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- Articles et rapports : 85-002-X202000100013Description :
Le présent article porte sur la nature des crimes déclarés en 2018 par les services de police qui ont été désignés dans cette étude comme des services desservant des populations dont plus de la moitié des résidents sont Autochtones. L'étude s'appuie sur les données du Programme de déclaration uniforme de la criminalité pour repérer les infractions à l'origine des écarts entre les taux de criminalité déclarés par les services de police desservant des populations majoritairement autochtones et ceux déclarés par les services de police desservant des populations majoritairement non autochtones. De plus, l'article permet d'examiner les caractéristiques des affaires criminelles au sein de ces collectivités et fournit des renseignements sur les conditions socioéconomiques des populations desservies par ces services de police.
Date de diffusion : 2020-11-18 - Articles et rapports : 85-002-X201400111917Géographie : Province ou territoireDescription :
Le présent bulletin Juristat donne un aperçu statistique des jeunes au Canada qui ont été admis à des programmes communautaires ou placés sous garde, ou qui ont été libérés de ces services en 2011-2012. L'analyse est présentée à l'échelon du pays ainsi qu'à celui des provinces et des territoires. On y examine les admissions et les caractéristiques (comme l'âge, le sexe et l'identité autochtone) des jeunes sous surveillance correctionnelle.
Date de diffusion : 2014-03-20 - Articles et rapports : 85F0033M2006011Géographie : Province ou territoireDescription :
Ce nouveau rapport fondé sur les données des enquêtes sur la victimisation et des enquêtes auprès des services de police, présente un portrait statistique de la nature et de l'étendue de la victimisation et de la criminalité dans les territoires du Canada.
Les données révèlent que les résidents du Nord affichent des taux plus élevés de victimisation avec violence et sont plus susceptibles d'être victimes de violence conjugale que les résidents du reste du Canada. En outre, les taux de criminalité déclarés par la police sont beaucoup plus élevés dans le Nord que dans les provinces.
En outre, le rapport examine un certain nombre de facteurs qui peuvent accroître le risque de criminalité et de victimisation criminelle. Le profil montre que ces facteurs sont tous plus courants dans le Nord. Parmi ces facteurs figurent les suivants: les résidents du nord sont plus jeunes, en moyenne que les résidents du reste du Canada; les territoires affichent des proportions plus élevées de familles monoparentales et de familles vivant en union libre; les taux de chômage sont plus élevés dans le Nord; et les Autochtones représentent une proportion plus considérable de la population du Nord que dans les provinces.
Date de diffusion : 2006-10-30 - Articles et rapports : 85-002-X20060039199Géographie : CanadaDescription :
À l'aide des données d'une enquête sur la victimisation, et des enquêtes auprès de la police et des services correctionnels, ce rapport présente un portrait statistique de l'étendue et la nature de la victimisation et de la perpétration d'actes criminels chez les Autochtones du Canada depuis quelques années.
Le rapport indique que les Autochtones sont beaucoup plus susceptibles que les non-Autochtones d'être victimes de crimes de violence et de violence conjugale. De plus, les Autochtones sont grandement surreprésentés parmi les personnes inculpées dans les affaires d'homicides déclarées par la police et parmi les personnes admises à des programmes correctionnels. En outre, les taux de criminalité dans les réserves sont beaucoup plus élevés que les taux pour le reste du Canada.
Dans le rapport, on examine aussi les facteurs précis qui pourraient être liés à la grande représentation des Autochtones au sein du système de justice pénale. Ces facteurs comprennent les suivants : les Autochtones sont plus jeunes, en moyenne; leurs taux de chômage sont plus élevés, et leur revenu, plus faible; leur niveau de scolarité est moins élevé; ils sont plus susceptibles de vivent dans un logement surpeuplé; ils affichent une mobilité résidentielle accrue; et les enfants autochtones sont plus susceptibles de faire partie d'une famille monoparentale.
On y présente de l'information sur la crainte de la criminalité chez les Autochtones, sur leurs perceptions du système de justice et sur leurs expériences de la discrimination. On y examine également certains des programmes et services qui ont été mis sur pied pour répondre aux besoins spéciaux des Autochtones dans le système de justice pénale.
Date de diffusion : 2006-06-06 - Revues et périodiques : 85F0031XGéographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensement, Agglomération de recensementDescription :
Les données sur le statut d'Autochtone que renferme ce rapport sont fondées sur des données autodéclarées (recensement) et sur des données d'observation (criminalité). Elles fournissent des renseignements sur la nature et l'étendue de la criminalité chez les Autochtones en milieu urbain, en milieu rural et dans les réserves, ainsi que le profil socio-démographique de la population de la Saskatchewan.
