la R-D uniquement. Évidemment, le logiciel et la R-D figurent au c'ur des investissements incorporels. Toutefois, ceux-ci sont aussi constitués des services scientifiques achetés, des services scientifiques pour compte propre, des dépenses d'exploration dans le secteur des ressources et des dépenses de publicité, parce qu'ils représentent des actifs incorporels et produisent des avantages à long terme.

    Le présent document s'inscrit dans le prolongement des travaux antérieurs des auteurs de trois façons. Tout d'abord, il élargit la recherche à plusieurs nouveaux domaines, qui sont appelés compétences économiques. Il s'agit principalement des investissements dans le capital humain, par l'entremise des investissements dans la gestion et la formation, ainsi que des services de conseils en gestion. Cela permet non seulement d'assurer une couverture plus large, mais aussi d'effectuer des comparaisons entre le Canada et les États-Unis.

    En deuxième lieu, le présent document va au-delà de la mesure simple des investissements et comprend aussi l'élaboration d'estimations du stock de capital. Cela nécessite des hypothèses concernant les taux d'amortissement. Dans les deux cas, le document repose sur des hypothèses similaires à celles utilisées ailleurs pour l'élaboration d'estimations pour les États-Unis, afin de permettre la comparabilité.

    En troisième lieu, le document intègre les estimations des immobilisations incorporelles dans le cadre comptable de la croissance, afin de comprendre son lien avec la croissance de la productivité. Une comparaison du Canada et des États-Unis à cet égard est aussi fournie.

    Date de diffusion : 2012-06-01

  • Articles et rapports : 11F0027M2007048
    Géographie : Canada
    Description :

    Les évaluations du rendement d'une économie se basent souvent sur une mesure du produit intérieur brut (PIB) réel par habitant, lequel représente la rémunération moyenne (revenu du travail plus services du capital) générée par la production intérieure au sein d'une économie.

    Puisque le PIB réel est une mesure en dollars constants de la rémunération attribuable au capital et au travail au sein d'une économie, il ne rend pas compte de qui détient le capital, de quelle part de ce capital est utilisée par la production ou de l'incidence des variations des prix relatifs sur le volume de biens et services pouvant être achetés.

    Il est possible de modifier les estimations traditionnelles du PIB de façon à tenir compte de ces facteurs. Le présent document examine le rendement de l'économie canadienne selon d'autres mesures, notamment le revenu intérieur brut (RIB), le revenu national brut (RNB) et le revenu national net (RNN). Ce document examine aussi le rendement relatif des économies canadienne et américaine selon des mesures type du PIB et ces autres mesures.

    La comparaison couvre la période de 1980 à 2006, en accordant une attention plus particulière à la période de 2002 à 2006. Au cours de ces dernières années, les fluctuations au niveau du prix des produits de base, du prix des produits manufacturés, du taux de change, des revenus de placements internationaux et de la consommation de capital ont fortement contribué à la croissance du revenu réel du Canada.

    En conséquence, un tableau très différent du rendement relatif des économies canadienne et américaine émerge lorsqu'une mesure du revenu agrégé tenant compte des variations de prix relatifs, des mouvements de revenus internationaux et de la consommation de capital est utilisée plutôt que le PIB réel. De 2002 à 2006, on a observé une croissance de l'ordre de 9,3 % du PIB réel par habitant des États-Unis comparativement à une croissance de 7,0 % du PIB par habitant du Canada, donnant l'impression que le rendement de l'économie américaine était supérieur à celui de l'économie canadienne. Lorsqu'on tient compte des fluctuations au niveau des prix des ressources et du taux de change, des revenus de placements internationaux et de la consommation de capital, le revenu réel par habitant des États-Unis a augmenté de 8,6 %, ce qui est semblable à la croissance de leur PIB par habitant. Toutefois, la mesure canadienne ajustée de la croissance du revenu réel par habitant a augmenté à 15,6 %, soit plus que le double de la croissance du PIB réel par habitant du Canada et presque deux fois le taux américain.

    En comparaison, la différence entre les deux économies est exactement l'inverse pour la période allant de 1980 à 2000, alors que les prix des produits de base étaient à la baisse, que les taux de change n'augmentaient pas et que les mouvements vers l'extérieur de revenus aux étrangers étaient à la hausse par rapport aux revenus versés aux Canadiens. Pour cette période, lorsqu'on tient compte de ces facteurs, les mesures du revenu réel du Canada étaient à la baisse par rapport à celles des États-Unis.

