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- Articles et rapports : 62F0014M1997005Géographie : CanadaDescription :
Depuis 1961, la composante des services de l'Indice des prix à la consommation (IPC) démontre un taux de croissance supérieur à la composante des biens. De plus, lorsque certaines des composantes les plus volatiles sont exclues, l'écart entre les deux taux s'élargit. Par exemple, sur cette même période l'inflation tendancielle pour les biens (excluant les aliments et l'énergie) a augmenté à un taux de 4,3% comparativement à 6,1% pour les services (excluant le logement). La littérature propose cinq explications pour le phénomène de la hausse rapide des prix des services. Malgré l'importance et l'attrait de ces éléments pour expliquer l'écart inflationniste ce document se penchera que sur deux. Certains croient que l'inflation des services est en fait une abstraction statistique qui découle du fait que les unités de production des services et par conséquent leurs variations de prix sont parfois difficiles à quantifier. Cette question sera examinée en premier. Il semblerait que le problème de mesure, même s'il est en fait plus réel pour les services, ne peut pas expliquer la totalité de l'écart inflationniste. William Baumol a suggéré l'autre explication, soit une croissance sectorielle inégale qui serait la cause principale de la divergence. Cette explication sera traitée dans la deuxième partie du document. Malgré l'attrait du modèle, l'hypothèse ne tient pas empiriquement.
Date de diffusion : 1999-05-13 - Articles et rapports : 62F0014M1997008Géographie : Province ou territoireDescription :
À la lumière d'un récent changement du champ d'observation de la population, la présente étude vise à déterminer s'il faut remettre en question l'intégrité de l'indice des prix à la consommation (IPC), selon le raisonnement qu'il ne tient pas explicitement compte des mouvements de prix des maisons rurales. L'auteur cherche à quantifier l'effet éventuel, à l'aide de divers régimes de données artificielles pour représenter les mouvements de prix des maisons en zones rurales. La structure des régimes permet d'analyser les différences entre les régions urbaines et rurales pour ce qui est de l'évolution des prix des maisons, ainsi que les différences de leurs niveaux cumulatifs d'indice des prix. Trois provinces ont été observées, soit Terre-Neuve, la Saskatchewan et la Colombie-Britannique, qui ont toutes de très grandes populations rurales. Les résultats de l'étude sont des indices mensuels pour la période d'observation: janvier 1986 à décembre 1994. La conclusion générale est que l'évolution du prix des maisons dans les région rurales devrait être très différente du prix des maisons dans les régions urbaines pour avoir un effet sur le niveau d'ensemble de l'IPC. Cependant, lorsqu'il s'agit d'agrégats de niveau inférieur, la non-inclusion des prix des maisons rurales pourrait avoir un effet plus important. En outre, même lorsque les mouvements cumulatifs de prix des maisons pour les régions rurales et urbaines sont semblables, leurs différences d'évolution ont souvent un effet sur la tendance de l'IPC, surtout dans le cas des agrégats de niveau inférieur. On pourrait facilement en conclure que l'actuelle méthodologie de l'IPC est assez robuste pour s'appliquer à la population élargie, mais en s'appuyant purement sur des conjectures quant à la nature des mouvements de prix des maisons en zones rurales. Une deuxième phase de cette étude sera entreprise en but d'élaborer une méthodologie de construction des indices de prix pour les régions rurales.
Date de diffusion : 1999-05-13 - Articles et rapports : 63-016-X19980034329Géographie : CanadaDescription :
Pour les consommateurs canadiens, l'inflation des prix a jusqu'ici été beaucoup plus faible dans les années 90 qu'au cours des deux décennies précédentes. C'est tout particulièrement le cas des prix des biens de consommation. De 1990 à 1997, l'indice des prix des biens de consommation n'a augmenté que de 16 %. Toutefois, le taux d'inflation des services de consommation a été nettement plus élevé pendant les années 90, s'établissant à 26 %.
