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  • Articles et rapports : 11F0019M2000160
    Géographie : Canada
    Description :

    Pour notre propos, nous nous reportons à des données sur les secteurs de recensement (SR) pour analyser l'évolution des inégalités de revenu entre quartiers et la ségrégation résidentielle d'origine économique dans les huit premières villes canadiennes de 1980 à 1995. Le clivage des revenus entre quartiers riches et pauvres est-il en train de s'accentuer? Les familles à fort et à faible revenu se regroupent-elles de plus en plus dans des quartiers économiquement homogènes? Nos principaux résultats sont un développement de l'examen des conséquences spatiales de l'évolution déjà bien décrite des inégalités familiales de revenu et de gains depuis 1980. Ainsi, nous constatons que les inégalités de revenu familial (revenu après transferts et avant impôt) ont monté dans toutes les villes, surtout à cause d'un large accroissement des inégalités de revenu du travail. Les gains moyens ont baissé en valeur réelle, parfois d'une manière radicale, dans les quartiers à faible revenu de presque toutes les villes, alors qu'ils connaissaient une progression modérée dans les quartiers à fort revenu. Ce qui est frappant, c'est que les transferts sociaux, qui étaient le grand facteur de stabilisation des inégalités nationales de revenu dans une situation d'accentuation des disparités de revenu du travail, n'ont eu qu'une modeste influence sur l'évolution des inégalités entre quartiers. Les changements de répartition du revenu du travail selon les quartiers sont l'indice d'une nette transformation du caractère socio-économique d'un grand nombre de quartiers. L'emploi s'est de plus en plus concentré dans les quartiers à fort revenu et le chômage, dans les quartiers à faible revenu. Nous nous demanderons enfin si les inégalités entre quartiers tiennent principalement à une aggravation des disparités de revenu familial dans l'ensemble d'une ville ou au regroupement croissant des familles dans des quartiers qui leur ressemblent et qui deviennent ainsi économiquement plus homogènes («ségrégation » économique). On peut voir que la ségrégation spatiale d'origine économique augmente dans toutes les villes. Dans quatre des huit villes étudiées, elle a été le grand facteur de la montée des inégalités entre quartiers; dans les quatre autres, c'est l'accroissement général des inégalités de revenu entre familles urbaines qui explique principalement le phénomène.

    Date de diffusion : 2000-12-13

  • Articles et rapports : 11F0019M2000141
    Géographie : Canada
    Description :

    L'aide des données de trois reprises (1982, 1986 et 1990) de l'Enquête nationale auprès des diplômés (END), nous analyserons, à l'aide du modèle des hasards proportionnels de Cox, le temps que prennent les diplômés des universités canadiennes à occuper un emploi à temps plein qui dure au moins six mois. D'après nos résultats, la rapidité du passage des études au travail varierait amplement dans et entre les cohortes. Il semblerait aussi que les différences de durée de recherche d'un premier emploi entre les cohortes END ne tiennent pas uniquement à des différences de conjoncture économique au moment de l'obtention du diplôme. Pour certaines tranches de durée, les tendances de l'occupation d'un premier emploi se ressemblent entre les cohortes. À l'intérieur de ces dernières, on relève des différences ténues de passage des études au travail entre certains groupes démographiques et, dans quelques cas, les écarts sont stables de cohorte en cohorte.

    Date de diffusion : 2000-12-08

  • Articles et rapports : 81-003-X20000015410
    Géographie : Canada
    Description :

    Cet article renferme une analyse des modèles de l'emploi et des gains des nouveaux diplômés de l'enseignement postsecondaire selon trois vagues de l'Enquête nationale auprès des diplômés.

