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- Articles et rapports : 91F0015M1997003Géographie : Canada, Province ou territoireDescription :
Pour des raisons historiques, les tables de mortalité les plus connues et fréquemment utilisées sont les tables du moment. Elles sont construites avec les taux de mortalité par âge observés sur une courte période (souvent l'année) et ont pour but de renseigner sur l'état de la mortalité à cette période. Les survivants et les décès qui figurent dans leurs colonnes sont en quelque sorte davantage des abstractions que des réalités. Il est donc fautif de croire que la table de mortalité d'une année (1995 par exemple) a une quelconque valeur prédictive de la cadence à laquelle disparaîtront ceux qui naissent cette année-là et par extension de la durée moyenne de la vie qu'ils commencent. À de rares exceptions la moyenne des années vécues par les individus a toujours été plus longue que l'espérance de vie de la table de mortalité de l'année de leur naissance. Cela vient de ce que l'incessante lutte contre la mort réduit année après année ces risques de décès à chaque âge et les individus, en avançant dans la vie bénéficient de ces gains successifs.
Pour reconstituer (ou envisager) la cadence à laquelle les membres d'une génération ont réellement disparu (ou disparaîtront), il faut disposer de très longues séries de taux de mortalité par âge et d'indications fiables sur ceux qui manquent pour les agencer de manière à constituer le cheminement réel d'une génération. Construites exactement de la même manière que celles du moment ces tables portent tout naturellement le nom de tables de génération mais l'observation comparative de leurs paramètres livre des enseignements d'une grande richesse.
Date de diffusion : 1997-10-01 - Articles et rapports : 91F0015M1996002Géographie : CanadaDescription :
L'objet de ce document est de tirer de l'ombre un segment de la société canadienne qui, bien que de faible dimension n'en est pas moins important. Il s'agit de ces personnes qui au recensement sont rangées dans la catégorie des résidents de longue durée en ménages collectifs. En 1991, 440 000 Canadiens faisaient partie de cette population, vivant dans des maisons de santé, des institutions correctionnelles, des maisons de chambre et autres foyers du même genre. Le changement dans la structure par âge et par sexe de la population canadienne a eu pour conséquence un accroissement de leur nombre entre 1971 et 1991 en dépit du fait que les Canadiens et les Canadiennes sont moins enclins, ces derniers temps, à vivre à la plupart des âges en ménages collectifs.
On a fait une recension des données de provenance autre que le recensement pour plusieurs segments de cette population, particulièrement pour les personnes vivant dans des institutions de santé et les établissements correctionnels. Elles montrent que les résidents de longue durée ne sont, dans chaque cas, qu'une petite fraction d'une population beaucoup plus grande et qui, en moyenne, n'est en contact que brièvement avec l'institution en question. Cette recension permet de conclure que les données de source autre que le recensement peuvent être utiles pour situer dans un contexte l'étude de la population en ménages collectifs, mais que le recensement pour le moment est la seule source d'information pour une vue globale, même si les données collectées sont peu nombreuses et moindres encore que celles qui sont publiées.
On a utilisé des tableaux spécialement élaborés à partir des recensements de 1971, 1981 et 1991 pour étudier les changements dans la taille et la structure par âge et sexe de cette population, en accordant une attention particulière à trois de ses composantes, les personnes en maison de santé, celles en foyer de service collectifs et celles dans les institutions religieuses. Il existe en effet une différence importante entre les personnes en logements collectifs et celles qui vivent en logements privés dans le fait que les premières, volontairement ou non, ont quitté le monde de la famille. De ce fait le statut matrimonial devient une variable-clef et sert à montrer l'étroite relation qui existe entre le changement de statut matrimonial de la population d'une part et les changements structuraux d'autre part, en particulier la décroissance du nombre des célibataires au profit de celui grandissant des femmes âgées séparées, veuves ou divorcées.
Date de diffusion : 1996-12-20 - Articles et rapports : 91F0015M1996001Géographie : CanadaDescription :
Cette publication décrit la méthode employée pour projeter la fécondité lors de la préparation des projections de population de 1993 à 2016, par âge et sexe, pour le Canada, les provinces et les territoires. Une nouvelle version du modèle paramétrique basée sur la courbe III de Pearson a été utilisée pour projeter la distribution par âge de la fécondité. Dans ce cas l'utilisation de la courbe de type III présente une amélioration par rapport à celle de la courbe de type I utilisée jusqu'à présent, parce que la courbe de type III, à la fois reflète mieux la distribution par âge des taux de fécondité et les estimés des naissances. Comme les projections appuyées sur la population de 1993 sont les premières à tenir compte du sous dénombrement net du recensement pour estimer la population de base, on a dû recalculer les taux de fécondité par âge avec des dénominateurs corrigés. Il en est résulté, pour toute la série de 1971 à 1993, des taux plus faibles et par conséquent des indices synthétiques également plus faibles. Les trois jeux d'hypothèses et de projections ont pris en considération les nouveaux taux.
On souhaite que cette publication procure une information valide en ce qui concerne les aspects techniques et analytiques du modèle de projection utilisé actuellement. Des discussions sur les niveaux actuels et futurs des schémas de fécondité pour le pays, les provinces et les territoires sont également offerts au lecteur.
Date de diffusion : 1996-08-02 - 4. Les heures consacrées au travail ArchivéArticles et rapports : 75-001-X199400311Géographie : CanadaDescription :
La « norme » de la semaine de travail de cinq jours d'une durée moyenne de 37 à 40 heures prédomine depuis les années 60. Cette étude examine l'évolution de la norme de la semaine de travail depuis le début du siècle jusqu à présent.