Date de diffusion : 1999-01-15
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Analyses (3)
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- Articles et rapports : 62F0014M1997005Géographie : CanadaDescription :
Depuis 1961, la composante des services de l'Indice des prix à la consommation (IPC) démontre un taux de croissance supérieur à la composante des biens. De plus, lorsque certaines des composantes les plus volatiles sont exclues, l'écart entre les deux taux s'élargit. Par exemple, sur cette même période l'inflation tendancielle pour les biens (excluant les aliments et l'énergie) a augmenté à un taux de 4,3% comparativement à 6,1% pour les services (excluant le logement). La littérature propose cinq explications pour le phénomène de la hausse rapide des prix des services. Malgré l'importance et l'attrait de ces éléments pour expliquer l'écart inflationniste ce document se penchera que sur deux. Certains croient que l'inflation des services est en fait une abstraction statistique qui découle du fait que les unités de production des services et par conséquent leurs variations de prix sont parfois difficiles à quantifier. Cette question sera examinée en premier. Il semblerait que le problème de mesure, même s'il est en fait plus réel pour les services, ne peut pas expliquer la totalité de l'écart inflationniste. William Baumol a suggéré l'autre explication, soit une croissance sectorielle inégale qui serait la cause principale de la divergence. Cette explication sera traitée dans la deuxième partie du document. Malgré l'attrait du modèle, l'hypothèse ne tient pas empiriquement.
Date de diffusion : 1999-05-13 - Articles et rapports : 62F0014M1997008Géographie : Province ou territoireDescription :
À la lumière d'un récent changement du champ d'observation de la population, la présente étude vise à déterminer s'il faut remettre en question l'intégrité de l'indice des prix à la consommation (IPC), selon le raisonnement qu'il ne tient pas explicitement compte des mouvements de prix des maisons rurales. L'auteur cherche à quantifier l'effet éventuel, à l'aide de divers régimes de données artificielles pour représenter les mouvements de prix des maisons en zones rurales. La structure des régimes permet d'analyser les différences entre les régions urbaines et rurales pour ce qui est de l'évolution des prix des maisons, ainsi que les différences de leurs niveaux cumulatifs d'indice des prix. Trois provinces ont été observées, soit Terre-Neuve, la Saskatchewan et la Colombie-Britannique, qui ont toutes de très grandes populations rurales. Les résultats de l'étude sont des indices mensuels pour la période d'observation: janvier 1986 à décembre 1994. La conclusion générale est que l'évolution du prix des maisons dans les région rurales devrait être très différente du prix des maisons dans les régions urbaines pour avoir un effet sur le niveau d'ensemble de l'IPC. Cependant, lorsqu'il s'agit d'agrégats de niveau inférieur, la non-inclusion des prix des maisons rurales pourrait avoir un effet plus important. En outre, même lorsque les mouvements cumulatifs de prix des maisons pour les régions rurales et urbaines sont semblables, leurs différences d'évolution ont souvent un effet sur la tendance de l'IPC, surtout dans le cas des agrégats de niveau inférieur. On pourrait facilement en conclure que l'actuelle méthodologie de l'IPC est assez robuste pour s'appliquer à la population élargie, mais en s'appuyant purement sur des conjectures quant à la nature des mouvements de prix des maisons en zones rurales. Une deuxième phase de cette étude sera entreprise en but d'élaborer une méthodologie de construction des indices de prix pour les régions rurales.
Date de diffusion : 1999-05-13 - Articles et rapports : 63-016-X19980034329Géographie : CanadaDescription :
Pour les consommateurs canadiens, l'inflation des prix a jusqu'ici été beaucoup plus faible dans les années 90 qu'au cours des deux décennies précédentes. C'est tout particulièrement le cas des prix des biens de consommation. De 1990 à 1997, l'indice des prix des biens de consommation n'a augmenté que de 16 %. Toutefois, le taux d'inflation des services de consommation a été nettement plus élevé pendant les années 90, s'établissant à 26 %.
Date de diffusion : 1999-01-15
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