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- 1. Une approche arborescente de la formation de strates dans les enquêtes-entreprises polyvalentes ArchivéArticles et rapports : 12-001-X200800210760Description :
Pour concevoir un échantillon aléatoire simple stratifié sans remise à partir d'une population finie, il faut résoudre deux grandes questions : définir une règle de partition de la population en strates et répartir les unités d'échantillonnage entre les strates sélectionnées. Dans le présent article, nous examinons une stratégie arborescente en vue d'aborder conjointement ces deux questions quand l'enquête est polyvalente et que de l'information multivariée, quantitative ou qualitative, est disponible. Nous formons les strates à l'aide d'un algorithme divisif hiérarchique qui sélectionne des partitions de plus en plus fines en minimisant, à chaque étape, la répartition d'échantillon requise pour atteindre les niveaux de précision établis pour chaque variable étudiée. De cette façon, nous pouvons satisfaire un grand nombre de contraintes sans augmenter fortement la taille globale d'échantillon et sans écarter certaines variables sélectionnées pour la stratification ni diminuer le nombre de leurs intervalles de classe. En outre, l'algorithme a tendance à ne pas définir de strate vide ou presque vide, ce qui évite de devoir regrouper certaines strates. Nous avons appliqué la méthode au remaniement de l'Enquête sur la structure des exploitations agricoles en Italie. Les résultats indiquent que le gain d'efficacité réalisé en utilisant notre stratégie n'est pas trivial. Pour une taille d'échantillon donnée, cette méthode permet d'obtenir la précision requise en exploitant un nombre de strates qui est habituellement égal à une fraction très faible du nombre de strates disponibles quand on combine toutes les classes possibles provenant de n'importe quelle covariable.
Date de diffusion : 2008-12-23 - Articles et rapports : 88-003-X200800210740Géographie : CanadaDescription :
Cet article met au premier plan les dépenses et le personnel consacrés annuellement à la recherche et au développement scientifiques des organismes canadiens privés sans but lucratif (OSBL). Ces organismes jouent un rôle important dans le paysage canadien de la recherche et développement (R-D) : ils assurent un soutien financier aux chercheurs dans les universités et d'autres laboratoires et effectuent leurs propres recherches.
Date de diffusion : 2008-11-21 - Articles et rapports : 11-624-M2008020Géographie : CanadaDescription :
Le présent document présente les tendances à long terme de l'impartition et de la délocalisation dans les diverses industries au Canada.
Date de diffusion : 2008-10-27 - Stats en bref : 88-001-X200800510678Description :
Le présent bulletin de service contient des données historiques et courantes sur les dépenses et le personnel en recherche et développement (R-D) au Canada, selon l'industrie. Le secteur industriel ou les entreprises commerciales est celui où s'effectue le plus de R-D au Canada.
Date de diffusion : 2008-09-05 - Articles et rapports : 11-622-M2008019Géographie : CanadaDescription :
Les diplômés universitaires sont plus nombreux et leur nombre croît plus rapidement dans les grandes villes que dans les petites villes et les régions rurales. Ce taux de croissance relativement élevé tient aux flux migratoires nets et(ou) aux taux plus élevés d'obtention d'un diplôme. En s'appuyant sur les données tirées des Recensements de 1996 et de 2001, les auteurs du présent document testent l'importance relative de ces deux sources de croissance du capital humain en décomposant la croissance du nombre de titulaires de diplômes dans les diverses villes en flux migratoires nets (intérieurs et étrangers) et en croissance in situ, autrement dit, croissance attribuable aux taux plus élevés d'obtention d'un diplôme dans les populations des résidents des villes. Nous constatons que les deux sources sont importantes, la croissance in situ étant toutefois le facteur dominant. Ainsi, les taux élevés d'obtention d'un diplôme dans les populations des villes s'expliquent moins par la capacité des villes d'attirer du capital humain que par leur capacité de le générer.