Date de diffusion : 1994-09-06
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Analyses (4)
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- Articles et rapports : 91F0015M1997003Géographie : Canada, Province ou territoireDescription :
Pour des raisons historiques, les tables de mortalité les plus connues et fréquemment utilisées sont les tables du moment. Elles sont construites avec les taux de mortalité par âge observés sur une courte période (souvent l'année) et ont pour but de renseigner sur l'état de la mortalité à cette période. Les survivants et les décès qui figurent dans leurs colonnes sont en quelque sorte davantage des abstractions que des réalités. Il est donc fautif de croire que la table de mortalité d'une année (1995 par exemple) a une quelconque valeur prédictive de la cadence à laquelle disparaîtront ceux qui naissent cette année-là et par extension de la durée moyenne de la vie qu'ils commencent. À de rares exceptions la moyenne des années vécues par les individus a toujours été plus longue que l'espérance de vie de la table de mortalité de l'année de leur naissance. Cela vient de ce que l'incessante lutte contre la mort réduit année après année ces risques de décès à chaque âge et les individus, en avançant dans la vie bénéficient de ces gains successifs.
Pour reconstituer (ou envisager) la cadence à laquelle les membres d'une génération ont réellement disparu (ou disparaîtront), il faut disposer de très longues séries de taux de mortalité par âge et d'indications fiables sur ceux qui manquent pour les agencer de manière à constituer le cheminement réel d'une génération. Construites exactement de la même manière que celles du moment ces tables portent tout naturellement le nom de tables de génération mais l'observation comparative de leurs paramètres livre des enseignements d'une grande richesse.
Date de diffusion : 1997-10-01 - Articles et rapports : 91F0015M1996002Géographie : CanadaDescription :
L'objet de ce document est de tirer de l'ombre un segment de la société canadienne qui, bien que de faible dimension n'en est pas moins important. Il s'agit de ces personnes qui au recensement sont rangées dans la catégorie des résidents de longue durée en ménages collectifs. En 1991, 440 000 Canadiens faisaient partie de cette population, vivant dans des maisons de santé, des institutions correctionnelles, des maisons de chambre et autres foyers du même genre. Le changement dans la structure par âge et par sexe de la population canadienne a eu pour conséquence un accroissement de leur nombre entre 1971 et 1991 en dépit du fait que les Canadiens et les Canadiennes sont moins enclins, ces derniers temps, à vivre à la plupart des âges en ménages collectifs.
On a fait une recension des données de provenance autre que le recensement pour plusieurs segments de cette population, particulièrement pour les personnes vivant dans des institutions de santé et les établissements correctionnels. Elles montrent que les résidents de longue durée ne sont, dans chaque cas, qu'une petite fraction d'une population beaucoup plus grande et qui, en moyenne, n'est en contact que brièvement avec l'institution en question. Cette recension permet de conclure que les données de source autre que le recensement peuvent être utiles pour situer dans un contexte l'étude de la population en ménages collectifs, mais que le recensement pour le moment est la seule source d'information pour une vue globale, même si les données collectées sont peu nombreuses et moindres encore que celles qui sont publiées.
On a utilisé des tableaux spécialement élaborés à partir des recensements de 1971, 1981 et 1991 pour étudier les changements dans la taille et la structure par âge et sexe de cette population, en accordant une attention particulière à trois de ses composantes, les personnes en maison de santé, celles en foyer de service collectifs et celles dans les institutions religieuses. Il existe en effet une différence importante entre les personnes en logements collectifs et celles qui vivent en logements privés dans le fait que les premières, volontairement ou non, ont quitté le monde de la famille. De ce fait le statut matrimonial devient une variable-clef et sert à montrer l'étroite relation qui existe entre le changement de statut matrimonial de la population d'une part et les changements structuraux d'autre part, en particulier la décroissance du nombre des célibataires au profit de celui grandissant des femmes âgées séparées, veuves ou divorcées.
Date de diffusion : 1996-12-20 - Articles et rapports : 91F0015M1996001Géographie : CanadaDescription :
Cette publication décrit la méthode employée pour projeter la fécondité lors de la préparation des projections de population de 1993 à 2016, par âge et sexe, pour le Canada, les provinces et les territoires. Une nouvelle version du modèle paramétrique basée sur la courbe III de Pearson a été utilisée pour projeter la distribution par âge de la fécondité. Dans ce cas l'utilisation de la courbe de type III présente une amélioration par rapport à celle de la courbe de type I utilisée jusqu'à présent, parce que la courbe de type III, à la fois reflète mieux la distribution par âge des taux de fécondité et les estimés des naissances. Comme les projections appuyées sur la population de 1993 sont les premières à tenir compte du sous dénombrement net du recensement pour estimer la population de base, on a dû recalculer les taux de fécondité par âge avec des dénominateurs corrigés. Il en est résulté, pour toute la série de 1971 à 1993, des taux plus faibles et par conséquent des indices synthétiques également plus faibles. Les trois jeux d'hypothèses et de projections ont pris en considération les nouveaux taux.
On souhaite que cette publication procure une information valide en ce qui concerne les aspects techniques et analytiques du modèle de projection utilisé actuellement. Des discussions sur les niveaux actuels et futurs des schémas de fécondité pour le pays, les provinces et les territoires sont également offerts au lecteur.
Date de diffusion : 1996-08-02 - 4. Les heures consacrées au travail ArchivéArticles et rapports : 75-001-X199400311Géographie : CanadaDescription :
La « norme » de la semaine de travail de cinq jours d'une durée moyenne de 37 à 40 heures prédomine depuis les années 60. Cette étude examine l'évolution de la norme de la semaine de travail depuis le début du siècle jusqu à présent.
Date de diffusion : 1994-09-06
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