    Date de diffusion : 2000-11-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2000145
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document part de la définition « Le chômage structurel désigne la situation dans laquelle les travailleurs ne peuvent occuper les postes disponibles parce qu'ils n'ont pas les compétences voulues, n'habitent pas là où les postes sont offerts ou ne sont pas prêts à travailler au salaire offert sur le marché », ce qui laisse entendre que le nombre de vacances sur le marché canadien du travail est une limite supérieure de l'étendue du « chômage structurel ». Le document résume les estimations disponibles du taux de vacance au Canada. Dans le secteur de la haute technologie, les vacances peuvent équivaloir à 2,2 % de la population active, mais des preuves découlant d'enquêtes plus représentatives indiquent une étendue allant de 0,43 % à 0,75 % pour l'ensemble de l'économie. Durant les années 80, le déplacement vers l'extérieur (l'écartement) de la relation entre l'Indice de l'offre d'emploi et le taux de chômage soulevait des inquiétudes, c'est-à-dire laissait supposer que le chômage structurel devenait au Canada un problème croissant, mais ce déplacement dans les années 90 s'est inversé.

    Date de diffusion : 2000-10-16

  • Articles et rapports : 21-004-X200010913028
    Géographie : Canada
    Description :

    Au Canada, les exploitants agricoles et les familles agricoles forment un groupe au caractère diversifié. Les différences concernent l’âge, l’expérience, les valeurs commerciales possibles, la taille de l’exploitation et l’étendue des activités de l’exploitation. Ces différences reflètent les réponses variées des agriculteurs à l’égard des programmes agricoles et d’autres politiques gouvernementales. Pour caractériser ces réponses, on a élaboré une « typologie » des exploitations agricoles pour tenir compte de facteurs qui influent sur les pratiques des agriculteurs.

    Date de diffusion : 2000-09-27

  • Articles et rapports : 11F0019M2000152
    Géographie : Canada
    Description :

    La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.

    D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.

    Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.

    Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 11-008-X20000015086
    Géographie : Canada
    Description :

    Cet article donne un bref aperçu des principaux événements qui ont marqué l'évolution de la population active au cours du XXe siècle.

    Date de diffusion : 2000-06-13

  • Articles et rapports : 75-001-X20000025069
    Géographie : Canada
    Description :

    Les taux d'emploi et de chômage ont depuis longtemps été utilisés comme indicateurs des conditions du marché du travail. Cette étude évalue la performance d'un autre indicateur, soit l'Indice de l'offre d'emploi, et examine de nouveau le lien qui existe entre ce dernier et le taux d'emploi, le taux de chômage et les embauches de 1981 à 1999.

    Date de diffusion : 2000-06-07

  • Tableau : 61F0027X
    Description :

    L'enquête sur la variations de l'emploi sous-provinciales utilise des données longitudinales afin de démontrer les changements d'année en année au niveau du nombre d'employés dans les entreprises, de l'embauche ainsi que des paies au Canada. Les changements sont présentés selon la taille et la durée de vie de l'entreprise, incluant les entrées, les sorties, la croissance et la baisse.

    Date de diffusion : 2000-06-02

  • Articles et rapports : 11F0019M2000148
    Géographie : Canada
    Description :

    Nous avons généralement l'impression que le marché du travail des années 1990 a été unique. Il a été caractérisé par des notions comme « rationalisation », « révolution technologique », « économie fondée sur le savoir », « plus grande instabilité d'emploi », etc. Nous fournissons dans le présent document un aperçu détaillé du rendement du marché du travail pendant les années 1990, ainsi qu'une analyse de la façon dont il a dévié par rapport à celui des années 1980. Nous examinons ensuite si les faits qui se sont produits sont conformes à un grand nombre de croyances et d'explications courantes. Le document est axé a) sur les résultats au niveau macro-économique, et b) sur les résultats répartis. Dans les résultats macro-économiques, nous traitons des sujets suivants : la nature du travail a-t-elle changé radicalement pendant les années 1990? y a-t-il eu un effet de crémaillère soutenu du chômage? avons-nous été témoins d'une hausse de l'instabilité d'emploi et d'une augmentation des mises à pied? la rationalisation dans les entreprises a-t-elle progressé pendant les années 1990? pourquoi y a-t-il eu un ralentissement de la croissance du revenu par habitant pendant les années 1990? pour un travailleur ayant un certain capital humain, y a-t-il eu une détérioration des résultats sur le marché du travail?