Date de diffusion : 2008-06-02 - 6. Impartition et délocalisation au Canada ArchivéArticles et rapports : 11F0027M2008055Géographie : CanadaDescription :
Le présent document a trois objectifs principaux. Premièrement, il présente les tendances à long terme de l'impartition et de la délocalisation dans les diverses industries au Canada. Deuxièmement, il examine la relation entre la délocalisation et les changements aux structures des échanges au niveau de l'industrie. Il est axé sur deux moteurs importants qui, selon certains, alimentent les récentes tendances vers la délocalisation : la mondialisation et les changements technologiques liés aux technologies de l'information et des communications. Troisièmement, le document examine les répercussions économiques de la délocalisation en observant la relation entre l'ampleur de la délocalisation et la croissance de la productivité, le passage à des activités à grande valeur ajoutée et les changements aux marchés du travail.
Date de diffusion : 2008-05-23 - Articles et rapports : 11F0027M2008054Géographie : CanadaDescription :
Le présent document décrit la façon dont les établissements de fabrication canadiens s'adaptent à la concurrence croissante des importations en provenance de pays à bas salaires en modifiant leur portefeuille de produits. Nous faisons la distinction dans l'analyse entre les produits « de base » et les produits « périphériques », ainsi qu'entre les produits différenciés et les produits homogènes. Nous tenons compte également des complémentarités de coûts et des complémentarités technologiques en nous appuyant sur les liens, au niveau des entrées-sorties, entre les produits fabriqués par un établissement. Nous donnons des preuves d'un important roulement des produits dans les établissements au cours de la période allant de 1988 à 1996. Les changements les plus importants ont eu lieu dans les établissements multiproduits et concernent les produits périphériques. Les produits les plus touchés sont ceux susceptibles d'être utilisés comme entrées dans la fabrication du produit « de base », ceux qui sont homogènes (plutôt que différenciés) et ceux qui présentent des complémentarités d'entrées relativement faibles avec le produit de base. Les établissements qui font face à une forte concurrence des importations modifient leur portefeuille de produits de façon à se concentrer sur la fabrication de leur produit de base et à s'écarter de celle de produits périphériques non apparentés.
Date de diffusion : 2008-05-16 - Articles et rapports : 11F0027M2008052Géographie : CanadaDescription :
Au cours des trois dernières décennies, les obstacles tarifaires ont diminué de façon significative, ce qui a mené à une intégration plus grande des établissements de fabrication canadiens aux marchés mondiaux, et plus particulièrement le marché des États-Unis. On a accordé beaucoup d'attention aux effets de cette transition à l'échelle nationale, mais peu à la variation de ces effets d'une région à l'autre. Dans un pays de la taille d'un continent, il existe de bonnes raisons de croire que les effets du commerce varieront d'une région à l'autre. De façon plus particulière, l'emplacement a un effet significatif sur la taille des marchés auxquels les entreprises ont accès, et cela peut avoir des répercussions sur la mesure dans laquelle elles réorganisent leur production par suite de la diminution des obstacles tarifaires. À partir d'un fichier de microdonnées longitudinales sur les établissements de fabrication (1974 à 1999), la présente étude a pour but d'évaluer l'effet de l'accroissement du commerce entre les régions sur l'organisation de la production à l'intérieur des établissements. L'étude a permis de déterminer que des niveaux plus élevés d'intensité des exportations (exportations en proportion de la production) entre les régions comportent un lien positif avec des cycles de production plus longs, des établissements plus importants et une plus grande spécialisation des produits à l'intérieur de ces établissements. Ces effets sont les plus marqués en Ontario et au Québec, les deux provinces les mieux situées par rapport au marché des États-Unis.