    Date de diffusion : 2007-11-22

  • Revues et périodiques : 15-549-X
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document fournit des données empiriques sur les formes et les taux réels de dépréciation économique pour un ensemble complet d'actifs. Fondée sur une base de microdonnées canadiennes sur l'achat et la cession de biens d'équipement tirées de l'Enquête sur les dépenses en immobilisations (EDI) menée par Statistique Canada, l'étude permet d'estimer les taux de dépréciation pour 36 catégories d'actifs, qui représentent la moyenne du stock de capital des entreprises canadiennes. Les taux de dépréciation des actifs restants sont calés à l'aide de la relation moyenne âge prix provenant des estimations et les durées de vie utile découlant des données de EDI. Les répercussions des taux de dépréciation estimés sur le stock de capital canadien et les déductions pour amortissement sont également présentées.

    Date de diffusion : 2007-09-26

  • Articles et rapports : 11F0027M2006039
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent rapport porte sur deux questions trop peu étudiées, mais qui deviennent de plus en plus importantes, à savoir la mesure de l'intégration régionale et les avantages régionaux de l'intégration économique nord américaine. L'objectif est d'évaluer l'intégration des diverses régions du Canada et des États-Unis dans le secteur de la fabrication et d'étudier, au niveau régional, l'effet de l'intensification de l'intégration commerciale sur la croissance de la productivité et sur certaines autres variables du rendement économique.

    Notre étude montre que l'intégration du commerce de produits manufacturés entre les États-Unis et le Canada et chacune de ses régions s'accentue, mais qu'elle est beaucoup plus importante en Ontario que dans le reste du Canada. Bien qu'elle se soit traduite dans toutes les régions par un accroissement de la productivité, une hausse des salaires et une plus forte croissance de la production, l'Ontario a été le principal bénéficiaire. Nous ne dégageons aucune preuve qu'une plus grande intégration du commerce de produits manufacturés avec les États-Unis a eu d'autres conséquences que des pertes d'emplois à court terme résultant d'un ajustement. Le Canada et chacune de ses régions ont vu augmenter leur part de la fabrication nord américaine, résultat fort différent des conjectures voulant que ce soit les États-Unis et non le Canada qui voient croître leur part de la production nord américaine (Krugman, 1980).

    Date de diffusion : 2006-05-31

  • Articles et rapports : 11-621-M2006035
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans la présente étude, on examine l'âge moyen des quatre principales composantes de l'infrastructure publique au Canada : les routes et les autoroutes, le réseau de drainage des eaux, les installations de traitement des eaux usées et les ponts. Leur évolution est étudiée de 1963 à 2003 pour les trois ordres de gouvernement.

    Date de diffusion : 2006-01-30

  • Articles et rapports : 11F0027M2005033
    Géographie : Canada
    Description :

    Les disparitions d'usines sont une conséquence de l'échec des entreprises qui sortent d'un secteur. Ces disparitions sont également associées au renouvellement qui se produit lorsque les entreprises existantes ferment des usines et modernisent leurs installations de production et lorsqu'elles démarrent de nouvelles usines.

    Le taux de disparition d'usines a une incidence sur l'ampleur du changement qui se produit sur les marchés du capital et du travail. Les disparitions d'usines entraînent des pertes d'emplois et d'importants coûts sur le plan humain lorsque les employés sont obligés de chercher d'autre travail. Le processus de disparition entraîne également des pertes en capital, soit la perte de l'investissement fait par le système industriel dans la capacité de production. Nous nous fondons ici sur les données sur les disparitions d'usines pour fournir de nouveaux renseignements sur la durée de vie probable du capital investi dans les usines.

    Dans la présente étude, nous mesurons le taux de disparition de nouvelles usines dans le secteur canadien de la fabrication au cours d'une période de 40 ans. Nous élaborons un profil du taux de disparition des usines entrantes au fil du temps. En moyenne, 14 % des nouvelles usines disparaissent au cours de leur première année d'exploitation. Plus de la moitié des nouvelles usines disparaissent avant d'atteindre leur sixième anniversaire. Quinze ans après leur entrée, moins de 20 % demeurent en exploitation.