    Les résultats répartis ont retenu une bonne partie de l'attention sur le marché du travail pendant les années 1980 et 1990 - qui gagne et qui perd. Les résultats répartis du marché du travail pendant les années 1990 qui sont traités dans le document comprennent entre autres les suivants : les résultats pour les hommes et pour les femmes; les changements dans les gains relatifs des personnes très instruites et l'inégalité salariale; les tendances dans le taux de faible revenu; les nouveaux résultats obtenus par de récents entrants sur le marché du travail, y compris les jeunes et les immigrants; et la mesure dans laquelle les changements technologiques jouent un rôle important dans ces résultats.

    Le document se termine par un examen du rendement global du marché du travail pendant les années 1990 comparativement à celui des années 1980.

    Date de diffusion : 2000-05-04
Données (1)

Données (1) ((1 résultat))

  • Tableau : 61F0027X
    Description :

    L'enquête sur la variations de l'emploi sous-provinciales utilise des données longitudinales afin de démontrer les changements d'année en année au niveau du nombre d'employés dans les entreprises, de l'embauche ainsi que des paies au Canada. Les changements sont présentés selon la taille et la durée de vie de l'entreprise, incluant les entrées, les sorties, la croissance et la baisse.

    Date de diffusion : 2000-06-02
Analyses (12)

Analyses (12) (0 à 10 de 12 résultats)

  • Articles et rapports : 11F0019M2000160
    Géographie : Canada
    Description :

    Pour notre propos, nous nous reportons à des données sur les secteurs de recensement (SR) pour analyser l'évolution des inégalités de revenu entre quartiers et la ségrégation résidentielle d'origine économique dans les huit premières villes canadiennes de 1980 à 1995. Le clivage des revenus entre quartiers riches et pauvres est-il en train de s'accentuer? Les familles à fort et à faible revenu se regroupent-elles de plus en plus dans des quartiers économiquement homogènes? Nos principaux résultats sont un développement de l'examen des conséquences spatiales de l'évolution déjà bien décrite des inégalités familiales de revenu et de gains depuis 1980. Ainsi, nous constatons que les inégalités de revenu familial (revenu après transferts et avant impôt) ont monté dans toutes les villes, surtout à cause d'un large accroissement des inégalités de revenu du travail. Les gains moyens ont baissé en valeur réelle, parfois d'une manière radicale, dans les quartiers à faible revenu de presque toutes les villes, alors qu'ils connaissaient une progression modérée dans les quartiers à fort revenu. Ce qui est frappant, c'est que les transferts sociaux, qui étaient le grand facteur de stabilisation des inégalités nationales de revenu dans une situation d'accentuation des disparités de revenu du travail, n'ont eu qu'une modeste influence sur l'évolution des inégalités entre quartiers. Les changements de répartition du revenu du travail selon les quartiers sont l'indice d'une nette transformation du caractère socio-économique d'un grand nombre de quartiers. L'emploi s'est de plus en plus concentré dans les quartiers à fort revenu et le chômage, dans les quartiers à faible revenu. Nous nous demanderons enfin si les inégalités entre quartiers tiennent principalement à une aggravation des disparités de revenu familial dans l'ensemble d'une ville ou au regroupement croissant des familles dans des quartiers qui leur ressemblent et qui deviennent ainsi économiquement plus homogènes («ségrégation » économique). On peut voir que la ségrégation spatiale d'origine économique augmente dans toutes les villes. Dans quatre des huit villes étudiées, elle a été le grand facteur de la montée des inégalités entre quartiers; dans les quatre autres, c'est l'accroissement général des inégalités de revenu entre familles urbaines qui explique principalement le phénomène.

