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- Articles et rapports : 11F0027M2010065Géographie : CanadaDescription :
Le but du présent article est double. En premier lieu, les auteurs fournissent une matrice de comptabilité sociale (MCS) détaillée pour l'économie canadienne en 2004. Cette matrice permet d'intégrer les flux financiers et les flux de revenus dans la matrice d'entrées-sorties usuelle. Deuxièmement, ils utilisent cette MCS pour évaluer la force des liens entre l'économie réelle et le secteur financier, en calculant les multiplicateurs réels de la MCS et les multiplicateurs financiers de la MCS et en les comparant. Pour les multiplicateurs financiers de la MCS, les flux financiers sont endogènes, tandis que pour les multiplicateurs réels de la MCS, ils ne le sont pas. Les résultats montrent que si l'on tient compte des flux financiers, l'effet d'un choc de la demande finale sur la production du Canada augmente. Les flux financiers jouent aussi un rôle important dans l'effet cumulatif d'un choc du revenu ou de la disponibilité de capitaux pour l'investissement. Entre 2008 et la première moitié de 2009, les institutions financières ont plutôt investi dans des actifs financiers (obligations d'État, effets à court terme et investissements étrangers). Ce changement, conjugué au fait que les institutions non-financières n'étaient pas disposées à accroître leur passif financier ou n'étaient pas capables de le faire, s'est traduit par une diminution estimée de tous les multiplicateurs du produit intérieur brut (PIB) entre 2008 et la première moitié de 2009 (2009M1). L'avantage principal d'effectuer une analyse à l'aide d'un modèle d'entrées-sorties élargi est que celui-ci fournit un cadre de travail simple, qui comprend peu d'hypothèses et permet l'évaluation de la force des liens entre l'économie réelle et le secteur financier au moyen de multiplicateurs. Toutefois, la méthode est exposée à la critique de Lucas selon laquelle, quand les chocs font varier les prix, les agents ne peuvent pas s'adapter. Néanmoins, ce genre de cadre convient à l'examen d'un effet à court terme comme dans le cas présent.
Date de diffusion : 2011-05-20 - Articles et rapports : 11F0027M2008050Géographie : CanadaDescription :
La présente étude a pour but de déterminer si le taux des obligations d'État à long terme peut ou non être raisonnablement employé comme taux de rendement du capital public dans le calcul du produit intérieur brut du secteur public. Elle indique que le taux de rendement du capital public est souvent plus faible que celui publié et qu'il concorde approximativement avec celui du capital privé. Étant donné qu'il existe une gamme d'estimations plausibles, nous concluons que le taux des obligations d'État à long terme pourrait être utilisé comme estimation prudente du taux de rendement de l'infrastructure publique.
Des études antérieures ont révélé que les estimations fondées sur la fonction de production ont tendance à donner des taux de rendement incroyablement élevés, tandis que celles fondées sur la fonction de coût semblent fournir des résultats plus raisonnables. Nous montrons dans le présent document que la croissance du capital public et celle de la productivité totale des facteurs (PTF) évoluent de la même façon et soutenons que les estimations de l'effet du capital public fondées sur la fonction de production surestiment par conséquent cet effet, parce qu'elles englobent une partie de ce qui est inclus dans les estimations de la PTF. Nous montrons aussi que la similarité entre la croissance du capital public et celle de la PTF donne lieu à un grand intervalle de confiance autour des estimations de l'élasticité du capital public produites d'après le cadre de la fonction de production. Par la suite nous calculons un intervalle de confiance d'après la fonction de production d'abord estimée en tenant compte de la croissance de la PTF, puis en n'en tenant pas compte. Ensuite, nous utilisons une fonction de coût pour obtenir des estimations plus précises de la réduction des coûts marginaux attribuable au capital public. Fait important, l'estimation calculée d'après la fonction de coût se situe dans la partie inférieure de l'intervalle de confiance établi d'après la fonction de production. Nous montrons alors que le taux de rendement associé aux estimations chevauchantes couvre un intervalle qui s'étend du taux moyen des obligations d'État à long terme au taux de rendement du capital privé.
Date de diffusion : 2008-04-15 - Articles et rapports : 67F0001M1997002Géographie : CanadaDescription :
Dans ce document, on met l'accent sur les avoirs étrangers en obligations canadiennes. On identifie également les grandes régions géographiques étrangères où ces obligations sont détenues; les secteurs canadiens qui ont émis ces obligations; la devise de paiements de ces obligations; la période qui reste jusqu'à échéance de ces obligations; et enfin les dépenses d'intérêt engagées sur ces obligations.
Date de diffusion : 1997-05-13 - Articles et rapports : 67F0001M1997006Géographie : CanadaDescription :
Dans ce document, on décrit comment la mondialisation a influé sur les composantes du bilan externe du Canada à partir du milieu des années 1970.