Date de diffusion : 2008-05-09 - 9. Dynamique de la libéralisation des échanges et de la productivité : un éclairage canadien ArchivéArticles et rapports : 11F0027M2008051Géographie : CanadaDescription :
Cette étude traite de l'incidence, sur la productivité manufacturière au Canada, de l'adoption de l'Accord de libre-échange (ALE) canado-américain. On y constate que les réductions tarifaires au Canada ont fait monter les taux de sortie des établissements non exportateurs modérément productifs, d'où un réaménagement des parts de marché au profit des établissements hautement productifs, ce qui aide à expliquer que la productivité globale ait augmenté là où ont diminué les tarifs au Canada. On y constate en outre que tous les gains de productivité dans les établissements par suite des réductions tarifaires aux États-Unis concerne les établissements exportateurs en général et les nouvelles entreprises exportatrices en particulier. On y démontre enfin que toute absence de variation de la production et toute élimination d'emplois à la suite de l'adoption de l'ALE n'intéressent que les établissements canadiens non exportateurs, alors que les établissements exportateurs acquièrent, eux, les gains procurés par cette entente.
Date de diffusion : 2008-05-07 - Articles et rapports : 11F0027M2008050Géographie : CanadaDescription :
La présente étude a pour but de déterminer si le taux des obligations d'État à long terme peut ou non être raisonnablement employé comme taux de rendement du capital public dans le calcul du produit intérieur brut du secteur public. Elle indique que le taux de rendement du capital public est souvent plus faible que celui publié et qu'il concorde approximativement avec celui du capital privé. Étant donné qu'il existe une gamme d'estimations plausibles, nous concluons que le taux des obligations d'État à long terme pourrait être utilisé comme estimation prudente du taux de rendement de l'infrastructure publique.
Des études antérieures ont révélé que les estimations fondées sur la fonction de production ont tendance à donner des taux de rendement incroyablement élevés, tandis que celles fondées sur la fonction de coût semblent fournir des résultats plus raisonnables. Nous montrons dans le présent document que la croissance du capital public et celle de la productivité totale des facteurs (PTF) évoluent de la même façon et soutenons que les estimations de l'effet du capital public fondées sur la fonction de production surestiment par conséquent cet effet, parce qu'elles englobent une partie de ce qui est inclus dans les estimations de la PTF. Nous montrons aussi que la similarité entre la croissance du capital public et celle de la PTF donne lieu à un grand intervalle de confiance autour des estimations de l'élasticité du capital public produites d'après le cadre de la fonction de production. Par la suite nous calculons un intervalle de confiance d'après la fonction de production d'abord estimée en tenant compte de la croissance de la PTF, puis en n'en tenant pas compte. Ensuite, nous utilisons une fonction de coût pour obtenir des estimations plus précises de la réduction des coûts marginaux attribuable au capital public. Fait important, l'estimation calculée d'après la fonction de coût se situe dans la partie inférieure de l'intervalle de confiance établi d'après la fonction de production. Nous montrons alors que le taux de rendement associé aux estimations chevauchantes couvre un intervalle qui s'étend du taux moyen des obligations d'État à long terme au taux de rendement du capital privé.
Date de diffusion : 2008-04-15
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- 11. L'économie du Canada en 2007 : bilan de l'année ArchivéArticles et rapports : 11-010-X200800410559Géographie : CanadaDescription :
Malgré la turbulence sur les marchés financiers et un ralentissement aux États-Unis, la croissance a été remarquablement stable au Canada en 2007. Il s'agit de la conséquence de l'essor continu dans le secteur des ressources et de la poussée que le dollar canadien en hausse a exercée sur les dépenses au pays.
Date de diffusion : 2008-04-10 - Articles et rapports : 88F0006X2008002Description :
Cet exposé est fondé sur les résultats de l'Enquête sur le commerce électronique et la technologie (ECET) qui, en 2005, comportait un module sur les fournisseurs et les utilisateurs de services d'incubation. Joseph, Bordt et Hamdani (2006) ont examiné de leur côté les résultats de l'Enquête sur les incubateurs d'entreprises (EIE). La grande différence entre ces deux enquêtes est que l'EIE s'attache aux entreprises dont la principale activité consiste à fournir des services d'incubation critère servant à définir les limites entre industries dans les systèmes statistiques, alors que l'ECET a pour objet toutes les entreprises ayant fourni de tels services à de nouvelles entreprises à titre d'activité principale ou secondaire.