    Date de diffusion : 2000-12-13

  • Articles et rapports : 11F0019M2000141
    Géographie : Canada
    Description :

    L'aide des données de trois reprises (1982, 1986 et 1990) de l'Enquête nationale auprès des diplômés (END), nous analyserons, à l'aide du modèle des hasards proportionnels de Cox, le temps que prennent les diplômés des universités canadiennes à occuper un emploi à temps plein qui dure au moins six mois. D'après nos résultats, la rapidité du passage des études au travail varierait amplement dans et entre les cohortes. Il semblerait aussi que les différences de durée de recherche d'un premier emploi entre les cohortes END ne tiennent pas uniquement à des différences de conjoncture économique au moment de l'obtention du diplôme. Pour certaines tranches de durée, les tendances de l'occupation d'un premier emploi se ressemblent entre les cohortes. À l'intérieur de ces dernières, on relève des différences ténues de passage des études au travail entre certains groupes démographiques et, dans quelques cas, les écarts sont stables de cohorte en cohorte.

    Date de diffusion : 2000-12-08

  • Articles et rapports : 81-003-X20000015410
    Géographie : Canada
    Description :

    Cet article renferme une analyse des modèles de l'emploi et des gains des nouveaux diplômés de l'enseignement postsecondaire selon trois vagues de l'Enquête nationale auprès des diplômés.

    Date de diffusion : 2000-11-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2000145
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document part de la définition « Le chômage structurel désigne la situation dans laquelle les travailleurs ne peuvent occuper les postes disponibles parce qu'ils n'ont pas les compétences voulues, n'habitent pas là où les postes sont offerts ou ne sont pas prêts à travailler au salaire offert sur le marché », ce qui laisse entendre que le nombre de vacances sur le marché canadien du travail est une limite supérieure de l'étendue du « chômage structurel ». Le document résume les estimations disponibles du taux de vacance au Canada. Dans le secteur de la haute technologie, les vacances peuvent équivaloir à 2,2 % de la population active, mais des preuves découlant d'enquêtes plus représentatives indiquent une étendue allant de 0,43 % à 0,75 % pour l'ensemble de l'économie. Durant les années 80, le déplacement vers l'extérieur (l'écartement) de la relation entre l'Indice de l'offre d'emploi et le taux de chômage soulevait des inquiétudes, c'est-à-dire laissait supposer que le chômage structurel devenait au Canada un problème croissant, mais ce déplacement dans les années 90 s'est inversé.

    Date de diffusion : 2000-10-16

  • Articles et rapports : 21-004-X200010913028
    Géographie : Canada
    Description :

    Au Canada, les exploitants agricoles et les familles agricoles forment un groupe au caractère diversifié. Les différences concernent l’âge, l’expérience, les valeurs commerciales possibles, la taille de l’exploitation et l’étendue des activités de l’exploitation. Ces différences reflètent les réponses variées des agriculteurs à l’égard des programmes agricoles et d’autres politiques gouvernementales. Pour caractériser ces réponses, on a élaboré une « typologie » des exploitations agricoles pour tenir compte de facteurs qui influent sur les pratiques des agriculteurs.

    Date de diffusion : 2000-09-27

  • Articles et rapports : 11F0019M2000152
    Géographie : Canada
    Description :

    La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.

    D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.

    Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.

    Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 11-008-X20000015086
    Géographie : Canada
    Description :

    Cet article donne un bref aperçu des principaux événements qui ont marqué l'évolution de la population active au cours du XXe siècle.

    Date de diffusion : 2000-06-13

  • Articles et rapports : 75-001-X20000025069
    Géographie : Canada
    Description :

    Les taux d'emploi et de chômage ont depuis longtemps été utilisés comme indicateurs des conditions du marché du travail. Cette étude évalue la performance d'un autre indicateur, soit l'Indice de l'offre d'emploi, et examine de nouveau le lien qui existe entre ce dernier et le taux d'emploi, le taux de chômage et les embauches de 1981 à 1999.