Selon les données du Recensement de 1996, la population autochtone de la Saskatchewan a tendance à être plus jeune, à avoir des niveaux de scolarité plus faibles, des taux de chômage plus élevés, ainsi que des revenus sensiblement moindres que la population non autochtone. Les taux de criminalité dans les réserves étaient deux fois plus élevés que les taux dans les régions rurales ou urbaines de la province. Dans le cas des infractions avec violence, ils étaient près de cinq fois supérieurs à ceux des régions urbaines ou rurales. Dans les trois territoires (réserves, régions urbaines et régions rurales), une proportion plus importante d'adultes que d'adolescents étaient accusés d'une infraction avec violence ou d'une autre infraction au Code criminel. Par contraste, les adolescents étaient plus souvent inculpés d'une infraction contre les biens que de tout autre type d'infraction. Dans les régions urbaines, les personnes autochtones sont surreprésentées dans le système de justice pénale. En 1997, plus de la moitié (52 %) des personnes accusées à Prince Albert, Regina et Saskatoon étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 9 % dans la population de ces villes.
On a constaté une forte différence dans le ratio hommes-femmes entre les accusés autochtones et les accusés non autochtones. Même si la majorité de tous les accusés étaient de sexe masculin, une proportion plus élevée de femmes autochtones que de femmes non autochtones étaient accusées. Les accusés autochtones avaient tendance à être plus jeunes que les accusés non autochtones. Près du tiers (31 %) des accusés autochtones étaient âgés de 12 à 17 ans, contre 23 % des accusés non autochtones. Dans les deux villes où des données sur les victimes étaient disponibles (Regina et Prince Albert), la proportion de victimes d'infractions avec violence était plus forte chez les Autochtones que chez les non-Autochtones compte tenu de la proportion que représentent les Autochtones dans la population globale de ces villes. En 1997, 42 % des victimes à Prince Albert et à Regina étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 10 % dans la population de ces deux villes.
Date de diffusion : 2000-01-31
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Analyses (5)
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- Articles et rapports : 85-002-X202000100013Description :
Le présent article porte sur la nature des crimes déclarés en 2018 par les services de police qui ont été désignés dans cette étude comme des services desservant des populations dont plus de la moitié des résidents sont Autochtones. L'étude s'appuie sur les données du Programme de déclaration uniforme de la criminalité pour repérer les infractions à l'origine des écarts entre les taux de criminalité déclarés par les services de police desservant des populations majoritairement autochtones et ceux déclarés par les services de police desservant des populations majoritairement non autochtones. De plus, l'article permet d'examiner les caractéristiques des affaires criminelles au sein de ces collectivités et fournit des renseignements sur les conditions socioéconomiques des populations desservies par ces services de police.
Date de diffusion : 2020-11-18 - Articles et rapports : 85-002-X201400111917Géographie : Province ou territoireDescription :
Le présent bulletin Juristat donne un aperçu statistique des jeunes au Canada qui ont été admis à des programmes communautaires ou placés sous garde, ou qui ont été libérés de ces services en 2011-2012. L'analyse est présentée à l'échelon du pays ainsi qu'à celui des provinces et des territoires. On y examine les admissions et les caractéristiques (comme l'âge, le sexe et l'identité autochtone) des jeunes sous surveillance correctionnelle.
Date de diffusion : 2014-03-20 - Articles et rapports : 85F0033M2006011Géographie : Province ou territoireDescription :
Ce nouveau rapport fondé sur les données des enquêtes sur la victimisation et des enquêtes auprès des services de police, présente un portrait statistique de la nature et de l'étendue de la victimisation et de la criminalité dans les territoires du Canada.
Les données révèlent que les résidents du Nord affichent des taux plus élevés de victimisation avec violence et sont plus susceptibles d'être victimes de violence conjugale que les résidents du reste du Canada. En outre, les taux de criminalité déclarés par la police sont beaucoup plus élevés dans le Nord que dans les provinces.