Date de diffusion : 1997-05-13
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- Articles et rapports : 11F0027M2010065Géographie : CanadaDescription :
Le but du présent article est double. En premier lieu, les auteurs fournissent une matrice de comptabilité sociale (MCS) détaillée pour l'économie canadienne en 2004. Cette matrice permet d'intégrer les flux financiers et les flux de revenus dans la matrice d'entrées-sorties usuelle. Deuxièmement, ils utilisent cette MCS pour évaluer la force des liens entre l'économie réelle et le secteur financier, en calculant les multiplicateurs réels de la MCS et les multiplicateurs financiers de la MCS et en les comparant. Pour les multiplicateurs financiers de la MCS, les flux financiers sont endogènes, tandis que pour les multiplicateurs réels de la MCS, ils ne le sont pas. Les résultats montrent que si l'on tient compte des flux financiers, l'effet d'un choc de la demande finale sur la production du Canada augmente. Les flux financiers jouent aussi un rôle important dans l'effet cumulatif d'un choc du revenu ou de la disponibilité de capitaux pour l'investissement. Entre 2008 et la première moitié de 2009, les institutions financières ont plutôt investi dans des actifs financiers (obligations d'État, effets à court terme et investissements étrangers). Ce changement, conjugué au fait que les institutions non-financières n'étaient pas disposées à accroître leur passif financier ou n'étaient pas capables de le faire, s'est traduit par une diminution estimée de tous les multiplicateurs du produit intérieur brut (PIB) entre 2008 et la première moitié de 2009 (2009M1). L'avantage principal d'effectuer une analyse à l'aide d'un modèle d'entrées-sorties élargi est que celui-ci fournit un cadre de travail simple, qui comprend peu d'hypothèses et permet l'évaluation de la force des liens entre l'économie réelle et le secteur financier au moyen de multiplicateurs. Toutefois, la méthode est exposée à la critique de Lucas selon laquelle, quand les chocs font varier les prix, les agents ne peuvent pas s'adapter. Néanmoins, ce genre de cadre convient à l'examen d'un effet à court terme comme dans le cas présent.
Date de diffusion : 2011-05-20 - Articles et rapports : 11F0027M2008050Géographie : CanadaDescription :
La présente étude a pour but de déterminer si le taux des obligations d'État à long terme peut ou non être raisonnablement employé comme taux de rendement du capital public dans le calcul du produit intérieur brut du secteur public. Elle indique que le taux de rendement du capital public est souvent plus faible que celui publié et qu'il concorde approximativement avec celui du capital privé. Étant donné qu'il existe une gamme d'estimations plausibles, nous concluons que le taux des obligations d'État à long terme pourrait être utilisé comme estimation prudente du taux de rendement de l'infrastructure publique.
Des études antérieures ont révélé que les estimations fondées sur la fonction de production ont tendance à donner des taux de rendement incroyablement élevés, tandis que celles fondées sur la fonction de coût semblent fournir des résultats plus raisonnables. Nous montrons dans le présent document que la croissance du capital public et celle de la productivité totale des facteurs (PTF) évoluent de la même façon et soutenons que les estimations de l'effet du capital public fondées sur la fonction de production surestiment par conséquent cet effet, parce qu'elles englobent une partie de ce qui est inclus dans les estimations de la PTF. Nous montrons aussi que la similarité entre la croissance du capital public et celle de la PTF donne lieu à un grand intervalle de confiance autour des estimations de l'élasticité du capital public produites d'après le cadre de la fonction de production. Par la suite nous calculons un intervalle de confiance d'après la fonction de production d'abord estimée en tenant compte de la croissance de la PTF, puis en n'en tenant pas compte. Ensuite, nous utilisons une fonction de coût pour obtenir des estimations plus précises de la réduction des coûts marginaux attribuable au capital public. Fait important, l'estimation calculée d'après la fonction de coût se situe dans la partie inférieure de l'intervalle de confiance établi d'après la fonction de production. Nous montrons alors que le taux de rendement associé aux estimations chevauchantes couvre un intervalle qui s'étend du taux moyen des obligations d'État à long terme au taux de rendement du capital privé.
Date de diffusion : 2008-04-15 - Articles et rapports : 67F0001M1997002Géographie : CanadaDescription :
Dans ce document, on met l'accent sur les avoirs étrangers en obligations canadiennes. On identifie également les grandes régions géographiques étrangères où ces obligations sont détenues; les secteurs canadiens qui ont émis ces obligations; la devise de paiements de ces obligations; la période qui reste jusqu'à échéance de ces obligations; et enfin les dépenses d'intérêt engagées sur ces obligations.
Date de diffusion : 1997-05-13 - Articles et rapports : 67F0001M1997006Géographie : CanadaDescription :
Dans ce document, on décrit comment la mondialisation a influé sur les composantes du bilan externe du Canada à partir du milieu des années 1970.
Date de diffusion : 1997-05-13
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