Date de diffusion : 2008-03-27 - 13. Économies d'agglomération : estimations de panel de microdonnées du secteur canadien de la fabrication ArchivéArticles et rapports : 11F0027M2008049Géographie : CanadaDescription :
La productivité et les salaires ont tendance à être plus élevés dans les villes. L'explication courante de ce phénomène repose sur les économies d'agglomération, qui font augmenter le rendement associé au fait d'occuper un emplacement urbain. Les arguments parallèles axés sur la spécialisation et sur la diversité viennent étayer cette explication proposée. Depuis longtemps, la recherche empirique s'efforce de confirmer l'existence de telles économies d'agglomération et de trancher entre, d'une part, les modèles de Marshall, Arrow et Romer (MAR), qui avancent que les avantages de la proximité sont en grande partie confinés à des industries particulières, et d'autre part l'argument de Jacobs (1969) voulant que de tels avantages découlent de l'accroissement général de la densité de l'activité économique dans un emplacement donné et profitent à l'ensemble des occupants de cet emplacement. L'objet premier de la présente étude est de déterminer les principales sources de la hausse du rendement en région urbaine, dans la foulée des travaux de Marshall (1920). L'examen de la distance sur laquelle se manifestent les externalités entre entreprises appartenant à une même industrie constitue un deuxième objectif. Afin d'étudier ces questions, nous utilisons des données au niveau des établissements, structurées sous forme de panel pour les années 1989 et 1999. Les données de panel permettent d'éliminer le biais d'échantillonnage découlant de l'hétérogénéité non observée au niveau des établissements, cette hétérogénéité étant constante au fil du temps. Les fonctions de production au niveau des établissements sont estimées pour l'ensemble du secteur canadien de la fabrication ainsi que pour cinq grands groupes d'industries caractérisés par la nature de leur production. Les résultats obtenus donnent beaucoup de poids aux arguments de Marshall (1920) concernant l'importance des réseaux acheteurs fournisseurs, des bassins de main d'oeuvre et des externalités. Les données montrent que les externalités donnent lieu à un accroissement de la productivité des établissements à l'intérieur d'une même industrie plutôt qu'entre industries, et que ces externalités tendent à se manifester sur une plus vaste étendue spatiale que ce qui avait été observé dans les études précédentes.
Date de diffusion : 2008-02-05 - Articles et rapports : 11-622-M2008018Géographie : CanadaDescription :
Ce document porte sur la présence d'externalités de connaissances qui influent sur l'adoption de technologies de pointe dans le secteur canadien de la fabrication. Nous tâchons de déterminer, au moyen d'un modèle d'adoption de technologie, si les établissements qui adoptent des technologies de pointe sont plus susceptibles de ce faire lorsque d'autres établissements situés à proximité le font également.
Date de diffusion : 2008-02-05 - Articles et rapports : 11-622-M2008017Géographie : CanadaDescription :
Le présent document traite de la croissance du capital humain dans les villes canadiennes et américaines. À l'aide de données regroupées sur 242 centres urbains provenant de recensements de la population, nous évaluons le lien entre la croissance de long terme de l'emploi et l'offre de divers types de main d'oeuvre spécialisée. L'étude vise aussi à déterminer si les attraits urbains, tels que l'importance du secteur culturel local, exerce une influence sur les capacités scientifiques des villes.