En outre, le rapport examine un certain nombre de facteurs qui peuvent accroître le risque de criminalité et de victimisation criminelle. Le profil montre que ces facteurs sont tous plus courants dans le Nord. Parmi ces facteurs figurent les suivants: les résidents du nord sont plus jeunes, en moyenne que les résidents du reste du Canada; les territoires affichent des proportions plus élevées de familles monoparentales et de familles vivant en union libre; les taux de chômage sont plus élevés dans le Nord; et les Autochtones représentent une proportion plus considérable de la population du Nord que dans les provinces.
Date de diffusion : 2006-10-30 - Articles et rapports : 85-002-X20060039199Géographie : CanadaDescription :
À l'aide des données d'une enquête sur la victimisation, et des enquêtes auprès de la police et des services correctionnels, ce rapport présente un portrait statistique de l'étendue et la nature de la victimisation et de la perpétration d'actes criminels chez les Autochtones du Canada depuis quelques années.
Le rapport indique que les Autochtones sont beaucoup plus susceptibles que les non-Autochtones d'être victimes de crimes de violence et de violence conjugale. De plus, les Autochtones sont grandement surreprésentés parmi les personnes inculpées dans les affaires d'homicides déclarées par la police et parmi les personnes admises à des programmes correctionnels. En outre, les taux de criminalité dans les réserves sont beaucoup plus élevés que les taux pour le reste du Canada.
Dans le rapport, on examine aussi les facteurs précis qui pourraient être liés à la grande représentation des Autochtones au sein du système de justice pénale. Ces facteurs comprennent les suivants : les Autochtones sont plus jeunes, en moyenne; leurs taux de chômage sont plus élevés, et leur revenu, plus faible; leur niveau de scolarité est moins élevé; ils sont plus susceptibles de vivent dans un logement surpeuplé; ils affichent une mobilité résidentielle accrue; et les enfants autochtones sont plus susceptibles de faire partie d'une famille monoparentale.
On y présente de l'information sur la crainte de la criminalité chez les Autochtones, sur leurs perceptions du système de justice et sur leurs expériences de la discrimination. On y examine également certains des programmes et services qui ont été mis sur pied pour répondre aux besoins spéciaux des Autochtones dans le système de justice pénale.
Date de diffusion : 2006-06-06 - Revues et périodiques : 85F0031XGéographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensement, Agglomération de recensementDescription :
Les données sur le statut d'Autochtone que renferme ce rapport sont fondées sur des données autodéclarées (recensement) et sur des données d'observation (criminalité). Elles fournissent des renseignements sur la nature et l'étendue de la criminalité chez les Autochtones en milieu urbain, en milieu rural et dans les réserves, ainsi que le profil socio-démographique de la population de la Saskatchewan.
Selon les données du Recensement de 1996, la population autochtone de la Saskatchewan a tendance à être plus jeune, à avoir des niveaux de scolarité plus faibles, des taux de chômage plus élevés, ainsi que des revenus sensiblement moindres que la population non autochtone. Les taux de criminalité dans les réserves étaient deux fois plus élevés que les taux dans les régions rurales ou urbaines de la province. Dans le cas des infractions avec violence, ils étaient près de cinq fois supérieurs à ceux des régions urbaines ou rurales. Dans les trois territoires (réserves, régions urbaines et régions rurales), une proportion plus importante d'adultes que d'adolescents étaient accusés d'une infraction avec violence ou d'une autre infraction au Code criminel. Par contraste, les adolescents étaient plus souvent inculpés d'une infraction contre les biens que de tout autre type d'infraction. Dans les régions urbaines, les personnes autochtones sont surreprésentées dans le système de justice pénale. En 1997, plus de la moitié (52 %) des personnes accusées à Prince Albert, Regina et Saskatoon étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 9 % dans la population de ces villes.
On a constaté une forte différence dans le ratio hommes-femmes entre les accusés autochtones et les accusés non autochtones. Même si la majorité de tous les accusés étaient de sexe masculin, une proportion plus élevée de femmes autochtones que de femmes non autochtones étaient accusées. Les accusés autochtones avaient tendance à être plus jeunes que les accusés non autochtones. Près du tiers (31 %) des accusés autochtones étaient âgés de 12 à 17 ans, contre 23 % des accusés non autochtones. Dans les deux villes où des données sur les victimes étaient disponibles (Regina et Prince Albert), la proportion de victimes d'infractions avec violence était plus forte chez les Autochtones que chez les non-Autochtones compte tenu de la proportion que représentent les Autochtones dans la population globale de ces villes. En 1997, 42 % des victimes à Prince Albert et à Regina étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 10 % dans la population de ces deux villes.
Date de diffusion : 2000-01-31
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