    Les usines de fabrication ont donc une durée de vie relativement courte. En moyenne, la durée de vie d'une nouvelle usine est de neuf ans seulement (17 ans si la moyenne est pondérée par l'emploi). Ces taux varient selon le secteur industriel. On observe la durée de vie la plus longue (13 ans) dans deux industries, soit celle de première transformation des métaux et celle du papier et des produits connexes. La durée de vie moyenne la plus courte (moins de huit ans) s'observe dans les industries du bois.

    Date de diffusion : 2005-05-04

  • Articles et rapports : 11-010-X20050047828
    Géographie : Canada
    Description :

    La croissance s'est améliorée en 2004, une partie de l'économie mondiale ayant enregistré sa meilleure croissance en 3 décennies. Le boom des marchandises et l'essor croissant du huard ont poussé l'excédent commercial à un nouveau record et ont contribué à sortir l'investissement d'un marasme qui a duré 3 ans. L'énergie, surtout dans les sables bitumineux, était au centre de la reprise des ressources. Le logement a également bénéficié d'une bonne année. La croissance était étendue à toutes les provinces et aux principales industries. Aucune des principales industries et aucune province n'ont enregistré de recul.

    Date de diffusion : 2005-04-14
Références (7)

Références (7) ((7 résultats))

  • Avis et consultations : 13-605-X201400314106
    Description :

    La méthodologie utilisée pour estimer les flux et les stocks de capital fixe a été révisée afin d’accroître la cohérence du programme du stock de capital au sein du Système canadien des comptes macroéconomiques (SCCM). À cette fin, on a intégré les flux d'investissement, selon l'industrie et l'actif (niveau détaillé), directement à partir du SCCM. Les données publiées se fonderont sur la classification de la demande finale des entrées-sorties, avec des profils d'amortissement et de prix « par actif » mis à jour.

    Date de diffusion : 2014-10-17

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2008018
    Description :

    Les données officielles produites par les organismes statistiques ne sont pas toujours idéales aux fins de comparaisons entre pays en raison de différences relatives aux sources de données et de la méthodologie. Les analystes qui procèdent à des comparaisons entre pays doivent choisir avec soin entre plusieurs options et parfois adapter les données à leurs propres fins. Dans le présent document, nous élaborons des estimations comparables du stock de capital pour examiner l'intensité relative du capital au Canada et aux États Unis.

    À cette fin, nous appliquons des taux de dépréciation communs aux actifs du Canada et des États-Unis pour produire des estimations comparables du stock de capital selon la catégorie d'actifs et selon l'industrie dans les deux pays. Après application de taux de dépréciation communs, nous concluons que l'intensité du capital est plus forte dans le secteur canadien des entreprises que dans le secteur des entreprises aux États-Unis. Il s'agit du résultat net de ratios assez différents au niveau des actifs individuels. L'intensité des actifs d'infrastructure de génie par dollar de produit intérieur brut produit est plus forte au Canada. L'intensité des actifs des machines et du matériel (M et M) liés aux technologies de l'information et des communications (TIC) est plus faible au Canada. L'intensité des actifs des M et M non TIC et des bâtiments est semblable dans les deux pays.

    Toutefois, ces résultats ne tiennent pas compte du fait que les différentes intensités du capital selon les actifs au Canada et aux États-Unis peuvent provenir d'une structure industrielle différente. Lorsque les actifs et la structure industrielle sont pris en compte, la situation globale est un peu modifiée. Au Canada, l'intensité des actifs d'infrastructure de génie est toujours plus forte et l'intensité des actifs des bâtiments demeure semblable; toutefois, ce pays enregistre un déficit en intensité des actifs des M et M qui surpasse celui des actifs des TIC.

    Date de diffusion : 2008-07-10

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2008016
    Description :

    Ce document porte sur le rôle des investissements dans l'infrastructure au Canada. Notre pays se démarque des autres pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques par la taille des investissements dans son infrastructure par rapport à d'autres stocks de capital. Nous examinons dans ce document les approches adoptées par d'autres chercheurs pour définir l'infrastructure. Nous exposons ensuite une taxonomie servant à définir les actifs qu'il y a lieu de considérer comme des infrastructures et pouvant être utilisée pour déterminer l'importance de différents types de dépenses en immobilisations. Nous examinons brièvement comment définir la partie de l'infrastructure qu'il y a lieu de considérer comme « publique ». Dans les deux dernières parties du document, nous appliquons le système de classification proposé aux données sur le stock de capital du Canada et nous tâchons de répondre aux questions suivantes : Quelle est la taille de l'infrastructure en place au Canada? Dans quels secteurs de l'économie se trouve cette infrastructure? Enfin, nous examinons comment l'infrastructure du Canada a évolué au cours des 40 dernières années dans les secteurs commercial et non commercial et nous comparons ces tendances au profil pour les États Unis.