Dans la première partie de l'étude, nous étudions la contribution de catégories générales et spécialisées du capital humain à la croissance de long terme de l'emploi. Nous faisons la distinction entre l'ensemble des diplômés occupés (une mesure générale du capital humain) et les diplômés occupés dans les secteurs des sciences et de la culture (mesures spécifiques du capital humain). Nos modèles de croissance examinent les variations de long terme de l'emploi urbain de 1980 à 2000, et tiennent compte de l'effet d'autres facteurs dont l'influence sur la croissance des villes a été postulée. Ces facteurs incluent des estimations des attraits urbains qui servent de mesures indirectes des différences d'attraits entre les régions urbaines.
Dans la deuxième partie de l'étude, nous nous concentrons sur un type particulier de capital humain, à savoir les diplômés occupés dans les professions en sciences et en génie. Nos modèles évaluent les facteurs associés à la croissance de moyen et de long terme de ces professions. Nous nous efforçons tout spécialement de débrouiller la relation entre la croissance de l'emploi en sciences et en génie et d'autres formes de capital humain.
Date de diffusion : 2008-01-08 - 16. Bootstrap efficace pour les enquêtes-entreprises ArchivéArticles et rapports : 12-001-X200700210494Description :
L'Australian Bureau of Statistics vient de développer un système généralisé d'estimation pour traiter les données de ses enquêtes entreprises annuelles et infra annuelles de grande portée. Les plans de sondage de ces enquêtes comportent d'un grand nombre de strates, un échantillonnage aléatoire simple dans les strates, des fractions d'échantillonnage non négligeables, ainsi qu'un chevauchement d'échantillons pour des périodes consécutives et peuvent faire l'objet de modifications de la base de sondage. Un défi important consistait à choisir la méthode d'estimation de la variance répondant le mieux aux critères suivants : être valide pour une grande gamme d'estimateurs (par exemple, ratio et régression généralisée), nécessiter un temps de calcul limité, être facilement adaptable à divers plans de sondage et estimateurs, et avoir de bonnes propriétés théoriques en ce qui concerne le biais et la variance. Le présent article décrit le bootstrap rééchelonné sans remise (BRSR) qui a été mis en oeuvre par l'ABS et montre qu'il est sensiblement plus efficace que le bootstrap rééchelonné avec remise (BRAR) de Rao et Wu (1988). Les principaux avantages du bootstrap comparativement à d'autres estimateurs de variance par rééchantillonnage sont son efficacité (c'est à dire son exactitude par unité d'espace de mémorisation) et la simplicité relative avec laquelle il peut être spécifié dans un système. Le présent article décrit l'estimateur de variance du bootstrap BRSR pour les estimations ponctuelles et les estimations des changements qui peut être exprimé comme une fonction des moyennes de population finie. Les résultats des simulations entreprises dans le cadre du processus d'évaluation montrent que le BRSR est plus efficace que le BRAR, particulièrement dans les situations où la taille des échantillons dans les strates peut être aussi petite que 5.
Date de diffusion : 2008-01-03
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- 1. Qu'est-ce que la productivité? Comment la mesure-t-on? Quelle a été la productivité du Canada? ArchivéEnquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2008017Description :
Le présent document fournit un aperçu du programme de la productivité de Statistique Canada et une brève description du rendement du Canada en matière de productivité. Il définit la productivité et les diverses mesures utilisées pour examiner les différentes facettes de la croissance de la productivité. Il décrit la différence entre des mesures de productivité partielles (par exemple, la productivité du travail) et une mesure plus complète (productivité multifactorielle) ainsi que les avantages et désavantages de chacune de ces mesures. Le document explique pourquoi la productivité est importante. Il décrit sommairement comment la croissance de la productivité s'intègre dans le cadre comptable de la croissance et comment on utilise ce dernier pour examiner les diverses sources de croissance économique. Il présente brièvement les défis que les statisticiens doivent relever lorsqu'ils mesurent la croissance de la productivité. Il fournit également un survol de la productivité à long terme du Canada et compare celle-ci à celle des États-Unis, selon les niveaux de productivité et selon les taux de croissance de la productivité.
Date de diffusion : 2008-02-25
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