    Date de diffusion : 2000-06-07

  • Articles et rapports : 11F0019M2000148
    Géographie : Canada
    Description :

    Nous avons généralement l'impression que le marché du travail des années 1990 a été unique. Il a été caractérisé par des notions comme « rationalisation », « révolution technologique », « économie fondée sur le savoir », « plus grande instabilité d'emploi », etc. Nous fournissons dans le présent document un aperçu détaillé du rendement du marché du travail pendant les années 1990, ainsi qu'une analyse de la façon dont il a dévié par rapport à celui des années 1980. Nous examinons ensuite si les faits qui se sont produits sont conformes à un grand nombre de croyances et d'explications courantes. Le document est axé a) sur les résultats au niveau macro-économique, et b) sur les résultats répartis. Dans les résultats macro-économiques, nous traitons des sujets suivants : la nature du travail a-t-elle changé radicalement pendant les années 1990? y a-t-il eu un effet de crémaillère soutenu du chômage? avons-nous été témoins d'une hausse de l'instabilité d'emploi et d'une augmentation des mises à pied? la rationalisation dans les entreprises a-t-elle progressé pendant les années 1990? pourquoi y a-t-il eu un ralentissement de la croissance du revenu par habitant pendant les années 1990? pour un travailleur ayant un certain capital humain, y a-t-il eu une détérioration des résultats sur le marché du travail?

    Les résultats répartis ont retenu une bonne partie de l'attention sur le marché du travail pendant les années 1980 et 1990 - qui gagne et qui perd. Les résultats répartis du marché du travail pendant les années 1990 qui sont traités dans le document comprennent entre autres les suivants : les résultats pour les hommes et pour les femmes; les changements dans les gains relatifs des personnes très instruites et l'inégalité salariale; les tendances dans le taux de faible revenu; les nouveaux résultats obtenus par de récents entrants sur le marché du travail, y compris les jeunes et les immigrants; et la mesure dans laquelle les changements technologiques jouent un rôle important dans ces résultats.

    Le document se termine par un examen du rendement global du marché du travail pendant les années 1990 comparativement à celui des années 1980.

    Date de diffusion : 2000-05-04

  • Revues et périodiques : 85F0031X
    Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensement, Agglomération de recensement
    Description :

    Les données sur le statut d'Autochtone que renferme ce rapport sont fondées sur des données autodéclarées (recensement) et sur des données d'observation (criminalité). Elles fournissent des renseignements sur la nature et l'étendue de la criminalité chez les Autochtones en milieu urbain, en milieu rural et dans les réserves, ainsi que le profil socio-démographique de la population de la Saskatchewan.

    Selon les données du Recensement de 1996, la population autochtone de la Saskatchewan a tendance à être plus jeune, à avoir des niveaux de scolarité plus faibles, des taux de chômage plus élevés, ainsi que des revenus sensiblement moindres que la population non autochtone. Les taux de criminalité dans les réserves étaient deux fois plus élevés que les taux dans les régions rurales ou urbaines de la province. Dans le cas des infractions avec violence, ils étaient près de cinq fois supérieurs à ceux des régions urbaines ou rurales. Dans les trois territoires (réserves, régions urbaines et régions rurales), une proportion plus importante d'adultes que d'adolescents étaient accusés d'une infraction avec violence ou d'une autre infraction au Code criminel. Par contraste, les adolescents étaient plus souvent inculpés d'une infraction contre les biens que de tout autre type d'infraction. Dans les régions urbaines, les personnes autochtones sont surreprésentées dans le système de justice pénale. En 1997, plus de la moitié (52 %) des personnes accusées à Prince Albert, Regina et Saskatoon étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 9 % dans la population de ces villes.

    On a constaté une forte différence dans le ratio hommes-femmes entre les accusés autochtones et les accusés non autochtones. Même si la majorité de tous les accusés étaient de sexe masculin, une proportion plus élevée de femmes autochtones que de femmes non autochtones étaient accusées. Les accusés autochtones avaient tendance à être plus jeunes que les accusés non autochtones. Près du tiers (31 %) des accusés autochtones étaient âgés de 12 à 17 ans, contre 23 % des accusés non autochtones. Dans les deux villes où des données sur les victimes étaient disponibles (Regina et Prince Albert), la proportion de victimes d'infractions avec violence était plus forte chez les Autochtones que chez les non-Autochtones compte tenu de la proportion que représentent les Autochtones dans la population globale de ces villes. En 1997, 42 % des victimes à Prince Albert et à Regina étaient des Autochtones, comparativement à leur proportion de 10 % dans la population de ces deux villes.

    Date de diffusion : 2000-01-31
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