    Date de diffusion : 2008-03-12

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2007009
    Description :

    Le but de l'étude est d'examiner les effets de diverses méthodes de calcul du coût d'usage du capital sur les estimations des indices de prix et de volume des services de capital. Nous déterminons la sensibilité des résultats à l'utilisation d'un taux de rendement exogène par opposition à endogène, à divers moyens d'inclure les gains en capital et à l'ajout ou non de corrections pour tenir compte des paramètres fiscaux. Enfin, nous étudions l'effet des diverses formules du coût d'usage du capital sur l'estimation de la croissance de la productivité multifactorielle.

    Date de diffusion : 2007-04-04

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2007005
    Description :

    Le présent document décrit la production, pour un ensemble varié d'actifs, de diverses courbes de dépréciation fondées sur les profils des prix de revente et des mises hors service. Cet exercice permet d'étudier la sensibilité des estimations de la croissance du stock de capital et des services du capital à divers modèles d'estimation de la dépréciation.

    Premièrement, nous recourons aux techniques d'analyse de la survie pour estimer les variations de la valeur de l'actif durant sa vie utile. Deuxièmement, nous suivons une méthode en deux étapes où nous estimons d'abord la fonction de mise hors service des actifs usagés (actifs mis hors service à un prix nul), puis utilisons les estimations résultantes pour corriger le biais de sélection qui a lieu lorsqu'on utilise uniquement des prix d'actifs usagés positifs pour produire les courbes âge prix en vue de calculer les taux de dépréciation. Enfin, une troisième méthode consiste à spécifier et à estimer conjointement une fonction de mise hors service et une fonction d'efficacité de l'actif.

    Ces trois méthodes produisent des courbes de dépréciation de forme convexe. Un profil de dépréciation accélérée se dégage pour bon nombre d'actifs classés dans la catégorie des machines et du matériel et celle des bâtiments et travaux de génie.

    Nous comparons aussi les estimations ex post de la durée de vie utile qui sont fondées sur les résultats à la durée de vie prévue ex ante et constatons qu'elles sont fort semblables. Par conséquent, nous choisissons de nous servir des valeurs ex ante de la durée de vie et de l'information tirée des taux ex post sur la vitesse de diminution de la valeur d'un actif en vue de générer un ensemble de taux de dépréciation utilisables dans les comptes de productivité.

    Enfin, nous utilisons notre modèle de dépréciation pour produire des estimations de la croissance du stock de capital et des services du capital au cours de la période allant de 1961 à 1996. Nous constatons que les estimations résultantes du stock de capital et des services du capital sont forts semblables à celles calculées antérieurement.

    Date de diffusion : 2007-02-12

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 11F0026M2005004
    Description :

    Un organisme de statistique est appelé à relever plusieurs défis lorsqu'il élabore des comptes de productivité. Pour mesurer la productivité, il faut comparer la production et les facteurs de production ou intrants.

    Le présent document porte sur les défis qu'un organisme de statistique est appelé à relever dans ce domaine, comme le montre l'expérience canadienne. En premier lieu, nous examinons les progrès réalisés sur le plan de l'élaboration d'un système permettant d'intégrer les comptes de productivité à l'ensemble du Système de comptabilité nationale. Nous examinons également les lacunes qui restent à combler. Enfin, nous nous penchons dans le présent document sur la question de savoir s'il y a lieu d'élargir le contenu du manuel du SCN en incluant la mesure de la productivité. Nous soutenons dans le présent document qu'étant donné les avantages notables que procure l'intégration des comptes de productivité aux comptes généraux, le moment est venu d'inclure plus de détails sur la nature des comptes de productivité dans le cadre général du SCN.

    Date de diffusion : 2005-04-28

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-002-M2001001
    Description :

    Dans ce document, on décrit les sources, les méthodes et les concepts utilisés par les Comptes canadiens de productivité et on les compare aux sources, aux méthodes et aux concepts américains.

    Date de diffusion : 2004-12-24
Date de modification :